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Erika Foster tome 4 sur 5

Chloé Royer (Traducteur)
EAN : 978B085G22BN9
392 pages
Belfond (21/01/2021)
4.04/5   107 notes
Résumé :
ROBERT BRYNDZA

JOLIES FILLES

Le corps d'une ravissante jeune femme vient d'être découvert, à demi-nu et lacéré de blessures mortelles, dans une benne à ordures de la banlieue londonienne. Arrivée sur place avec son amant et ex-coéquipier, l'agent Peterson, l'inspectrice Erika Foster est sous le coup d'une double émotion : la révolte face à cette épouvantable scène de crime et la frustration. Car officiant désormais à la brigade des stup... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (54) Voir plus Ajouter une critique
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Quelle déveine que de n'avoir pu faire la connaissance de l'inspectrice Erika Foster qu'à l'occasion de sa quatrième enquête et d'avoir conséquemment été en partie pénalisé par l'absence d'un "chemin de vie" chronologiquement narré dans celles qui ont précédé - Jolies filles -, c'est-à-dire - La fille sous la glace -, - Oiseau de nuit - et - Liquide inflammable -.
Certes on peut lire - Les aventures de la Castafiore - sans rien connaître de ce que fut la rencontre entre Tintin et le capitaine Haddock, ou voir Wallander s'enfoncer dans la nuit de l'oubli en ignorant tout ou presque de ce qui met un terme aux aventures de l'inspecteur suédois du commissariat d'Ystad... mais il y a des "blancs" que l'on préfèrerait combler autrement que par des déductions "imprécises".
Qu'à cela ne tienne, ce quatrième volet m'a permis d'approcher une jeune femme blonde, très grande, d'origine slovaque, veuve ( son mari, policier comme elle, est mort en service deux ans auparavant ), écartelée entre un deuil "en cours" et la culpabilité inhérente à toute femme ou à tout homme qui a récemment perdu l'être aimé et qui est confronté à un nouvel amour qui bouleverse des repères à peine identifiés.
Elle a arrêté de fumer il y a quelques mois, dort mal, a une hygiène de vie très aléatoire, très circonstancielle ( comme tous les flics de romans ), est friande de sucreries ( en l'occurrence des mini Mars, qu'elle garde dans la boîte à gants de sa voiture ), et a des qualités de cordon bleu... qu'elle réserve à sa famille restée en Slovaquie.
La recette dont elle s'enorgueillit qu'elle "est la meilleure qu'on ait goûtée" est "sa" kapustnica, une soupe à base de viande et de chou qu'on mange pour Noël".
Si j'ajoute à ce "portrait", qu'elle est donc au départ une jeune fille au pair, une immigrée venue en Angleterre avec ses seules armes pour tout bagage.. une volonté inébranlable, une ambition obstinée, son opiniâtreté a fait le reste et l'ascenseur social d'outre-Manche lui a permis de gravir les échelons d'une société exigeante... .
Mais la consécration, le rêve britannique n'eût pu être entièrement réalisé sans sa nomination au poste de superintendant. Et là, les rivalités entre flics, sa personnalité, peut-être un peu hors du moule, ont vu son rêve se briser, la nomination lui échapper pour bénéficier à un collègue qui semble être un flic médiocre, obtus, sans scrupules.
Elle donne sa démission de la criminelle et se retrouve dans un commissariat de banlieue à 60 km de Londres, s'ennuyant mortellement à faire de la paperasserie et rongeant son frein en sachant qu'elle est une limière hors pair, qui a l'action dans le sang et dont le talent s'étiole dans cette annexe faubourgeoise de la police, remisée et "inutile".
