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Citations de T. Jefferson Parker (32)


- Est-ce que vous m'autorisez à rester un moment assis ici à les lire ?
- Mais oui. Vous voulez du café, du thé, du hasch ?
- Du café, ça ira.
- C'est de l'afghan, du noir, du bon. Fourni par la fraternité.
- J'en ai fumé une fois, résultat, je n'arrivais même plus à taper à la machine, dit Andy.
- C'est étudié pour. J'ai des amphètes pour vous sortir du potage.
- Non, merci. Tout ce que je veux, c'est lire ces lettres.
- Eh bien, lisez-les.
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L'épisode de Twilight Zone, c'est celui où arrive la fin du monde et où un type se retrouve dans la bibliothèque avec tous ces bouquins et où il nique ses lunettes.
- C'est un bon épisode , fit Nick
- Ouais, approuva Karl Vonn.
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Ici, ce qui compte, c'est le Pacifique. A longue échéance, la terre et les gens qu'elle porte ne dépendent que de ça. A brève échéance, beaucoup de choses peuvent arriver.
Les Franciscains ont mené les Indiens à la ruine, les Mexicains ont virés les espagnols, les Américains blancs ont foutu les Mexicains à la porte et baptisé la ville Newport Beach.
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Elle me dévisagea. Elle avait toujours eu le chic pour prendre un air absent, une capacité à s'en aller en laissant son corps derrière elle, même quand elle faisait l'amour.
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Ce que je fais là , c'est pour toi ,Mike
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Le visage de l’amour, ça existe. Tout comme celui de la peur, de la jalousie, de la surprise et de tout autre sentiment sous le soleil. Le visage de ce jeune, c’est celui de la joie.
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Voilà, en quelques mots, pourquoi je fais le métier que je fais. Parce que ces monstres dévoreurs d’innocence rôdent partout autour de nous, qu’ils ont toujours sévi. Parce que, chaque fois qu’il en tombe un, un autre surgit, qui prend aussitôt sa place. Parce que le prix de la liberté est une vigilance constante. Parce que, d’une certaine façon, nous avons oublié ce qu’est la vigilance ou que nous avons toujours ignoré ce que c’était. Chacun de nous a un petit ruisseau qui coule en lui, qui n’arrête jamais de couler. C’est le ruisseau du mal. Nous en sommes parfaitement conscients, c’est pourquoi nous le contraignons à se jeter dans la grande rivière intérieure du bien. Mais quand le bien commence à s’assécher et qu’il est insuffisant pour diluer le ruisseau, alors ce dernier commence à prendre volume et forme, devient impossible à maîtriser et finit par ravager une vie, puis une autre, puis une autre encore. Et se sont toujours les innocents qui sont les plus faciles à entraîner. Ce sont toujours les innocents qui debout sur la berge regardent, curieux, naïfs et parfois même un rien téméraires. Ils ont besoin auprès d’eux de quelqu’un qui connaît le mal, de quelqu’un qui est capable d’en pressentir la survenue. De quelqu’un comme moi, en somme.
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Les secrets sont des dettes; plus on en garde pour soi ou plus ils sont gros, et plus on est redevable à la personne à qui on les cache.
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Il ne faut rien cacher de la vérité, ou alors ce n’est qu’une autre facette du mensonge.
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Il faut comprendre le lien direct qui existe entre ce qu’on fait et ce que ça entraîne.
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Le monde de la drogue ne manquait pas d’allégeances secrètes – certaines très anciennes, d’autres plus récentes, telle que ’arrivée soudaine et dramatique de Draper et de Laws comme nouveaux passeurs de fonds d’Herredia. C’était un monde de flux. Les accords changeaient. Les amis devenaient des ennemis. Les vivants des morts. Les rapports de pouvoir des cartels étaient aussi compliqués que ceux du Vatican.
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C’était physique, pas mental, ni sentimental, mais un objet concret qui abandonne sa place comme la feuille se détache de l’arbre ou l’oiseau quitte la branche.
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Mais n’oubliez pas que la Bourse, c’est changeant : ça monte et ça descend. Les actions, ce n’est pas de tout repos. Vous pouvez prendre un drôle de bouillon. Enfin, c’est quand même mieux que les émeus.
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Encore un truc qu’on apprend rapidement, en ce qui concerne les malades en général et les pédophiles en particulier : ils ont toujours des excuses, une explication rationnelle. Ce sont de grands raisonneurs et, à un certain niveau, ils arrivent à croire à leurs propres arguments. À un autre niveau, la plupart d’entre eux sont conscients que leurs actes sont honteux et répugnants. Mais ce n’est jamais leur faute : ils échafaudent des théories pour justifier et expliquer leur comportement, et ainsi ils font l’économie de la honte. Celle-ci glisse le long de ces échafaudages comme la pluie sur les plumes d’un canard. Le gars, lui, reste toujours au sec. Ils ont toujours une bonne raison.
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Normalement, les violeurs d’enfants ne se promènent pas « couverts ». En règle générale, ce sont des amis de la famille. Des petites ordures au sourire toujours prompt. Bref, des spécimens comme Chet.
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Évidemment, l’argent c’est important. C’est le nerf de la guerre. Mais il y a plus important : les amis. Les amis, c’est ça, l’essentiel. Les gens comme nous.
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Je vis dans le monde des adultes, hommes et femmes, parce que je n’ai pas le choix. Mais mes yeux voient ce que voient les petits ; j’entends ce qu’ils entendent. Les enfants qui sont laissés pour compte, abandonnés, blessés, exploités, haïs, utilisés, tous ceux-là, je m’en occupe. Ils forment une société secrète et je suis leur ambassadeur. Leurs amis sont mes amis ; leurs ennemis, mes ennemis. Leurs rêves sont miens. Nous ne formons qu’un.
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On était bourrés de principes, inflexibles, efficaces et doués de bon sens. Mais ce ne sont pas les idées qui dirigent le monde. C’est la nature humaine.
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Le pire avait été de retrouver des souvenirs, mais sans pouvoir mettre des mots dessus, puis de les perdre de nouveau.Lla mémoire était la seule chose qui en valait la peine et, sans elle, nous ne vaudrions pas mieux que des pierres.
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La vie est tout en courbes. Ce n’est pas une ligne droite, comme une course de dragsters.
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