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Critiques de Paul Brickhill (14)
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La Grande Évasion

Tout le monde connaît La Grande Évasion de John Sturges devenu un classique du film de guerre: James Garner alias le Chapardeur et surtout Steve McQueen, alias « le roi du frigo » avec son gant de baseball, qui saute une barrière avec une moto de manière assez spectaculaire ….

Le film est inspiré de faits réels qui eurent lieu dans un camp de prisonniers situé près de Sagan en Silésie sous commandement de la Luftwaffe où étaient emprisonnés de nombreux aviateurs américains et britanniques.

Dans la nuit du 24 mars 1944, 76 pilotes parvinrent à sortir du Stalag Luft III via un tunnel patiemment construit. Seuls trois pilotes ne furent pas capturés, un Néerlandais et deux Norvégiens. Sur ordre d'Hitler, cinquante hommes repris furent fusillés.



J'ignorais que l'auteur du présent ouvrage paru en 1950, Paul Brickhill, fut lui-même interné au Stalag Luft III (certains acteurs du film furent d'ailleurs faits prisonniers pendant la guerre, Donald Pleasence, soldat de la R.A.F., abattu au dessus d'Agenville et interné au Stalag Luft I, Hannes Messemer, qui joue le rôle du commandant von Luger capturé sur le front de l'Est et interné dans un camp soviétique…)

Pilote de chasse australien dans la R.A.F. dont l'avion fut abattu au dessus de la Tunisie, Paul Brickhill fut envoyé en Italie puis au camp de Luft III en avril 1943.

Son récit est donc un témoignage de première main car il participa comme plus de 600 hommes à la construction du tunnel surnommé Harry, mais il ne s'évada pas car il était claustrophobe. Bien lui en prit.

Désireux de rendre hommage aux évadés dont la grande majorité fut exécutée, il raconte avec beaucoup d'intensité et d'humour aussi la genèse de ce projet fou et les trésors d'ingéniosité déployés pour le dissimuler. Pour Brickhill, l'aventure se termine en mai 1945 après une marche vers Spemberg, puis un voyage mouvementé dans des wagons à bestiaux pour un camp désaffecté vers Brême:

« Nous nous abritions dans des granges, près de Lubeck, lorsque nous entendîmes la cannonade des Britanniques qui franchissaient l'Elbe. Deux jours plus tard, le 2 mai, nous perçûmes des coups de feu sur la route, deux chars venant du sud apparurent entre les arbres. Nous ne savions pas s'ils étaient allemands ou britanniques, et nos nerfs vibraient comme des cordes de piano. Le panneau du premier s'ouvrit; deux Tommies sortirent la tête. Nous courûmes vers eux en criant de toute la force de nos poumons. »



A la lecture de l'ouvrage, on peut se demander si cette grande évasion -3 hommes , 50 exécutions- mérita tant d'efforts et de sacrifices mais comme le fait dire Renoir à l'un des personnages de la Grande Illusion « A quoi sert un terrain de golf ? A jouer au golf. Un court de tennis ? A jouer au tennis. Eh bien ! Un camp de prisonnier, ça sert à s'évader.. »

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Les briseurs de barrage

Les téléspectateurs qui suivaient régulièrement Les dossiers de l'écran d'Armand Jammot ont peut-être en mémoire une soirée consacrée à l'opération Chastise, accomplie dans la nuit du 16 au 17 mai 1943, par l'escadrille X (plus tard baptisée N°. 617 Squadron) de la Royal Air Force, dans le but de détruire les retenues d'eau de la région de la Ruhr, en Allemagne, ce qui était censé saccager par inondation les grands équipements de cette importante région industrielle à forte concentration urbaine.

