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Critiques de Revue Schnock (20)
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Schnock, n°35 : Les bronzés

"Y a du soleil et des nanas

Tous les soirs on fera la java

Darla dirladada"...





Y avait la pièce du Splendid et J.Claude (Gérard Jugnot) qui cherchait à pécho.





Y avait Popeye (Thierry Lhermitte) qui comptabilisait ses conquêtes, et les pesait, comme de la viande.





Y avait Jérôme (Christian Clavier) qui déclamait des vers, avec un slip indécent.

-"Tu te mets toujours les fesses à l'air, pour citer Saint John Perse?" Demande Nathalie (Josiane Balasko)





'Il a fait bip-bip, nous on a fait meuh".

La revue parle de la naissance du film (un village Club Med en Côte d'Ivoire), des algues qu'il a fallu importer pour couvrir la nudité de J.Claude, des épouses des acteurs lors de la séquence de peinture de seins nus...





On va pouvoir, après ces 2 années de confinement, retrouver la joie de vivre, de danser, et de... draguer ?

"Oublie que t'as aucune chance, vas-y fonce. On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher"

Darla dirladada...
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Schnock, n°45

Spécial de Funès.

Un dossier de près d'une centaine de pages qui illustre les différentes époques de la carrière de l'acteur préféré des Français.

Période grisâtre dit l'auteur, avant 1963 et époque époustouflante de ses grands succès d'après 1963.

Extraits de l'émission de 1963, "Le disque des vedettes" où des célébrités répondent aux questions des auditeurs qui ne sont pas encore des téléspectateurs.

Interview de Louis par Macha Béranger où l'acteur avoue son amour pour les oiseaux dont il imite le chant en sifflant.

Un petit Funès illustré de Allemagne (de Funès y est connu sous le nom de Balduin) ; à Zizanie le film en passant par la Mayonnaise à la menthe des Grandes Vacances.

Portraits par Gérard Oury et Danielle Thompson, par Serge Korber "Il n'était pas contre un petit coup de blanc de temps en temps."

Claude Zidi : "C'était un personnage de dessin animé."

Muchel Audiard : "C'est Bruce Lee. C'est Astaire. C'est Michael. Il moonwalke."

Portraits par ses camarades acteurs.

Et pour finir une filmographie commentée impressionnante.



Autres curiosités de ce SCHNOCK

Chapeau Melon et Bottes de cuir

SAS

Marthe Keller

Un numéro à ne pas manquer

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Schnock, n°45

Un très gros dossier sur Louis De Funès, ses films, ses meilleurs répliques et ceux qui l'ont approché de près

Un hommage à la hauteur du personnage qui nous a tant fait rire, tant amusé sauf quelques grincheux qui le trouvait trop "populaire".

Un second dossier sur la série Chapeau melon et bottes de cuir, du début de sa diffusion aux reprises .

Encore d'autres articles en direct des années 70/80 nous replongeant dans le cinéma et la télévision de cette période.

Nostalgie quand tu nous tiens...
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Schnock, n°33 : Lino Ventura

Lino Ventura est à la une de ce dernier numéro de Schnock et selon le principe de la revue une grande partie de ses pages lui est consacré. Je venais de voir un documentaire sur l’acteur qui déjà faisait ressortir son côté totalement psycho-rigide et on ne peut pas dire que son image se soit améliorée ici.

Autant, j’ai pu adorer l’acteur, autant au fil des ans l’homme m’est devenu totalement antipathique. On a du mal à imaginer combien de projets il a fait capoter, combien de réalisateur, il a brimés ou terrorisés.

Son top 10 selon Schnock est totalement raté mettant en avant des films conventionnels est assez mauvais comme « La grande menace » pour oublier un de ses meilleurs films : « Le rapace » de José Giovanni.

Suit un très intéressant interview du trop discret Yves Simon, de la pétulante Anne Vernon, du couple radio Fabrice et Sophie Garel et du formidable Popeck.

