Que cette histoire est triste, mais triste !
Les malheurs s'accumulent au fil des pages pour l'héroïne et ses proches, et même lorsqu'il semble y avoir une éclaircie, c'est pour qu'un nouveau drame frappe sans tarder.
Certains aspects de l'histoire ne m'ont pas trop plu : l'argent très, très présent dès qu'il y a une décision à prendre et le mariage de la jeune femme avec frère de son compagnon tout juste décédé, contracté comme une assurance qui règle tout (solitude, argent, droit de visite du bébé à naître…). Mais bon, ce n'est pas si grave puisqu'ils tombent finalement amoureux, évidemment.
La plume de Suzanne Roy n'est pas désagréable mais l'histoire qu'elle raconte n'est pas du tout à mon goût : un vrai mélo, larmoyant d'un bout à l'autre du livre. Ce n'est pas du tout ce que je recherche lorsque je choisis de lire une petite romance...
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Après mon voyage au Quebec en 2017, j'ai eu envie d'essayer quelques livres d'auteurs canadiens. Lu déjà depuis un certain temps, je l'ai redécouvert et j'ai décidé de faire sa critique.
« Un cadeau du Ciel » de Suzanne Roy est un roman à l'ambiance légère et douce, teinté d'une petite touche de surnaturel.
Elina est un ange qui ramène les âmes égarées vers la lumière. Elle se préoccupe de celles d'un hôpital de Montréal mais quand elle repart avec les âmes, elle éprouve des difficultés à comprendre la détresse et la peine des humains. Que se passe-t-il après ? Elle n'en a pas la moindre idée et cela ne l'intéresse pas vraiment.
Dans cet hopital, travaille également le docteur Éric Séguin, médecin urgentiste, celui qui se bat pour sauver des vies et qui ose lui voler des âmes. Jusque là, elle n'avait jamais laissé une âme lui échapper. Ne comprenant pas comment il peut réussir à les lui voler, elle est tellement contrariée qu'elle finit par commettre une erreur…
Pour lui donner une leçon, Dieu l'envoie sur terre en humaine. Elle doit tout apprendre : comment se comporter, comment cuisiner, apprendre à goûter, ressentir les sentiments et découvrir le temps, la patience. Elina est perdue, submergée par les informations, les émotions, elle réalise alors combien la vie humaine est complexe, faite de choix et que le temps, notion inconnue des anges, est au centre des préoccupations. Les chapitres s'écoulent en fonctions de ses découvertes. Au fil des pages, une très belle histoire d'amour se dessine entre elle et le fabuleux docteur Séguin.
Si vous avez besoin d'une lecture différente, « Un cadeau du Ciel », est une romance mignonne sans prise de tête, sans grand rebondissement, plaisante à lire, qui montre combien il est important de prendre du temps pour ce qui compte vraiment et de profiter pleinement des moments de bonheur et de ceux que l'on aime.
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La romance n'est pas un genre de littérature que je lis beaucoup. Et pourtant en ce moment je découvre des bouquins dans ce thème qui me font vraiment de l'oeil. Les histoires ont l'air sympa et puis il faut bien dire que c'est de la pure lecture détente. On se creuse pas la cervelle et ça reste assez agréable. Ce livre de Suzanne Roy, auteure canadienne, aura la palme du passage le plus rapide dans ma PAL. Acheté et attaqué le jour même, c'est après l'avoir vu passer sur un site que j'ai eu envie de me plonger dans cette romance paranormale.
Depuis toujours, Elina n’a qu’une raison d’être : elle apparaît au chevet des mourants, et montre à l’âme détachée de son corps la porte qu’elle doit traverser. Ce qui attend les humains de l’autre côté ? Elle n’en a pas la moindre idée, et elle s’en fiche. Ceux-là ont eu leur temps sur Terre, ils n’avaient qu’à mieux l’employer, non ?
Jusqu’au jour où elle laisse échapper une âme... une âme dont le corps est revenu à la vie grâce aux soins acharnés d’un médecin des urgences. Puis une deuxième...
Prise en défaut, Elina n’a plus le choix, elle doit comprendre ce qui rend cet homme si particulier. Son destin achèvera de basculer lorsqu’elle se retrouvera précipitée sur Terre, apeurée et ignorante, avec un seul nom à la bouche, celui d’Éric Séguin, le médecin qui aura changé sa vie.
