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Critiques de Steven Appleby (23)
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Dragman

Quel rapport entre une drag-queen et un super-héros. L’identité secrète bien sûr.

Dragman, c’est un super héros, son super pouvoir lui vient de collants féminins, comment ne pas faire le rapprochement avec l’impression de se sentir plus fort habillé en femme, c’est d’ailleurs le véritable thème de cette histoire. Le trait est brut, simple, mais quelques grandes illustrations en pleine page viennent apporter du lyrisme et de l’intensité à cette aventure.

Cela pourrait passer pour un énième récit d’aventure de super-héros, fait de rebondissements, avec enlèvements, bagarres, assassinats, retournements de situation, tout ce qu’il faut pour rendre l’histoire classique alors qu’elle n’est pas classique du tout. La situation de drag queen se trouve en conflit avec ce contre quoi lutte Dragman : une société privée achète leur âme aux individus, ils deviennent alors ce qu’on pourrait appeler des “no-life”, des personnages sans caractère, à la vie rythmée comme des robots, ils n’ont rien à cacher, eux. Je trouve que cette idée donne encore plus de piment au récit.

Il y a, à travers cette aventure rocambolesque, un témoignage sur la situation des drag-queen et un questionnement sur les identités troubles, c’est une histoire de coming-out, qui aborde le sujet de façon détournée. J’ai trouvé cet angle de vue subtil et original, on se laisse surprendre, on peut se laisser bercer et se contenter de croire qu’il s’agit d’une simple histoire de super héros comme une autre, où s'imprégner du jeu des allégories, et lire une toute autre histoire, et les deux se rejoignent au final. L’émotion sera au rendez-vous. Il y a, en fin de livre, un texte sur l’auteur qui nous aide à mieux cerner le rapport entre l’auteur, drag queen lui-même, et son œuvre.

Une histoire avec des bagarres, des poursuites, du suspense… et qui soulève des thèmes forts, avec un résultat, troublant et bouleversant… Ça restera une lecture marquante.
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Dragman

C’est d’abord une histoire intime. Celle de Steven Appleby lui-même. C’est ensuite une histoire qui met en lumière le débat du genre, du travestisme et plus globalement de l’acceptation de soi.

J’attendais beaucoup de cet album et je suis resté sur ma faim. Je n’ai été emballé ni par le scénario, ni par le dessin. L’idée d’utiliser la fiction plutôt que le témoignage pour aborder ce sujet sensible est intéressante et la trouvaille de ce personnage aurait pu être géniale. Mais derrière ce personnage il m’a manqué un souffle, un dynamisme, un scénario quoi !… j’ai eu bien du mal à aller au bout des 340 pages.

J’ai trouvé le dessin et la construction du récit trop statiques… C’est vraiment dommage car il y a des passages passionnants, ceux liés à sa jeunesse… Finalement, choisir le témoignage n’était peut-être pas une si mauvaise idée…

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Dragman

Ce que j'ai aimé dans dragman, ce sont les dessins grands formats et les double pages. Quant à l'histoire, je n'ai pas accroché, le monde des super héros finit par me saouler, on en trouve désormais à toutes les sauces. L'auteur a trouvé ici une façon de parler des problèmes rencontrés par les travestis, mais j'ai eu du mal à lire les 300 pages.
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La verite sur les hommes  010897

Une BD vite feuilletée, un dessin et une phrase par page, illustrant différents travers censés caractériser la gent masculine. C'est facile, bourré de clichés, de poncifs, mais parfois bien rigolo malgré tout lorsque l'on reconnaît des proches, des personnes côtoyées, etc. Des exemples : la façon d'enlever les pulls en tirant sur le col, la manie de tout perdre/oublier, la hantise des boutiques de fringues, l'art de regarder et commenter le paysage en conduisant (au lieu d'être concentré), le côté "taiseux", le "c'est pas ma faute", la faculté de s'abstraire d'une conversation ennuyeuse, dérangeante, etc.

Pour être honnête, précisons que tous ces défauts peuvent avoir leurs contraires féminins, tout aussi pénibles à supporter de l'extérieur. Dans l'ordre, respectivement : la maniaquerie avec le linge, la mémoire des futilités (et donc la capacité à garder rancune), la tension au volant, le bavardage incessant/saoulant, le don de se pourrir la vie en culpabilisant beaucoup, ne rien laisser passer, tout éplucher et se prendre la tête pour des c*nneries... non ?

Allez, le mot de la fin, cet album a été écrit/dessiné en 1994, on va dire que les hommes ont beaucoup progressé en dix-sept ans...