Je ne peux plus dire à présent que je n'ai pas comblé les blancs dont je me plaignais précédemment qu'ils ne me permettaient pas d'approcher au plus près de l'inspectrice héroïne de Robert Bryndza.
Erika Foster va saisir l'opportunité d'une revanche lorsque, en compagnie de son nouvel amant, celui-ci est appelé pour un meurtre. On a retrouvé le cadavre d'une jeune femme dans une benne à ordures.
Erika l'accompagne.
Elle s'immisce, contre sa hiérarchie, dans une enquête où son flair inné d'enquêtrice va lui faire comprendre très vite qu'ils ont affaire à un serial killer.
L'auteur ne nous la joue pas Hercule Poirot. On sait au bout de très peu de pages qui est le tueur, cet homme jeune, désaxé, qui utilise de faux profils sur les réseaux sociaux, pour attirer ses victimes, de jeunes et belles femmes en quête du prince charmant ou de la notoriété.
L'idée n'est pas nouvelle. En 1989, John Harvey dans - Coeurs solitaires - exploitait le même thème... mais à la place d'Internet il n'y avait que des petites annonces dans la rubrique du courrier du coeur du journal local de Nottingham.
Et "à la place" de la jeune et grande inspectrice blonde Erika Foster, il y avait l'inénarrable inspecteur Resnick, vous savez ce grand type d'origine polonaise, amateur de jazz et de sandwiches invraisemblables, toujours mal attifé, négligé et maître de quatre chats aux noms de jazzmen...
Ô tempora mais pas ô mores... car "les monstres les plus effrayants sont toujours nichés au fond de nos âmes", et ce que ne permettaient pas les petites annonces dans les journaux naguère, Internet l'offre désormais en x D.
Les scénarii sont démultipliés, le temps et l'espace sont abolis, c'est ce qu'a compris Robert Bryndza, qui joue malicieusement au chat et à la "souris" avec son lecteur à travers de courts chapitres, et là je réfute l'idée de la facilité et plaide pour celle de la contemporanéité et de l'efficacité, courts chapitres qui, comme chaque page des albums d'Hergé, font rebondir l'histoire et adrénalise le suspense.
Dans cette course miroirs entre le mal qui se déploie et le bien qui s'échine à l'en empêcher, le lecteur s'impatiente, trépigne, se réjouit... prématurément, enrage... avant de... à vous de lire ce très bon polar pour savoir ce qu'il adviendra...
Découverte de l'univers de Bryndza, que je dois à Nicolas dans le cadre d'une Masse Critique Babelio, et à Sarah pour les Éditions Belfond ( un grand merci à tous les deux ).
Je vais faire en sorte de retrouver bientôt Erika Foster dans ses premiers pas d'héroïne de polars... qui n'a pas fini de faire parler d'elle.
Car, sans vouloir vexer quiconque, je trouve qu'elle a la carrure littéraire pour se confronter, à son avantage, à des "collègues" nordiques, Allemands, Français, Italiens ou Espagnols.
Si vous voulez passer quelques bonnes heures de lecture haletante, dans une histoire à la structure narrative solidement charpentée, aux personnages bien dessinés et à l'écriture tenue... ce livre est fait pour vous.
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J'étais persuadée d' avoir déjà croisé la route de la très dynamique inspectrice anglaise, Erika Foster, mais non... Aussi ai-je essayé de me rattraper aux branches, propulsée direct dans ce quatrième tome, afin de connaître son histoire personnelle, sans que ça ne me pose particulièrement de problèmes au niveau de la compréhension, ou du plaisir de la fréquenter...