Décollant de la base de Scampton, 19 bombardiers quadrimoteurs Avro Lancaster Mk-III de type 464, aménagés pour transporter la bombre Upkeep, conçue par l'ingénieur Barnes Wallis (qui, voyant un père de famille lancer en vrille horizontale des cailloux plats à la surface d'un lac écossais, avait trouvé l'idée de fabrication et les conditions d'emploi d'un engin explosif rebondissant de forme cylindrique lourd de cinq tonnes), dont les équipages (environ 133 hommes) placés sous le commandement du Wing Commander Guy Gibson (qui, à 24 ans, avait déjà 170 missions aériennes à son actif), effectuèrent des vols en rase-motte au-dessus de l'eau accumulée derrière les grands barrages du bassin de la Ruhr.

À une hauteur de 18,29 mètres, les avions devaient, au moment précis où les deux faisceaux lumineux de projecteurs embarqués allaient se rejoindre pour dessiner un huit sur la surface liquide, à distance calculée du point d'impact, larguer leurs bombes qui, après trois ricochets, devaient glisser le long de la paroi bétonnée jusqu'au pied du barrage, avant d'exploser au fond de l'eau - la déflagration provoquant dans l'édifice des fissures amenées à s'élargir jusqu'à libérer la totalité de la masse liquide, noyant tout sur son passage. Les barrages de la Möhne, de l'Eder et d'Ennepe furent ainsi plus ou moins détruits. Seul celui de Sorpe, construit avec d'autres matériaux, parvint à résister à l'attaque, qui fut coûteuse pour la R.A.F. et le Bomber Command,, puisque seulement 8 appareils, sur les 19 engagés, parvinrent à rejoindre une base britanniques. Reste que l'effet psychologique fut atteint cette nuit-là, et que les dégâts matériels frappèrent de stupeur les Allemands.

Il avait fallu à Wallis user de tout son pouvoir de persuasion pour convaincre le célèbre Arthur Harris d'accepter de passer de l'essai théorique, dont la mise en œuvre fut assez laborieuse, à l'envoi de bombardiers dans un raid qui avait autant de chances de réussir que d'échouer.

Le film réalisé par Michael Anderson et projeté dans les salles à partir du 16 mai 1955 (avec Michael Redgrave dans le rôle Barnes Wallis et Richard Todd dans celui du Wing Comander Gibson), fut donc présenté aux Dossiers de l'Écran. Il a fait récemment l'objet d'une réédition en dvd et blue-ray. Mais nous lui ferons un gros reproche : les descriptions des essais et préparatifs de l'opération, pour intéressants qu'ils soient, occupent trop de place dans ce long métrage, rendant le film un peu "lourd" à force d'informations techniques. Et il a un autre défaut : il focalise notre attention sur cette entreprise de la nuit du 16 au 17 mai 1943. Alors que le livre de Paul Brickhill (au titre original de : The Dam Busters) étend son propos à l'emploi de l'escadrille dans les opérations postérieures. Il y eut des heures glorieuses et des heures dramatiques, non seulement en raison des pertes humaines et matérielles à déplorer, mais aussi à cause de la tuerie humaine que les bombardements alliés causèrent dans la population civile allemande. Vous me direz que c'était la guerre, et que la fin justifiait les moyens, y compris celui de briser le moral des populations dans les villes arrosées de bombes, opérations qui se firent de plus en plus meurtrières. Alors, doit-on considérer seulement avec admiration et célébrer comme des héros les hommes envoyés répandre la terreur sur l'Allemagne, le but étant d'anéantir le monstre nazi - objectif essentiel -, ou faut-il aussi regarder avec un œil un peu plus objectif ce que peut causer de terrible une organisation de destruction de l'ampleur de celle que déployèrent les Alliés pour mettre fin à l'horrible Second Conflit mondial déclenché par le barbare régime nazi ?

Je laisse à chacun la liberté de répondre, sachant que le plus important était bien de terrasser le IIIème Reich.



François Sarindar
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La Grande Évasion

Ce livre relate les préparatifs de l'évasion massive de prisonniers, majoritairement des pilotes de la R.A.F. (Royal Air Force), du camp Stalag Luft III à Sagan le 24 mars 1944, celle-là même dont s'est inspiré l'inoubliable film de John Sturges avec Steve McQueen, Charles Bronson et bien d'autres.



