Olivier Berlion

La belle et le gangster

A travers le destin de la jeune et belle Agata, jeune immigrée polonaise rêvant de devenir chanteuse, c’est un pan de l’histoire de l’Amérique que nous conte Olivier Berlion…



Mêlant faits avérés et fiction, son récit romantique et romanesque, finement ciselé et à la mécanique impeccable, est mis en image par son trait sensuel et délicat, sublimé par des couleurs somptueuses. Empruntant au cinéma son vocabulaire, il signe des planches de toute beauté dont les cadrages précis et les découpages soignés nous immergent avec force dans l’Amérique des années 30 et nous entraîne dans le sillage d’Agata, femme lumineuse, forte et fragile à la fois…



A la façon des films noirs, la fin précise le destin des figures du grand banditisme que l’on a croisé dans cette trilogie, alors qu’un épilogue vient la conclure de façon poignante, comme un ultime rayon de soleil offert par Agata…
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Un beau mélodrame mélangeant l'histoire d'Agata, jeune immigrée polonaise naive, devenue une chanteuse dans les boites de nuit, et celle de Lucky Luciano, chef de la pègre newyorkaise, violent mais capable de respecter cette jeune femme et devenir son mécéne. Trop puissant, les flics et ses rivaux cherchent à le faire chuter. La jeune femme, témoin de son implication dans l'enlévement de son cousin, est en danger. Seule sa disparition pourra satisfaire ses sbires. Prise entre plusieurs rêves, Agata devra choisir entre une vie ordinaire mais loin des paillettes des grandes villes et son rêve de chanteuse. Le dessin est solide, classique mais avec des décors très détaillés et précis. Les personnages sont sympathiques, l'intrigue - parfois invraisemblable - est soutenue, pleine de rebondissements digne d'un roman photo ou d'une saga à grand spectacle.

Dans le style c'est réussi!

Mouais. Toujours dans la même veine que les autres. La révélation de la malédiction qui tourne à l'obsession.

Avec un chouette road-trip... ou plutôt fly-trip assez improbable.

Ca reste divertissant.

Et surtout, la petite révélation de la fin commence à me faire me poser des questions sur le premier tome.

Et me laisse espérer un dernier opus un peu différent

Ce troisième tome vient conclure le premier cycle de cette première série réalisée en solo par Olivier Berlion.



Après un premier tome un peu trop confus et au rythme trop lent et un deuxième tome qui parvint à mettre la série sur la bonne voie en donnant plus d’ampleur à l’intrigue et aux différents personnages, cette fin de triptyque vient clôturer ce polar sombre de manière très efficace.



Un troisième tome moins bavard que les précédents et au rythme plus entraînant. Les destins des différents protagonistes finissent par tous se regrouper dans ces quartiers lyonnais. Toutes les pièces du puzzle s’emboîtent parfaitement, l’intrigue devient de plus en plus intéressante au fil des pages et, même la fin légèrement capillotractée et trop optimiste parvient à convaincre.



Graphiquement, cela reste très plaisant. Au milieu de poivrots, dealers, prostituées, racaille et flics de deuxième rang, le lecteur est plongé dans l’ambiance adéquate au développement de ce polar.

Bref, un excellent polar en trois tomes !

Après un premier tome qui plantait surtout le décor et une ambiance réussie, ce deuxième tome va donner un peu d’ampleur à l’intrigue et aux différents personnages.



Alors que le tome précédent présentait trop de protagonistes sans accorder suffisamment d’attention à leur développement psychologique, ce tome-ci va éclaircir les liens qui unissent les différents personnages et leur donner plus d’ampleur. L’intrigue va également devenir de plus en plus intéressante au fil des pages, malgré quelques passages qui demeurent assez prévisibles.



Le dessin reste quant à lui très plaisant et parvient à installer l’ambiance grisâtre adéquate au développement de ce polar qui se déroule dans cette ville bien connue de CoinBD. J’ai également trouvé la narration plus efficace que dans le tome précédent.