Alors qu'elle passe la soirée avec son petit-ami et collègue, James Peterson, il est appelé sur une scène de crime. Erica qui désormais officie aux Stups, , y voit là, une occasion de revenir dans ce service , et va s'incruster avec beaucoup de force et de culot. Un tueur sévit dans Londres, il ne tue que des jeunes filles et des très jolies filles, dont il fait la connaissance sur les réseaux sociaux.
Tour à tour dans la tête d'Erica, qui fonce, qui fonce, puis dans celle du tueur qui tue, qui tue... Il n'y a aucun temps mort dans ce roman policier, aux allures de thriller.
Le glauque est bien montré sans tomber dans le complaisant. le boulot de flic, avec ses doutes , ses avancées, ses reculs, ses échecs, sa fatigue, son adrénaline, son excitation est aussi très bien décrit.
Débarquer dans ce quatrième tome m'a donné envie de plonger dans les précédents et dans ceux à venir.
Rencontrer Erica Foster, c'est l'adopter ! Véritable boule d'énergie, marquée par le deuil de son ancien compagnon, dévorée par la culpabilité au sujet de ce nouvel amoureux dont elle ne sait que faire. Continuer ou pas.
D'origine slovaque, n'hésitant pas à dire ce qu'elle pense haut et fort, quitte à se fâcher avec sa hiérarchie, elle me plaît bien cette héroïne..
A bientôt Erica ! j'ai déjà passé commande pour toutes tes aventures ...
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Je remercie les éditions Belfond pour cet envoi rapide et Nicolas pour m'avoir proposé de donner mon avis sur ce livre dans le cadre d'une masse critique. Un polar, c'est toujours un cadeau sympa.
Robert Bryndza donc, auteur né à Lowestoft (côte anglaise, Suffolk) en 1979 et d'origine slovaque, a été comédien pendant sept ans avant de se lancer dans l'écriture. Cela se voit.
Si je voulais faire vite, pour résumer, je dirai que c'est une série télé transposée sur papier de qualité.
Comme une série, il y a en effet deux fils narratifs mêlés.
Le long terme : l'évolution du personnage qui va être (ou est déjà apparemment) récurrent : Erika. Ses amis, ses amours, ses emmerdes... Originalité du personnage : elle est arriviste et a mauvais caractère. Elle veut être calife à la place du calife. Alors elle fait des crises de jalousie, s'emporte sans qu'on sache vraiment pourquoi. On aime ou on n'aime pas...
Le court terme : un psychopathe tue des filles dans Londres, en évitant les caméras, en utilisant des VPN pour ne pas être tracé sur le web, en jouant avec les rezos sossios pour pécho ses victimes.
« Toutes ces jolies filles, elles ont rien compris »
« Devenu débile pour des petites connes »
On lui court donc après avec un tempo que je n'ai pas trouvé très réaliste, mais pratique pour arriver à un final télévisuel et rapide et visuel.
Enfin visuel, c'est à voir ... Comme c'est le final, je laisse aux éventuels lecteurs le soin de décider.
Je peux citer également par exemple un novice qui réussit à ouvrir un cadenas avec une épingle à nourrice... avez-vous déjà essayé en vrai ? Moi oui (pas de chance M. Bryndza) et je garantis que c'est bien compliqué, même avec un kit spécial cambrioleur (mais qui est ce Burjbabil pensent mes amis !). La traductrice, toujours, s'est fait plaisir, c'est sûr.
Donc voilà, décemment je ne peux pas considérer que ce livre tient la route en termes de crédibilité, si tant est que le psychopathe le soit (là, je suis moins spécialiste), ce qui ne m'a pas paru non plus si évident (Dexter ne s'emporte pas à sa troisième victime, désolé).
Bref,
« car j'ai beau être un bon gars, j'peux pas donner c'que j'ai pas »
« ces histoires de filles, c'est des sitcoms, han »
C'est une lecture certes rapide, rythmée et cadencée, mais assez peu enthousiasmante finalement.
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« Jolies filles » est le quatrième opus de la série best seller Erika Foster. J'en avais déjà lu 2 (« La fille sous la glace » et « oiseau de nuit ») qui avaient été de bonnes lectures et c'est une nouvelle fois le cas. J'ai loupé le 3ème opus « Liquide inflammable »
Des étudiants ont retrouvé le cadavre mutilé d'une jolie jeune fille dans un conteneur à poubelle. Son ex collègue et amant d'Erika reçoit un coup de téléphone pour le prévenir et aller sur la scène alors qu'il était ensemble. Même si elle ne travaille pas pour ce service, elle n'a pas pu s'empêcher de l'accompagner. Une fois sur place, on lui a dit qu'elle n'a rien à faire sur la scène et qu'elle n'a pas à se mêler de cette enquête mais Erika ne va pas en tenir compte. Elle interroge les personnes qui ont découvert le cadavre et réalise des recherches pour savoir s'il y a déjà eu d'autres victimes avec une entaille à l'artère fémorale. Et c'est le cas, elle découvre que les victimes utilisaient une application pour célibataires. Mais comme on a pu le voir dans les tomes précédents Erika est une femme têtue et obstinée, elle ne peut pas abandonner cette affaire, elle va donc poursuivre la traque de ce serial killer malgré tout.
Comme je l'ai dit un peu plus haut, ce roman a été une lecture agréable, à la hauteur des précédents. Pour ceux qui ont lu les autres livres et qui se sont attachés au caractère d'Erika Foster, on prend plaisir à la retrouver. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et va jusqu'au bout de son idée. L'enquête est classique mais il y a un très bon rythme. Les histoires proposées par Robert Bryndza ne sont pas inoubliables, on retient plus le personnage d'Erika Foster.
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J'ai toujours plaisir à découvrir de nouveaux auteurs de romans policiers. Robert Bryndza, anglais d'origine slovaque, n'en est pourtant pas à un premier essai. L'inspectrice, Erika Foster, apparaît déjà dans trois tomes précédents ...que je n'ai pas lus.