Paul Brickhill a fait partie des 600 prisonniers du camp impliqués dans la réalisation de cette spectaculaire évasion. Hitler ayant eu l'heureuse idée de regrouper dans ce camp, il est vrai spécialement conçu pour empêcher les évasions et repérer rapidement les tunnels, tous les multirécidivistes de l'évasion, il y avait de quoi stimuler grandement les initiatives !



D'ailleurs, en parallèle de l'organisation de la grande évasion, les « petites » évasions individuelles continuaient sans relâche. Comme par exemple cette évasion réussie, effectuée avec un cheval d'arçon creux, et qui a d'ailleurs aussi fait l'objet d'un livre, le cheval de bois d'Éric Williams. Il y en aura eu des galeries creusées et des évasions dans ce camp où l'on était censé ne pas pouvoir s'évader ! Mais la plupart du temps les évadés étaient rapidement capturés et renvoyés au camp. L'important était d'obliger l'ennemi à mobiliser le plus de soldats à leur surveillance et leur recherche.



« C'est le devoir de tout officier en temps de guerre, s'il a le malheur d'être fait prisonnier, de faire tout son possible pour s'évader. S'il ne peut s'enfuir, son devoir est d'obliger l'ennemi à employer le plus grand nombre de soldats pour le garder ; son devoir est de le harceler pour qu'il réalise qu'il détient un « gibier » qui n'a rien de passif. »



En ce sens, la grande évasion aura été un succès. Trop grand vraisemblablement. Des milliers de soldats allemands seront en effet mobilisés pour rattraper les fugitifs, ce qui va provoquer la fureur du führer. Mais le tribut à payer sera bien lourd. J'avais souvenance dans le film de la mort de certains d'entre eux durant leur fuite. La réalité est bien plus tragique. Cela en valait-il la peine ? Sans doute se pensaient-ils protégés par la convention de Genève, que les soldats de la Luftwaffe affectés à la surveillance de ce camp respectaient, jusqu'à ce que sur ordre d'Hitler, la gestapo prenne le relai…



La fin du livre récapitule l'enquête menée par le lieutenant-colonel Bowes pendant plusieurs années sur la confirmation du sort des soldats fusillés et la recherche des responsables.



Le style n'est peut être pas éblouissant. L'écriture, quoique non dénuée d'humour est d'après moi un peu trop factuelle, ce qui génère une distance émotionnelle. Mais alors, quelle épopée ! Que d'aléas et de rebondissements ! Et quelle persévérance ! Comment ne pas être captivé par l'obstination de ces hommes ? L'inventivité et l'ingéniosité dont ils font preuve est tout bonnement extraordinaire.



C'est un bel hommage à ces intrépides soldats, qui ont lutté jusqu'au bout pour reconquérir leur liberté et mettre des bâtons dans les roues de l'ennemi. Il ne me reste plus qu'à revoir le film, que je n'ai pas eu l'occasion de regarder depuis bien des années…

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La Grande Évasion

le récit de cette histoire vraie, par un de ceux qui la

vécurent, est aussi passionnant que le film qui en a été tiré.Roger bushell

après trois tentative d, évasion et emprisonné au stalag luft 3 au centre de l,

Allemagne. mais malgré ses

échecs, une seule pensée l,

habite: s, évader, retourner au combat.

au stalg il va faire la connaissance avec d, autres aviateurs qui rêvent aussi de se faire la belle.

tirant profi des ses précédents échecs, il va créer un groupe chargé de faire des faux papier car c'est ça qui lui a fait défaut.

d.autres font faire des vêtements civils.et les autres font creusé des tunnels.

pendant un an , au prix d,

infinies difficultés déployant des trésors de ruse , et d,

ingéniosité, ils font aménagé un tunnel. et par une nuit de neige, au début de 1944. soixante seize d,

entre eux s, évadérent.

