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Citations de Monica Murphy (127)


Être trop proche de quelqu’un, ça attire les emmerdes.
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Vous est-il déjà arrivé de faire quelque chose de si incroyablement stupide que la culpabilité et le regret que cette action a suscités planent au-dessus de votre tête comme un épais nuage noir, obscurcissant votre jugement, vous consumant de l’intérieur, jusqu’à ce que vous ne parveniez plus à voir, à entendre ou à penser à rien d’autre?
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Si intensément, je me
Hais parce que je t'ai
Malmenée, blessée.
Aussi je veux que tu saches que
Loin de toi, je me
Lamente sur ta perte.
Où que j'aille, malgré les femmes que je rencontre,
Walkyrie de mes nuits, tu demeures dans mon cœur
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Je contemple mon stupide poème que la fille que j’aime ne lira probablement jamais. Je dessine un cadre de lignes ornementales tout autour. Puis, je trace un F en écriture cursive, comme on me l’a appris à l’école élémentaire. C’est son initiale. Fable : une histoire, un mythe, un conte de fées. Elle est mon histoire. Je veux vivre, respirer et mourir pour elle et elle n’a pas la moindre idée de la place qu’elle occupe dans mes pensées. Plus rien d’autre n’existe. Je préfère rester assis dans cette salle et lui écrire des poèmes d’amour contenant des messages secrets, plutôt que de prêter attention à ce qui se passe réellement dans ma vie.
Je suis un cas désespéré
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ELLE EST PARTIE. IL Y A UNE MINUTE, ELLE ÉTAIT DANS LA MÊME PIÈCE QUE MOI, RESPIRANT LE MÊME air, puis Ty Webster s’est senti obligé de se conduire comme un connard et d’insulter la fille que j’aime, que je n’ai pas revue depuis si longtemps. Sa seule apparition dans le bar m’a coupé le souffle, j’en ai la gorge nouée.

Alors j’ai fait ce que n’importe quel type aurait fait pour défendre sa petite amie. Je me suis jeté sur Ty. J’étais prêt à lui faire passer un sale quart d’heure, jusqu’à ce que mes coéquipiers se précipitent sur nous pour nous séparer. Fable, aussi. Elle m’a regardé, m’a attrapé et elle a essayé de m’attirer loin de lui. Je l’ai laissée faire. Je l’ai regardée droit dans les yeux et j’ai écouté ses douces supplications. Elle est la seule raison pour laquelle j’ai laissé Ty tranquille.

Je lui aurais cassé la figure pour elle, même si on n’est plus vraiment ensemble.
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Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi on est ici, maintenant. Je suis dans ton lit et on est à moitié nus, bras et jambes entrelacés, le drap qui glisse de nos corps parce que notre peau est brûlante. J’ai l’impression d’être en train de me consumer. Tu n’arrêtes pas de m’embrasser et de me murmurer à l’oreille combien tu as envie de moi – et j’ai envie de toi, moi aussi –, mais cette petite voix entêtante me rappelle qu’il ne nous reste plus qu’un seul jour à passer ensemble avant de retourner à la vie réelle.

Dans laquelle tu m’ignores autant que je t’ignore. Tu auras eu ce que tu voulais : choquer tes parents et tes voisins afin qu’ils cessent de te harceler. Et j’aurai eu ce que je voulais, cet argent que tu m’as promis pour « supporter tes conneries pendant sept jours », comme tu l’as formulé, et qui me permettra de prendre soin de mon petit frère pendant un temps. Nos vies respectives reprendront alors leurs cours.

Dans cette existence-là, tu me détestes autant que je te déteste.
Ce sera un mensonge. J’aurais pu te haïr avant cette histoire, mais à présent…
Je crois que je suis en train de tomber amoureuse de toi.
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- Je suis désolé. Je ne voulais pas te juger. Je n'en ai pas le droit. Tu m'acceptes avec mes défauts, alors c'est le moins que je puisse faire.
Elle se retourne et me lance une regard mauvais.
- Tu acceptes mes défauts parce que j'accepte les tiens ? C'est tout ? Si ce n'est que ça, j'attends plus de toi, Drew. Ce n'est pas le marché équitable. J'ai besoin que tu me fasses confiance, que tu me croies quand je te dis que j'ai envie d'être avec toi, et seulement avec toi. Et mon passé ne peut pas ternir le présent ou l'avenir.
(...)
Je garde le silence et l'écoute attentivement. Elle a raison. Je ne peux pas me laisser troubler par son passé ou permettre qu'il obscurcisse notre avenir. Si je le fais, je nous condamne.
Elle poursuit d'une petit voix :
- Je ne suis pas parfaite. Personne ne l'est. Mais je ne vais pas payer pour mes erreurs chaque fois que tu es en colère ou jaloux.
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« J'ai déjà entendu ce genre d'histoire. Lorsque deux personnes sont en parfaite communion et qu'il est impossible de discerner où débute l'une et où finit l'autre, etc. J'ai toujours cru que c'étaient des clichés romantiques forcenés.