Mais là où je me suis régalé, c’est avec l’interview de Marcel Bluwal et Daniel Lebrun, mari et femme, réalisateur et actrice du second Vidocq avec Claude Brasseur. J’ai eu le plaisir de les rencontrer tous les trois et de passer une journée en compagnie du génial Bluwal. On ne dira jamais assez la qualité du travail de ces grands réalisateurs de télévision des années 60-90, qualité et intelligence d’adaptation qui ont fait de ce média à l’époque un véritable art avant qu’il ne tombe dans l’actuelle médiocrité.
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Schnock, n°26

J’ai eu le plaisir de rencontrer le charmant Pierre Tchernia lors de sélections consacrées à son émission Monsieur Cinéma. Aussi c’est avec grand plaisir que j’ai pu lire ce Schnock n° 26 qui lui est en grande partie consacré. ce numéro retrace le parcours du journaliste, présentateur et réalisateur par les interviews de ses amis ou de personnes qui l’ont côtoyé.

Jean-loup Dabadie, parolier et scénariste suit et il ne mâche pas ses mots en nous décrivant un milieu artistique sans beaucoup de reconnaissance pour ceux qui on fait sa gloire.

Connaissez-vous la Galcante ? Cette librairie de vieux journaux à Paris et Roger Riffard, cet homme orchestre, poète doux et lunaire ? Et les éditions du Sun qui tentèrent de faire voyager leurs lecteurs par la plume des grands écrivains de leur temps ?


Ce très bon numéro se finit par une rencontre avec la plus cool et la plus junky de nos artistes Valérie Lagrange.

Un régal toujours.
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Schnock, n°21 : Michel Audiard

J'ai déjà lu quelques bons ouvrages consacrés à Michel Audiard, mais comment résister à ce Schnok qui lui est presque entièrement consacré ?




On pense donc tout savoir sur le bonhomme et pourtant…

L'interview de son fils, Jacques, l'étude des apports dans ses dialogues du travail préliminaire d'Albert Simonin sont très instructifs. Ainsi, on découvre que l'on doit beaucoup à l'auteur de "Touchez pas au Grisbi" et qu'Audiard, bien souvent, était payé pour mettre une couche de vernis sur une base dialoguée écrite par d'autres.

On prend aussi plaisir à retrouver le réalisateur Jean-Charles Tacchella dont tout le monde se souvient de l'émouvant « Cousin, cousine »

Le temps de replonger dans les nuits folles de Castel, de lire l'excellente interview de Al Capp sur Li'l Abner par Alain Resnais et on referme ce numéro à conserver pieusement !
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Schnock, n°32 : Uderzo & Goscinny

Encore un excellent numéro pour cette revue qui gagne vraiment à être connue.

Tous ceux qui ont adoré la saga d'Astérix et Obélix auront plaisir à retrouver les interviews de René Goscinny et Albert Uderzo. On découvre surtout l'activité incroyable de Goscinny, scénariste et patron du journal Pilote, ses joies et ses déboires. Philippe Druillet et Jean-Pierre Dionnet se remémorent pour nous l'homme étonnant qu'il était.

Brigitte Auber actrice pour Becker ou Hitchcock égraine ensuite quelques souvenirs croustillants et l'on découvre les côtés cachés de l'humoriste à la moulinette, Jacques Ramade comme du chanteur sans et avec moustache, Pierre Vassiliu. Sans oublier un retour sur le subbuteo, le top 15 des gâteaux et cerise sur le gâteux justement, on finit par l'interview Mallet-Leautaud !

Un régal pour ceusses de ma génération, pas tous assez schnocks malheureusement.
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Schnock, n°38 : Henri Salvador

Ce numéro est une réussite...comme chacune des parutions de ce titre.



Un sommaire intéressant :



On voyage dans le monde du capillaire : peignes, brosses, perruques, teintures, bigoudis et autres accessoires. Toute l'histoire du soin capillaire aux XIXème et XXème siècles.