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Dragman

Bon alors moi,les mecs en caleçon hyper moulants, c’est pas trop mon truc. Encore que je ne suis pas insensible au Dark Knight de Christopher Nolan ou à son ennemi juré le Joker sous les traits de Heath Ledger ou Joachin Phenix . Mais laissons là le 7ème art et revenons au 9ème. Ce n’est donc pas chez Marvel ou DC comics que j’ai trouvé mon super héros mais chez Denoël graphique. Il n’est pas américain mais british jusqu’au bout de ses ongles manucurés et est né sous la plume affûtée de Steven Appelby.

Mon super héros, c’est Dragman dont le super pouvoir découvert à l’adolescence n’est autre que celui de voler dès qu’il revêt des vêtements de femme.

Et quoi de mieux pour le définir que les mots de sa compatriote Posy Simmonds que l’on peut retrouver sur la couverture de ce pavé de plus de 300 pages au titre éponyme. Je la cite : « Il n’y a pas de super-héros plus super que Dragman, le héros travesti de Steven Appeleby, » Belle entrée en matière



Notre histoire commence 3 ans après qu’August Crimp alias Dragman a rangé son masque, son porte-jarretelles, sa perruque blonde et sa robe à sequins bien au fond des cartons et mène une vie rangée auprès de Mary Mary sa femme qui, bien sûr ignore tout de son passé de super-héros et son petit Gulli. Mais voilà que plusieurs évènements vont lui faire reprendre du service. L’histoire se déroule à Londres à une période indéterminée, un Londres fantasmé bien sûr, où les héros ont formé une agence qui monnaient leur service de protection du citoyen. Des super héros bien particuliers. Il y a Dog Girl l’ex-coéquipière de Dragman qui comme on peut s’en douter a un flair extraordinaire notamment pour détecter l’âme de chacun et déteste les chats.Tiens Dog Girl, versus Catwoman, voilà un duel qui aurait du chien ! Non ?

Et puis Fist, la brute bas-de-plafond ou encore le Believer qui ayant cessé de croire en lui a sombré dans l’alcoolisme et aussi Hindsight qui voit non pas le futur mais le passé pour ne citer qu’eux. Tout n’est pas pourri dans le royaume des super-héros mais presque. Ils évoluent dans une société où sévit le trafic d’âmes orchestré par la toute puissante société Black Mist, ces âmes que les habitants perdent en la vendant, devenant ainsi des coquilles vides. Et voilà de surcroît que Hindsight a disparu alors que rôde dans la ville un sérial killer, tueur de filles trans.

Dragman va donc reprendre du service aux côtés de Dog girl à la recherche des âmes disparues des parents de la petite fille qu’il avait sauvée autrefois et de Hindsight.

Le scénario est extrêmement bien ficelé.

L’histoire se déroule sur 4 jours et on passe du présent du super-héros en couleurs où scènes de la vie familiale alternent avec les enquêtes menées aux côtés de Dog Girl à son passé à travers des flash-backs réalisés en lavis de gris tirant sur le vert.

La colorisation a été réalisée par Nicola Sherring l’épouse de Steven Appleby. Ce sont ses aquarelles délicates qui délimitent les cases sans contour du dessinateur si l’on excepte celles se référant à l’enfance et l’adolescence ou concernant dans le passé des retours en arrière qui, elles, sont cernées de pointillés à l’encrage. Ce procédé offre une grande fluidité et lisibilité au récit.

Quant au graphisme, il rappelle celui des illustrations de livres pour enfant, notamment celles du fameux illustrateur des romans de Roald Dahl Quentin Blake dont il fut l’élève.



Alors comme il le dit dans la postface, Steven Appleby n’est pas August Crimb mais toute ressemblance avec lui n’est pas fortuite. Dessinateur de presse humoristique, notamment pour le Guardian, Steven Aplleby a également une vingtaine d’albums à son actif. C’est là son premier roman graphique dont la gestation a demandé pas moins de 18 ans.

Tout comme son héros August Crimp se travestissant en Dragman, Steven Appleby revêt les vêtements de la fiction pour aborder la question du transgenre et du transvestisme que lui même pratique depuis longtemps. D’ailleurs depuis 2007 iel ne porte plus que des vêtements féminins. L’anecdote relatée dans le récit concernant le bas découvert dans le sofa à l’âge de 15 ans est elle tout a fait réelle, à la différence près qu’il ne s’est pas retrouvé projeté au plafond. Encore que, métaphoriquement… ça se discute



Tout en empruntant les codes des comics américains, Steven Appleby détourne dans Dragman les clichés des récits de super-héros et même s’il ne nous fait pas entrer en transes nous livre là un thriller graphique à la sauce british plein d’humour et de suspense tout en questionnant avec subtilité notre regard sur un sujet d’actualité. Pour terminer, je signalerai que Dragman a obtenu le prix spécial du Jury Angoulême 2021 et c’est amplement mérité.
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Dragman

