Citations de Sophie Audouin-Mamikonian (415)
On cherche, mais pour le moment, on n'a pas trouvé. Ça me rappelle vaguement une autre affaire, faut que je me souvienne.
- Gaffe, patron, gloussa Pierre, AA vous guette !
- AA ? demande Jeanne. Qu'est-ce que c'est ?
Harold leva un sourcil sardonique.
- Alzheimer s'appelait Aloïs. D'où le AA. Notre petit Pierre a le sens du raccourci.
Jeanne résista à l'envie de répliquer "Ah, ah ! je vois"
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On se concentre sur ce qui est vraiment important. Sauver les fesses de la famille O'Hara.
Son œil devint narquois et je rougis. on, d'accord, le terme "fesses" n'était pas tout à fait adapté pour parler de Katrina. Axel fut assez poli pour ne pas faire la demi-douzaine de remarques grivoises qui devait trotter dans sa tête. Trop gentil.
- Tu veux dire que tu as assommé Chuck juste avec tes poings ?
- Non.
- Ahhh, je me disais aussi...
- Avec un seul.
- Indiana, c'était pour ton b...
Je lui collai la plus elle droite de la vie. [...]
Pour la première fois de ma vie, je venais d'assommer un loup-garou.
- Ca se voit tant que ça ?
- Si ton amour était un poulet, il aurait la taille d'un dinosaure, alors oui, ça se voit.
- Tu n'es pas comme les autres, Indiana. On a presque l'impression que tu débarques d'une autre planète. Et tu sais, je crois que je n'ai jamais vu un corps aussi balafré que le tien.
Ah ? Zut, moi qui croyais qu'elle était impressionnée par mes muscles. Raté.
Oh là là, je deviens sénile. Mais à force d'entendre Indiana parler à son chien, j'en viens à croire qu'un jour celui-ci va lui répondre !
Nous devînmes inséparables. Enfin, je suivais Katerina comme un petit toutou, et Tyler, comme un loup. Ce n'est pas valorisant de dire cela, mais je m'en fichais.
Rappelle-toi, je suis le crapaud humain. Les princesses n'embrassent les crapauds que dans les contes de fées !
Tu es mon soleil et ma lune. Tu es l'espoir qui brille dans les yeux des prisonniers, tu es l'oiseau qui vole dans le ciel. Tu es ma respiration et les battements de mon coeur. Depuis que je t'ai vue, je n'ai ni repos ni songe. Je ne vis que pour toi, je ne pense qu'à toi. Nulle extravagance ne me semblera trop extravagante, nulle folie ne me semblera assez folle. Si j'étais un chevalier, je défierais tous ceux qui s'opposeraient à moi, si j'étais un dragon, je t'enlèverais comme le plus précieux des trésors.
Le long de l'allée illuminée. Sa peau blanche resplendissait sous le flamboiement des torches et ses yeux vert gris devenaient noirs sous la lune montante. La balancelle oscillait doucement, la maison paraissait accueillante et pimpante avec sa nouvelle couche de peinture. L'automne était déjà bien entamé, les grillons s'étaient tus et on sentait dans l'air trop froid la mélancolie des jours enfuis. La nature créait un cadre enchanteur et romantique. La lune n'était pas pleine, mais pas loin, baignant tout de sa perfection argenté.
Elle se retourna vers moi, plongea ses yeux magnifiques dans les miens. Soudain je réalisai que je la tenais dans mes bras et qu'elle n'essayait pas de se dégager. Je ne pus m'en empêché, toute pensée rationnelle déserta mon crâne. Je me penchai. Elle ne recula pas, me dévisageant gravement. Ce fut comme une onde de désir et de joie qui traversait mon coeur. Tout mon univers se résuma à son parfum, à la chaleur de sa peau et à l'eau verte de ses yeux. Je l'embrassai. Tout doucement, comme un papillon effleure une rose, trop fragile pour s'y poser. Le fruit rouge qu'était sa bouche m'accueillit comme si c'était la chose la plus normale du monde. Son odeur m'emplit avec une force telle que je tremblais. Je la serrai davantage et elle me répondit! Elle répondit à mon baiser avec une force, une ardeur qui me submergèrent. J'accentuai mon baiser, avec l'envie de la dévorer, la faisant presque ployer sous l'intensité de mon étreinte. Son baiser me marqua au fer rouge au point que je ne pouvais plus respirer. Elle prit mon coeur, l'enferma dans une boîte et jeta la clef. Haletant je reculais. Elle aussi cherchait son souffle.