J'ai d'abord été séduite par la couverture. Je la trouve très jolie, très dépouillée et finalement, très pure. C'est exactement la représentation que je me suis fait d'Elina, notre héroïne. Ceci dit, je pense que c'est fait exprès ...!
Parlons maintenant de cette jolie histoire. Nous découvrons Elina dont le boulot est de récupérer les âmes qui arrivent "au ciel" pour leur faire traverser une porte. Elle ne sait pas ce qui se cache derrière mais elle ne se pose même pas la question. Elle fait son job sans aucune compassion pour les humains qu'elle rencontre dans l'hôpital où elle "travaille". Son seul compagnon est Cédric (je crois ...), un ange comme elle mais qui est animé du désir de mieux connaitre les hommes. Mais voilà qu'un beau jour, Elina atterit toute nue dans le service des urgences de l'hôpital. Les seuls mots qu'elle prononce sont "Eric Séguin", le médecin qui lui a empêcher d'emmener des âmes ...
J'ai beaucoup aimé le fait qu'Elina soit un ange, c'est un thème qui me plait pas mal. J'avais vu une série sur les faucheurs d'âmes, "Dead like me", que j'avais beaucoup aimé. J'avais imaginé que ce livre me remettrait dans cette atmosphère mais ce n'est pas le cas. Elina arrive sur Terre dans le plus simple appareil et doit tout découvrir, vraiment comme une enfant. En fait, c'est une petite fille dans le corps d'une jeune femme adulte ... On ne sait pas vraiment pourquoi elle fait une véritable fixette sur Eric ...
La première partie du livre m'a beaucoup plu. Eric est un personnage sympa et très maladroit avec les femmes, il faut dire qu'il est célibataire depuis longtemps. Il vit avec sa soeur qui est veuve et sa nièce qui doit avoir 8 ou 9 ans. Pas l'idéal pour rencontrer des nouvelles têtes ! J'ai également beaucoup aimé Elina, au début. Je la trouvais certes naïve mais toute choupette, avec une immense soif d'apprendre et de découvrir la vie sur Terre. Au fur et à mesure, elle m'a un peu gonflé parce qu'on dirait qu'elle n'évolue pas, qu'elle n'apprend rien et qu'elle reste bécasse.
L'histoire d'amour paraissait évidente à la lecture même du résumé du livre mais je ne pensais pas que ça irait aussi loin et du coup, ça m'a paru un peu "trop". Je sais bien qu'une histoire d'ange tombé du ciel est à la base un tantinet surréaliste mais là ça prend des proportions balézes ! Et puis il y a beaucoup de passages olé-olé que j'ai fini par ne pas lire. J'aime pas, surtout que ça ne fait pas vraiment avancer l'action quoi. Ce qui m'a dérangé aussi, c'est le côté facile de tout se qui se déroule dans le bouquin. Je veux dire, c'est un ange quoi ! Une nana qui déboule de nulle part mais pas grave, le mec (qui est médecin quand même, donc un minimum de jugeotte) l'embarque direct chez lui etc etc ...
Ca aurait pu être un coup de coeur mais la seconde partie du livre m'a trop ennuyé pour tous les bémols que j'ai apporté ...
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J’ai profité de la grosseop de chez Bragelonne pour découvrir Suzanne Roy, auteure canadienne.
« Pour le meilleur et pour le pire » est une romance contemporaine que j’ai choisie pour cette histoire originale de retrouvailles après 8 ans d’un mariage raté.
Lors de vacances en Espagne, Jennifer, canadienne rencontre Bruno, viticulteur catalan. Ils tombent amoureux, vivent une histoire passionnée suivie d’un mariage éclair et d’une rupture due à leurs tempéraments bien affirmés.
Pendant huit ans, ils vivent chacun d’un côté du globe. Jusqu’au jour où Bruno débarque, demandant de finaliser la rupture en divorce car il veut se remarier. Ces deux tempéraments explosifs vont se retrouver et provoquer des étincelles.
Bien sûr, c’est de la chick-lit, mais je l’ai trouvée amusante et tout à fait crédible. J’ai passé un bon moment.