"Faut rigoler !" un savoureux dossier sur Henri Salvador, ses débuts dans le jazz, ses chansons inoubliables comme "Syracuse" et celles pour enfants comme "Mini petite souris", sa rencontre avec Eddy Barclay. Toute une époque.



Un touchant interview de la très belle Dany Carrel, comédienne des années cinquante et soixante. Nostalgie, quand tu nous tiens !



Un bel article sur Richard Gotainer d'où ressort tout l'humour de cet artiste.



Titaÿna, audacieuse reporter des Années folles, qui participa à des expéditions dans tous les coins de la planète. De son vrai nom, Elizabeth Sauvy, elle naît en 1897. Elle n'avait pas froid aux yeux et fut reçu dans tous les salons parisiens.

A l'entrée des Allemands à Paris, elle choisit, hélas, la voie de la collaboration...Elle sévit sur les ondes de Radio Paris ("Radio Paris ment, Radio Paris est allemand" selon la formule de Pierre Dac) où elle tînt des propos ignominieux, notamment en soutenant la persécution des Juifs...pendant que son frère, Alfred, en cache.

Elle finira, oubliée de tous, et notamment de sa famille.



Un interview du comédien d'origine russe, Féodor Atkine, Il travailla beaucoup en France et en Europe dans des seconds rôles, et ce sous la direction de grands metteurs en scène.



Un passionnant et émouvant article sur Albert Camus, un des dirigeants du journal Combat à la Libération. Un grand humaniste.
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Schnock, n°36 : Les années Canal

Ce numéro nous raconte la création de Canal Plus.



Les belles années de cette chaîne nous sont racontées dans le détail : liberté, humour sans limite, création...les plus jeunes n'ont, hélas, pas connu cette époque de liberté totale et d'inventivité de cette chaîne.

Nous pouvons parler de cet air frais au passé...



Un autre grand moment dans ce numéro avec un article sur la regrettée Annie Girardot qui retrace sa carrière.

Il est illustré par de touchantes photos. Nostalgie...



Une évocation de Max Meynier et de sa légendaire émission "Les Routiers sont sympas" qui connut un succès énorme.



Pour les amateurs de musique : un passionnant article sur le studio d'enregistrement du château d'Hérouville dans le Val d'Oise.

Elton John, Jacques Higelin, David Bowie, Pink Floyd y ont enregistré des albums.



Encore un intéressant numéro !
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Schnock, n°37 : Alain Delon

Nous trouvons dans ce numéro un dossier sur Alain Delon, acteur mythique (avec un ego surdimensionné, certes...) avec sa carrière, sa filmographie détaillée et des témoignages. Intéressantissime.



Un bel article sur la pétillante Micheline Presle avec sa belle et longue carrière.



Pour les amateurs de bandes dessinées, un article sur Greg, le créateur d'Achille Talon.



Et puis Long Chris, le grand ami de Johnny Hallyday, et Claude Villers et son inoubliable émission "Le Tribunal des Flagrants Délires". font l'objet, chacun, d'un bel article.



Encore une fois, cette revue s'avère excellente.
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Schnock, n°1

Tout nouveau concept, toute nouvelle publication doit trouver le temps de se roder. Et ici avec "Schnock", l’idée de structuration du magasine est des plus sympathiques : repartir à la recherche de ce qui a marqué la véritable culture d’une époque et qui perdure avec nostalgie et bonheur dans les mémoires de ceux qui l’ont vécue ou, au contraire, retrouver des perles oubliées.




Jean-Pierre Marielle (en couverture de ce n°1) qui nous a quittés en avril 2019 fut un acteur emblématique, unanimement aimé et paradoxalement « Schnock » n’a pas su lui rendre hommage, nous faire mieux connaître l’homme.