August Grimp aime porter depuis son plus jeune âge des vêtements de femme. Il devient alors Dragman, un super héros capable de voler et de sauver une petite fille en train de chuter d’un toit. De peur du ridicule et de la réprobation de ses proches, il finit par poser ses habits de superhéros pour s’établir en bon père de famille, marié et bien casé dans sa ville de Londres. Pourtant, à l’appel de la jeune fille qu’il a sauvée quelques années plus tôt, Dragman revêt son habit de lumière, pour l’aider à retrouver ses parents, qui ont subitement disparu pour avoir vendu leur âme à la société Black Mist.

Dragman est le premier roman graphique, dont le superhéros est transsexuel. Édité chez Denoël, il détourne les codes du comics, avec un angle typiquement british, burlesque, fantaisiste, mais également profond et émouvant. Distingué lors de l’édition du Festival d’Angoulême de 2021, en recevant le Prix Spécial du Jury, Steve Appleby, par sa fascination pour le travestisme et le transgenre, montre tout son talent de scénariste et dessinateur.
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Dragman

Depuis qu'il a trouvé, adolescent, un bas de sa mère dans le sofa, August Crimp a découvert deux choses. La première est qu'il adore porter des vêtements de femme. La seconde est que lorsqu'il le fait, il devient capable de voler. Il devient alors le super héros Dragman. Avec son amie Dog Girl, ils doivent trouver qui s'en prend aux femmes trans et venir à bout de la société Black Mist qui rachète leurs âmes aux plus démunis. Mais August Crimp doit aussi affronter un problème personnel de taille : sa femme n'est au courant de rien et elle déteste le mensonge...



Un super-héros qui explose les cases du genre et de la virilité avec humour et originalité. Une enquête qui tient en haleine, des personnages forts, un scénario foisonnant. Une quête de soi originale dans un monde fictionnel créé par Steven Appleby qui y a mis beaucoup de lui, comme il l'explique à la fin de son roman graphique. Prix spécial du Jury cette année au Festival BD d'Angoulême.
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Dragman

Dragman est un savant mélange entre un récit prenant, une atmosphère loufoque et une histoire engagée. Dragman est un héros travesti qui peut voler lorsqu'il s'habille en femme, avec son acolyte, Dog girl, il reprend du service et devra faire aux commerçants d'âmes, aux meurtrier qui ne s'attaque qu'à des hommes travestis et à la disparition d'un ami super héros : Hinsight.

Les chapitres de la BD sont entrecoupés par des textes extrêmement bien écrits qui nous plongent dans la psyché des personnages et les dessins fonctionnent parfaitement avec l'histoire.

Bref, Dragman a tout ce qu'il faut !
Lien : https://www.instagram.com/li..
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Dragman

Connaissez-vous Dragman ? Sans doute pas, car ce super-héros n’est ni issu de la galaxie Marvel ni même de celle de DC Comics, il sort tout droit de l’imagination de l’auteur de bandes dessinées anglais Steven Appleby. Un super-héros qui a la particularité de se mettre à voler dès qu’ils se travestit en femme. Etonnant, non ?

Premier roman graphique de Steven Appleby, Dragman raconte les incroyables aventures d’August Crimp, marié père de famille qui, un beau jour, découvre qu’il pouvait voler en se travestissant… ce qui va quelque peu peu changer le cours de sa vie.

En compagnie de Dog girl, une super-héroïne qui a le flair d’un chien, il vole régulièrement au secours de la veuve et l’orphelin, mais la mission la plus périlleuse pour lui consiste à venir à bout de la maléfique société Black Mist qui fait prospérer son business en proposant aux plus démunis de leur acheter leur âme.



Sélectionné en compétition pour le Festival de la bande dessinée d’Angoulême 2020, Dragman est incontestablement une des bonnes surprises de cette année 2020 en matière de BD. En premier lieu parce Dragman dépoussière gentiment le mythe du super-héros à l’américaine, avec un personnage dont la philosophie semble assez éloignée de celle des surhommes, américains que l’on connait. Et c’est tant mieux car c’est ce qui fait tout le charme et la singularité de cette bande dessinée extrêmement drôle, rythmée et qui pose pas mal de questions sur des sujets bien de notre époque.

Car derrière le trait de dessin naïf et les couleurs pastelles très douces de Nicola Sherring, Dragman est un livre d’une ambition folle, pour un(e) auteur(e) qui s’assume en femme transegenre et qui parvient, à travers ce récit d’une grande finesse à retranscrire ce que peuvent ressentir ou vivre les hommes travestis, confrontés à l’intolérance du monde vis-à-vis de leur condition.