Mais c'est ce que je ressens avec Drew en ce moment. C'est comme si nos corps avaient fusionné, formant un lien si fort qu'il serait impossible de les séparer. Son cœur m'appartient.

Et le mien est à lui. »


Ma critique: http://justemechapper.over-blog.com/2015/07/deux-mois-sans-elle-critique.html
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J'ai beau adorer ma ville, parfois elle me semble totalement artificielle, comme si c'était un simple décor de cinéma, comme si son existence avait pour seul but de rendre les autres heureux, mais pas moi.
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Monica Murphy
C'est ce qui arrive quand on sort d'une nuit extraordinaire avec un homme qui est incapable de garder pour lui ses mains, ses doigts, ses lèvres, sa langue ...
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Je me mens quand je pense que je préférerais être asexuelle ou lesbienne, ou quoi que ce soit du même acabit. J’ai envie qu’un garçon à la démarche sexy et aux yeux verts scintillants m’apprécie. J’ai envie qu’il me murmure à l’oreille des mots doux qui me feront frissonner. J’ai envie de savoir quel effet ça fait d’être aimée. Juste une fois…
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— Fumer tue, tu sais.
J’ai déjà utilisé cette réplique : au cours du dîner au Country Club, le soir où je l’ai embrassée, où j’ai goûté ses lèvres, où j’ai senti son corps sous ma main et entendu les petits sons qu’elle émet quand elle est excitée pour la première fois.
Elle me jette un regard méprisant en me soufflant la fumée dans la figure.
— Alors, va-t’en. Comme ça, tu n’auras pas à respirer mon air vicié.
Je suis cloué sur place. J’ai peur de l’approcher, qu’elle me dise d’aller me faire voir, ce que je mérite.
— Je suis content d’être tombé sur toi. Je voulais te parler.
— Vraiment ?
Elle hausse un sourcil tandis que sa cigarette se balance au bout de ses doigts.
— Qu’est-ce que tu as à me dire de plus ? J’ai compris le message quand tu as cessé de donner signe de vie.
— Tu as raison. Je me suis comporté comme un abruti.
J’inspire profondément.
— Écoute : je sais que ce que j’ai fait n’était pas bien. Je n’aurais pas dû m’enfuir comme ça.
— Tu ne t’es pas simplement enfui. Tu ne m’as pas donné de nouvelles pendant plus de deux mois ! Et ça aurait pu durer encore si tu n’étais pas tombé sur moi ce soir, je me trompe ? Est-ce que tu avais l’intention d’essayer de m’éviter pendant le restant de tes jours ?

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
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J’ai envie de couvrir de baisers chaque centimètre carré de son corps. Je veux m’asseoir, la tenir sur mes genoux et l’embrasser pendant des heures, jusqu’à ce que nos lèvres soient gonflées et nos mâchoires engourdies. Je veux savoir à quoi elle ressemble quand elle jouit. Et j’ai envie d’être celui dont elle criera le nom au moment de l’extase.
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Ma mère a cru que j’étais folle quand elle a appris que je voulais vivre dans une maison bordée par la forêt.
« Elle a peur que quelqu’un te guette dans l’ombre », m’avait dit Brenna. Elle avait fait mine de plaisanter mais je savais qu’elle était sérieuse.
« Ils sont tous planqués dans l’ombre, avais-je répondu. Peu importe où on est et ce qu’on fait. S’ils sont là, dehors, ils auront toujours un moyen de nous trouver. »
Brenna m’avait dit que j’étais morbide. Elle avait raison : je suis morbide. Quand on a déjà affronté sa propre mort une fois, de quoi peut-on encore avoir peur ?
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Confiante dans le fait qu'il dormait profondément, j'ai murmuré contre son torse:
- Je t'aime. J'aimerais que tu t'en rendes compte et que tu l'acceptes.
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l'amour est composé d'une seule âme habitant deux corps
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je n'oublierai jamais les choses que tu m'as dites, non parce qu'elles étaient importantes, mais parce qu'elles me faisaient me sentir importante à tes yeux
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On ne peut pas faire confiance aux hommes. Ils ne désirent qu’une seule chose : ton corps. Et une fois qu’ils le possèdent, ils te jettent comme une vieille chaussette.
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Les garçons n’apportent que des ennuis. Puis ils grandissent et deviennent des hommes et ils te créent encore plus d’ennuis.
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Le fait de penser aux filles me donne l’impression d’avoir un cœur de pierre : solide, épais et impénétrable. Je ne suis sorti avec personne depuis… je ne sais plus quand. Plusieurs semaines ? Elles me manquent : leurs sourires, leurs rires et la manière dont elles retiennent leur souffle lorsque je me penche doucement sur elles pour les embrasser ; tout ça me manque. Leur peau douce et la facilité avec laquelle elles tombent, se débarrassent de leurs vêtements et se donnent.
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