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Critiques de Taito Kubo (346)
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Bleach, tome 5 : Rightarm of the Giant

Dans ce nouveau tome, nous faisons la connaissance de Uryû Ishida, un élève de la classe d’Ichigo qui déteste les Shinigami. Se pensant supérieur à notre héros, il lui lance un défi, celui de tuer le plus de Hollow. Très vite, les choses dégénèrent et les Hollow s’en prennent aux amis de Kurosaki.



Ce tome est donc très rythmé et introduit un nouveau personnage assez arrogant mais pas forcément désagréable. Il manque encore une véritable intrigue, un premier arc qui pourrait donner de la profondeur à la série, mais cela n’est pas dérangeant car ça se lit tout seul et on voit bien que l’auteur présente en moyenne un personnage par tome. Il réunit sa première équipe avant de lancer une grosse intrigue et du coup j’ai hâte de lire la suite.
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Bleach, tome 3 : Memories in the Rain

L’anniversaire de la mort d’Ichigo approche et à l’occasion, le jeune homme découvre le mystère et le coupable qui entoure la mort de sa mère. Il compte bien évidemment se venger.



Ce volume est vraiment plein d’émotions. Que ce soit le combat ou l’histoire touchante d’Ichigo, on reste accroché à son manga et on le dévore tel un Hollow mangerait une âme!
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Bleach, tome 67 : Black

Une remontée de niveau avec ce tome soixante sept. C’est un peu le yoyo ces derniers temps et malgré tout je ne perds pas l’intérêt que je porte à cette série. C’est assez courant, surtout pour les séries avec autant de volumes mais j’avoue que j’ai vraiment hâte que cet arc se finisse, et si jamais c’est aussi la fin de Bleach, j’espère que Kubo senseï nous donnera une vraie fin et surtout une fin qui sera à la hauteur.



Dans « Black » nous reprenons le combat entre la division zéro et Yhwach. Le duel entre Nimaiya et Askin se poursuit et cela faisait un petit moment qu’un combat comme celui-ci n’avait pas eu lieu, même si au final l’issue était assez prévisible ainsi que le destin de la division zéro. Je n’ai plus grand espoir à ce niveau-là, je le dis clairement. L’épuration est de mise depuis plusieurs tomes donc pas de surprise. Ou peut-être que si. Avec un autre grand combat entre Yhwach et Hyosube (le capitaine de la division zéro). Avec deux grandes pointures comme ces deux-là, visuellement et aussi du point de vue scénaristique, c’était pas mal du tout. Même si encore une fois, on se doutait plus ou moins de ce qui allait se passer, il n’en reste pas moins que le duel en lui-même était palpitant. On ne pourra pas dire que Kubo n’a pas une imagination débordante lorsqu’il s’agit des techniques de combat parce que jusqu’à présent, je n’ai pas vu deux combattants exploitant les mêmes techniques et qu’à chaque fois, elles sont « crédibles ». Bleach est un shonen, et jusqu’ici côté baston, rien à redire.



Deux points intéressants dans ce tome. Le premier, bien que j’ai trouvé qu’il aboutissait à quelque chose de « facile », est l’attitude d’Yhwach concernant ses compagnons. Rien d’étonnant quand on connaît le personnage, mais c’est la réaction des Quincy qui m’a interpelée. D’une part à cause de l’aveuglement des troupes. Suivre son commandant et roi sans se poser une seule seconde des questions... Il veut se venger, allons tuer tout le monde même si ça nous concerne pas… Mouais. Ensuite, suivre un type qui n’en a rien à faire de vous. De toute façon, quand on voit que les Quincy s’entretuent pour rien… On se demande vraiment comment Ishida qui pour moi représentait vraiment les Quincy est un garçon aussi normal. Tout comme la mère d’Ichigo d’ailleurs. Comment un peuple a-t-il pu autant dégénérer. Question qui trouve sa réponse dans leur roi qui est une aberration et une abomination à lui tout seul mais qui semble le faire oublier très facilement. Bref, des incohérences que je trouve étranges même si elles soulèvent des questions pertinentes.



L’autre point est notre fameux roi des shinigamis que l’on rencontre enfin ‼ Enfin, disons très brièvement. Je suis stupéfaite par ce personnage. Nous n’en connaissons absolument rien, mis à part que sans lui visiblement le monde s’écroulera. Du coup, je me pose la question : est-ce que Kubo va approfondir ce personnage ? J’ai bien peur que non, et là encore, si je ne me trompe pas, ce serait une erreur de plus. Je veux bien que scénaristiquement Ichigo soit l’élément clé et que le reste soit juste un accompagnement mais un univers qui se tient est aussi un atout majeur. Du coup, en ne développant pas ce personnage, c’est un peu comme si la base de Bleach s’effondrait, car si sans roi, il n’y a pas de monde, pas de shinigami… Sur quoi repose toute l’histoire de Kubo après ce tome soixante sept. Un défi qui peut être relevé (et qui je l’espère le sera) mais qui me laisse dubitative concernant la suite.
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Bleach, tome 66 : Sorry, I am strong

Après un tome soixante cinq que j’avais bien apprécié, j’avoue que le soixante six m’a un peu déçue. Déjà, cette répétition qui devient de plus en plus fréquente entre la dernière page d’un chapitre et la première du suivant… Mais pourquoi ? Dans un magazine, je veux bien à la rigueur, pour se remettre dans l’ambiance, mais là dans un tome où de toute façon, le lecteur va lire le tome d’une traite ! Cela alourdit vraiment le récit, ça manque de fluidité, c’est chiant disons le clairement.