Trop d’insistance sur ses rôles de franchouillard grande gueule, l’excellent Joël Séria aidant, et pas assez sur son autre carrière dramatique. Le Marielle de « la Caméra explore le temps » du brillantissime Stelio Lorenzi, celui de « Bouvard et Pécuchet », aux côtés de l’inspiré Jean Carmet pour Jean Daniel Verhaeghe qui sut redonner à cet immense acteur un de ses meilleurs rôles dans « La controverse de Valladolid » et le transforma en pape dans « Galilée ». Rien sur sa vie privée mouvementée, ses soutiens, ses convictions. Une interview creuse pour cause de maladie.



Des ratés aussi que ces autres interviews maladroites d’Adolfo Kaminsky, le génial faussaire des résistants ou "People crash" de l'inintéressant et vulgaire Collaro.



Mais fort heureusement, les articles sur Cizia Zykë, Schmoll et surtout Marcel Mathiot, le très original auteur des « Carnet d’un vieil amoureux » (que je vous recommande) sauvent cette ensemble disparate.



Ces "maladresses" seront oubliées et pardonnées lorsque très vite cette très originale revue prendra son essor.
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Schnock, n°33 : Lino Ventura

Un retour sur la vie de Lino Ventura, abordée sous des angles originaux : interview de son fils, les films qu’il a refusés.... Un interview un peu moins à -propos avec Charles Villeneuve.



Une belle interview d’Yves Simon pour retracer sa carrière d’ecrivain - chanteur - auteur - voyageur.



Une autre de Popeck pour redécouvrir celui qui est sorti en tête du cours Simon et a longtemps francisé son nom.



Un retour sur la saga Vidocq que je n’ai personnellement pas vu mais qui m’a donné envie de découvrir la série.



Une belle interview croisée de Fabrice et de Sophie Garel ramenant à une autre époque de la radio et une forme d’éloge de la fainéantise.



Et d’autres papiers passionnants et bien sentis!



Un très bon numéro après celui décevant sur Gosciny et Uderzo.
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Schnock, n°1

Les nouveaux horizons !





C’est une revue, mais elle se présente sous forme d’un livre, broché, du format des romans actuels, de 176 pages imprimées petit (un peu trop d’ailleurs en fait pour des yeux déjà un peu ‘usés’, d’autant que sur certains fonds en couleur les caractères sont encore plus difficiles à déchiffrer).





Son contenu : quelques citations récentes ; des nouvelles pas trop fraîches ; des conseils pour arriver à s’habiller en Schnock ; le guide du routard de mon appartement ; une interview de Jean-Pierre Marielle, promu Schnock en chef ; un petit dossier sur le mythique film de Joël Séria ‘Les galettes de Pont-Aven’ et sur Séria lui-même ; des témoignages d’André Ferréol, Jean-Paul Belmondo et Guy Bedos (rien que des vieux Schnocks bien sûr) ; la pin-up du mois : Héléna (Noguerra) ; les années ‘Actuel’ de Bernard Kouchner ; un document sur Adolfo Kaminsky, le spécialiste en faux-papiers de la Résistance (ça ne nous rajeunit pas vraiment !) ; des révélations inédites sur Tonton Mayonnaise, Stéphane Collaro, et son ‘Bébête Show’ ; le retour du chanteur Claude Puterflam ; une étude sur la fabrication des gadgets du légendaire ‘Pif Gadget’ ; le come-back du ‘Chanteur sans nom’ ; une évocation de la revue dessinée féministe ‘Ah, Nana !’ (pour le prochain numéro, je suggère un dossier sur ‘l’aiguillon de vénus’) ; un dossier sur le mercenaire Cizia Zykë (il en faut aussi pour ceux qui ont des grelots !) ; une interview ratée d’Eddy Mitchell (bientôt 70 ans et qui rejoint donc les rangs des vrais vieux Schnocks) ; un document sur la vie de Marcel Mathiot, un vieil homme qui a aimé les femmes jusqu’au bout ; quelques critiques de livres, films et disques ; le hit-parade des meilleurs biscuits d’antan ; et le mot de la fin !