Malgré la gravité et l’importance du sujet, donc, le livre dévoile également beaucoup de qualités dans le scénario proprement dit, proposant une solide intrigue développée sur plus de 300 pages. Un récit à la fois dense, léger et burlesque, rempli de personnages assez jubilatoires à l’image de ce super-héros dont le pouvoir n’est pas de deviner l’avenir mais le passé.



Et d’ailleurs l’auteure anglaise reconnue Posy Simmonds, qui parraine en quelque sorte ce livre, ne s’y est pas trompé en affirmant “qu’il n’y a pas de super-héros plus super que Dragman, le héros travesti de Steven Appleby”. Et vous pouvez la croire !




Lien : https://www.benzinemag.net/2..
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Dragman

Steven Appleby démontre avec brio qu'un détour par la fiction est souvent un chemin bien plus direct pour parler d'un sujet délicat et intime qu'un simple témoignage.
Lien : https://www.actualitte.com/a..
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Dragman

Oh non ce ne sera pas du Marvel ou DC Comics ! cette BD anglaise déjantée met en scène des super héros•héroïnes du quotidien, qui ont aussi leur vie ordinaire avec ses contraintes (s'occuper du bébé, faire les courses...) et mènent une double vie pour combattre le mal. Leur super pouvoirs viennent souvent de leur différence, qu'ils assument, ce qui les rend plus forts. August Crimp par exemple arrive à voler quand il s'habille avec des vêtements féminins. On l'appelle Dragman : bon père de famille mais aussi super héroïne trans, qui conjugue ses deux vies pour faire le bien autour de lui, et en lui. C'est loufoque, c'est drôle, et surtout très malin. Une belle BD sur l'acceptation de soi, assez délirante !
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Dragman

Meutres dans la communauté trans qui vont être résolus par un super héros trans et ses collègues aux divers pouvoirs. Tout cela se passe dans notre monde...mais légèrement augmenté. Dragman, le héros travesti, j'ai adoré le dessin un peu brouillé et l'impression de lire un roman.
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Dragman

Dragman, le super-héros trans.

À Londres, August Crimp aime porter les habits de femme. Ce faisant, il a le pouvoir de voler.

Une série de meurtre de transsexuels et les mauvais agissements de l'entreprise Black Mist l'amèneront à dévoiler sa vraie personnalité.

Le dessin et les textes servent un propos fort sur l'acceptation de soi et des différences.



Steven Appleby , père de famille et marié vit au grand jour habillé en femme depuis une dizaine d'années.

Ce roman graphique voit enfin le jour après 18 ans de travail et d'encouragements .
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Dragman

Tous les super héros ne portent pas de capes. Certains préfèrent les robes, comme August Crimp qui devient "Dragman" lorsqu'il s'habille en femme, un personnage inspiré par le passé de son auteur, le Britannique Steven Appleby.
Lien : https://focus.levif.be/cult..
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Dragman

Dragman n’en demeure pas moins original et attachant : car il raconte les super-héros sous un angle inédit, tout en parlant avec finesse du thème de l’acceptation de soi.
Lien : http://www.bodoi.info/dragman/
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Dragman

Faites connaissance avec Dragman, ce justicier dont les pouvoirs se manifestent lorsqu’il porte des vêtements de femme. Une belle ode à la tolérance sous le trait fantaisiste de Steven Appleby, dessinateur au « Guardian »
Lien : https://www.nouvelobs.com/bd..
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Dragman

Un premier roman graphique drôle et poétique sur la question du genre à lire de toute urgence.
Lien : http://www.psychologies.com/..
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Dragman

Entre les pages de cette histoire de superhéros franchisés vendus à la publicité et ne roulant que pour eux-mêmes se cache une quête identitaire. Celle d'un homme qui aime s'habiller en femme et rêve qu'on l'accepte tel qu'il simple dans cette ville dans les idées reçues et des cases. Virile ou il faut choisir son camp. Un roman bédé drôle et atypique.
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Dragman

La nuit venue, alors qu'il enfile son costume, il est toujours un mec bien, juste un peu spécial, car il sait voler, et son costume de super-héros est en fait celui d'une super-héroïne. Son nom? Dragman. Flanqué de sa fidèle amie Dog Girl, il traque le mal. Et dans cette ville où les gens vendent littéralement leur âme à une compagnie internationale, et où des filles trans se font trucider, le boulot ne manque pas.
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Dragman

Un volume qui brille davantage par sa construction, son humour british et sa contribution décalée au débat des genres que par le rendu visuel.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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