Mais ce petit « détail » n’est pas forcément ce qui m’a déçue. Non, c’est plutôt une certaine baisse de niveau. Le « combat » de Kurotsuchi est plutôt intéressant. Ce n’est pas un personnage que j’apprécie, son côté « j’adore torturer, expérimenter » est assez rédhibitoire, mais le personnage a du potentiel et cela depuis le départ. Par contre, Nému… Absente totalement. Où est-elle ? Kurotsuchi n’a pas besoin d’aide, il gère la situation, mais c’est assez bizarre de ne pas la voir, ne serait-ce qu’en fond. A la place, on a les Alankars dont le plus stupide et moche qu’on aie pu voir jusqu’à présent qui est mis en avant. Encore une fois : Pourquoi ??



Autre chose que j’ai trouvé dommage, c’est ce manque total d’explication concernant les zombies des capitaines et vice-capitaines. On a compris ce que faisait Kurotsuchi, mais la question est : les shinigamis qui ont été transformés en zombies alors qu’ils étaient encore vivants peuvent-ils revenir à leur état normal ? Je ne sais pas mais moi, c’est quand même la question que je me pose, surtout que Hitsugaya et Matsumoto sont concernés (oui, ce sont des personnages que j’aime beaucoup). D’ailleurs, c’est deux là sont totalement absents aussi après le combat de Kurotsuchi. Que leur aient-ils arrivés ? Mystère et boule de gomme.



Et là, on passe au combat de Byakuya. Et son adversaire est… pfff… non franchement, je comprends pas ce genre de choix : pervers, un costume navrant, d’un ridicule consternant, aucune classe… Vous sentez venir le pourquoi ? Eh bien oui. Ce n’est pas une critique spécialement tournée vers Kubo senseï car ce n’est malheureusement pas le seul à choisir de faire apparaître de temps en temps ces erreurs de casting, mais j’avoue ne pas comprendre. Peut-être quelque chose de culturel, je ne sais pas, mais non. Non, non. Enfin, passons. Le combat est à la hauteur du personnage, donc rien de bien palpitant.



Vient ensuite la partie qui risque de tout changer. Le combat entre la garde Zéro et le troupe du roi des Quincy. Nous nous attendons à du lourd. C’est après tout deux élites qui s’affrontent. Et d’un côté, oui, il y a un tout autre niveau, le problème étant qu’il n’apparaît pour l’instant que dans un seul camp. Et cela n’est jamais une bonne nouvelle en soi pour le dit camp, car inévitablement, il y a dans chez les adversaires un atout qui va se révéler. Et cela ne manque pas. Aucune surprise.



Et Ichigo dans tout ça ? Toujours dans son canon à attendre son envol… Un envol qu’on attend parce que jouer sur la carte : le héros n’arrive que quand tout est perdu, c’est du réchauffé. Et sur ces derniers mots, je me rends compte que ce n’est pas la critique la plus tendre que j’ai pu écrire, mais j’attends toujours de retrouver le Bleach que j’aime et peut-être un retour au « je respecte un peu plus mes lecteurs » et une disparition du « j’en veux aux éditeurs de me pousser à poursuivre ». Un ressentiment que j’ai depuis un petit moment maintenant.
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Bleach, tome 55 : The Blood Warfare

J'avais vraiment hâte de lire ce tome cinquante cinq. D'une part parce qu'il annonçait un nouvel arc (le précédent ne m'avait pas vraiment enchanté), et d'autre part parce que je n'avais pas lu ni vu les scans de ces chapitres. Donc, ce fut une totale découverte pour moi et c'est plutôt agréable. Sans oublier que la traduction de ce tome est vraiment mieux que celle du tome cinquante quatre où les fautes, les mots manquants et les tournures bizarres pullulaient... C'est un soulagement, car même si, selon moi, dans un manga les images sont les plus importantes, les textes, s'ils sont mal traduits appauvrissent vraiment l'histoire.



Mais quant est-il de ce nouvel arc ? Eh bien, je dirais que l'on ne sort pas vraiment des schémas habituels de Kubo sensei. A savoir qu'encore une fois un vilain méchant pas beau veut dominer les différents mondes que l'on connait (monde des humains, Soul Society et Hueco Mundo) et semble encore plus fort que les précédents. Pas réellement original... Mais, jusqu'à présent, Tite Kubo a toujours mis en avant certains éléments qui arrivaient à mettre de côté cette redondance. Donc, je ne veux pas juger trop sévèrement pour l'instant cette nouvelle intrigue. Surtout qu'elle nous permet de voir pas mal de personnages qui avaient été un peu laissé de côté dernièrement. Les Wizards (ceux restés sur terre), Nel et certains Arrancars, nos capitaines et vice capitaines du Soul Society... Du coup, j'espère que tout ce petit monde sera réellement présent durant tout l'arc. J'aime beaucoup ces personnages secondaires et c'est toujours un réel plaisir de les revoir.