Bref, c’est du dense, du drôlatique, du poétique et du décalé, qui vous rajeunit les neurones et fait remonter le taux de testostérone, remet ‘les choses’ (eh oui, celles-là aussi !) en place et même en mouvement. Pour rester frais, adhérez donc vite (tant qu’il en est encore temps !) au mouvement international Schnock dont cette revue est le fanion et l’emblème et hissez les voiles vers les nouveaux horizons de la vieillesse définitivement non décrépite!





Le numéro 2 est sorti en Janvier 2012 !





A noter : dans le même esprit, ne manquez pas les films ‘Faut que ça danse !’ avec Jean-Pierre Marielle et ‘Les petits ruisseaux’ avec Daniel Prévost

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Schnock n°48

Choix surprenant que mettre Karl Lagerfeld a l’honneur dans schnock mais ô combien pertinent à la lecture de l’ouvrage. On découvre le créateur sous des atours aussi bien personnels que professionnels. Je le méconnaissais et j’étais perclus d’a priori qui n’ont pas résisté à cette lecture. Une fois n’est pas coutume : j’ai aimé tous les articles de ce numéro schnockissime !
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Schnock, n°16

Pour tous ceux qui se trouvent à l’étroit dans ces années de science-fiction que sont les années 2010, la revue « Schnock » est pour eux. Non pas que le monde était meilleur dans les années 80 (souvenez-vous de la guerre froide et de la menace nucléaire). Donc pas de nostalgie, mais il y avait Desproges, Bedos, Gainsbourg, des artistes porteurs d’un certain type de valeurs : l’humour, la dérision et l’ironie. La belle époque d’Hara Kiri où l’humour rimait (pas toujours bien d’ailleurs) avec la simple provocation et non pas avec le blasphème. Les temps bénis où la liberté d’expression n’était pas soumise aux dictats de groupuscules religieux. Alain, vieux schnock du doc.
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Schnock, n°41 : Claudia Cardinale

ce schnock est un cru décevant. Les sujets sont moins pertinents qu’habituellement et le sujet Claudia Cardinale m’a semblé manquer d’angles d’analyse, je n’ai pas appris grand chose. Le Schnock sur Patrick Dewaere sorti après était infiniment supérieur.
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Schnock, n°35 : Les bronzés

Ce numéro nous offre un dossier sur la saga des Bronzés avec tout l'historique de cette aventure cinématographique dont le succès populaire ne s'est jamais démenti.



Un article concerne l'agence de mannequins de Catherine Harlé qui a été évoquée dans la chanson de Jacques Dutronc 'Les Playboys", grand succès datant de 1966.

Dans cette agence sont passées entre autres Annie Duperrey, Amanda Lear, Anita Pallenberg.



Puis nous trouvons un article biographique sur Jacques Chaban-Delmas.



Une histoire du mensuel 'Lui" nous est ensuite proposée. L'auteur nous immerge dans le climat de liberté absolue qui régnait dans l'équipe qui oeuvrait à la parution de cette revue.



La Mini Comtesse, première voiture sans permis en 1968. L'histoire de ce sympathique et étrange petit véhicule nous est contée. Son créateur à la personnalité attachante, Emile Boussereau, nous est également présenté.



Ce numéro se termine avec un très bon article sur Corinne Marienneau, la Corinne de Téléphone. Son histoire dans le groupe avec les bons et les moins bons moments...
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Schnock, n°3

Connaissez-vous Schnock, la revue des Vieux (avec majuscule) de 27 à 87 ans ? Non ? Mais quelle erreur ! Bon, soyons honnête, je dois cette récente découverte au même Pierre qui me prêta Mangez-le si vous voulez de Jean Teulé (merci Pierre). Cette fois-ci, le feuilletage de cette revue à l'heure de l'apéro chez les amis susnommés (enfin, lui, elle c'est Sophie) n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Oui, je sais ça ne veut rien dire, puisqu'un feuilletage -je ne suis même pas sûr du mot- certes peut faire du bruit, mais en général on ne le fait pas suivre de cette expression toute faite, mais c'est pour l'image ; remarquez bien que je parle d'image parce que je parle de sourd, si je parlais d'aveugle, eh bien, euh... je ne sais pas je sens que je m'enfonce un peu...



