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Citations de Sir Arthur Conan Doyle (1631)


Lorsque vous avez éliminé l'impossible, ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la vérité.
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Rien n'est petit pour un grand esprit. (page 66)
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Un sot trouve toujours un plus sot qui l'admire. (page 63)
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Une étude en rouge, n'est-ce pas ? Pourquoi n'utiliserions-nous pas un peu l'argot d'atelier ? Le fil rouge du meurtre se mêle à l'écheveau incolore de la vie. (page 50)
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Prenez votre chapeau, dit-il. – Vous voulez bien de moi ? – Oui, si vous n'avez rien d'autre à faire ! (page 30)
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[…] j'accueillais avec empressement le petit mystère qui entourait mon compagnon et je passais une grande partie de mon temps à m'efforcer de le résoudre. (page 15)
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L'étude de l'homme est, comme vous le savez, le propre de l'homme. (page 13)
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Si on l'avait inventé plus tôt, des centaines d'hommes actuellement en liberté de par le monde auraient depuis longtemps subi le châtiment de leurs crimes. (page 10)
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Dans [son] cas, le bruit et la surexcitation sont contre-indiqués. (page 6)
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Naturellement, je me dirigeai vers Londres, ce grand cloaque où se déversent irrésistiblement tous les flâneurs et tous les paresseux de l'Empire. (page 4)
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Ce vieux Watson est toujours le même ! s'écria-t-il. Vous ne comprendrez donc jamais que les conséquences les plus graves peuvent dépendre des plus petites choses.
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- Mais pourquoi n'avez-vous pas mangé?
- Parce que les facultés s'aiguisent quand vous les faites jeûner. Voyons, mon cher Watson, en tant que médecin vous admettez bien que ce que votre digestion fait gagner à votre sang est autant de perdu pour votre cerveau? Je suis un cerveau, Watson. Le reste de mon individu n'est que l'appendice de mon cerveau. Donc, c'est le cerveau que je dois servir d'abord!
" La pierre de Mazarin"
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Ne m'avez-vous pas entendu dire que les choses les plus étranges et pour ainsi dire uniques étaient très souvent mêlées non à de grands crimes, mais à de petits crimes ?
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Ce que vous faites n’a pas d’importance aux yeux du public, repartit mon compagnon avec amertume. Ce qui compte, c’est ce que vous lui faites croire !…
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Cette nuit-là, je ne parvins pas à dormir. Un vague sentiment de malheur imminent m'oppressait. Vous vous rappelez peut-être que ma sœur et moi étions jumelles, et vous savez comme les liens sont subtils entre deux âmes si proches. C'était une nuit terrible. Le vent hurlait dehors et la pluie battait les fenêtres. Soudain, au milieu du vacarme de la tempête, éclatèrent les hurlements d'une femme terrifiée. C'était la voix de ma sœur. J'ai bondi de mon lit, je me suis enveloppée dans un châle et précipitée dans le couloir. Lorsque j’ai ouvert ma porte, j’ai entendu un léger sifflement, comme ce que ma sœur m’avait décrit, et quelques instants plus tard, le bruit d’un objet métallique qui tombait. Alors que je courais dans le couloir, j’ai vu que la porte de la chambre de ma sœur était déverrouillée et tournait lentement sur ses gonds. Je l’ai regardée s’ouvrir avec horreur, figée, ne sachant pas ce qui allait en sortir. À la lumière de la lampe du couloir, j’ai vu ma sœur apparaître derrière, son visage blême de terreur, ses mains cherchant de l’aide à tâtons, son corps tout entier vacillant comme celui d’un homme ivre. Je me suis précipitée vers elle et je l’ai entourée de mes bras, mais soudain ses genoux se sont dérobés sous elle et elle est tombée sur le sol. Elle s’est tordue comme sous l’effet d’une terrible douleur, ses membres se convulsaient de façon épouvantable. Je pensais qu’elle ne m’avait pas reconnue, mais alors que je me penchais sur elle, elle s’est mise à hurler d’une voix que je n’oublierai jamais. « Oh mon Dieu ! Helen ! C’était la bande ! Le ruban moucheté ! »
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C'est le grand bourbier de Grimpen, déclara-t-il. Un faux pas là-dedans et c'est la mort assurée pour l'homme ou l'animal. Pas plus tard qu'hier j'ai vu un des poneys de la lande s'y aventurer. Il n'est jamais ressorti. Pendant un bon moment j'ai aperçu sa tête qui se tortillait au-dessus de la tourbière, avant de finir par se faire engloutir. Même en saison sèche la traversée n'est pas recommandée, mais après ces pluies d'automne l'endroit est comme qui dirait terrifiant. Et pourtant je sais comment m'y repérer pour en atteindre le centre, et en revenir vivant. Mon Dieu, voilà encore l'un de ces malheureux poneys !
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