J'espère aussi que l'on aura droit à certaines réponses... Il y a des questions en suspens depuis les premiers tomes qui n'ont toujours pas été révélées et cela commence à faire un peu longuet... J'ai peur que Kubo sensei n'y pense plus après tout ce temps et ce serait dommage. J'attends donc beaucoup des tomes futurs. On ne peut pas réellement se faire une idée pour l'instant, vu que le tome cinquante cinq est plus un tome d'introduction qu'une suite à l'histoire de Bleach, cependant, la qualité est toujours présente. Au niveau du graphisme, je n'ai rien à redire. Kubo est toujours un petit génie à mon avis. Ses traits sont fluides et expressifs. J'adore son style. Ses personnages s'enrichissent toujours et ne restent pas sur leurs "acquis". J'ai d'ailleurs beaucoup apprécié de revoir la petite team d'Ichigo, à savoir Inoue, Ishida, Sado et bien sûr Ichigo. Ils semblent encore plus soudés qu'avant. Ce n'est pas forcément flagrant, mais grâce à certains petits détails, on ne peut que s'en rendre compte.



Reste l'intrigue principale, autour de ces nouveaux ennemis... Étranges et effrayants. Du peu que l'on apprend, on sent que personne n'est à l'abri, même les plus puissants personnages que l'on connait. Surtout que pour moi, leur identité (révélée presque au début du tome mais confirmée à la fin) est angoissante. Je me faisais une idée tout autre de ce "peuple". Ils étaient du côté du "bien" pour moi. Et c'est très dérangeant. La violence déployée est exagérée et cruelle. J'attends donc une explication en béton pour me faire comprendre ce revirement. Le tome cinquante six répondra peut-être à mes interrogations !
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Bleach, tome 40 : The Lust

Bleach, dans ses phases de combats, est un manga qu'on lit à une rapidité fulgurante ! le tome 40 ne déroge pas à la règle. Le combat tant attendu entre Ichigo et Ulquiorra arrive enfin et graphiquement parlant (parce que bon les dialogues ne sont pas très nombreux) on en prend plein la vue. La fin nous laisse sur notre faim ou pas ! XD Vous n'allez quand même pas me dire que vous croyez qu'Ichigo va se prendre une raclée ! Nous savons tous qu'il va finir par nous sortir une autre épingle de son jeu et qu'en commençant le tome 41 nous allons être tout excités de voir ce que Kubo senseï a bien prévu pour son héros !



Oui, je sais, en gros, nous sommes toujours face aux mêmes schémas : des méchants de plus en plus méchants débarquent, Ichigo veut les éliminer pour sauver tout le monde. Il sait qu'il n'est pas assez fort, mais il tente sa chance quand même. Il se bat, est à la limite de perdre et BAM ! On lui découvrir un nouveau super pouvoir (là en l’occurrence une nouvelle force insoupçonnée !). Mais bon, c'est un shonen comme on les aime et on sait tous que lorsqu'un auteur a trouvé un bon filon, il tire sur la corde un maximum pour pouvoir continuer son histoire.



Après, je trouve qu'un personnage est de plus en plus important, voire intéressant (dans le sens où son évolution pourrait nous apporter des surprises), c'est Inoue. Je sais que beaucoup n'aime pas ce personnage : trop naïve, trop nian-nian, trop fi-fille... Elle a souvent l'air de la potiche de service à la grosse poitrine (le personnage fan service comme on peut l'appeler). Mais moi je dis non ! Même si dans ce tome elle prononce beaucoup le nom de Kurosaki, elle ne m'a à aucun moment déçue. Elle reste la partie "humaine" de la bande, celle qui s’inquiète, qui perd peu à peu sa naïve humanité. Elle a quand même traversé beaucoup d'épreuves, même bien avant que la série "commence". Et pourtant, elle reste la lumière au bout du tunnel pour moi. Si vous regardez bien, elle est même la personne qui soude le groupe en quelque sorte. Elle est celle qui a permis à Ichigo d'aller de l'avant, de se construire petit à petit.



Alors, après, oui, je le concède volontiers, elle peut paraître énervante. Trop mielleuse, sûrement. Mais je dis zut quoi, elle est amoureuse, et l'autre andouille de Ichigo le voit même pas ! Elle s'inquiète, mais il n'arrête pas de lui dire que c'est son combat et que l'important c'est qu'elle soit sauve, tant pis, si il meure. Et elle c'est absolument pas ce qu'elle veut (elle était d'ailleurs parti pour le sauver). Donc faut bien qu'elle s'exprime, même si Ichigo ne comprend rien de rien ! Et puis, je vous ferais remarquer une nouvelle fois, que sans elle, et bien Ichigo en serait pas là ! et toc ! XD
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Bleach, tome 62 : Heart of wolf