L'enquête se révèle plutôt classique, dans son déroulement. Une jeune femme assassinée étant trouvée dans une benne à ordures, à Londres, un lien est établi ensuite avec un autre décès, ce qui met l'équipe de police sur la piste d'un serial killer.

Les points de vue des victimes et d'Erika Foster alternent avec celui du tueur. On perd en suspens, mais on gagne en épaisseur psychologique. Un portrait du psychopathe se dessine, et son contexte familial permet d'expliquer , à défaut de les comprendre, certains de ses agissements.

En fait pour le lecteur , qui en sait plus que les enquêteurs, se posent surtout ces questions: quand et comment vont-ils enfin se rapprocher de la vérité ? Quand vont-ils arrêter ce dangereux malade, qui jusqu'ici agit en toute invisibilité?

J'ai passé un bon moment de lecture, mais j'aurais aimé davantage d'originalité dans la construction du récit, et une analyse plus fouillée du personnage d'Erika Foster, intéressant, pugnace mais fragilisé par un deuil.. Il faut dire que je ne connais pas sa vie passée, abordée dans les autres livres. Merci en tout cas à Babelio et aux éditions Belfond pour cet envoi.
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Citations et extraits (54) Voir plus Ajouter une citation
" Ma copine est obsédée par le recyclage : papier, métal, plastique, si je me trompe de sac, je n'ai pas fini d'en entendre parler... Je pourrais me débarrasser d'un corps, tout ce qui l'intéresserait, ce serait que je le mette dans la bonne poubelle."
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" Bonjour, tu as passé de bonnes fêtes ?
- Pas vraiment. Rappelle-moi de ne jamais repartir en vacances dans un coin aussi paumé." ( ...).
" Tu étais où, déjà ? demanda-t-elle. En Thaïlande ?
- Non, aux Maldives. Six huttes minuscules sur un bras de sable en plein milieu de l'océan. Je suis tombé à cours de livres.
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Facebook, c'est un outil de surveillance. J'ai un copain qui a un iPhone, et il est sur les réseaux sociaux. Il dit que quand il parle de certains trucs avec ses potes, genre une télé à écran plat ou une marque de bière qu'il aime bien, le lendemain des pubs apparaissent sur son téléphone. Sans qu'il ait fait de recherche Google ni rien.
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Si un inconnu vous abordait dans la rue pour vous demander où vous allez, quel genre de films vous aimez, si vous êtes mariée ou célibataire, où vous avez fait vos études et dans quoi vous travaillez, vous le prendriez pour un fou... Et imaginez s'il demandait à voir votre téléphone quelques minutes pour voir vos photos. Mais on fournit toutes ces informations gratuitement sur les réseaux sociaux, sans y réfléchir à deux fois.
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Au fil des enquêtes, Erika s'était rendu compte du rôle prépondérant joué par le destin dans les affaires de meurtre. Si la victime avait quitté le bar dix minutes plus tôt, si elle n'avait pas oublié de verrouiller sa portière, si elle avait pris un chemin lègérement différent, elle serait encore en vie.
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Videos de Robert Bryndza (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Robert Bryndza
La rentrée littéraire d'hiver vue par @Jacques Lindecker 493 romans ont été publiés en janvier/février. Des premiers romans aux têtes d'affiche, suivez le guide pour vous y retrouver. En avant-première la liste des livres présentés :
« Les indésirables », Kiku Hughes, éditions Rue de Sèvres « le smartphone et le balayeur », Emmanuel Guibert, éditions Les Arènes BD
Littérature française « Serge », Yasmina Reza, éd. Flammarion « On était des poissons », Nathalie Kuperman, éditions Flammarion « Les jours voyous », Philippe Mezescaze, éd. du Mercure de France « le dernier enfant », Philippe Besson, éd. Julliard « L'odeur d'un père », Catherine Weinzaepflen, éd. des femmes « Aller aux fraises », Eric Plamondon, éd. Quidam « La brûlure », Christophe Bataille, éd. Grasset « Avant le jour », Madeline Roth, éd. de la fosse aux ours « Les orages », Sylvain Prudhomme, éd. L'arbalète Gallimard « le démon de la colline aux loups », Dimitri Rouchon-Borie, éd. du Tripode « Danse avec la foudre », Jérémy Bracone, éd. de L'Iconoclaste « Des diables et des saints », Jean-Baptiste Andrea, éd. de L'Iconoclaste « Presqu'îles », Yann Lespoux, éd. Agullo « Certains coeurs lâchent pour trois fois rien », Gilles Paris, éd. Flammarion « Un dimanche à Ville-d'Avray » Dominique Barvéris, éd. folio (en poche)
Littérature étrangère (« Ce genre de petites choses », Claire Keegan, éd. Sabine Wespieser) « Jane, un meurtre », Maggie Nelson, éd. du Sous-sol (parution le 4 mars) « Dans la ville provisoire », Bruno Pellegrino, éd. Zoé « Tu auras dû t'en aller », Daniel Kehlmann, éd. Actes sud « C'était le jour des morts », Natalia Sylvester, éd. de L'Aube « Jolies filles », Robert Bryndza, éd. Belfond Noir
Sur les mers « Mauvaise étoile », Christophe Migeon, éd. Paulsen « Tout l'or des braves », Clifford Jackman », éd. Paulsen
Diffusion lundi 22 février 18h30 (durée 40 mn) #colmar #colmarandyou #festivaldulivredecolmar
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