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3.71/5 (sur 1103 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Minnesota , 1964
Biographie :

Eloisa James, de son vrai nom Mary Bly Vettori, est une romancière.

Elle est diplômé de Harvard et est titulaire d'un master en philosophie de l'Université d'Oxford, et d'un doctorat de l'Université de Yale.

Elle enseigne le théâtre anglais (Shakespeare) au département d'anglais de l'Université de Fordham à New York.

son site: http://www.eloisajames.com/
Twitter: https://twitter.com/eloisajames



Source : amazon
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Eloisa James and Maya Rodale on American Ladies in London


Citations et extraits (390) Voir plus Ajouter une citation
Mon Dieu, je vais épouser un Ecossais impulsif, taillé comme un baobab et, pour couronner le tout, dépourvu d’humour. […] Quelle catastrophe ! Je vais me marier avec le portrait craché de mon satané père.
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Prologue
Novembre 1781, domaine du marquis de Wharton et Malmesbury
Savoir précisément pourquoi personne ne veut vous épouser n'est qu'une maigre consolation face à la triste réalité. Dans le cas de Lady Roberta St. Giles, cette cruelle vérité était illustrée de manière bien trop criante - aussi criante que l'absence de prétendants.
Le dessin humoristique du Rambler's Magazine la caricaturait avec une bosse dans le dos et un seul sourcil en accent circonflexe sur un front protubérant. A genoux à ses côtés, son père implorait les passants de l'aider à trouver un époux respectable a sa fille.
Cette partie au moins était véridique. Son père était en effet tombé à genoux en pleine rue à Bathroo, exactement comme le dessin de la gazette le montrait. De l'avis de Roberta, il y avait aussi du vrai dans la légende du Rambler - "le Marquis fou"
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Gabriel songea à sa tante, une rude matrone aux cheveux blancs, aussi souple de corps et de tempérament qu’un bloc de fonte.
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J’ai choisi Hamlet parce qu’il y a tout dans cette pièce : tragédie, mort, rebondissements, spectres, amour et désespoir, illusions et faux-semblants. Pas beaucoup de comédie, certes, mais ce soir je n’ai pas pu résister.
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Si elle ne se respectait pas elle-même, personne ne le ferait.
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— Ensuite, quand elle a fini par s'enfuir en France -en m'emmenant avec elle, Dieu merci -, il a demandé le divorce, poursuivit Piers. Il a proclamé urbi et orbi qu'elle le trompait et s'était sauvée avec le jardinier. Ce qui, au passage, n’était pas la vérité. Notre jardinier avait au moins quatre-vingts ans, et il n'aurait pas survécu à une telle excitation.
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Avez-vous déjà entendu parler de Didon et Énée ?
Kate secoua la tête.
— Je ne sais même pas si c’est de l’histoire ou de la littérature. De vous à moi, j’ai été scandaleusement mal éduquée. Je parle un peu le français et j’ai lu presque tout Shakespeare, mais à part cela, je suis une parfaite ignorante.
— Une ignorante incollable sur l’élevage des animaux de ferme, à ce qu’il semble.
— Ma foi, cela peut avoir son utilité. Eh bien, qui est cette Didon ? Elle n’a pas un prénom très élégant.
— C’était la reine de Carthage. Elle s’était éprise d’Énée, mais les dieux avaient décidé que celui-ci devait poursuivre son voyage pour aller fonder Rome. Ce qu’il fit. Folle de chagrin, elle se jeta sur un bûcher funéraire.
— Elle s’est immolée par amour ?
Le prince Gabriel hocha la tête.
— Alors c’est de la littérature, décréta Kate. Aucune femme sensée ne ferait une chose pareille.
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Si elle ne se respectait pas elle-même, personne ne le ferait.



(Une si Vilaine Duchesse)
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-Je suppose qu'une demoiselle aussi désespérément convenable que vous n'a pas lu le poème de Catulle que je préfère. Tu me demandes combien de tes baisers il faudrait pour me satisfaire. (...)
- Tu me demandes, Lesbia, combien de tes baisers il faudrait pour me satisfaire, reprit-elle surprise par une note rauque que sa voix n'avait jamais eue. Il en faudrait autant que de grains de sable dans le désert de Lybie...
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Il n’avait jamais été doué avec les mots , peut-être parce qu’un trop grand flot de mots avait bombardé les murs de sa maison : rebondissant entre ses parents, cinglant en toute impunité les invités, les invités, les domestiques et les étrangers. La voix de son père avait toujours été chargée de violence et des menaces.
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