J’ai toujours aimé Bleach, même après sa soixantaine de tomes, et la récurrence des événements, j’avoue ne pas me lasser. Mais ce dernier arc, avec l’arrivée des Quincy à Soul Society me gonfle un peu. Oui, clairement. Pourtant, ce tome soixante deux est bien, vraiment. De l’action, mais pas trop, une évolution dans le combat pour certains personnages, des révélations aussi, des rebondissements… Mais voilà, martyriser ses personnages juste pour le fun, j’adhère pas, mais alors pas du tout. Je dis pour le fun parce que franchement, j’ai du mal à croire que Kubo Sensei va tuer d’autres de ses personnages, pas après avoir tuer le Capitaine de la première division et son vice capitaine, les piliers des Shinigamis depuis qu’on les connait (je ne pense qu’à eux pour l’instant parce que les autres « supposées morts » n’ont pas été annoncées définitivement). Alors pourquoi autant de haine envers eux. Par lassitude ? Pour nous prouver qu’ils ne sont pas au dessus de tout ? Parce qu’ils ont réchappé à tellement de malheur ? Bref, je ne comprends pas, et étant donné que je suis attachée à nombre d’entre eux, cela me fait de la peine. Surtout que je ne suis pas sûre de moi lorsque j’affirme que Kubo-senseï n’oserait pas tuer un autre personnage définitivement…



Donc pas un très bon état d’esprit pour lire ce tome. Il commence mal, très mal. On pense pendant un moment que Hurohara est arrivé tel Zorro, sans se presser, mais avec l’espoir d’une victoire (oui j’arrive encore à faire de l’humour, pas terrible néanmoins…) mais non… A croire que les Quincy sont imbattables. Et puis, ces personnages m’énervent, ce qui est leur rôle après tout, mais je les trouve un peu trop calqués sur les Hollows qu’on a déjà pu voir, je les trouve radicaux et extrémistes à souhait… Bref, les pires « méchants » depuis le début de la saga. Sans compter Ishida… Mon garçon, si tu n’as pas un plan dans tes manches pour te sortir de cette histoire, crois-moi, tu ne vas pas gagner en côte de popularité auprès de moi, alors que je t’appréciais grandement… Encore une fois, pas dans le meilleur état pour lire ce tome.



Mais, il y a tout de même des points positifs. Déjà, on entre-aperçoit Ichigo. Notre héros est absent depuis des plombes du manga (tout part en sucette, je vous dis, même le héros disparaît), mais il semblerait qu’il revienne… Non, je suis contente, mais j’ai peur de la suite vu qu’à chaque fois qu’on croit à une possibilité de vaincre les Quincis, on se casse les dents. Ensuite, il y a le passage avec Sajin. Le capitaine n’avait pas pris beaucoup d’importance depuis le début et j’avoue avoir vraiment apprécié sa mise en avant. Sa nouvelle apparence est d’ailleurs vraiment réussi. Revoir aussi les capitaines Vizards est un plus, j’adore ce groupe. Mais cela reste trop peu. J’ai peu d’espoir pour la suite, en ce qui concerne la survie des personnages que j’affectionne, et j’ai peur de ce que va devenir le manga par la suite. Je sais que dans un shonen, les morts sont inévitables, mais si je compte les « supposées », on arrive à un score assez, trop, important. Sans compter que l’arc des Quincy ne semble pas toucher à sa fin…
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Bleach, tome 1 : The Death and the Strawberry

Ichigo Kurosaki un garçon ordinaire de16 ans...

"Ordinaire" pas tant que ça , enfin il croit l'être ...

Jusqu'au jour où : il rencontre la shinigami Rukia Kuchiki . Ichigo doit l'aider à combattre les HOLLOWS* car sans le vouloir Ichigo absorbe le pouvoir de Rukia ...

Pas si facile de battre les Hollows* ...

Comment Ichigo va t'il s'en sortir ?

Vous le saurez en lisant le livre...



(* Hollows : esprits d'une personne décéder ne vivant plus que de leur instinct combatif )
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Bleach, tome 52 : End of bond

Je devrais pourtant le savoir. Avoir deux tomes d'une même série dans les mains et les lire l'un à la suite de l'autre, c'est très mauvais, parce qu'à la fin des deux tomes, on a qu'une envie : lire la suite ! Et là, le tome cinquante-deux était bien la tempête que présageait le tome précédent. Et même si le manga se finit par un événement des plus intéressants, je dois avouer que le cinquante-trois risque fort bien d'être encore meilleur que celui-ci.



Il n'est pas rare que Kubo senseï nous joue de vilains tours dans sa série. J'entends par là qu'il manipule très souvent son lectorat et nous propose ainsi des événements auxquels on ne se saurait pas attendu. Là encore ce tome cinquante-deux nous prouve que l'on est jamais au bout de nos surprises. Je dois avouer que je trouvais cet arc un peu étrange depuis le début. Il y avait quelque chose qui clochait et je n'arrivais pas à mettre le doigt dessus. Du coup, depuis quelques tomes, il y avait un certain malaise qui planait. Les personnages secondaires le mettaient assez en avant, mais dans ce tome, c'est Ichigo qui en fait les frais. Et c'était assez flippant. Visuellement parlant Tite Kubo réussit ainsi à nous faire passer l'angoisse, l'incompréhension et l'incapacité d'Ichigo à faire quelque chose pour sauver la situation. Il est déjà arrivé à notre héros d'être en mauvaise posture mais cette fois-ci, c'est totalement différent.