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Allez, je tente la critique évolutive. Je n'ai lu qu'un quart du livre, j'ai failli arrêter là, ce qui ne m'était arrivé qu'avec mon premier - et dernier - SAS. Mais je m'accroche. Cependant, pour compenser, je donne une première impression.
Eh bien, c'est consternant. On hésite à quoi donner la palme de la médiocrité :
Le style de rédac de CM1, la vulgarité et la platitude des dialogues, la bêtise et la puérilité de l'héroine (en plus, c'est à la première personne), l'invraisemblance de l'histoire, la paresse des descriptions, l'empilement des clichés jusqu'à la nausée, le convenu simplet de la romance ?
Il ne reste plus qu'à passer en mode OSS117-Dujardin, prendre toute cette bouillie au second degré et essayer de terminer cet opus paresseux et négligé en souriant.
La suite va-t-elle se révéler d'une meilleure eau ? Nous verrons une fois arrivé au terme de ce "machin".
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Ca y est, je suis arrivé au bout.
Bon, je crois que le mieux est que vous jugiez par vous même, alors je vous ai fait un petit résumé du livre en 20 citations. Pour avoir la totalité des orgasmes, des putain, chier, couilles, et joli tir, se reporter au texte.
Bien qu'on puisse croire que la traduction serait responsable de la ruine du "style", je précise que ce titre a été "rédigé" en français québequois, et tout est "d'origine".
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"Je ne peux pas vraiment me plaindre: j’ai quand même raflé un petit orgasme, aujourd’hui.
Pour fêter ça, je compte m’empiffrer d’un burger extra bacon!
— On a du vernis qui fait chier, aussi. Avec un laxatif intégré, me propose-t-elle bêtement.
— C’est toi qui fais chier! m’énervé-je.
Tuer les méchants, ça ne me gêne pas, mais là, on allait juste récupérer une formule. Ça m’aurait fait chier de tuer quelqu’un sans raison
Pendant une dizaine de jours, je ne fais rien. Je végète sur mon canapé, je commande de la bouffe, je m’entraîne au gymnase de l’immeuble où je loue mon appartement et je dors. ’est difficile d’avoir des passe-temps quand on aime peu les foules.
Je préfère... faire du sport, regarder la télé et jouer à des jeux vidéo.
Son rire est joli. J’adore ça.
Kostia, ton heure est venue! gueulé-je.
J’attends qu’il relève la tête vers moi. Qu’il me reconnaisse. Je veux qu’il voie mon visage quand il va crever.
«Mais tire!»
D’un geste, il appuie sur un bouton avant de me sourire.
— Trop tard, Evelyne. Si tu me tues, tout va péter dans vingt minutes.
«Le con!»
— Luna? demandé-je.
«J’arrive!», crie-t-elle dans mon oreille.
— Est-ce que tu peux le faire? vérifié-je.
Comme elle ne me répond pas, je m’approche de Kostia, les yeux rivés sur ses mains, et j’insiste:
— Permission de tirer.
Kostia semble calme. Trop calme.
— Si tu tires, tout va péter.
— Si je ne tire pas, ça va péter quand même, résumé-je, et je n’aurai pas la joie de te voir mourir. Tu sais depuis combien de temps j’attends ce moment, hein?
La voix de Carl se fait enfin entendre:
«Permission accordée.»
Je souris avant d’annoncer:
— Salue Marco pour moi.
Quand il comprend que je vais tirer, Kostia essaie d’activer quelque chose, mais la détonation résonne dans la pièce.
C’est plus fort que moi, je regrette de ne pas avoir été plus patiente. En éliminant Kostia, je nous ai privés de précieuses réponses.
— Luna te trouve chiant.
— Hé! La loi, c’est la loi!
Hé! intervient Colton. Vous ne pouvez pas la laisser me torturer! J’exige de voir un avocat! Je récupère mon téléphone et lui montre mon écran sur lequel j’ai affiché un avocat: le fruit, bien sûr.
T’es belle, lâche-t-il soudain.
Ah... je me doutais bien qu’il voulait me tuer. Je peux savoir ce que je fais aux hommes pour qu’ils m’en veuillent autant? Carl me sourit.
