Thibault Vermot

Ben voilà, j'ai refermé le livre hier soir, j'ai éteint la lumière et forcément j'ai pensé à la chose !! Je me suis fait avoir par ce livre à l'écriture incisive et tranchante. Une découverte frissonnant, qui effleure notamment un sujet que je connais peu : le retour des soldats americains aux états Unis après la 2nde guerre mondiale.

J'avais déjà lu Colorado Train du même auteur. Fraternidad est plus ambitieux, quoique franchement différent. L'aventure est prenante à souhait, et l'écriture vous fait tourner les pages à une vitesse... 600 pages, lues en trois soirées ! :)

le damoiseau a beau être un tocard six jours sur sept, une fois enfilé ses collants et le reste de sa panoplie c'est qu'il a fière allure sur sa monture, le front droit et l'épée tirée.

Parlons-en : on ne voit pas les heures passer au fil de la lecture, et on passe ces heures plongé dans un monde assez noir - le nôtre -, frôlant le merveilleux, réenchanté aussi par le style particulier (cette alternance prose / vers, très efficace et bourrée de références à

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Il y avait bien longtemps que je n’avais pas autant stressé à la lecture d’un livre. “Colorado train“ de Thibault Vermot est un roman jeunesse qui fera de l’effet autant aux adultes qu’aux plus jeunes. Ce thriller nous plonge au cœur d’une petite ville reculée du Colorado dans les années 60, à la poursuite d’un cannibale tueur d’enfants. Le style de l’auteur, simple et immersif, est diablement efficace. On y retrouve la sève de certains textes de Stephen King, dont l’ombre plane sur cette investigation horrifique où une bande de gamins mène l’enquête avec innocence.

Pourtant, “candeur“ est loin de définir ce roman. De par leur nature, nous sommes constamment sous la menace du tueur. Vermot rythme habilement son récit en alternant la narration avec des passages à la 1ère personne, donnant ainsi la parole au tueur psychopathe.



Une lecture sous pression donc, où page après page, nos peurs enfantines reprennent le dessus (croquemitaine, etc.) et nous font trembler à chaque nouveaux rebondissements et détails sordides.



Malgré ma petite nature, j’ai vraiment beaucoup aimé ce roman. Je remercie mon libraire pour ce conseil !
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Un groupe d'adolescents dans une petite ville américaine qui s'ennuient en faisant du vélo? Un groupe composé de garçons et d'une unique fille dont un des membres adore écrire et qui est confronté à des disparitions mystérieuses?

Cela évoque évidement la série "Stranger Things" et surtout Stephen King, surtout qu'un des protagonistes se nomme Georges (Georgie). Il y a aussi une petite frappe qui harcèle les plus faibles, donc notre groupe d'amis.

Sans compter que les événements se déroulent à la fin des années 40 et non à notre époque pour donner un côté rétro comme dans la série ci-dessus nommée ou dans le roman horrifique au clown de King.



Si l'inspiration est claire, cela n'empêche pas que l'intrigue est bien ficelée quoiqu'attendue, que le suspens marche bien (je l'ai lu d'une traite).

Côté personnages, pour moi, ce sont Suzy et Michael qui se détachent réellement et prennent du relief.

La lecture a été d'autant plus plaisante qu'elle s'accompagne d'une B.O mitonnée aux petits oignons.



La narration à la fois d'un point de vue subjectif (quand on suit les protagonistes) et d'un point de vue subjectif (quand on évoque le tueur) est de ce fait très dynamique et entretient le suspens. Entrevoir les pensées hideuses du monstre tueur d'enfants crée une atmosphère inquiétante et mortifère. Dans l'ombre de ce monstre se tapissent toutes les créatures qui hantent l'enfance des jeunes Américains : le Wendigo, le Grayman et autres croque-mitaines (avec en plus une référence aux roi des Aulnes ouvrant le récit).

On sent bien dans le roman que les peurs de l'enfance, ses joies et ses références (contes de fées et comptines notamment) ne sont pas loin pour les protagonistes.

L'atmosphère délétère qui règne dans cette petite ville du fin fond des Etat-Unis est également parfaitement dépeinte. L'aspect rural est bien mis en avant et on sent que toute la communauté (et surtout le shérif) est traumatisée par ce meurtre ancien d'enfant.

De plus, le fait que l'essentiel des aventures du groupe se passe de nuit rajoute à cette ambiance particulière de cauchemar éveillé.



