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Citations de Robert Bryndza (149)


challenge mauvais genre 2023
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- Quittez la partie, sauvez votre carrière. Parfois, il faut accepter de lâcher prise.
- Navrée, Monsieur, c'est non. Trop facile. Cinq femmes sont mortes et leurs assassins s'en tireraient pour la seule raison qu'ils appartiennent à l'Establishment? Et pour quoi? Pour qu'ils puissent faire encore plus de fric? Qu'ils entretiennent leur train de vie confortable?
- Vous allez y laisser votre badge et votre réputation.
- Mon boulot m'a déjà tout enlevé ou presque, Mark. Une vie que j'aimais, dans le Nord, entourée d'amis. Ma maison... Le sens moral est la seule planche de salut qui me reste
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Si un inconnu vous abordait dans la rue pour vous demander où vous allez, quel genre de films vous aimez, si vous êtes mariée ou célibataire, où vous avez fait vos études et dans quoi vous travaillez, vous le prendriez pour un fou... Et imaginez s'il demandait à voir votre téléphone quelques minutes pour voir vos photos. Mais on fournit toutes ces informations gratuitement sur les réseaux sociaux, sans y réfléchir à deux fois."
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On ne sait jamais ce qui se passe dans la tête de gens, Erika.
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" En Irlande, c'est comme une compétition : qui sera le plus catholique. C'est un peu comme aux Etats-Unis, sauf qu'au lieu de se mesurer à la taille de leurs vérandas ou au prix de leurs machines à laver, les gens regardent qui prie le plus, qui passe le plus de temps à la messe...
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Tu crois vraiment qu'une femme est capable de faire ça ?
- Si tu venais travailler avec moi quelques jours, tu serais horrifié par ce que les gens sont capables de commettre.
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- Bon sang, c'est pas vrai. Moi qui croyais que c'était juste un crime homophobe...
- Juste un crime homophobe, monsieur...?
- Non, mais, vous voyez ce que j'entends par là. Les crimes de haine sont... Ils font moins de bruit dans les médias."
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Chaque nouvelle ride sur son visage semblait l'éloigner encore davantage de son mari [ décédé ] : l'image de Mark était immortalisée telle quelle dans sa mémoire, dans ce cadre, dans ses albums. Lui resterait éternellement jeune et beau, alors qu'elle, au fil des années, se changerait lentement en vieille femme.
Quelques jours plus tôt, dans sa voiture, la chanson "Forever Young "d'Alphaville était passée à la radio. Erika avait été obligée de se garer en catastrophe sur le bas-côté le temps de se remettre de son brusque accès de chagrin.
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" Gregory était mon fils. Je l'ai porté pendant neuf mois. C'est moi qui suis prioritaire, compris ? Penny n'a été sa femme que pendant quatre ans. Moi, je suis sa mère depuis quarante-six ans..."
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- Ne vous rabaissez pas comme ça. Mon mari avait l'habitude de dire qu'on plaît toujours à quelqu'un.
- Merci du compliment...Enfin, si c'en est un."
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(...), ils étaient allés visiter la Tour de Londres (...)
- J'ai quand même trouvé le billet d'entrée très cher. La reine touche un pourcentage, à ton avis ?
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S'il y avait bien un aspect du système britannique qu'elle méprisait, c'était la façon dont votre classe sociale influait sur le traitement dont vous faisiez l'objet dans ce genre d'affaire.
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On lui avait demandé de revenir d'ici à trois mois pour une autre prise de sang. Toute la visite médicale lui avait paru d'une froideur inhumaine... Elle s'était sentie totalement insignifiante, et minuscule...
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- Des filles de l' Est qui font le trottoir et qu'on retrouve étranglées, on s'en fout...Tandis que la fille d'un millionnaire...
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- Sans blague, vous vous appelez Kate Moss ?
(...)
- Une idée de votre mère ? reprit Erika en préparant le thé.
- Quand on m'a donné ce prénom, expliqua Moss, l'autre Kate, celle qui est un peu plus mince...
Un éclat de rire échappa à Erika.
- Un peu ?
- Absolument, celle qui est un peu plus mince, répéta Moss, n'était pas encore un top model.
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- "Quand vous débarquez chez les gens à trois heures du matin, vous pourriez au moins essayer d'être polie.
- J'ai passé une journée horrible.
- Parce que ça vous arrive de passer une bonne journée, Erica ?
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Le secret pour passer inaperçu, c'est de pas chercher à passer inaperçu. Les gens se foutent pas mal de vous ; ils sont absorbés par leurs propres petites affaires.
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- Peut-être que je ressemble un peu à James Bond, suggéra-t-il.
- Non c'est pas à ça qu'on pense quand on vous regarde, rétorqua Peterson froidement.
- Sois pas si amer, mec. Ta chance viendra. On n'a pas parlé d'avoir un James Bond noir ?
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Et vous, demanda-t-elle à Peterson, vous êtes quoi ?
- Un policier.
- Bien sûr, mon cher. Mais quel est votre grade ?
- Detective.
- Vous me rappelez quelqu'un, poursuivit-elle. Comment s'appelle cette série, avec un policier noir ?
- Luther, répondit Peterson en dissimulant tant bien que mal sa lassitude.
- C'est cela, Luther. Il est formidable. On ne vous a jamais dit que vous lui ressembliez un peu ?
- Si. En général des gens comme vous.
Erika ne put s'empêcher de sourire.
- Oh, merci ! s'écria la vieille dame qui, manifestement, n'avait pas saisi le second degré dans la remarque de Peterson. (...) Quel est le grade de Luther?
- DCI, je crois. Ecoutez...
- Alors, répondit la vieille dame en flattant le bras de Peterson, s'il y arrive, vous pouvez y arriver aussi.
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Comme je vous l'ai déjà dit plein de fois, Andrea faisait marcher les garçons, elle les manipulait... Ils étaient comme des tampons hygiéniques , pour elle : elle était contente de se les mettre, et hop ! ensuite, elle les jetait et elle tirait la chasse.
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Normandie : 1870

"Pendant plusieurs jours de suite des lambeaux d’armée en déroute avaient traversé la ville. Ce n’était point de la troupe, mais des hordes débandées. Les hommes avaient la barbe longue et sale, des uniformes en guenilles, et ils avançaient d’une allure molle, sans drapeau, sans régiment. […] Les Prussiens allaient entrer dans Rouen, disait-on." [...] Il y avait cependant quelque chose dans l'air, quelque chose de subtil et d'inconnu, une atmosphère étrangère intolérable, comme une odeur répandue, l'odeur de l'invasion. Elle emplissait les demeures et les places publiques, changeait le goût des aliments, donnait l'impression d'être en voyage, très loin, chez des tribus barbares et dangereuses." La débandade de l'armée française, l'occupation prussienne en Normandie, le cortège des horreurs de la guerre de 1870 servent de motif à de nombreux contes et nouvelles de Maupassant où sa férocité s'exerce avec maestria dans la plus connue et réussie de toutes dont le titre est le sobriquet de l'héroïne principale : "Boule de Suif". Mais quel est l'état-civil de Boule de suif dans le récit ? 👩‍🦰👩‍🦰👩‍🦰

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Thèmes : guerre , Guerre franco-allemande (1870-1871) , littérature , nouvelles réalistes , contesCréer un quiz sur cet auteur

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