Pouf, pouf, revenons à cette oreille de sourd, de pas sourde d'ailleurs, qui prolongée d'un visage et d'un corps ressemble étrangement à Madame Yv qui a eu la bonne -l'excellente- idée de filer à la librairie commander trois numéros de Schnock pour me les offrir à mon anniversaire. Pas les derniers, non, ceux qu'elle a jugés les plus ciblés pour ma pomme :



- le numéro 3 (été 2012) : avec Jean Yanne en couverture et donc un gros dossier sur lui (c'est la photo qui illustre mon article)



- le numéro 6 (printemps 2013) : dossier sur Serge Gainsbourg



- le numéro 12 (automne 2014) : dossier sur Pierre Desproges



Autant dire que je valide ce choix judicieux et difficile, car si vous allez sur le site de Schnock, eh bien, vous vous apercevrez que -presque- tous les numéros sont tentants. Je n'ai lu pour le moment que celui que je présente en couverture (dessin de Erwann Terrier) et bon, y'a rien à dire si ce n'est que c'est une lecture passionnante et instructive. Ciblée années 60/70/80/90, la revue s'attarde sur les personnalités, les films, les musiques, les phénomènes de société qui ont marqué ces décennies. Beaucoup de plumes pour différents articles, toujours culturels aussi divers que Michelle Torr et son album country (raconté par Laurent Chalumeau), le lapin du métro parisien qui montre aux enfants qu'il ne faut pas se pincer les doigts dans les portes, l'invention des lunettes de soleil, les pornars (polars et pornos) de la Brigandine, ...



Pour plus de détails, je vous invite à visiter le site de la revue, à lire un exemplaire et je crains pour vous que vous ne puissiez vous arrêter à ce premier, d'autres suivront forcément...
Lien : http://www.lyvres.fr/
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Schnock, n°40 : Le dîner de cons

Tous les mercredis, Pierre Brochant et ses mais organisent un dîner un peu particulier. Chacun à son tour se charge d'amener un "con" qu'il souhaite présenter. Un "con" le plus stupide possible, afin de gagner une sorte de concours hebdomadaire. Donc, comme chaque semaine, Pierre se tourmente. Où trouver le specimen ? Il croit disposer d'un exempliare unique en la personna de François Pignon, un bonhomme qui réalise des reproductions de monuments célèbres en allumettes. Le soir du repas, sa femme qui n'apprécie pas ce type de compétition, claque la porte et un sévère tour de rein jette Pierre, cassé en deux, sur son canapé. Arrive François, le "con" de la soirée et, avec lui, tout un cortège de quiproquos dont certains vont virer à la catastrophe. Le texte est épatant, drôle et finalement doté d'une cahrge caustique contre nos contemporains imbus d'eux-mêmes.
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Schnock, n°17

On m'avait offert ce numéro pour le dossier sur l'histoire de Charlie. Schnock est une revue qui soigne son look et cultive le sens de la communication. On y lit des d'interviews refusées en leur temps par les journaux auxquels elle était destinées; les journalistes murissants de Schnock recyclent leurs archives de jeunesse. A l'exception du dossier Charlie dans lequel on rencontre les véritables héros de l'histoire, la matière de ce numéro est essentiellement constituée d'interviews de lampistes qui nous éclairent (c'est la fonction première du lampiste) sur la vie plus ou moins intime des stars françaises d'autrefois. Parce que la ligne de la revue, c'est quand même la culture populaire française: elle aurait pu s'appeler Franchouille mais Schnock est quand même plus sympa.
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