trois réussirent à gagner l,

Angleterre.

les autres furent repris et la plus part fussiez.

de bout en bout on est saisi

par la cascade d, épisodes

cocasses ou tragiques des aviateurs.

une histoire prenante avec une sympathique bande de génies.👍
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La Grande Évasion

Ayant déjà vu le film, je n'ai pas été déçu par ce roman écrit par Paul Brickhill. Il s'agit d'un témoignage rare, de ce qu'ont vécu les officiers britanniques et américains dans le Stalag Luft III près de Sagan pendant la deuxième guerre mondiale.

Je suis toujours frappé par les conditions dans lesquelles étaient traités ces prisonniers. Ces conditions n'étaient pas celles des camps de concentration "classiques", bien que le sort définitif de ces héros n'est au demeurant pas plus enviable.



C'est donc dans un contexte, où ces aviateurs abattus jouissaient d'un traitement de "faveur", qu'ils décidèrent d'entreprendre un projet incroyable. A savoir creuser 3 tunnels, le tout étant dirigé par une organisation qui joua un rôle décisif.

Au total ce sont des centaines de prisonniers qui d'une manière ou d'une autre ont joué un rôle -capital- dans cette évasion de grande ampleur. En effet sur les 800 prisonniers du camps, l'organisation avait prévu d'en faire évader 200 !

Tout avait été prévu; du confectionnent de costumes civils, aux faux papiers, en passant par l'étude des cartes de la région.



Le tunnel en lui-même est tout aussi incroyable de part son ingéniosité...Pensez que ces aviateurs avaient réussi à y installer une ventilation, et même l'électricité.





Pourtant on peut se demander si ce dur labeur qui aura duré 1 an, en valait réellement la peine, (quand on sait le faible nombre de ceux qui ont regagné l'Angleterre)...

Néanmoins ce livre est un vrai roman d'aventure, où le lecteur est tout simplement captivé par les rebondissements et l'avancée de ce projet d'évasion. Il témoigne du devoir courageux et dangereux que s'était fixé ces officiers britanniques, à savoir regagner l'Angleterre pour être à nouveau utile à l'effort de guerre. Il s'agit d'un roman incroyable, à la hauteur de ce qu'ont réalisé ces hommes !
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La Grande Évasion

Le 24 mars 1944, soixante-seize officiers aviateurs prisonniers du stalag "Luft III", situé au milieu de l'Allemagne, s'évadaient par un tunnel qu'ils avaient mis un an à construire.

Trois seulement parvinrent en Angleterre, mais l'émotion suscitée en Allemagne fut telle que Hitler donna l'ordre de fusiller tous les officiers repris. Le Major Brickhill, qui était dans ce camp, nous raconte dans un livre haletant, cette formidable organisation et ce travail collectif acharné.

Plus de six cent hommes travaillèrent à cet exploit sans pareil.

Ce livre exceptionnel a donné naissance à un film réalisé par John Sturges et avec à la tête d'un casting prestigieux le toujours très élégant Steve Mc Queen.
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La Grande Évasion

Encore un grand film tiré d’un grand récit tiré lui-même d’un haut fait d’armes de la Seconde Guerre Mondiale. Personne n’a oublié le tunnel (les trois tunnels) creusés par les prisonniers, l’évasion spectaculaire, la poursuite impitoyable à travers toute l’Allemagne, et Steve MacQueen lançant sa moto par-dessus les barbelés… Le film date de 1963, le récit de Paul Brickhill, bien antérieur, a été édité en 1950.

