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3.58/5 (sur 20 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Chatham, New Jersey , le 17/01/1935
Mort(e) à : Elsah, Illinois , le 02/06/2009
Biographie :

Paul O. Williams est un auteur de science-fiction et poète (haïku).

Son premier livre, "Jestak" (The Breaking of Northwall, 1981), est aussi le premier tome d'un vaste cycle (Le Cycle Pelbar, 1981-1985). Il a obtenu le prix John Wood Campbell du meilleur nouvel écrivain, en 1983.

Il a été professeur émérite de littérature au Principia College, à Elsah, Illinois.

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Citations et extraits (7) Ajouter une citation
Les hommes étaient plus doués pour construire des bâtiments, des armes ou des pièges, que pour vivre ensemble.
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- Certains Shumaïs de l'Ouest se déplacent sur le dos d'animaux. Ils doivent cette idée et leurs montures aux Emeris. Ce mode de transport gagne progressivement l'Est, mais les chevaux sont rares.
- Les chevaux ? Décrivez-nous ces animaux.
- Ils sont aussi gros que des vaches, avec une tête et un cou allongés. Avec un peu de pratique, on peut les faire obéir et les chevaucher à grande vitesse. Je n'en ai vu qu'à deux occasions.
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- La pénurie réveille les pires de nos instincts, nous faisant oublier la bonté, et le bien.
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- Ils devaient savoir tant de choses qu'ils ont découvert un moyen de tout détruire.
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- La Jestana, notre Protectrice, dit que les hommes restent des enfants jusqu'à la fin de leurs jours, mais que les femmes sont adultes après très peu d'années.
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- Je l'ai appelé Garet.
- Garet ?
- Le nom du grand-père de Stel. Regarde. Il a son menton.
Hagen regarda, mais ce nouveau-né lui sembla aussi laid que tous les autres, avec son épiderme trop rouge et fripé, ses mèches de cheveux collés, ses paupières closes et ses lèvres agitées de tics nerveux.
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Au sommet de la tour Rive, dans la cité de Pelbarigan, un jeune garde se pencha sur les remparts et baîlla. Il porta le regard sur les champs enneigés de l'autre rive de l'Heart et les Pelbars qui taillaient la glace du fleuve. Ils découvraient de larges carrés d'eau sombre, puis poussaient vers la berge les blocs qui étaient ensuite transportés jusqu'aux grottes situées sous la cité, en prévision de la chaleur de l'été.
- Regarde, Ahroe, dit-il. C'est la quatrième fois que ton mari tombe d'épuisement. Les Dahmens sont trop dures avec lui. Il ne cédera pas. Je le connais. C'est un homme bon, mais incroyablement têtu.
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