Le côté malsain du tome est que le mangaka met en avant la grande faiblesse de Ichigo, à savoir ceux qu'il aime. Ce n'est pas nouveau pour un héros, les méchants s'en prennent d'ailleurs très souvent aux êtres aimés pour atteindre leur but : vaincre. Mais ici, Ichigo est amené à se retrouver dans une situation impossible. Il perd le soutien de ceux qui lui sont proches. Et c'est sûrement encore pire de voir dans leurs yeux ce sentiment que de les voir eux-mêmes souffrir. En cinquante-deux tomes, je n'ai jamais vu Ichigo aussi perdu et désemparé. Même après la perte de ses pouvoirs, il lui restait cette constante pour garder la tête hors de l'eau. Le voir si vulnérable était assez dérangeant... Non pas que je me fais de lui l'idée d'un héros invincible, mais pendant quelques secondes, on a l'impression de le perdre, que lui-même se perd dans son désespoir. Et c'était poignant.



Reste à savoir maintenant ce que le coup de théâtre de la fin va provoquer. J'espère sincèrement que cela mettra fin à cet arc et que l'on retrouvera l'univers des Shinigami très rapidement car certains capitaines et vice-capitaines me manquent cruellement.
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Bleach, tome 10 : Tattoo on the Sky

Il s’agit d’une relecture



Bleach était une série phare que je suivais régulièrement en « scantrad » ensuite par épisode en streaming…

Comme j’aime vraiment la série, je les achetais en coffrets collector…D’ailleurs, la première saison étant une de mes préférées Cependant, la fin de l’anime m’avait semblé « bâclée »

Aussi, je me demandais si Tite Kubo nous donnerait une suite.

D’après certains fans, la série animée est arrêtée mais le manga continue.

Aussi, j’ai entrepris de relire les bleach… Dans ce tome 10, on retrouve avec plaisir Ichigo et ses amis qui pénètrent dans la Soul Society par des moyens inhabituels mais efficaces.

Par rapport à l’anime, Tito Kubo amène des touches d’humour (relation tendue entre Genju et Ichigo). On sent la tension des personnages…Panique au Seireitei…

Tous les ingrédients sont réunis pour vous faire passer un bon moment de détente.



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Bleach, tome 9 : Fourteen Days for Conspiracy

Ichigo et ses amis entrent enfin dans le monde de la Soul Society où tous les personnages ne sont pas méchants comme un certain gardien. Un volume drôle, dans la continuité du précédent...

Gin et Aizen font leur apparition... Un bon moment de lecture sans prise de tête.
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Bleach, tome 49 : The Lost Agent

Ce tome quarante neuf nous fait découvrir un nouvel Ichigo, dix-sept mois après les derniers événements qui ont failli conduire à la fin du monde. Notre jeune héros n'a plus ses pouvoirs de shinigami et il a dû apprendre à vivre sans. En apparence, il semble s'être plutôt bien habitué à ce changement. Il continue le lycée, se trouve un petit boulot, passe du temps avec ses amis. Rien de bien palpitant, mais après toutes ces épreuves, il ne cesse de se répéter qu'il l'a bien mérité, après tout... Oui, peut-être, mais il ne trompe personne de son entourage, mis à part lui-même. Et Kubo arrive à nous le faire comprendre de façon assez subtile. Que ce soit la manière dont Ichigo essaye de se convaincre que tout va bien, qu'il peut enfin vivre sa vie, ou ses allusions à Rukia, la Soul Society, son insigne toujours présente dans son sac...



Tout cela lui manque. Il semble d'ailleurs plus triste qu'avant. Je sais qu'il n'a jamais été quelqu'un de très souriant, certes mais quelque chose dans son attitude montre clairement qu'il manque quelque chose à sa vie. L'élément qui le prouve le plus est sans doute son attitude face à Yuzu, sa plus jeune sœur. Il se montre souriant, plaisant avec elle, attentionnée, mais Yuzu n'est pas dupe. Elle sait que c'est une façade, qu'il lui montre ce qu'elle veut voir, et même si il ne le souhaite pas, il la blesse inévitablement. C'est toujours ce que j'ai aimé chez Ichigo et chez Kubo senseï. Le caractère de son personnage principal est tellement complexe et en même tellement simple. Ichigo est l'image même du héros, et pourtant lui donner cette étiquette serait très restrictif. C'est ainsi depuis quarante neuf tomes d'ailleurs. Kubo senseï a toujours su mettre en avant l'essence même de ces personnages plus que l'histoire en elle-même.



L'arrivée de nouveaux personnages dans ce tome va cependant bousculer un peu ce nouvel univers et sûrement faire recouvrer ses pouvoirs à Ichigo. De toute façon, je ne vois pas comment Kubo senseï ferait si son héros ne recouvrait pas sa pression spirituelle, sans compter qu'il y a encore beaucoup trop de questions concernant les shinigamis et la Soul Society (l'identité d'Ichin restant le grand mystère de Bleach !!).