En résumé, un thriller horrifique très bien réussi qui est aussi un hommage au maître des aventures adolescentes fantastiques.





A partir de 14 ans

Durango, 1949. Une bande de gosses au pied des Rocheuses grandit plus ou moins innocemment. Jusqu’au jour où la brute du village disparaît. Seul indice : un bras à moitié dévoré… Les adultes piétinant sans succès, les enfants mènent l’enquête, attirant sur eux l’attention du tueur. Humain ou Wendigo ?



Difficile de ne pas sentir l’influence de Stephen King en lisant ce roman. L’explosion de fureur du père de Suzy au second chapitre rappelle quelque peu un Jack Torrance (Shining) perdant les pédales, mais c’est surtout Ça qui s’impose à la comparaison.

Une bande de gamins (dont une seule fille, un garçon un peu gros, un autre à lunettes, un autre qui est surnommé Georgie…). Des familles parfois un peu dysfonctionnelles. Un adolescent tyrannique, ayant redoublé plusieurs fois. Un monstre qui dévore les enfants. Une ville abandonnée peuplée d’adultes abattus. Un château d’eau. Voilà qui fait quelques points communs tout de même.



J’avoue que ce que j’interprète comme un hommage un tantinet trop marqué tempère quelque peu mon enthousiasme, mais heureusement, la sauce a tout de même pris et l’ambiance m’a finalement happée. Pesante et un peu malsaine.

J’ai tout particulièrement apprécié les passages dans la tête du tueur, étincelles de folie, lucidité malfaisante. A mon goût, ce sont les chapitres les mieux écrits : je les ai lu plusieurs fois chacun pour m’imprégner de ces mots noirs et dérangés. En outre, ils permettent de le suivre en parallèle des pérégrinations des enfants, nous offrant quelques miettes de connaissances que ces derniers n’ont pas, augmentant le suspense. De plus, en dépit de ça, l’auteur parvient à garder un bon moment un flou intéressant autour de ce personnage qui évoque pour les enfants un Wendigo ou un Croque-Mitaine.



Outre la plume, parfois très sombre – images cruelles ou frisson qui se glisse dans la nuque –, parfois contemplative de Thibault Vermot, je retiendrai également cette immersion au cœur de l’Amérique profonde et de cette ville un peu abandonnée sur laquelle plane encore l’ombre de la guerre et des soldats brisés qui en sont revenus (on est assez loin des Américains triomphants, sauveurs de l’Europe). Durango n’est pas une ville du bonheur et les différents personnages, adultes ou enfants, permettent d’évoquer plusieurs problèmes sociaux et caractères, ce qui crée un panel psychologique assez intéressant. Entre la mère célibataire, le poids d’un père violent (qu’il soit physiquement présent ou non, la pauvreté, l’ignorance, la société décrite ici n’est pas exempte de maux (ce qui rappelle une nouvelle fois Ça dans lequel Pennywise n’était pas forcément le plus grand méchant).



La petite bande est sympathique et l’on prend plaisir à côtoyer ces enfants intelligents, curieux, drôles et solidaires. Toutefois, ils ne m’ont toutefois pas marqués comme le club des Ratés de Ça tout simplement car la cohabitation n’aura pas été bien longue (rapport au nombre de pages, tout ça) et que, malheureusement, les personnages finissent par s’effacer derrière l’action. Pas sûre que leurs prénoms me restent longtemps en tête.



En dépit de quelques reproches, Colorado Train n’en est pas moins un thriller efficace qui se révèle assez addictif dès que l’on y plonge le bout du nez. Allez, ne serait-ce que pour l’atmosphère très noire et glauque, le voyage dans une Amérique pauvre et marquée par la guerre et les chapitres de la « Chose », je vous invite à découvrir cet Exprim’-là. Un premier roman prometteur !
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Une révélation ! Une roman sombre et angoissant qui ne se laisse pas lâcher.

L'auteur sait faire entrer le lecteur dans le suspense de cette histoire avec une construction très intéressante : les italiques sont les pensées de cette chose, mais quelle est-elle ? Jusqu'au bout, le lecteur est tenu en haleine face à cette enquête / course-poursuite engagée par une bande de gamins liés comme les doigts d'une main.

Touchant par des passages plus léger d'une vie dans le Colorado d'après guerre, on imagine les rocking chair et les hommes à salopettes côtoyant l'immensité des Rocheuses et des trains qui rythment le roman.

A lire !

