Citations de Sarah West (102)
Je t'aime, tu es ma femme. J'ai toujours su que tu serais à moi, même quand j'étais jeune et que je te regardais. Je te détestais, mais j’ai passé ma vie à chercher un moyen de t'avoir. Je me persuadais que c'était pour me venger mais, au fond de moi, je savais que ce n'était pas ça, j'avais déjà de l'amour pour toi.
Je veux tout avoir. Cette famille a failli me prendre ma femme, la personne qui compte le plus dans ma vie. la première à être entrée au plus profond de moi-même et il est temps que je lui montre, à ce roi qui s'est tout permis, qu'on ne m'appelle pas le monstre du château de brooks, et le roi cannibale, pour rien.
Un jour, je leur montrerai, à tous, que je n'ai besoin de personne.
Un jour, je serais un monstre pire que mon père.
Un jour, on m'appellera le monstre du château de Brooks.
Elle aimait le petit garçon que j'étais, elle finira par aimer l'homme que je suis devenu et elle ne partira jamais de mon château, ni de ma vie.
Tu es la plus belle femme que je n'ai jamais vue.
Même quand tu étais jeune et que je te regardais der-tière ce buisson, je le pensais déjà.
À la base, je devais la prendre, la faire souffrir, pas avoir envie qu'elle soit à mes côtés. en tant que femme et reine. Et bien plus que ça, même.
Elle regarde ailleurs, comme si elle avait perdu toute combativité, mais je sais que c'est faux. Elle essayera de me tuer, encore, et je serai là pour l'arrêter, lui enlever tout espoir d'une vie meilleure jusqu'à la détruire au plus profond d'elle-même.
Dans ce monde, dans ce milieu, rien n'est gratuit, tout se paie. C'est pour ça que je préfère être seul, ne pas m'attacher et ne faire confiance à personne car je sais à l'avance que je serai déçu par les gens.
Soane était mon seul espoir, je sais qu'il aurait respecté mon souhait, m'aurait compris mais, maintenant, je réalise que ce n'est plus le cas.
Je t’emmènerai en enfer avec moi, car même là, je ne veux pas qu’on soit séparé
Les échanges, la mort, les sévices, et tout ce que je peux imaginer dans ma tête de tordu, sont le quotidien des femmes qui partagent ma vie.
Dans la vie, il y a les bonnes personnes, celles qui ont un cœur, une âme, celles qui sont prêtes à aider leur prochain. Des personnes qui sont capables de vivre d'amour et de bienveillance, et puis il y a moi, Logan. Je suis sans cœur, sans pitié, sans amour.
Je pense que c'est à ce moment- là que je comprends que Dieu ne lui parle pas, que tout cela n'est que foutaise. Je le pensais déjà, mais là, ça se confirme.
Je m'approche et pose mon front sur le sien. C'est notre connexion, il se calme quand on fait ça, et moi, ça me rend heureux d'être si près de lui.
Comment peut- on être fiancé depuis toujours ? Je regarde autour de moi pour être sûr de ne pas m'être trompé d'époque et de ne pas avoir fait un voyage dans le temps, directement au Moyen- Âge.
Je ne sais pas comment réagir dans cette situation. Je commence à paniquer, je deviens moite et j'ai du mal à respirer. Seul Dieu peut m'aider dans ces moments- là, je me mets donc à genoux, et commence à faire mes prières. Il faut qu'il me protège de ce malotru.
Je suis un homme qui accepte les coups de son père, encore à l'âge adulte, car il n'a même pas le courage de se défendre face à l'homme qui lui pourrit la vie. Je suis le genre d'homme qui ne mérite que de mourir dans un caniveau, sûrement trop saoul pour s'en rendre compte, ou peut- être de maladie vénérienne.
Elle parle de LUI. Lui, c'est notre professeur de français, M. Lodge. Une bonne trentaine, brun aux yeux bleus, une pure gravure de mode, un canon comme on en a rarement vu. Il doit mesurer 1m90, il est musclé avec la taille fine. Il est aussi beau, voire plus beau, que certaines stars de cinéma. Un régal pour les yeux.
-Alors, dites-moi tout, Zoé... Je peux vous appeler Zoé ?
-Euh... Non, je ne préfère pas.
-Coucou, chéri.
Au secours ! Achevez-moi ! Ce petit mot doux, qu'elle s'est octroyée le droit de m'appeler, empire la situation et surtout mon état mental.