Et puis, j'avoue que les capitaines et leurs vice-capitaines, ainsi que les Vizards me manquent aussi. Il faut dire qu'ils étaient tous tellement présents dans les derniers tomes que de ne plus les voir... cela est étrange, et même si voir les amis d'Ichigo "humains" est plutôt plaisant, en tant que lectrice, je suis un peu comme Ichigo. Il me manque quelque chose à moi aussi !



Côté graphique, Kubo a eu la bonne idée de faire quelque petit changement sur ses personnages pour marquer leur "vieillissement". Ses personnages sont encore plus "stylés" qu'avant et du coup, j'ai vraiment hâte de voir les shinigamis avec leurs "modifications" !! Je pense que je ne serais pas déçue. Seul petit bémol : Inoue et sa coiffure absolument ridicule. Elle était beaucoup plus jolie avant et là, elle ne ressemble à rien. C'est bien dommage.



En clair, un tome où il ne se passe pas tellement grand chose mais qui promet sans aucun doute pas mal de changements dans les prochains volumes ! Vivement le tome cinquante !
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Bleach, tome 1 : The Death and the Strawberry

Bleach Tome 1.. Ou quand tu lis le titre tu te demande mais c'est quoi cette histoire de fraises ? qu'est ce que ça vient faire là ?...



Pitch (même si je me demande si ça sert à quelque chose, vu que depuis le temps... Bleach c'est connu.. j'arrive un peu après la bataille... bref...)



Pitch:

On a Kurosaki Ichigo, un jeune ado qui a la particularité de voir des fantômes, de parler avec les fantômes.. et heu c'est un peu relou. Si quand même faut bien l'admettre, ça laisse pas beaucoup de place à l'intimité... Alors si en plus de ça y a une fille cheloue qui fait son apparition en même temps qu'une sorte de gros monstre.. là rien ne va plus...

Renseignements pris c'est une Shinigami, un dieu de la mort.. elle est plutôt choupette pour un dieux de la mort... enfin ça dépend de quoi on parle aussi...



Alors du Shonen surnaturel que je qualifierais de classique ( ou est devenu classique, suite à la profusion de shonen sorti ensuite se basant sur ce postulat, c'est que c'est devenu une référence Bleach). Classique et efficace, qui marche bien. Bon on voit bien que Kubo a aussi pioché lui-même dans des mangas déjà fait ( j'ai pensé à Yuyu Hakusho), mais je n'arrive pas à définir si c'est du plagia pur et dur, ou un hommage, ou juste de l'inspiration, voir du dépoussiérage...

Mais bon faire du neuf avec du vieux, il ne serait pas le premier, et clairement pas le dernier...



Dynamique, vivant, niveaux dessins, mise en page, découpage. Des perso avec des émotions bien visibles et de toutes sortes, et que ça se voit sur leur visage... et ça c'est bien... j'en ai un peu mare de voir des persos avec toujours les mêmes têtes à n'importe quel moment sorte de veaux dans la luzerne.. (vu certain manga que me ramène ma gamine en ce moment), et là non pas du tout ! Et c'est bien.



Je ne parlerais pas de la traduction qui me semble quand même pas terrible... parce qu'à bien des moments ça frôle quand même la pâquerette... Mais bon... ça j'en sais rien non plus... je fais avec.



Oui on va donc avoir le duo, RuKia la Shinigami (maître) qui va devoir apprendre des trucs à Ichigo (élève), mais qui est complètement à côté de la plaque pour le reste et va devenir un ressort comique.

On va avoir l'action à cause de tous ces vilains Hollow qu'il faut dézinguer.. donc de la baston pleine de fumée, de pouvoir et de tout un tas truc.. ( c'te classe quand il se transforme... il a la classe)

On va avoir les problèmes que tout ça cause à Ichigo dans sa vie réelle (école, potes, famille) et que c'est que le début...



Alors c'est une relecture, et je me souvenais pas que c'était aussi drôle... je me suis bien marée...



Ce que j'ai bien aimé, c'est que le manga oscille constamment entre un humour assez déjanté ( spéciale dédicace au père, il est complément secoué je l'adore !)

et le mode sérieux quant à la mort, le respects des défunts, des traditions, et le raccrochage de wagon vis-à-vis de leur coutumes, croyances, etc ( mais ça c'est dans la culture nippone de base...)

Je me doute d'ailleurs à ce niveau-là que y a plein trucs que je ne repère pas, mais qui coule de source pour un lecteur japonais...

Il sont fort à ce niveau-là, faire passer leur traditions, mythes, coutumes, et culture jusque dans les mangas (c'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles j'aime les manga, un merveilleux mélange ^^).





Et heu pour répondre à ma question du début, ça a rien a voir avec la choucroute, parce que si certes Ichigo (le nom du héros) peut vouloir dire fraise, il veut surtout dire

Ichi=1

C'est donc un prénom souvent donné à l'aîné, c'est le premier, donc Ichi et les fraises n'ont pas grand chose à voir.. encore un délire de traducteur sans doute.. Mais ça date un peu Bleach et je crois bien qu'à cette époque les traducteurs en avaient un peu rien à foutre de tout ça.... Mais ça me fait me poser encore plus de question sur la trad complète de ce manga...