Thibault Vermot nous régale d’un récit sans temps mort où plane une ambiance glaçante et flippante ! Entre enfants qui disparaissent et créature qui rôde, le mystère plane… Entrecoupé de ce qui semble être la voix du croque-mitaine (ou pire, puisqu’ici il ne s’agit pas d’un mythe), ce récit aux allures de film suit une bande de potes à la "Goonies" dans une étrange enquête où il ne fait pas bon traîner seul.



Thibault Vermot maitrise son effet. Le rythme, la tension, la peur, l’horreur, tout est intelligemment instillé. Heureusement que cette bande de gamins attachants et leur amitié fidèle allègent le récit. Pour peu je laissais toutes les lumières allumées !


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1949, Durango, petite bourgade à l'ombre des Rocheuses.

C'est là que vit Michael et son petit frère Calvin, seuls avec leur mère, le père ayant préféré se faire la malle.

Ils ont une sacrée bande de potes, le gros Donnie, Durham et George, jamais l'un sans l'autre, et Suzy, fille de flic, mais néanmoins rebelle.

Cette ville est calme, pas trop violente, même au sortir de la guerre, pourtant il y a de cela quelques années, un évènement horrible s'est produit, et qui a considérablement changé le père de Suzy, il lui fait peur parfois, c'est d'ailleurs à la même époque que le père de Michael a pris la fuite ...

Malgré tout, la vie s'écoule paisiblement entre l'école, les jeux, les délires en bande, les bagarre avec le groupe de petite frappe locale, oui, la vie suit son cours, jusqu'à ce qu'un gosse de la ville disparaisse, jusqu'à ce que son corps soit retrouvé, enfin, ce qu'il en reste ...



Alors là, pour un premier roman, c’est un fucking premier roman

Colorado Train est rapidement devenu l’un des événements littérature « ado » tellement son style, son intelligence et son écriture sont totalement maîtrisés.
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Colorado train est un thriller jeunesse qui nous propose une enquête à hauteur d’enfants, mais avec un monstre digne des livres pour adultes. Avec de vrais scène s glauques et quelques images un peu trash, Thibault Vermot n’épargne pas les jeunes lecteurs en évitant le travers d’une vision trop édulcorée. On y ressent aussi une véritable adrénaline et un suspens angoissant, qui, s’il n’a pas eu l’effet escompté sur l’adulte que je suis, peut faire de belles frayeurs à de jeunes lecteurs. Jouant d’ailleurs sur les peurs enfantines, du Wendigo ou du Croque-mitaines, Colorado train est un vrai bon thriller qui parlera aux adolescents (le livre est conseillé dès 13 ans). Le problème c’est cette [...]



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J'avais reçu ce roman il y a quelques semaines de la part des éditions Sarbacane dans le cadre de notre partenariat, je l'avais laissé de coté jusqu'ici car même si le résumé m'intriguait beaucoup et que je voulais absolument découvrir l'écriture de ce nouvel auteur des éditions Sarbacane, je n'étais pas vraiment dans l'esprit de lire ce genre de littérature et je ne voulais pas me l'imposée pour ne pas passer à coté de quelque chose. Et bien j'avoue que je viens de le refermer et que j'ai vraiment beaucoup aimé même si j'ai été un peu déstabilisée par la violence des détails de celle-ci.

Ce roman change de ce que je lis habituellement chez cette maison d'édition et j'admets qu'ils ont encore une fois tapé très fort . Du coté de l'histoire: Nous sommes en 1949, à Durango, dans une petite ville américaine, juste après la seconde guerre mondiale. Nous faisons la connaissance d'un petit groupe d'amis, composé de quatre garçons et d'une jeune fille. Ces cinq copains sont extrêmement soudés, pour le meilleur mais aussi pour le pire !

Voilà qu'un jour, la brute de l'école qui ne cesse de mener la vie dure à notre petite bande, disparaît soudainement ... Une chance et un peu de répit pour nos cinq amis qui ne s'en tracasse pas plus que ça au début, ils sont même assez soulagés de cette soudaine disparition mais les jours commencent à défiler sans aucune nouvelle de celui-ci.

Et puis le pire arrive soudainement et la ville entière frissonne. Une menace inexpliquée est là, omniprésente, nos cinq amis décident de mener cette enquête extremement dangereuse, haletante et complètement terrifiante au péril de leur vie pour découvrir ce que se cache réellement derrière cette terrible menace.. . .