— T’as plus de couilles qu’eux, ça les rend fous.
Carl te l’a dit: je suis celle qui a les couilles. Je paie, c’est non négociable.
Je vais d’abord prendre une interminable douche, puis je te ferai cette pipe que ces cons t’ont volée. Mais après, j’espère que tu me donneras un bel orgasme.
C’est une idée. Tu pourrais t’occuper de ma protection contre mon appartement, des orgasmes et de la bouffe. Tu crois que c’est un échange acceptable?
On a reçu les images de la caméra de surveillance, annonce-t-elle. Je m’approche d’elle et je reconnais un otage masqué qu’on pousse à l’intérieur d’un appartement.
Putain, on vient de brouiller mes fréquences !
Je retiens ma respiration avant de couper le fil, anxieuse à l’idée qu’elle se soit trompée, puis sa voix résonne dans mon oreille:« Maintenant, dégage et laisse les grands venir s’occuper de la bombe.
Il y a... un souterrain privé, là, annonce enfin le caporal.
— Qui contient quoi? insisté-je.
— Des choses qui ne doivent jamais en sortir, élude-t-il.
J’insiste en lui faisant de gros yeux.
— Des preuves qu’on n’a pas toujours... été gentils, disons.
Y’a quoi, là?
— Une pièce secrète avec plein de preuves des mauvaises choses faites par votre gouvernement, résumé-je.
C’est mon chum, lui signalé-je, faussement jalouse.
— Petite idiote! Tu sais bien que je n’ai rien à faire d’une queue! Par contre, je suis capable de dire que c’est une queue chouette que tu as là!
La garce! Si elle a osé lui toucher, je vais lui arracher le cœur! "
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Arrivé là, on hésite en deux attitudes : prendre tout au deuxième degré avec le sourire, ou bien sentir une réelle colère contre les auteurs et les éditeurs qui méprisent tellement leur public qu'ils les jugent juste dignes de cette sous-littérature. Ecrite à la va-vite par-dessous la jambe, racoleuse, démago, infantile, abêtissante, vide, mécanique, incohérente, de la barbe à papa intellectuelle sans goût, sans odeur, sans une miette pour nourrir la sensibilité, l'imagination, la langue ou l'intelligence des lecteurs.
Pour moi, une mauvaise action, car comme pour la fausse monnaie, la fausse littérature chasse la bonne. On s'habitue vite à la bouffe grasse et sucrée de fast food, aux couleurs primaires, aux scénarios simplistes, aux gros sabots et aux grosses ficelles.
Bon, une fois celà dit, chacun voit midi à sa porte !
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C'est décidé, je ne m'essaie même plus à lire un autre roman de Suzanne Roy. Je suis maintenant convaincue que le premier roman lu de cette autrice (Un baiser au goût de fin du monde) est le seul ayant un tant soi peu de contenu. Pour sa part, le roman "Alice, une femme amoureuse" dépasse de loin les limites de l'insipidité et du vide. C'est l'histoire "d'amour" (selon l'autrice, je ne donnerais jamais cette étiquette à ceci) la plus nulle jamais lue. J'adore les histoires de vampires, j'aime les histoires d'amour, toutefois je déteste les histoires sans contenu, les héroïnes dépourvues d'intelligence et les séries de clichés ennuyeux à mourir. Même les romans jeunesse les moins étoffés ayant pour thème les vampires sont moins pauvres. Finalement, en plus de la mauvaise qualité du récit, l'histoire est d'un ennui mortel.
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Roman jeunesse percutant et qui fait preuve de sensibilité à travers des personnages de cégépiens qui vivent de grands drames: viol, intimidation, maladie d'un proche... C'est toutefois traité à travers la relation naissante de deux personnages que tout semble opposer et qui se reconnaissent dans la douleur de l'autre. Juliette est une nerds que personne ne remarque; Justin est un sportif populaire qui semble insouciant (peu enclin aux efforts scolaires, toujours à faire la fête avec sa copine). Ils seront réunis par un directeur qui impose un tutorat scolaire à Justin sous peine de renvoi. Ils devront l'un et l'autre réviser leur jugement hâtif, car ils développeront malgré eux un lien qui leur apportera beaucoup de joies et beaucoup de problèmes.
