AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.65/5 (sur 95 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Hilo, Hawaï
Biographie :

Rhys Ford est écrivaine, auteur de romance gay et de suspense romantique.

son site : https://rhysford.com/
Twitter : https://twitter.com/rhys_ford



Ajouter des informations
Bibliographie de Rhys Ford   (26)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

Celebrate author Rhys Ford's 5th anniversary with Dreamspinner Press, with a look back at the Cole McGinnis “Dirty” series and a sneak peek at things to come from Rhys’ Murder and Mayhem series as well as her Kai Gracen series with DSP Publications.


Citations et extraits (59) Voir plus Ajouter une citation
Il reçut en réponse une série de moqueries vulgaires, mais néanmoins amicales. Quelques années plus tôt, il aurait été impensable pour Ruan que ses collègues inspecteurs puissent ainsi se moquer de lui. Il y avait toujours eu une certaine distance entre lui et les autres, une zone tampon qu'il avait certainement érigée lui-même, mais qu'il ne savait pas comment faire disparaître. Sa bonne étoile l'avait certainement aidé, mais il soupçonnait le monde d'avoir changé pendant qu'il regardait ailleurs.
Commenter  J’apprécie          80
- Qui t'a fait ça, Lang ?
Deacon fut surpris par la rage froide qui l'envahit. Quelqu'un (une personne qui allait bientôt mourir) avait mis la main sur une lame et l'avait utilisée pour découper le corps de Lang. Si ce fils de pute n'était pas déjà en train de lécher le cul du diable pour se faire pardonner, il le retrouverait et l'expédierait directement en enfer.
- Tu vas me le dire, bébé. Parce que je vais trouver ce connard et je vais le briser.
Commenter  J’apprécie          70
Puis Angel entendit des mots qu’il n’aurait jamais cru entendre sortir de la bouche de Rome.
— J’avais peur que tu ne rentres pas à la maison. Je pensais que tu allais être comme papa et… me quitter.
C’était stupide de pleurer, encore plus stupide de pleurer dans une maison de luxe appartenant à un type qui lui avait brisé le cœur, mais Angel sentit ses larmes lui brûler les yeux, puis couler, dévalant ses joues et tombant sur le comptoir contre lequel il s’était appuyé.
— Je ne te quitterai jamais, petit, jura Angel, en mettant dans sa voix autant d’amour pour son frère qu’il le pouvait, tout pour que Roman le croie. Peu importe où tu es, c’est ma maison, d’accord ? Personne ne t’enlèvera à moi. Quoi qu’il arrive. Je reviendrai toujours à la maison pour toi. Tu m’entends ?
La ligne était silencieuse, trop silencieuse et trop longtemps, mais finalement Angel entendit Rome renifler.
— D’accord.
Commenter  J’apprécie          30
— Les relations sont difficiles, Dolly. Et ensuite tu ajoutes les mômes, parce que tu sais, il faut bien en avoir.

— Les gosses ne sont pas la raison d’une relation, Oz, rétorqua Dallas à son frère. Tu as une relation pour la relation, rien d’autre. C’est ce qui doit fonctionner. Toujours. Les enfants peuvent être de la crème fouettée sur le gâteau de la relation. Tout le monde n’aime pas la crème, et ceux qui l’aiment doivent éliminer les calories après coup. Les enfants, c’est du boulot. Délicieux pour le cœur, mais une sacrée dose de boulot.

— On prend des cours de philo au pays du muesli, petit frère ? rétorqua Austin. Parce qu’on dirait que tu mâches des burgers au quinoa et que tu es en train d’aligner tes chakras.

— Fais gaffe, l’Austin toujours chelou revient en force, connard, le taquina-t-il en retour. Je ne sais même pas ce qu’est un chakra, putain.

— N’importe quoi, je parie que tu as cinq pantalons de yoga et tu commandes des expressos compliqués allégés infusés au macha à ton café de libre-échange slash sanctuaire de phoques…

— C’est sorti de ta bouche bien trop facilement pour avoir été improvisé, frérot. C’est ta commande habituelle ? Parce que tu sais, quand je viendrai vous rendre visite, il faudra que je sache quoi te ramener le matin.

— Va te faire foutre, Dolly.
Commenter  J’apprécie          20
Il allait mourir avec une barbe de deux jours parce qu’il avait oublié d’acheter des rasoirs, et ses longs cheveux bruns ramenés en queue de cheval avec le seul élastique de l’appartement, une chose duveteuse rose vif qu’il avait trouvée cachée au fond du tiroir de la salle de bains. Ils allaient devoir trouver autre chose pour la morgue. Il avait fouillé dans son placard et n’avait rien trouvé de mieux que ce qu’il portait déjà, un ancien T-shirt du groupe Temple of the Dog et un jean ample, tous deux usés par le lavage et le travail. Au moins, ses sous-vêtements étaient propres. C’était déjà ça. Rien à mettre à ses propres funérailles, et il allait laisser derrière lui une montagne de boulot, y compris celui d’élever Roman… Que Dieu les aide tous… mais au moins ses sous-vêtements étaient propres.
Non, quatre heures du matin n’était vraiment pas l’heure de la journée qu’il aurait choisie pour mourir.

(Page 1)
Commenter  J’apprécie          20
Deacon dut mettre le sexy propriétaire de la librairie aux longues jambes dans une boîte et le cacher dans son esprit où il ne pourrait pas le voir pendant au moins une heure. C’était probablement l’une des choses les plus difficiles qu’il avait eu à faire, avec l’abandon des cigarettes et la réduction du bacon, mais Zig avait besoin de toute son attention, et Deacon ne pouvait pas risquer que ses pensées dérivent vers le bel homme aux cheveux noirs et aux yeux mélancoliques couleur whisky.