Du coté de l'écriture: J'ai trouvé la plume de Thibault Vermot vraiment addictive, haletante et très différente de ce que je lis habituellement avec j'avoue beaucoup de suspens et de violence (un peu trop pour moi je vous l'accorde ) . Dès les premières pages du roman , l'ambiance est posée, j'ai été happée par cette histoire qui m'a parfois un peu trop stressée et j'ai eu quelques difficultés à trouver le sommeil les deux soirs où je l'ai lu. Lorsque je lis j'ai vraiment tendance à rentrer dans l'histoire et celle-ci m'a vraiment terrifiée je vous l'accorde , cela n'a rien gâché à ma lecture mais je ne m'attendais pas à tant de violence, ce coté terrifiant de l'histoire est aussi addictif que déstabilisant.

Du coté de la couverture, j'avoue qu'elle reflète à merveille ce thriller, je la trouve très jolie et tellement intrigante. L'intrigue est superbement menée, pas de temps morts ni de fioritures non nécessaires, l'auteur va droit au but, les personnages sont attachants et j'ai beaucoup aimé être aux cotés d'eux durant leur aventure même si j'admets que j'étais bien, là au chaud sous ma couette, je pense que je n'aurais pas fait long feu à coté d'eux ;) .



En conclusion: J'ai beaucoup aimé ce roman même si j'ai complètement été déstabilisée par les nombreuses scènes assez violentes et macabres de celui-ci. La plume de l'auteur est une très belle découverte et même si ce coté noir est très spécial je vous l'accorde, je suis vraiment persuadée que les amateurs de ce genre de littérature vont complètement craquer pour ce roman. Par contre je tiens à signaler que ce roman est à mon avis réservé à un lectorat plus averti et plus âgé que d'habitude car bon nombre de scènes et détails macabres peuvent choquer pas mal d'adolescents



Je remercie les éditions Sarbacane pour leur confiance et pour toujours aller plus haut, plus fort, dans leurs découvertes, leurs choix de romans et la qualité de leurs auteurs.

Elles me surprennent toujours et c’est ce qui fait la grande différence de cette maison d'éditions que j’affectionne tout particulièrement
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Lorsque la maison d'édition m'a contactée pour savoir si je voulais découvrir ce roman, je dois avouer que le résumé m'a de suite intriguée ! Alors je n'ai pas hésité et je l'ai commencé très positive. Malheureusement, je n'ai pas autant accroché que je l'aurais voulu. Je n'irai pas dire que c'était une déception, mais il est clair que je m'attendais à autre chose.



Nous sommes en 1949, à Durango. Tout juste sortis de la seconde guerre mondiale, Michael, Donnie, Durham, George et Suzy vivent dans une ville tranquille en apparence. Mais le jour où le corps d'un jeune garçon de leur école est découvert à moitié dévoré, ils décident de mener leur propre enquête... à leurs risques et périls.



Dit comme ça, le résumé est plutôt alléchant, et on s'attend à une histoire remplie de suspense et peut-être aussi d'un peu d'action. Eh bien ça n'a pas été le cas. Le gros point noir pour moi, ce sont les personnages. J'ai réellement eu du mal à m'attacher à eux et je n'ai ressenti aucune affection ni pitié pour eux. J'ai trouvé que leur psychologie n'était pas assez mise en avant, que leur caractère était caché derrière toute cette intrigue si particulière.



En plus de cela, j'ai vraiment eu du mal à me mettre en tête que des enfants de 12 parvenaient à rester dehors en pleine nuit, à mener leur enquête à l'insu des parents, alors qu'ils viennent tout de même de sortir d'une guerre. Pour moi, ça paraissait tellement surréaliste, que je n'ai pas réussi à passer au-dessus. Je les ai trouvés aussi très agaçants par moment, comme s'ils avaient la science infuse et qu'ils savaient tout mieux que les adultes.



Mais je pense que ce qui ne m'a pas permis d'être complètement dans le récit, c'est la plume de l'auteur. Et là, ce n'est qu'un avis personnel, hein. Mais son écriture était trop hachée, top enfantine, trop... Spéciale et bizarre pour moi. Je ne voyais pas toujours où il voulait en venir, ce qui m'a pas mal gênée. Un truc aussi très bête, mais qui m'a en quelque sorte bloquée, c'est son utilisation trop forte des tirets. Partout, tout le temps.