Paul Brickhill (1916-1991) était un pilote de chasse australien. Abattu au-dessus de l’Allemagne, il s’est retrouvé prisonnier avec des centaines d’autres pilotes de toutes nationalités, dans un camp de prisonnier (Stalag Luft III) près de Sagan (Pologne occupée, non loin de l‘actuelle frontière avec l’Allemagne). En 1943 une opération gigantesque est conçue, mise en place et exécutée par les prisonniers : une évasion massive de 200 hommes désignés, destinée à désorganiser les troupes allemandes dans tout le secteur. Le 24 mars 1944, 76 prisonniers parviennent à s’évader par un tunnel creusé sous le camp. Trois seulement parviendront à regagner les lignes alliées. Cinquante furent exécutés par la Gestapo, et le reste renvoyé au camp. On estime que plus de 600 personnes ont participé à des titres divers, à la préparation de l’évasion.

Paul Brickhill est à la fois le témoin et le chroniqueur de l’opération. Son récit permet de mieux comprendre tous les rouages internes de l’organisation : les hommes, à la tête desquels Roger Bushell (le grand X), les différents services (faux papiers, vêtements, apprentissage de la langue, diversions), le déroulement des opérations, notamment l’abandon des deux premiers tunnels, l’évasion, la traque qui s’en est suivie, et ce qui n’est pas montré dans le film, la recherche des responsables SS. La lecture de ce récit met également en lumière le traitement hollywoodien de l’histoire : pas un des pilotes n’était américain !

Paul Brickhill écrit un récit haletant, prenant, d’une rigoureuse authenticité. On sent qu’il écrit pour rendre hommage à ses camarades, c’est ce qui donne à son œuvre une force particulière, en même temps c’est un document exceptionnel du point de vue historique, tant sur la vie des prisonniers à l’intérieur du camp, que sur l’organisation terrible de la Gestapo chargée de la traque.

Son expérience de pilote inspira à Paul Brickhill deux autres récits de guerre : l’un « Vainqueur du ciel » raconte l’histoire de Douglas Bader un as de la RAF amputé des deux jambes (un accident avant la guerre), l’autre « Les Briseurs de barrages » sur une opération aérienne menée en 1943 contre des barrages sur le territoire allemand. Ces deux récits ont été adaptés avec succès au cinéma.

Des livres comme celui-ci sont parfois nécessaire pour nous rappeler l’héroïsme, le courage, l’abnégation de certains, la camaraderie et l’union dans l’adversité, l’ingéniosité des « techniciens », et à l’inverse, les pénibles conditions de détention, l’horreur du système répressif SS, et d’une façon plus générale, la folie de la guerre.

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The WWII classic film Reach For The Sky imm..

Ten pages about the one who became the most famous pilote of the RAF ! His particularity ? He didn't have leg ! There is a biographie : the classic 1954 book Reach For The Sky and even more a movie! But it's not often you heard his name... it was one of the most brave man, a great leader, and one of the best pilot of the RAF.... in part because he didn't have leg after an accident.... and his tenacity to want to be a pilot, have paid... when so many didn't beleive it could be possible after his arcraft accident in traning !



Dix page sur celui qui devint le des plus célèbres pilotes de la RAF ! Sa particularité ? Il n'avait pas de jambe ! Il existe une biographie : le livre classique de 1954 Reach for the sky et même un film ! Mais pourtant, ce n'est pas souvent qu'on entend son nom ! C'était un homme courageux, un grand meneur d'homme et l'un des meilleurs pilotes de la RAF... en partie parce qu'il n'avait pas de jambe ! et sa ténacité à vouloir devenir un pilote a payé... quand tant ne croyaient pas cela possible après son accident d'avion à l'entrainement !



Never forget Douglas Bader ! N'oublions pas Douglas Bader !
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Les briseurs de barrage

Ce livre est tout simplement passionnant. Il se divise en deux parties. La première partie nous relate la lutte de Barnes Wallis qui a trouvé une solution dans la construction d'une bombe efficace pour la destruction des barrages. on suit pas à pas sa lutte contre les méandres de l'administration, qui continue d'exister même en temps de guerre, pour faire accepter son idée.