Et puis aussi je me trompe peut-être...
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Bleach, tome 11 : A Star and a Stray Dog

Lire un manga, me manquait tellement... Que j'ai craqué pour ce 11ième volume de Bleach qui dormait dans ma bibliothèque... Une courte pause pour mes challenges afin de me replonger dans l'univers des shinigamis. Dans ce tome 11, Ishida est plus affirmé et montre ses talents de Quincy, Inoue toujours aussi touchante. Et le plus important, l'auteur nous dévoile le passé de Rukia et de Renji Abaraï . Cette série qui avait un gros potentiel et dont j'attends toujours la suite de l'anime,

D'ailleurs, je lancerais bien des incantations pour persuader Tite Kubo de continuer la suite sur le petit écran.. ,Allez, beaucoup de séries se terminent, c'est l'occasion ! En attendant, je me contente d'Ichigo sur le papier.
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Bleach, tome 7 : The broken coda

Tome qui relate la capture de Rukia Kuchiki et marque le début de l'entrainement d'Ichigo et les autres. Cela amorce la seconde partie de la première saison. Cependant la traduction de Glénat "pêche" un peu.

Puis, je vous conseille l'anime car l'épisode où Ichigo rencontre pour la première fois Renji Abarai et le frère de Kuchiki, la tension monte d'un cran grâce à la musique.

Scénario de haut niveau mais la traduction l'est nettement moins.

Puis, l'ambiance est moins forte que dans l'anime. Bleach possède des musiques excellentes qui renforcent l'histoire.
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Bleach, tome 7 : The broken coda

Ichigo subit une première défaite phénoménale, ce qui le fait prendre conscience de sa faiblesse vis-à-vis des vrais shinigamis. Rukia est renvoyée chez elle pour être jugée pour haut crime. Et c'est là que l'histoire de bleach commence vraiment ! Ichigo suit un entraînement intenssif qui met sa vie en jeu et un chat qui parle se tape l'incruste dans l'histoire... Mais à par ça tout est normal dans notre petit monde humain où la magie est en-fait très courante.
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Bleach, tome 3 : Memories in the Rain

Un volume beaucoup plus éprouvant que les précédents. On découvre le passé d'Ichigo, comment sa mère est morte, pourquoi elle est morte, mais surtout comment il le vie, comment il survis à ça. Une avancé dans l'histoire car on s'accroche de pus en plus aux personnages. Et c'est avec une petite tristesse qu'on referme ce tome en attendant impatiemment la suite.
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Bleach, tome 54 : Goodbye to our Xcution

Alors déjà, je ne sais pas si ils ont changé de traducteur chez Glénat mais ce tome est assez pénible à lire. Les tournures de phrases sont lourdes, la fluidité des textes est vraiment pas terrible et je ne sais pas pourquoi mais on trouve des négations avec « point » ou « puis » à la place de « pas » à plusieurs reprises qui sont très étranges, trop guindées… et il manque des mots à certaines phrases… Donc, je dis non ! Il faudrait quand même pas nous prendre pour des lecteurs de seconde zone, et faire un effort de ce côté-là. C’est la première fois que je lis une traduction comme ça et je suis très déçue.



Du coup, ma lecture a été gâchée par le texte… Fort heureusement, avec les manga, les images parlent beaucoup plus que les textes, et j’ai quand même pu apprécier le dernier tome de l’arc des Fullbringers que j’attendais avec impatience. D’une part, parce que je l’ai trouvé un peu long mais aussi parce que j’ai arrêté de me renseigner sur les derniers tomes sortis au Japon et que je ne sais absolument pas ce qu’il va se passer dans les prochains tomes (ce qui est une grande première pour moi). Du coup, il y a une petite part d’excitation à voir l’arc se terminer.



Sans grande surprise, le tome se termine de la façon à laquelle on pouvait s’y attendre. De ce côté-là il n’y a pas trop de surprise chez Bleach, mais ça ne me dérange pas trop. J’aime d’ailleurs toujours autant la série après ces plus de cinquante tomes. Ce qu’on pourrait regretter dans ce tome, c’est peut-être la facilité du combat final de Ichigo. Bien sûr, les autres capitaines qui ont combattu les Fullbringers se sont aussi rendus compte que ces derniers étaient de pauvres âmes perdues, mais il n’empêche que je m’attendais à plus de résistance de la part de Ginjô. L’important restant quand même ce qui découle de la formation des Fullbringers. Leurs histoires communes en font des personnages qu’il est difficile de totalement détester. Ils sont, comme je l’ai déjà dit, totalement perdus, et le fait que leur « sauveur » ait été Ginjô ne les a pas conduit sur la meilleure route possible. Mais la fin de ce tome (concernant les combats) est juste et tout à fait dans l’esprit Bleach.



Quant à la toute fin… Je l’ai trouvé vraiment intéressante. Même si elle est ponctuée de passage drôle, elle permet vraiment de mettre au clair que notre Ichigo a bien grandi et changé. Il n’est plus l’adolescent que l’on a connu dans le premier tome, et cela se ressent autant dans le design de Kubo senseï que dans l’attitude de notre héros.