Néanmoins, les parties à la première personne du singulier étaient quelques peu dérangeantes et bien menées, je l'avoue. Sans vous spoiler, on sait quasiment tout de suite ce qu'il s'est passé, mais pour le coup, ça apporte une autre dimension encore plus glauque à l'histoire. On ne veut plus savoir qui a tué qui, mais pourquoi !​



​En résumé, ma chronique me paraît assez courte, mais j'avoue que je ne sais pas quoi dire d'autre... Je m'attendais sûrement à autre chose, à des personnes différents, à une psychologie plus poussée. La plume de l'auteur ne m'a pas non plus convaincue, je l'ai trouvée vraiment spéciale. Après, cette histoire peut sans doute vous plaire, mais moi je suis passée malheureusement à côté...



* Je remercie Sarbacane pour leur confiance ! *
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J’avais gagné ce petit roman lors d’un concours organisé par @darkfairy avec les éditions @casterman et j’ai découvert une histoire que j’ai beaucoup aimée.



Asuka est une jeune lycéenne qui retrouve son amie Hina après les vacances d’été. Cette dernière a rencontré d’autres jeunes durant la période estivale et Asuka retrouve une amie qui a beaucoup changé. Elles n’ont plus du tous les mêmes préoccupations, les mêmes centres d’intérêts…



Passionnée par le dessin et les mangas, Asuka va préparer un concours auquel son père l’a inscrite. Elle aurait aimer faire partie du club du journal de l’école mais il n’y aura pas de place pour elle.



Un nouvel élève, Cloud, va se rapprocher d’Asuka. Ce garçon est bien mystérieux.



En parallèle, un monstre sanguinaire tue des jeunes filles la nuit dans la ville.



En quelques pages, je me suis attachée à Asuka. Quant à Cloud, je ne lui fais pas confiance.



J’ai beaucoup de mal à lire des mangas et j’ai beaucoup apprécié les informations distillées dans cette histoire. Je compte bien poursuivre cette saga et le Tome # 2 est dans ma WL !

Une bande de jeunes skaters un peu désœuvrés erredans une ville des États-Unis. Le plus bien portant est fréquemment embêté par une bande de motards. Mais un sans abri du même lui vient en secours. Et quand le jeune motard disparaît, les skates essayent de mener l enquête.

Pour le scénario on est sur un modèle de thriller assez bien mené et on pourrait retrouver les ambiances de certains Stephen King.

Graphiquement l encrage est très réussi et les cadrages très intéressants. On est sur du noir est blanc où l auteur rempli abondamment la page.

On suit Asaka, une lycéenne passionnée de dessins qui écrit un manga nommé « La légende des Trois Îles » avec Hina, sa meilleure amie. Elles surnomment les autres filles de leur lycée « les pestes », celles qui se maquillent et draguent les garçons, sauf qu’Hina commence elle aussi à être attirée par ce groupe de filles, notamment la nouvelle Aoki. Mais Asaka ne se préoccupe pas de ce monde-là, elle a Teiko son stylo et son imagination débordante pour vivre d’autres aventures plus intéressantes. Je me suis beaucoup attachée à elle, j’avais envie de boire un thé et dessiner des « 4-cases » en sa compagnie. Elle est très inspirante et méticuleuse, elle a le sens du détail. Ce roman est super original, il a un côté réconfortant avec toutes ces pages descriptives sur l’art, le processus d’un manga et toutes ces références aux autres œuvres (comme Tokyo Revengers, L’atelier des sorciers,…) mais on ressent petit à petit une ambiance obscure qui nous amène dans le côté sombre de l’histoire, dans un univers fantastique avec ce tueur de femmes appelé « le Vampire d’Osaka ».



C’est une lecture fascinante que ce soit par rapport au thriller ou à la vie lycéenne avec les relations amicales, la différence et le dessin. Roman surprenant.

Asuka est une jeune adolescente qui a un don pour le dessin, d'ailleurs elle a le projet de créer un manga avec sa meilleure amie Hina. Alors qu'elle entame ses premiers jours au lycée, tout lui échappe... Sa meilleure amie la délaisse, elle et leur projet, elle est refusée au club de manga et puis il y l'arrivée de Cloud, un mystérieux garçon qui s'intéresse à elle. Sans parler que son père l'a inscrite à un concours de manga très prestigieux. Elle se sert de l'actualité un peu terrifiante afin de trouver l'inspiration : une sorte de bête traque les jeunes femmes à Osaka afin de boire leur sang...



🖍️ Alors, je vais parler avec mon point de vue de prof 🙃J'ai bien aimé ce roman car on est dans l'univers du manga. Même si on ne s'y connait pas, l'auteur arrive progressivement avec les termes techniques et ne nous perd pas. J'imagine très bien faire lire ce roman afin d'introduire une séquence sur les mangas, par exemple.



