Nationalité : Japon
Né(e) à : Saitama , le 28/03/1972
Né(e) à : Saitama , le 28/03/1972
Biographie :
Minoru Furuya est un auteur de bande dessinée.
En sortant du lycée, plutôt que de s'orienter vers de longues études, il s'oriente dans une école professionnelle, spécialisé dans la mode et la coiffure. Après obtenu son diplôme, au sein de la "Hollywood Biyosenmon School", il exerce d'abord le métier de coiffeur, pendant environ un an.
Il débute finalement sa carrière de mangaka en 1993, avec une œuvre devenue culte : "Ping Pong Club" ("Ike ! Inachū takkyū-bu"), publiée au sein des pages du Young Magazine, et qui dès 1996 reçoit le Kodansha Manga Award. Très vite, il s'impose comme une figure incontournable du paysage éditorial.
En 1997, sa deuxième série, "Boku to Issho", commence également sa prépublication dans le Young Magazine.
De 2001 à 2002, Young Magazine a publié "Himizu", qui était très différent de son travail précédent. Plutôt qu'un manga comique, l'histoire s'est concentrée sur l'état d'esprit psychologique du personnage et sur la façon dont il a géré les situations stressantes.
De 2012 à 2013, Young Magazine a publié "Saltiness".
+ Voir plusMinoru Furuya est un auteur de bande dessinée.
En sortant du lycée, plutôt que de s'orienter vers de longues études, il s'oriente dans une école professionnelle, spécialisé dans la mode et la coiffure. Après obtenu son diplôme, au sein de la "Hollywood Biyosenmon School", il exerce d'abord le métier de coiffeur, pendant environ un an.
Il débute finalement sa carrière de mangaka en 1993, avec une œuvre devenue culte : "Ping Pong Club" ("Ike ! Inachū takkyū-bu"), publiée au sein des pages du Young Magazine, et qui dès 1996 reçoit le Kodansha Manga Award. Très vite, il s'impose comme une figure incontournable du paysage éditorial.
En 1997, sa deuxième série, "Boku to Issho", commence également sa prépublication dans le Young Magazine.
De 2001 à 2002, Young Magazine a publié "Himizu", qui était très différent de son travail précédent. Plutôt qu'un manga comique, l'histoire s'est concentrée sur l'état d'esprit psychologique du personnage et sur la façon dont il a géré les situations stressantes.
De 2012 à 2013, Young Magazine a publié "Saltiness".
Source : Wikipédia
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Parce que les préjugés sur les mangas ont la peau dure, cette semaine la librairie Point Virgule vous propose une petite sélection de Seinen (comprenez par là des mangas essentiellement destinés à un public de jeunes adultes). Les cinq séries mentionnées ne sont pas très longues et apportent chacune un éclairage bien particulier sur des faits de société qui nous sont contemporains. - My Broken MarikoWaka Hirako, Ki-oon, 9,95€ - Bathtub Brothers, Toshifumi Sakurai, série en cours de 4 tomes, Akata, 8,05€ - Pluto, Naoki Urasawa, 8 tomes, Kana, 7,45€ - Saltiness, Minoru Furuya, 4 tomes, Akata, 8,30€ - Old Boy, Nobuaki Minegishi & Garon Tsuchiya, 4 tomes, Naban, 12€ Bande-annonce de My Broken Mariko en intégralité : https://youtu.be/0uJydXabDNw Musique du générique d'intro par Timo Vollbrecht.
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Citations et extraits (87)
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- Aaah... Je vois. En fait, c’est ce genres de gens dont on dit qu’ils sont « différents » ? Il a sa propre échelle de valeurs un peu spéciale c’est ça ?
- C’est un peu facile… de se permettre de daigner jusqu’aux choses les plus essentielles… et c’est lâche de ne se consacrer qu’à ce qui nous arrange… d’autant plus qu’il y a plein de choses qu’on ne peut pas comprendre avant de les avoir expérimenté, non ? Aucun savoir n’arrive à la cheville de l’expérience réelle. Et cette dernière peut nous faciliter grandement l’existence.
- Mais on ne vit pas pour accumuler des connaissances… sans compter qu’elles sont parfois illusoires.
- Mais on ne vit pas pour accumuler des connaissances… sans compter qu’elles sont parfois illusoires.
Ils sont bien frère et sœur, ces deux-là... ils se comportent pareil à sauter sur les gens, comme ça. L'un comme l'autre, ils ont autant de mal à gérer la distance avec leur interlocuteur.
Le présent n’existe pas en ce monde car tout ce qui,le peuple est en perpétuelle évolution.
Finalement… existe-t’il vraiment des gens spéciaux ? Peu importe la Pro alité que l’on meurt… Peu importe la chance que l’on a… à la fin, la conclusion est la même. Le monde meurt un jour… qu’on soit riche, bon ou mauvais… que ce soit demain ou dans des dizaines d’années… l’important, c’est ce qu’on veut faire avant l’heure fatidique.
Ouais, ça veut dire que t’en pinces pour lui, ça ! Et là, c’est Intervilles dans ta culotte, pas vrai ?!
Si c’est pour se laisser mener en pensant « C’est comme ça, on y peut rien »… à quoi ça sert de vivre ?
Ce serait terrible si les rêves de tout le monde se réalisaient. Imagine qu’un crabe ponde quinze mille œufs et qu’ils éclosent tous… ce serait terrible, non ? La mer serait pleine de crabes ! Pleine à craquer !
Je pense que le concept de dieu a atteint ses limites… il ne fait que déclencher des guerres. La race humaine devrait s’émancipé de dieu, c’est vers là qu’on doit aller.
Est-ce qu'on est privé de bonheur tant qu'on n'a pas souffert ? Ou Est-ce que c'est parce qu'on connaît le bonheur qu'on peut ressentir du malheur ? Si jamais c'était le cas, la majorité de notre existence serait faite de souffrance... et ceux qui voudraient être très heureux devraient endurer de grands malheurs...
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