Après bien des échecs, son idée est admise et mise en oeuvre. Commence alors la deuxième partie du livre. On assiste aux missions de la 617ème escadrille, créée pour l'occasion, qui sur des bombardiers Avro Lancater, va mener plusieurs missions compliquées pour ne pas dire suicides.

Destructions de barrages, de rampes de V1 et V2, d'usines, de viaducs ainsi que du cuirasser Tirpitz et Lutzow, cette escadrille va devenir, grâce à cette techniques spécifiques et ses bombes spéciales, l'unité d'élite de bombardement de la RAF.

j'ai pris beaucoup de plaisir à lire l'histoire de ces hommes qui risquaient leur vie à chaque décollage.
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La Grande Évasion

Un livre qui a fonnevlieu a une adaptation cinématographique celebre sd relit avec des images dans la tete,c'est un peu une revisite du film que l'on fait en lisant ce livre.Ici le rythme est bon,l'action presente de bout en bout et la lecture en est agreable.
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La Grande Évasion

Bonjour à tous...... mes 5 étoiles vont en priorité à l'histoire de ce livre (VRAIE) de bout en bout en bout, une version existe en bibliothèque verte et une autre non édulcorée pour "Adulte", j'ai donc lu la verte je devais avoir 16 ans peut être, il n'est pas facile de dire les choses ressenties, à l'âge que j'avais il n'est pas possible d'avoir en tête tout l'univers de cette période dramatique qu'est la "Seconde Guerre Modiale", mais sinon l'imagination est au firmament , nous sommes dans le camp, avec nos prisonniers, dans les tunnels, nous creusons, nous défions nos geôliers, nous créons des costumes des Ausweis..... nous évacuons la terre.....bref nous nous évadons MAIS pas de n'importe quelle façon, nous allons nous allons créer la plus Grande Evasion de tous les temps, du jamais vu sous l'ère Hitlérienne.....................C'est un chef d'oeuvre que cette narration, rien que d'écrire cette critique monte en moi des souvenirs de lecture, aussi du film "Fantastique" avec tellement de grands acteurs...............Lisez ce magnifique livre et faîtes le lire à vos enfants (biblio verte) c'est une merveille d'aventure et d'histoire VRAIE...... regardez aussi le film.....Amicalement Lionel
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Bader vainqueur du ciel

Récit vif et passionnant de Paul Brickhill sur ce héros de la RAF.

Le tableau de caractère qui est brossé permet de mieux saisir la force du personnage (Douglas Bader). Son enfance, son engagement dans la RAF, son goût pour l'action et pour le rugby et l'accident fatal du 14 décembre 1931.

La deuxième partie de l'ouvrage consacrée aux conséquences de cet accident (opérations, rééducation, retour à la vie civile) est passionnante. C'est dans cette partie qu'on aurait aimé un peu plus de sources pour s'assurer de la justesse des propos. Ceci dit, on veut y croire !

La dernière partie évoque son retour dans la RAF (service actif) à partir de l'entrée en guerre et les rudes combats de la bataille d'Angleterre. Le récit s'arrête rapidement au défile aérien de la Victoire. C'est dommage car on aurait aimé savoir comment un homme de la classe de Douglas Bader a pu trouver une place à la hauteur de son caractère dans une Angleterre sortie de la guerre.
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La Grande Évasion

Grande fan de Steve Mac Queen quand j'ai vu passer une critique de ce livre, je l'ai cherché et acheté.



Il faudra que je le relise sans vouloir retrouver le film cela m'a un peu perdue dans le cour de l'histoire et surtout fait un rien passer à côté je crois.



Un autre petit problème, c'est qu'il y a trop de noms dedans et que je finis par ne plus savoir qui est qui, mais j'ai apprécié voir les difficultés que les hommes sont capables de surmonter quand ils veulent la liberté à tout prix.



Très belles photos également à l'intérieur
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Les briseurs de barrage

Une page passionnante de la guerre, avec la course effrénée pour trouver une solution radicale pour arriver à la victoire... Passionnant de bout en bout!
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