Pour son premier album en solo, Olivier Berlion s’attaque à un polar en trois tomes se déroulant dans la ville de Lyon.



Un premier tome qui présente pas mal de personnages et qui repose sur beaucoup de sauts au niveau de l’histoire. Les lieux et les protagonistes s’enchainent un peu trop rapidement, résultant en une mise en place un peu brouillonne et de nombreux protagonistes qui n’ont pas le temps d’être développés avec suffisamment de profondeur. De plus, j’ai trouvé la narration en voix-off peu emballante.



Graphiquement par contre, ce tome est vraiment plaisant et plonge le lecteur dans une ambiance grisâtre dépourvue d’espoir, où poivrots, dealers, racaille et flics de deuxième rang se côtoient. L’intrigue a par contre du mal à décoller malgré cette ambiance assez réussie.

Le duo Eric Corbeyran / Olivier Berlion ("Le Cadet des Soupetard", "Sales mioches", "Lie-de-vin" et "Rosangella") livre ici la conclusion de ce polar provençal en deux tomes.



Dès les premières planches, on retrouve cette atmosphère caniculaire et étouffante. Une garrigue brûlée par un soleil de plomb et livrant une ambiance pesante. Un décor d’apparence estivale, mêlant braises de barbecue et odeurs de merguez, qui dissimule pourtant de lourds secrets. Martial, l’ancien gendarme qui baignait dans des combiens lucratives, poursuit donc son enquête à la recherche du secrèt qu’ont dissimulé Dédé, Frantz et Rémi pendant tant d’années. Si le récit, construit sous forme de puzzle sur sur trois époques différentes, s’annonçait encore intriguant et prometteur lors du premier volet, ce second tome réserve bien moins de surprises. L’auteur continue de dévoiler son intrigue au compte-goutte, imprimant un tempo entièrement en phase avec le rythme de vie de ce petit coin de Provence., mais le dénouement de cette intrigue est un peu trop prévisible pour réserver encore de véritables surprises lors de ce deuxième volet.



Le travail effectué par Corbeyran sur le développement psychologique de ses personnages demeure cependant intéressant. Lentement, le lecteur va découvrir le fin mot de ces amitiés de longue date construites sur des combines malhonnêtes, ainsi que sur ces sentiments de jalousie ancrés dans un passé lointain. Au fil des pages le scénariste lève le voile sur ces relations complexes, permettant au lecteur de découvrir les dernières pièces du puzzle.



Le dessin d’Olivier Berlion ("Histoires d'en ville", "Tony Corso") restitue à merveille l’atmosphère du Sud. La colorisation en couleurs directes et aux tons chauds accentue l’authenticité et l’impression de chaleur oppressante dégagé par ce paysage aride. Le travail remarquable sur les expressions des personnages permet au dessinateur de transmettre de nombreux sentiments à l’aide de non-dits.

Second tome qui clôt ce thrilleur en deux tomes. Un dénouement bien amené même si on peut se perdre dans les différentes époques et les dessins parfois peu clairs... à lire

Un premier tome qui donne envie de lire le second pour connaître le fin mot de l’histoire

Exceptionnellement je ne vais pas donner un avis sur ce seul album mais sur les 5 premiers. En effet en cherchant une nouvelle saga à découvrir à la médiathèque, j’ai découvert la Série L’Art du Crime

L’idée semblait intéressante, 9 tomes tous indépendants les uns des autres car chacun relatant un crime différent à une époque différente. Néanmoins un fil rouge, autour d’une BD non achevée et recherchée par certains qui n’hésitent pas à tuer pour retrouver l’unique exemplaire...

Quelle déception que cette série, au point d’avoir abandonné au 5ème Tome.

Les épisodes sont confus, le fil rouge tout autant et le dessin classique ne suffit pas à relever la lenteur de certains épisodes.