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Roman fantastique et policier dont l'idée de départ est une télépathe qui collabore avec un détective et un policier sur plusieurs affaires. Si j'accepte le fantastique d'emblée pour une idée de roman, je trouve toutefois que celle-ci est vraiment mal exploitée. Les enquêtes sont très courtes (donc très superficielles), tout se résout en 24h(!), les personnages sont très peu approfondis (voire pas du tout) et finalement, le côté fantastique n'est qu'un prétexte à une histoire "d'amour" pas très crédible. En plus, les personnages ne suscitent pas l'empathie ni même la sympathie du lecteur: brouillon, peu développé, même pas sympathiques... Difficile de croire qu'il s'agit de la même autrice qui a écrit "Un baiser au goût de fin du monde", roman beaucoup plus abouti et présentant de nombreuses qualités littéraires absentes de ce roman-ci.
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J’adore les félins, surtout les chats, c’est pourquoi je me suis lancée dans la lecture de cette trilogie. Le côté félin garous, peu courant en littérature, a attisé ma curiosité. Et le fait que l’action se passe au pays de Garou (pardon pour ce calembour vaseux qui ne fait marée personne...) a achevé de me convaincre.
Je viens tout juste de refermer La promesse de sang, et je dois dire que ça a été une agréable découverte.
Commençons cependant par un point qui me laisse un peu mitigée. J’ai trouvé une partie du livre très répétitive : les mêmes questions et les mêmes réactions revenaient sans cesse, si bien que j’avais presque l’impression de relire plusieurs fois le même chapitre. Mais ce n’est que mon humble avis. Et j’imagine que ces répétitions ajoutent à la crédibilité de l’héroïne. En effet, Isabel n’a que 16 en... du moins dans sa tête, et vit sa première expérience amoureuse. Elle représente bien la naïveté des filles de son âge face à leur première histoire d’amour.
À propos de relations amoureuses,derrière cette histoire d’etres surnaturels, il y a une réflexion sur le consentement que j’ai particulièrement appréciée. Il est question de la différence entre vouloir faire quelque chose et laisser faire (cf citation). C’est pourquoi je trouve ce roman très intéressant pour les jeunes qui vivent leurs premiers emois.
De plus, l’histoire est sympathique. J’ai surtout apprécié la deuxième partie du livre. Les expressions québécoises ont ajouté de l’authenticité aux personnages. Dommage qu’on soit loin du québécois de Marie-renee Lavoie mais bon, soyons indulgent, c’est de la YA qui se veut accessible à tous.
Tabarnac! Maintenant j’ai envie de lire c’t osti d’tome 2! Heureusement que je l’ai. J’aime ben Isa, pis je veux savoir quel chum a va choisir... (Bon, je ne suis pas experte en québécois mais au moins j’aurais essayé ;) )
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Une jolie romance avec des personnages attachants et l’happy end de circonstances malgré le thème du deuil.
Une agréable lecture de vacances.
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Deuxième opus beaucoup moins palpitant que le premier. Le premier tiers est vraiment intéressant et je dirais la même chose de la fin du roman, c'est ce qu'il y a entre les deux que j'ai trouvé trop long et complètement inutile à l'histoire. Je pense que c'était étiré la sauce que de faire un 2e tome.
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La période de Noël est un moment magique surtout lorsqu'on s'apprêt à rentrer dans ses terres, auprès de sa famille selon un rituel bien huilé qui se répète d'années en années. C'est ce que Romain s'apprête à vivre durant une semaine mais, dès son arrivée, des changements s'opèrent et ce Noël risque de ne pas être comme les autres.
Jeff, c'est celui qui vient perturber les retrouvailles familiales. Invité par Marianne, la soeur de Romain, Jeff - importateur de produits de luxe - vient agréablement troubler la quiétude sentimentale de Romain d'autant que, selon Marianne, Jeff et Romain - tous deux célibataires - iraient très bien ensemble.
Pourquoi Romain ressent des papillons dans le ventre au contact de Jeff ? Pourquoi Jeff se livre, comme jamais il ne l'avait fait auparavant, auprès de Romain ? Sont-ils faits pour être ensemble alors que Jeff ne cherche pas d'histoire durable et n'est - selon lui - bon pour personne. Que cache t-il et/ou qu'a t-il peur de révéler ?
