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3.61/5 (sur 51 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) : 1954
Biographie :

Robin Schone est une écrivaine américaine.

Après avoir étudié l’art et les lettres classiques, elle se consacre à l’écriture de romances érotiques.

Elle a publié son premier roman, "Awaken, my love", en 1995.

Auteure à succès, elle est régulièrement inscrite sur les listes des meilleures ventes de USA Today. Ses livres sont traduits en plusieurs langues.

Elle vit à Chicago dans l'Illinois.

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Bibliographie de Robin Schone   (7)Voir plus

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Citations et extraits (37) Voir plus Ajouter une citation
Au moment d'enlever ses bas, elle hésita. Il lui semblait plus déplacé de paraître devant un homme avec une partie de ses sous-vêtements que sans rien.
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– Un homme n'est pas une série de leviers et de manettes qu'il suffit d'actionner pour l'emmener au plaisir, lâcha-t-il d'une voix hachée, excessivement conscient de la froide perfection de sa peau pâle.
Sa satisfaction dépend aussi de la capacité de sa partenaire à éprouver du plaisir. Les deux sont indissociables.
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Pendant dix-sept ans, elle avait vécu dans la maison de ses parents ; pendant seize ans, dans celle d'Edward. Jamais elle n'avait éprouvé cette impression d'être... à sa place.
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Oh, hommes! Ecoutez bien ceci... La malice d'une femme est sans limites. Tant qu'elle est au lit avec vous, vous avez son amour, mais il ne durera pas, croyez-moi...
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Qu'est-ce qui pouvait la pousser à parler aussi franchement à une douzaine d'inconnus, alors que les membres du club des Messieurs et des Dames avaient beaucoup de mal à parler franchement entre eux?
- Vous n'êtes pas de Londres?
Les yeux de la femme s'assombrirent.
-Non.
James avait été avocat pendant trop longtemps pour ne pas reconnaître ce regard - malgré son franc-parler, il y avait des choses qu'elle n'avait pas envie de dire.
- Et qu'est-ce qui vous amène dans cet antre de perdition?
-L'envie de me changer les idées, répondit-elle posément. Et de m'amuser un peu.
-Sans votre mari? demanda James d'un ton sec comme un coup de pistolet.
Elle était peut-être venue à Londres pour se chercher un amant.
Si c'était le cas, qu'aurait-il à lui reprocher?
Rien.
Elle tressaillit.
- Je suis veuve, monsieur.
Une veuve qui ne portait pas le deuil.
Il avait eu une jeunesse focalisée sur l'ambition. La sienne avait été focalisée sur les enfants. Avait-elle envie de faire à quarante-neuf ans toutes les expériences qu'elle n'avait pas pu faire à quinze?
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Un homme comme lui ne comprendrait pas qu'une femme dont les cheveux commençaient à se parer de filaments d'argent et dont le corps accusait deux grossesses, brûlait des mêmes désirs qu'une femme jeune et belle qui ne s'embarrassait pas de préserver sa vertu.
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Vous êtes pourtant bien placée pour savoir qu’avec les librairies, il ne faut pas se fier aux apparences. L’arrière-boutique est quelquefois moins innocente que la devanture.
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— Vous sentez la vanille.

Frances Hart se retourna. Son aigrette vert et or tremblota. Elle croisa craintivement les bras sur sa poitrine.

— Je vous demande pardon ?

Son haleine faisait de la buée dans la lumière du lampadaire. Ses cheveux roux brillaient comme du cuivre sous son chapeau de paille.

— Je disais que vous sentiez la vanille, répéta James.

Ce soir, Frances s’était approchée des noirs secrets de la plus grande ville du monde. Mais, malgré ce qu’elle avait vu, elle se refusait à croire que le plaisir soit nécessairement synonyme de perdition.

Elle détourna les yeux.

— Parmi mes produits de toilette, aucun n’est parfumé à la vanille.

— Je ne parle pas de l’odeur de votre savon, je parle de l’odeur de votre peau.

— Vous aimez l’odeur de la vanille ?

— Surtout son goût, répliqua-t-il avec une gravité appuyée.

— Mon petit-fils adore le flan à la vanille, dit Frances.

Elle feignait l’indifférence, mais son cœur palpitait. James Whitcox n’avait besoin que d’un sous-entendu pour lui inspirer des désirs et des sentiments qu’elle n’était pas encore prête à partager.

Par bonheur, pensa-t-elle, il faisait sans doute trop sombre pour qu’il puisse les lire sur son visage.

Après un intervalle, il s’enquit :

— Ce que vous avez vu dans la boutique vous a choquée, n’est-ce pas ?

— Mais non, pas du tout.

— Pourtant, vous êtes toute chose.

À contrecœur, elle soutint son regard.

— Je suis en train de digérer le fruit défendu… et c’est peut-être un peu lourd pour moi.

James Whitcox esquissa un sourire.

— Méfiez-vous, madame Hart, il est peut-être véreux.

— Trop tard, monsieur Whitcox, répondit-elle.

Le sourire de James s’effaça brusquement.
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Il ne voulait pas lui faire de mal.
Mais sa volonté de ne pas faire le mal ne l’avait pas empêché de se prostituer par le passé. Ou de tuer.
Et il savait qu’elle ne suffirait pas à l’arrêter aujourd’hui non plus.
La caresse se prolongea… s’accentua…
Il faillit céder au plaisir fulgurant qui s’empara de ses bourses.
Mais il ne voulait pas du plaisir.


http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
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La beauté est dans l'oeil de celui qui regarde.
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