Même si les T2 et T3 se lisent un peu mieux car plus enlevés, même si très convenus, les 4 et 5 ont suffi à me lasser...

Exceptionnellement je ne vais pas donner un avis sur ce seul album mais sur les 5 premiers. En effet en cherchant une nouvelle saga à découvrir à la médiathèque, j’ai découvert la Série L’Art du Crime

L’idée semblait intéressante, 9 tomes tous indépendants les uns des autres car chacun relatant un crime différent à une époque différente. Néanmoins un fil rouge, autour d’une BD non achevée et recherchée par certains qui n’hésitent pas à tuer pour retrouver l’unique exemplaire...

Quelle déception que cette série, au point d’avoir abandonné au 5ème Tome.

Les épisodes sont confus, le fil rouge tout autant et le dessin classique ne suffit pas à relever la lenteur de certains épisodes.

Même si les T2 et T3 se lisent un peu mieux car plus enlevés, même si très convenus, les 4 et 5 ont suffi à me lasser...

Avec ces 72 pages de récit, ce premier tome d’Agata propose une réelle immersion dans la période de la Grande Dépression américaine. L’alternance de ton entre le récit de l’héroïne fragile et du déterminé Lucky Luciano permet de profiter pleinement du ton caractéristique d’Olivier Berlion [...] Un travail payant, vu la réussite de l’album. Un gros coup de cœur, à ne manquer pour les amateurs du genre !
Lien : https://www.actuabd.com/Agat..

Une Bd tout à fait correcte mais qui ne m'a pas transporté.

Je n'ai trouvé aucun intérêt à cette bande dessinée. Le scénario est basé sur les scènes phares du livre, et lui est fidèle. Mais il n'y a aucune originalité dans le traitement, bien que les dessins soient très réussis, on n'y trouve pas d’œil "neuf". D'autre part c'est une BD qui se trouve dans les rayons jeunesse, mais le langage employé ne correspond pas à ce que j'attends d'un album jeunesse. Bref, pour moi qui ai adoré le livre et certaines des adaptations cinématographiques, c'était une vraie déception!
Lien : http://mademoisellemalenia.o..

De la violence à tous les étages, des trafics de partout, un monde assez dur, ...

Le tout avec un personnage neutre qui subit les histoires...y compris dans la relation avec ses proches ....

C'est pas mal fait, ça donne à réfléchir, ça donne envie de continuer ....

Une belle chute, où le héros prouve qu'il est prêt à beaucoup pour l'amitié et pour s'enrichir, mais qu'il ne faut pas dépasser certaines limites.

On apprécie d'autant plus la morale, qu'elle va à l'encontre d'un personnage détestable.

Au delà du fait que j'ai du relire plusieurs fois le début, pour bien comprendre les tenants et les aboutissants, c'est un scénario bien construit sur une historie dont on comprend assez rapidement la chute.

Qu'importe, c'est bien fait, les dessins sont agréables, c'est une BD qui mérite d'être lue.

Une Bd rafraichissante ou la bande de joyeux lurons, va être confronté à un problème épineux : faire confiance ou pas à Mario, le nouvel arrivant.

Pour cela, ils vont devoir traverser l'épreuve du feu, avec Mario.....qui ne parle pas beaucoup.

Une BD sympa, ou se mélangent de jeunes orphelins, chapardeurs, mais attachants !

Nino trouve une médaille, qui va les lancer dans une drôle d'aventure et les amener dans les strates supérieures de la ville.

Mig au passage fréquente une jolie fille...

Et le Yéti va les perturber pendant une longue partie du tome....

Toujours autant de tendresse et de fraicheur dans ce tome...

Un BD originale, basée sur une bande d'orphelins qui vit sur une péniche : l'Atalante.

Dans ce tome, ils vont avoir à résoudre une intrigue , ou des enfants du quartier disparaissent en grand nombre....