Même si, comme Deacon s’en doutait, ayant eu un aperçu du bureau de Lang, la table derrière l’épaisse porte en bois semblait plus qu’assez solide pour supporter leur poids pendant que Deacon s’enfoncerait dans le cul accueillant de Lang.

Être oncle était une vraie plaie dans les bons jours. C’était bien pire quand il fallait être un adulte responsable.
Commenter  J’apprécie          20
« — Dégage. T’es lourd.
Mort se tordit, grognant en tentant de se libérer. Ari l’immobilisa aisément, sa puissance évidente dans le gonflement impressionnant de ses épaules.
— Guerre, allez…
— Non, répéta Ari. Je ne te lâche pas. Et pour une fois dans nos vies, Mort, ferme-la et écoute-moi.
Sombre, Mort détourna la tête quand Ari lécha sa mâchoire, sentant la texture du Cavalier sur sa peau. Son corps ne répondait que trop bien à la sensation d’Ari sur lui, une envie qu’il cachait souvent derrière la cascade froide de ses pensées. Étonnamment, Ari ne sourit pas d’un air entendu en remarquant la hampe en train de se dresser contre sa cuisse, cachée par le fin coton du pantalon qui tombait sur ses hanches.
L’homme continua plutôt de trouver des bouts de chair vierges de sa bouche vorace, ses dents mordillant la douceur délicate du bord des lèvres de Mort.
— J’ai passé l’éternité à te vouloir. Je t’ai toujours désiré. J’ai voulu ton corps, et surtout, j’ai voulu ouvrir ton cœur en deux et y trouver mon nom imprimé.
Ari fit signe à Mort de cesser de protester en plaquant un baiser sur ses lèvres.
— Quand je dis ferme-la, ça veut dire que tu ne dois pas bouger les lèvres et ne pas faire de bruit.
» Tu me frustres, et je me retrouve à courir partout à la recherche de quelque chose de chaud et humide dans lequel me fourrer jusqu’à ce que toute cette irritation se calme, et quoi, après ? Je retourne rôder autour de toi parce que tu es mon addiction.
La main libre d’Ari jouait avec le bout des cheveux de Mort, tirant une mèche, éprouvant leur douceur entre ses doigts.
— Tu m’as toujours dit qu’on ne pouvait pas être ensemble parce que tu ne supporterais pas de me perdre. Je comprends. Je t’ai écouté. Les dieux savent que j’ai essayé de m’éloigner, mais je ne peux pas. Et là, aujourd’hui, j’ai fini par trouver une solution.
— Quoi ?
Mécontent, Mort détourna la tête de la main d’Ari, tentant de ne pas se laisser aller à la chaleur de l’autre homme. C’était plus difficile qu’il ne l’aurait cru. Il avait été capable de se détourner des avances impétueuses de Guerre depuis aussi longtemps qu’il pouvait s’en souvenir, mais la lente séduction des mots et du toucher faisait faiblir sa détermination, son corps réagissant traîtreusement aux caresses. »
Commenter  J’apprécie          10
Un contact de la langue d’Angel sur ses lèvres et West sut qu’il était destiné à un atterrissage douloureux, mais qu’il soit damné s’il ne profitait pas de la chute. Car Seigneur, l’homme avait le goût de quelqu’un qui avait versé le ciel et toutes les étoiles dans sa bouche, et il ne pouvait pas s’en abreuver assez vite.
Les mains d’Angel étaient rugueuses, ses longs doigts étaient rudes avec des callosités et des éraflures, et ses caresses laissaient des brûlures de désir le long de sa peau. Sa bouche était dure, prenant à West plus qu’il ne donnait, et ses poumons étaient douloureux, coincés entre le désir de l’homme qui le poussait à rentrer dans la maison et l’inhalation d’une douce gorgée d’air du soir pour qu’il puisse replonger dans la bouche d’Angel.
Commenter  J’apprécie          20
Le pop-pop-pop fit sursauter Miki, il se tourna vers le son, le monde ralentissant autour de lui. Il était pris dans un décalage temporel en gélatine, Fred continuait à le réprimander pour ses anciennes tentatives de préparation de repas tandis que des flots de gens commençaient à se disperser au niveau du stand à l’angle du parking. Du coin de l’œil, Miki vit l’expression de Fred changer, passant de la confusion à la colère.
Quelque chose lui piqua le bras. Quelque chose de tranchant et de dur, sans qu’il puisse vraiment comprendre ce qui l’avait frappé, pas avant de voir le filet de sang couler sur son coude.
Commenter  J’apprécie          20
— J’espère que tu as plus pour moi que le témoin que je viens d’interroger, lança Kane en donnant un coup aux pieds de l’agent. Et sors de ma chaise.

— On peut toujours deviner si quelqu’un a eu un frère aîné, dit Alex à Kel, se levant en reboutonnant sa veste de costume. Ils sont toujours très possessifs avec les choses qu’ils pensent être à eux.

— Tu crois qu’il est possessif à propos de la chaise ? Essaye de mater le cul de St John. Il passe de Lepreuchaun à Tormund Fléau-d’Ogres1 en un clin d’œil.
Commenter  J’apprécie          20

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Rhys Ford (56)Voir plus

Quiz Voir plus

quiz le seigneur sans visage

Où se trouve le château ou Michel se trouve ??

Niort
Poitier
La Roche Guyon
La rochelle

10 questions
310 lecteurs ont répondu
Thème : Le Seigneur sans visage de Viviane MooreCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *} .._..