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Citations de Scott Snyder (158)


Scott Snyder
Lorsque je pense à la route, ça me donne des idées d’histoires.

(Stony Brook, NY – Février 2012)

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Un héros est un homme qui a trop peur pour s’enfuir.

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Les monstres, les croquemitaines existent. Certains se cachent sous votre lit, d’autres se pavanent en plein jour.

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- Il n’y a aucune issue.
- Alors fabriquons-en une.

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Nous ne vivons pas dans un monde de merveilles, mais dans un monde de cruauté et de violence.

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Il suffit d’une entaille pour qu’un navire prenne l’eau, pas vrai ?

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La peur, la culpabilité, la colère, l'envie... Il est normal de les éprouver. En réalité, ce que l'on considère comme ses défauts, du moment qu'on les accepte, qu'on les avoue à ceux qu'on aime.. Ils peuvent devenir des qualités, et même une source de force.
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L’importance d’un bâtiment ne se juge pas à sa taille, mais à ce qu’on y a vécu.

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A priori, le pire qu'une bombe puisse faire, c'est exploser.
Mais il y a pire que l'explosion.
Le moment qui la suit.
Un attentat à la bombe n'est pas fait pour détruire, mais pour faire peur.
Pour un nombre limité de morts ou de blessés, des dizaines de passants indemnes seront déstabilisés, secoués par le bruit, le choc... Par l'idée que leur quotidien, leur territoire, est envahi par un ennemi qui peut fondre sur eux à tout moment.
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T’as déjà vu un cheval se faire castrer au fer rouge ? Ses couilles font le même bruit que la tête d’un homme sur le bûcher.

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C’est ce qu’il voulait nous faire croire au sujet de Gotham, qu’elle touchait à sa fin, que le monde était au bord de l’anéantissement. Mais voyez notre ville : elle n’a rien de commun avec ce qu’elle fut il y a vingt ans, ou même dix ans.
Voilà ce qu’il y a d’effrayant… et de merveilleux aussi, avec Gotham. Elle ne cesse de changer. L’image que nous nous en faisons est éphémère, fluctuante. Nous voyons ses quartiers, ses communautés, les espoirs et les peurs qui l’animent. Et pouf, en un instant, tout a changé. Une nouvelle ville apparaît sous nos yeux.
En cet instant présent, Gotham est une ruine magnifique… qui n’appartient qu’à nous. Et ses peurs sont aussi les nôtres. La peur des ouragans, des cataclysmes, des idéologues fous aux armes meurtrières qui surgissent sans prévenir. Voilà les craintes qui hantent notre cité.
Mais vous pouvez me croire ; ces peurs, nous y ferons face ensemble, car la Gotham de l’instant présent n’est pas celle de nos pères, ni celle de nos fils, c’est la nôtre, celle de notre génération, et si nos peurs sont grandes, nos espoirs le sont aussi. Nos espoirs, et nos ambitions, et notre résistance, nous sommes prêts à mener ce combat.

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Ils ont envahi mon repaire…et je vais réduire le leur en cendres.
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Le plus important, c’est qu’ils sont le télégraphe et tu es le téléphone, ils sont le mousquet et tu es le fusil.

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Vadrouille tant que tu veux, où tu veux. Tôt ou tard, on se retrouvera. Pour passer le temps... J’ai de la bonne musique… mon réservoir est plein... et ma patience est infinie.

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- C’est quoi, cette tache ?
- C’est du sang, Papa. J’ai assassiné une serveuse pendant que tu parlais à Barbara, et j’ai enfoncé sa tête dans la cuvette des toilettes. … En fait, c’est du ketchup. Désolé. Je ne suis pas doué pour l’humour.

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J'ai toujours pensé que le meilleur moyen de connaître ma ville était d'en arpenter les trottoirs. De sentir l'interstice des pavés sous mes semelles. D'entendre l'assourdissant silence des parcs enneigés. Et le grincement strident du métro quand il traverse la voie aérienne de la 3e avenue. Voir le cortège des feux de voitures, la nuit. Mais tout cela n'est qu'illusion. Je ne le comprends que depuis quelques semaines.
Je sais désormais qu'on peut passer toute une vie en plein cœur de Gotham... sans jamais la connaître réellement.
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J’ai aperçu plusieurs paires de lunettes de vision nocturne dans le placard. Il y a même des génération 3, avec une photocathode à base d’arséniure de gallium. Taux d’amplification x30 000/x50 000. La marque favorite des Forces Spéciales.
Mais comparées à mes verres de contact… ce n’est rien.

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(Batman à Mr Freeze)
Tu n'es qu'un fou qui cherche l'amour à travers ton unique obsession, le froid.
Tu aimes trop le froid, Victor. Si Nora ressuscitait, tu la recongèlerais. Ce n'est qu'une idée fixe. Et je m'y connais en idées fixes.
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Je suis un homme. Je suis Alec Holland. Je le sais. Je le sens...
Pourtant, je vois mes mains devenues immenses... mon poitrail fait de racines vertes. Mais sous cette écorce, je sens mon corps humain qui subsiste. Je sens mon cœur battre, et le sang chaud coulant dans mes veines. Je sens mes poumons s’emplir d’air. Mais je sens aussi mon autre corps. Cet autre moi.
Le sang que mon cœur pompe alimente les rayons médullaires greffés à mes cellules. Le dioxyde de carbone qu’expulsent mes poumons est immédiatement recyclé par mon système respiratoire végétal. J’entends encore ma vraie voix dans ma tête... mais parler n’est plus aussi facile : mes cordes vocales sont dures comme du bois.
Même mes pensées sont doubles… Il y a ma vie, mes souvenirs d’un côté ; et de l’autre, archivée, toute l’histoire de la Sève. Je sais, je ressens des choses impossibles. C’est comme vivre dans un corps hanté. Je suis toujours moi, toujours Alec, mais il y a aussi la Sève, et je ressens ce qu’elle ressent.
La photosynthèse me nourrit, la proximité des déserts me met mal à l’aise. Je ressens aussi la faim de la Sève, cette terrible fringale que je dois maîtrise, tenir en laisse. Sauf aujourd'hui. Aujourd'hui, le fauve vert qui est en moi va montrer les crocs à l’ennemi qui l’attend sur les plaines arides.

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Batman : … Un problème, commissaire ?
Gordon : Non, non… je ne suis pas habitué, c’est tout.
Batman : … à quoi ?
Gordon : À ce que vous ne vous envoliez pas au milieu d’une phrase.

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