J’ai du coup, vraiment hâte de savoir ce que va nous réserver le tome cinquante cinq.
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Bleach, tome 53 : The deathberry returns

Ichigo is back ! Et j'aurais envie d'ajouter : enfin ! Ce n'est pas que sa période de doutes et d'embuches n'est pas été intéressante, loin de là, mais j'avoue que je n'aime pas particulièrement voir les héros que j'affectionne s'enfoncer dans la déprime... Et puis, ce n'était plus vraiment Ichigo, en fin de compte. Alors bien entendu, certains diront qu'au final, on retourne dans la même spirale où notre héros finit par surmonter ses "faiblesses" et devenir plus fort. Oui, certes. Cependant, la période assez sombre (psychologiquement parlant) des précédents tomes fait que la nouvelle métamorphose d'Ichigo devrait être beaucoup plus intéressante. Du moins, je l'espère. Il semblerait assez étrange de Kubo senseï ne prenne pas en compte les leçons qu'Ichigo a pu retenir de ces expériences, pour la suite des événements.



J'espère d'ailleurs que cet arc finira bientôt. Il ne m'a pas vraiment emballé. Surtout qu'il y a beaucoup de questions concernant la Soul Society ou le père d'Ichigo qui trainent depuis maintenant une bonne trentaine de tomes et dont on a pas la moindre nouvelles informations. Je peux comprendre l'envie de Tite Kubo de nous montrer son héros pris dans le doute et devant se débattre avec son destin, mais je trouve, et ce n'est que mon humble avis, que cet arc donne plus l'impression d'être une rallonge commerciale.



Il n'empêche que de revoir certains anciens personnages perdus de vue depuis longtemps m'a fait énormément plaisir. Surtout que tous mes chouchous étaient présents. Et une mention spéciale pour le relooking des nouveaux arrivants. Nous avions eu droit à ces petits changements au début de l'arc avec Ichigo et son entourage "humain", mais c'est très plaisant de voir que Kubo senseï ne s'est pas arrêté à quelques personnages. Ce n'est qu'un petit détail, mais dans les manga, le graphisme a une part tellement important (pour moi) que j'aime ce genre de petits changements.



Le tome cinquante trois n'est malheureusement pas le dernier de l'arc, et j'espère que cette dernière viendra très rapidement pour que l'on puisse passer aux choses sérieuses. Car il est fort dommage que j'ai apprécié ce tome presque uniquement pour la présence des personnages cités un peu plus haut...
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Bleach, tome 51 : Love me Bitterly Loth me ..

Ce tome cinquante-et-un est ce qu'on pourrait appeler dans les shonen, "le calme avant la tempête". Je suis pas mal de manga dans la même veine, et le schéma se répète continuellement. Pour ma part, je ne m'en lasse pas trop. Même si je préférerais bien entendu de l'action et pas des entrainements, on apprend toujours plus de choses sur les protagonistes dans des tomes comme celui-ci.



Bien entendu, Ichigo est au centre de ce tome (oui, c'est le héros, c'est normal), mais Inoue n'est pas mal mise en avant aussi, et j'adore ça. Beaucoup de lecteurs doivent la voir comme la "cruche" de service. Moi, bien au contraire, malgré sa naïveté et son attitude très positive, j'ai toujours vu en elle un personnage très fort mentalement. Et dans ce tome cinquante-et-un, elle me le prouve encore une fois. Son côté simplette n'est vraiment qu'une façade, une façon de ne pas inquiéter les gens qui l'aiment. Et à côté de cela, elle fait tout son possible pour ne plus être celle qui se fait secourir. Si Ichigo est devenu de plus en plus fort, il en est de même pour elle. D'accord, leurs niveaux sont loin de s'égaler, mais il n'en reste pas moins que Kubo senseï a suffisamment développé ce personnage pour en faire une héroïne à part entière et non plus une demoiselle en détresse. Et dans un shonen, c'est plutôt agréable.



Alors bien sûr, Ichigo continue à nous "surprendre" en développant encore une fois sa force. Là aussi, un schéma qui se répète. Cependant, on sent beaucoup plus de maturité dans le personnage mais aussi dans la façon dont il gère les nouvelles situations. On voit que le personnage a grandi, appris, et je dois bien avouer que c'est ce qui reste le plus important dans un shonen, car sinon les redondances feraient que la série (ou n'importe quelle autre) ne vaudrait plus la peine d'être suivi. On ne grandi pas avec le héros, mais on le voit grandir, et je pense que derrière les combats et les missions diverses et variées, c'est ce que j'apprécie dans Bleach.



Reste maintenant deux points mystérieux qui permettent de tenir avec ce tome plutôt "calme". D'une part la présence de ce nouveau "méchant" qui agit de façon bien étrange et que je n'arrive pas réellement à cerner, et aussi la présence du père d'Ichigo. Le mystère qui entoure ce personnage depuis le début est une réelle torture. Il est la clé de tellement de questions que je pense que Tite Kubo fait vraiment exprès de nous narguer.



Il ne reste plus qu'à espérer que le tome cinquante deux nous dévoilera un peu plus de ce nouvel arc qui même s'il est intéressant pour Ichigo reste assez opaque quand à sa place globale dans la série.
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