🖍️ Ce premier tome introduit la saga. Il y a donc énormément d'informations qui apparaissent... Notamment plusieurs mystères : qui est donc ce Cloud ? Et ce monstre qui sème la terreur à Osaka? Sont-ils liés ? Et puis quel est ce mystère avec le nouveau crayon de Asuka? On se pose énormément de questions et on n'a pas beaucoup de réponses à la fin. C'est un peu dommage mais les autres tomes, qui sortent tous en 2024, permettront je suppose d'en savoir plus.



🖍️C'est un roman très accessible pour les jeunes ados et qui leur plaira j'en suis sûre. Il aborde plusieurs thèmes liés à l'adolescence comme l'arrivée dans une nouvelle école, le fait de quitter son enfance...
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Le style m’a paru étrange par moment. J’ai pu croiser pas mal de répétitions (notamment du verbe dire, alors qu’il y a plein d’autres verbes pour les discussions), et j’avais parfois l’impression que des phrases ou des paragraphes ne collaient pas avec ceux d’avant. Comme un c/c raté 😅 ça m’a plusieurs fois faire perdre le fil. Des fois aussi, c’était comme lire une traduction mot à mot, alors que l’auteur est français. Mais certaines tournures ne le sont vraiment pas 🤔



Asuka est un perso que je trouve difficile à cerner par moment, comme incohérente … Mais l’on peut vite faire abstraction pour se concentrer sur l’intrigue. Il y a plusieurs branches qui s’entrecroisent. La piste du thriller fantastique donne vraiment envie de comprendre et d’en savoir plus.



C’est un roman qui se lit vite et je pense donc que je lirai la suite parce que je suis intriguée. J’espère y voir une amélioration du style, même si je suis étonnée car j’ai déjà croisé l’auteur dans ses autres romans et je n’avais pas du tout eu la même impression 🤔
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Un résumé énigmatique qui m'a donné envie d'en savoir plus. Et j'ai bien fait ! Malgré un début laborieux et très introductif à l'univers japonais et surtout du manga, j'ai découvert une histoire trépidante, sombre et mystérieuse.



Asuka est une jeune fille pleine de doutes et d'insécurité. Elle n'apprécie pas spécialement les changements, et son entrée au lycée ne va clairement pas être de tout repos pour elle. Une nouvelle école, son amitié avec sa meilleure amie Hina qui s'étiole, un nouvel élève intrigant et son père qui l'inscrit à son insu à un concours destiné aux futurs grands mangakas.



Dans ce premier tome, on comprend très vite que notre héroïne va passer de l'insouciance de l'enfance à la vie de grand comme on dit. Asuka découvre les peines de cœur, mais aussi les choix à faire pour avancer dans sa nouvelle vie. Je me suis très vite attachée à elle car derrière cette jeune fille qui essaie de rentrer dans les cases de la société dans laquelle elle vit se cache finalement une jeune femme pleine de vie, d'entrain, d'humour et qui apprend au fur et à mesure à croire en ces capacités.



En plus du développement de son personnage et de ces dessins, l'histoire prend une tournure très étrange. Des jeunes filles sont retrouvées mortes ou quasi mortes, vidées de leur sang. Un nouvel élève arrive en classe, le très énigmatique Cloud, qui deviendra sans doute le love interest des tomes suivants. Et puis, des choses bizarre arrivent lorsque Asuka se met à dessiner avec un stylo en particulier. Moi qui n'étais pas forcément friande de l'histoire au début, j'ai complètement été aspirer par tous ces événements et j'ai hâte d'en savoir plus.

Une lecture Yong Adult comme on les aime, sur un sujet vaste et connu des mangas et du Japon en général. Merci à masse critique pour ce livre reçu avant sa sortie (janvier 2024).

On tombe très rapidement dans l'intrigue et dans la vie d'Asuka qui arrive au lycéẹ. Elle ne pense pas aux garcons, et ne souhaite rien à part desiner et continuer de produire le manga que sa meilleure amie et elle ont décidés de commencer il y a plusieurs années...

Les personnages sont assez simplistes et il y a peu de développement. Le roman comporte très peu d'illustrations alors que c'est le thème, même les messages mobiles ne sont pas en forme de SMS. Il y a 4 tomes en tout et c'est un assez bon début pour le moment, à voir combien de temps pour finir la saga donc l'histoire d'Asuka qui semble en bien périlleuse posture.