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3.85/5 (sur 386 notes)

Nationalité : Canada
Né(e) à : Montmagny , 1982
Biographie :

Mireille Gagné est née à Montmagny et vit à Québec. Elle a étudié à l'Université de Sherbrooke en « Communication, rédaction et multimédia ». Elle travaille au ministère de la Culture et des Communications.

Source : Hexagone
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Le Salon dans tes oreilles - S1E17 - Cabaret de poésie féministe Joignez-vous à nous pour un événement festif dédié aux femmes poètes québécoises et à la poésie des femmes. Avec: Nora Atalla, autrice Laurence Gagné, autrice Alex Thibodeau, autrice Salomé Assor, autrice Mireille Gagné, autrice Marie St-Hilaire-Tremblay, autrice Rosalie Lessard, autrice Catherine Cormier-Larose, animateurice Gaële , Musicien Livres: Nora Atalla, Morts, debout!, Écrits des forges Alex Thibodeau, Infantia, le lézard amoureux Laurence Gagné, Les jardins de linge sale, le lézard amoureux Salomé Assor, Un, Éditions Poètes de brousse Marie St-Hilaire-Tremblay, Noctiluque, Éditions Les herbes rouges Mireille Gagné, le ciel en blocs, éditions l'Hexagone Rosalie Lessard, Les îles Phoenix, éditions du Noroît Le Salon dans tes oreilles est un balado issu des entrevues, tables rondes, et cabarets enregistrés dans le cadre du Salon du livre de Montréal 2020. Écoutez des auteurs, autrices et personnalités parler de livre, de lecture et d'écriture et échanger autour des cinq thématiques suivantes: le Féminisme, la Pluralité des voix, 2020, et après?, Récit et inspiration et Famille et enfance. Bonne écoute! Abonnez-vous: https://feeds.buzzsprout.com/1678609.rss

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Citations et extraits (73) Voir plus Ajouter une citation
Émeril les appelait des taons à cheval. Il avait bien averti Thomas de ne pas leur permettre de se poser sur sa peau, car leurs piqûres étaient aussi douloureuses qu’un coup de poing, mais c’était peine perdue.

(La Peuplade, p.49)
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La guerre avait cette capacité de déformer la réalité d'une telle manière qu'en isolant les gestes, elle rendait presque acceptables les pires crimes contre l'humanité.
Comment les autres chercheurs et les militaires vivaient-ils avec ce fardeau écrasant ? Se regardaient-ils dans le miroir ? Lui, dès qu'une surface réfléchissante lui renvoyait son visage, il apercevait ses yeux horrifiés, le regard de sa mère sur lui, de son père, leur incompréhension de le voir participer à pareil vertige, leur déception, mais aussi leur affolement.
(P. 78)
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En temps de guerre, il n’y avait pas d’issue, il fallait juste affronter.
(Page 100 )
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Elle se réveille toujours à la même heure se douche s’habille se prépare déjeune s’en va travailler sept jours sur sept emprunte le même chemin ne parle à personne sauf si c’est pour exécuter une tâche sept jours sur sept ne possède aucune relation en dehors du travail (…) elle aspire à une vie exempte de toute imperfection elle rêve d’un jour où le temps serait intarissable mais le corps reste indomptable toujours.
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— J’ai l’impression d’être assis dans un théâtre et d’écouter un film. Je vois des choses qui n’arrivent pas pour vrai, mais je les « vois » pour vrai. Des fois j’ai peur de ne pas me réveiller.

(La Peuplade, p.27)
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Ses larges pattes ( celles du lièvre d'Amérique) recouvertes d'une fourrure abondante lui assurent de se mouvoir aisément sur la neige, comme s'il chaussait une paire de raquettes.
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Je me suis surprise à songer au printemps. À son odeur, celle qui le précède. La neige qui ramollit et assouplit le sol. La glace qui fond en chandelle.
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Je. Moi. À ton nom, j’ai figé. J’ai senti mon corps revenir dans le paysage. J’ai aperçu ses fentes. Ses battures fissurées. Depuis combien d’années étais-je ainsi ? Livrée aux grands vents. Vulnérable. Incapable de me ressaisir. De me recoller. Depuis combien de temps n’avais-je pas repensé à toi ? Toi. Ton regard. Moi. Ma défilade. Les battures. Le foin de mer. Ta liberté.
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Tu t'es précipité vers le lièvre, qui ne bougeait plus, terrifié. A genoux, tu l'as pris dans tes bras. L'aigle lui avait arraché la fourrure ou peut-être cassé des os. Il y avait du sang sur tes mains. Pendant une seconde, je me suis demandé à qui il appartenait.
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Sur le pont, elle regarde le fleuve s'écouler en dessous d'elle. La marée descend, elle aussi. Elle se sent comme les eaux qui se retirent lentement des terres après les grandes marées. Il restera beaucoup de débris, mais il fera beau demain.
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