Citations de Stephen Desberg (583)
Quoi qu'on puisse te dire sur le terrain, quoi qui puisse arriver devant toi.... ne te pose jamais de questions, et exécute les instructions qu'on t'aura données avant le match !
"Un survivant ne marche pas comme une victime. Mais il peut toujours les imiter."
"N'importe quel professionnel vous le dira. Parfois il faut savoir faire le mort. Ce qui compte c'est de ne pas oublier de s'accrocher à la vie."
"Il y a tant de choses abominables dans ce monde, ne pensez-vous pas? Je ne cherche que la beauté, l'émotion. Tout ce qui n'a pas de prix!"
J'irai au bout de ma mission, quels que soient les moyens que j'utiliserai!
Notre philosophie était imparable: montrer toute la misère et l'horreur du monde pour que notre public soit heureux d'en être loin! (p.11)
- Les présentations étant faites, je ne puis résister à vous montrer quelque chose qui vous intéressera personnellement... Ma fille vous a déjà fait découvrir nos chambres-salons. Une idée amusante que d'emprisonner des villes, ne trouvez-vous pas ? Mais il faut que je vous montre la cinquième pièce que je suis en train d'aménager. J'ai assez entendu parler de vous pour savoir qu'elle vous plaira... Mais voyez plutôt...La sorcellerie, le diable, le crime... Tous les sujets qui hantent vos livres, c'en est presque un hommage à votre oeuvre, non ?
- Pas de miroir dans cette pièce-ci ?
- Ah ! Je suis heureux que vous vous en soyez aperçu ! Vous aviez remarqué mes miroirs dans les autres pièces, n'est-ce pas ?
Combien de gens se sont-ils nourris de la guerre en Europe? Combien d'industriels de receleurs, de délateurs ! p.17
Les règles sont toujours les mêmes, parce que la paix n'est qu'une guerre sur un autre champ de bataille.Les généraux n'ont jamais les mains propres.
__C'est ce qui différencie le femme de l'homme...
___ow !
_...c'est que nous visons toujours...le coeur!
_A quoi bon attacher un scorpion...Si l'on ne prend pas garde.....à son dard ! p44
Sincères condoléances. Vraiment pas de chance...
Un seul moment d'absence et voici l'heure de la pénitence !
Pauvre enfant, ne pleure pas, je comprend ton émoi...
Toutefois, c'est la loi, la vie cède au trépas.
Nous étions quatre. Et le monde nous appartenait. Nous étions inséparables. Parce que la vie et les épreuves nous avait forgés. Et soudés. Nous étions quatre. Mais il y avait un traître parmi nous. Et c'est ainsi que tout s'est terminé !
- C'est un ami à toi ?
- Tu peux m'insulter au lit, et si tu paies. Mais pas avant, d'accord ?
- C'est vrai. J'ai volé. Ayez pitié... de moi ! Je... j'espérais que personne... ne m'avait vu. Ayez pitié. Pitié.
- Si Dieu le sait, Dieu te pardonnera. Moi, je ne suis qu'un homme, et je dois te punir. Tu comprends pourquoi, n'est-ce pas ?
voila de quoi riait Nelio! J'avais désiré la même chose que lui. Un homme! Chauve, trop maquillé. Souillé par le parfum écœurant de son amant. Adam ou Eva m'a alors saisi le bras, pour prendre le dossier.
Il fallait avant toute chose que, dans cette marque d’infamie que le scorpion portait à l'épaule, je découvre la part de sa mère et la part du diable.
- Je ne comprendrai jamais les femmes. Poser des lapins à son patron dans une ville d'un demi-million de secrétaires potentielles !
- je n'ai pas vu ton visage Rochnan. C'est la vérité, laisse-moi partir.
- Mais tu sais pourquoi je suis obligé de la cacher.
MEME SI TOUT ETAIT A RECOMMENCER JE NE FERAI RIEN AUTREMENT
bonne petite bd j ai tout lu donc c est que sa passe mdr