Elle me regardait, à l'abri dans le noir. Je sentais son parfum. J'entendais qu'elle haletait. Son coeur battait bien trop vite et bien trop fort. Nous aurions pu rester ainsi pendant toute la nuit, elle dans le noir et moi dans la lumière de la lune, communiant silencieusement.
-Donc il n'y a pas de problèmes. Vous avez ma proposition, si vous vous ennuyez trop, vous savez quoi faire. La balle est dans votre camp.
-Quelle balle ?
Aïe. Tara avait encore oublié qu'il fallait éviter les métaphores avec tout un tas de peuples, dont, a l'évidence, celui des gardiens.
-Je veux dire que c'est votre décision.
Il y eu un nouveau silence.
-Évidemment, Sang de Demiderus, que c'est notre décision, pas la vôtre.
OKKKKK, Il y avait du boulot pour arriver à communiquer là.
Et dans quel autre univers Tara était-elle considérée comme une sorte de vache reproductrice ?
-Meuuuuh ! fit-elle.
Robin et Mara la regardèrent avec stupeur. Elle n'expliqua pas le son bizarre qu'elle venait de produire.
Certes, Votre Altesse, répondit diplomatiquement Xandiar qui s'en fichait comme de sa première épée. Cette machine est capable d'identifier et de neutraliser tout dispositif d'espionnage; Je vais vous montrer.
Il appuya sur un bouton et instantanément un peu partout autour d'eux il y eut comme de petites explosions. Y compris dans la chambre de Grr'ul qui sorti d'un air affolé et qu'ils eurent beaucoup de mal a calmer, et dans la salle de bain.
Tara trouva ce dernier détaille vraiment indélicat. Ils pensait quoi les vampyrs, qu'elle allait tenir des conférences secrètes dans sa baignoire ?
- Les couleurs ! s'exclama-t-elle. La plaine grise, les démons, les couleurs !
Les autres la regardèrent en haussant les sourcils, genre " ne-vous-en-fait-pas-ma-chère-ils-sont-un-peut-dérangés-dans-la-famille ".
Cal fut plus directe.
-Ça è est, se lamanta-t-il. Elle a pété un plomb !
Jamais. Tu es le cœur de mon cœur, l’âme de mon âme. Il faudrait m’arracher mon esprit pour t’arracher à moi (...) Je suis mort cinq fois, et cinq fois mon âme c’est refusée au néant, car je devais, il fallait que je te revois une dernière fois.
De la fantaisie dans la fantasy. Tara n'est pas une sorcière comme les autres : c'est une sortcelière, celle-qui-sait- lier-les-sorts. Ses pouvoirs, qu'elle découvre par hasard, vont l'aider à délivrer sa mère, retenue prisonnière sur la planète AutreMonde.
Un premier tome d'une série bien fournie qui met à l'honneur l'humour et le courage.
Philippe avait du mal à accepter ce genre d'équation dans son métier,mais cela ne semblait pas poser de problème à son supérieur.Attendre on pourrait presque dire espérer, quand les indices étaient maigres au départ (petit jeu de mot avec le titre de ce thriller)
- Je ne crois pas vous connaître, susurra-t-elle à Cal d'un ton admiratif. J'aurais besoin de votre nom... pour... pour la cérémonie de demain.
Cal aimait particulièrement les films terriens.
Il n'hésita pas.
- Bond, répondit-il de sa voix de velours en s'inclinant sur l'une des mains de la jeune femme. James Bond.