L’autre jour, j’ai fait du tir à l’arc à cheval (date de l’époque Kamakura). C’était bien plus difficile de monter à cheval que de tirer à l’arc ! Contrairement aux objets, ils ont une volonté propre et n’écoutent pas toujours ce qu’on dit. Cependant, à la fin, j’étais pleinement satisfait et je me suis bien amusé.
Une armée est comme la tête d’un serpent. Sa colonne vertébrale doit de se prolonger jusqu’à la queue. Pour avancer, elle a besoin d’un approvisionnement continue en vivres et en hommes.
La trahison ne se résume pas un acte isolé. D’autres petites trahisons suivent inévitablement la première. Et il n’est plus possible de faire marche arrière…
Dans les guerres continentales pré-modernes, lorsque la différence de force est écrasante, il n’y a pas de place pour les négociations. Une destruction complète et des massacres font partie du quotidien de la guerre.
- Grâce à toi, j’ai réalisé quelque chose. Tu sais, j’étais tellement satisfait de mes guerres passées que j’en avais oublié ce que se battre signifiait.
- Ceux qu’on t’a enlevés n’ont pas forcément disparu pour toujours ! S’ils sont présents dans ton cœur, protège-les de toutes tes forces. Et ils seront toujours à tes côtés !
A la guerre comme au shogi, il est important de bien saisir la situation sinon on ne fait qu’avancer bêtement les pièces devant nos yeux. Bien qu’un tant soit peu adroit au combat, un pion reste un pion.
Je suis un commissaire parisien de la PJ, créé par Georges Simenon, à l’allure bourrue, je prends mon temps pour résoudre mes enquêtes, je suis un fumeur de pipe invétéré.