Citations de Sacha Guitry (462)
C'est une erreur de croire que les femmes ne peuvent garder un secret. Elles le peuvent, seulement elles s'y mettent à plusieurs !
Ne cherchez pas des gens qui vous donnent des conseils ; regardez plutôt ceux qui vous donnent des exemples...
C'est ignoble de tuer... Mais ça fait vivre tant de monde !
(N. B. : Sacha Guitry parle des journalistes et des personnels employés par les tribunaux.)
Dialogue du film LA POISON avec Michel Simon.
Pour aimer une femme, il ne suffit pas qu'elle nous plaise, il faut encore que toutes les autres aient cessé de nous plaire.
Voir sa femme dans les bras d'un autre homme, c'est tellement abominable en vérité que, dès l'enfance, on devrait nous enseigner à nous en foutre absolument.
UNE PETITE MAIN QUI SE PLACE.
La plus grande des solitudes, c'est de se trouver en face d'une personne qui ne pense pas la même chose que vous.
UNE PETITE MAIN QUI SE PLACE.
Avec tout ce que je sais, on pourrait faire un livre... il est vrai qu'avec tout ce que je ne sais pas, on pourrait faire une bibliothèque.
Mon père est un grand enfant que j’ai eu quand j’étais tout petit.
En fait, je n'ai qu'une prétention, c'est de ne pas plaire à tout le monde. Plaire à tout le monde, c'est plaire à n'importe qui.
Tout nous trahit lorsque nous trahissons.
QUADRILLE.
On n'est guère critiqué que par des gens qui vous envient.
UNE PETITE MAIN QUI SE PLACE.
Les avocats portent des robes pour mentir aussi bien que les femmes.
C'est une erreur de croire qu'une femme peut garder un secret. Elles le peuvent, mais elles s'y mettent à plusieurs.
Le peu que je sais, c'est à mon ignorance que je le dois.
Si la femme était bonne, Dieu en aurait une.
Quel ravage un être peut causer par la seule force de sa séduction.
QUADRILLE (Acte IV).
Je ne cesse de penser que je ne pense plus à toi.
À quoi bon apprendre ce qui est dans les livres, puisque ça y est ?
(Ce qui était dit avec humour par Sacha Guitry est actuellement pris à la lettre par beaucoup... y compris au ministère de l'éducation nationale... et là, ça ne me fait plus rire du tout !)
Ô privilège du génie ! Lorsqu’on vient d’entendre un morceau de Mozart, le silence qui lui succède est encore de lui.
Je suis si fatigué que je bâille en dormant.