Mon avis : un roman M/M de 146 pages très bien écrit qui se lit facilement. On y retrouve deux adultes qui se découvrent une attirance mutuelle et qui peut-être chercheront à construire quelque chose ensemble, sans oublier une histoire dans l'histoire à travers ce que Jeff ne veut pas révéler. En somme, ce livre est une belle découverte.
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Parfois, je me demande pourquoi certains livres sont publiés et pas d'autres... c'est le cas pour celui-ci. Une partie du problème est qu'il était classé chez les libraires dans la section polars québécois. Ce n'est est pas un du tout. J'adore les vampires mais pas les histoires d'amour insipides. On dirait une version de Bella et Edouard forme "adulte". Evidemment, il faut de tout pour plaire au public, mais personnellement ce livre ne m'a pas fait du tout vibrer...
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Roman d'amour riche en émotions diverses à cause des thèmes qu'on y retrouve: deuil, maladie, famille, tabous, amitié, ruptures, etc. Pour une fois, l'histoire m'a paru réaliste, autant par le fait qu'un événement important dans une vie remet tout en question et permet de changer les choses brusquement, même si les autres n'ont pas fait le même cheminement et ne comprennent pas; que par l'intensité et la rapidité avec laquelle se développe une relation amoureuse avec quelqu'un qu'on connaît déjà très bien (un ami en qui on a déjà confiance, qu'on connaît déjà bien) et qui, par comparaison avec ce qu'on a connu auparavant, s'avère rapidement être un choix incontestable qui donne l'assurance qu'on peut aller directement à l'essentiel. Le récit est court, le style est fluide et bien que la fin soit prévisible, les émotions présentes et les personnages attachants rendent la lecture très agréables.
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Romance mm • Famille
☃️
Romain rentre dans sa famille pour les fêtes. Une fois arrivé il fait la connaissance de Jeff qui est l'ami et surtout le voisin de sa sœur. Elle l'a invité pour qu'il puisse découvrir la magie de Noël dans sa famille. Tout de suite l'étincelle se crée entre eux mais Jeff ne sait pas trop comment faire puisque la vie n'a pas été douce avec.
Quelle belle histoire !
C'est un roman qui, sur ma liseuse ne fait que 108 pages donc, ça se lit rapidement et surtout facilement.
On découvre 2 hommes qui se découvrent, qui se cherchent et qui tentent des choses sans forcer. Derrière l'histoire principale se cachent d'autres histoires et c'est un détail que j'ai beaucoup aimé !
Je me suis attachée aux personnages, j'ai aimé suivre l'aventure des personnages, j'ai aimé en apprendre plus sur eux, bref j'ai passé un très beau moment.
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Autant j'ai adoré le roman pour jeune adulte "Un baiser au goût de fin du monde", autant j'ai été déçu par ce roman-ci. Bien que j'aie aimé la situation initiale et la rencontre des deux protagonistes dans l'avion (ça me semblait être une bonne idée qui pourrait être développée de façon originale), j'ai trouvé que l'idée s'essoufflait malheureusement très vite. De plus, j'ai décroché dès les premiers "Je t'aime" seulement 48 heures après la première rencontre (sachant surtout que l'une des protagonistes venait de se faire laisser par son fiancé la veille de son mariage). Si je comprends l'urgence de vivre du personnage de Joey et que j'accepte sans tiquer sa folle envie d'être intensément amoureux avant de mourir, je trouve plutôt pathétique le revirement de Dani après si peu de temps. En ce qui concerne l'histoire d'amour des deux personnages, à partir de là tout n'est que répétitions, discussions redondantes et "je t'aime" peu crédibles à toutes les deux pages. En ce qui concerne le voyage, j'ai aimé le début: la description des lieux visités et leur signification pour Joey, puis quand le voyage s'accélère, c'est de moins en moins intéressant (être à Rome ou être resté à Paris n'aurait rien changé à part des mentions inutiles de transport). Je reste sur une impression de bonne idée peu développée, encore brouillon et peu approfondie, dont les personnages auraient pu être travaillé (surtout Dani) pour donner une dimension plus réaliste et poignante (et non juste larmoyante) au récit.
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