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Critiques de Thierry Cailleteau (200)
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Anachron, tome 1 : Le retour de la bête

Fin du XXIème siècle. Varegua est un révolutionnaire qui lutte contre

la junte militaire en place. Cette junte est composée de descendants de nazis. Face à leur défaite, ceux-ci choisissent la fuite dans l'espace.



Varegua va partir en mission à la poursuite de ses ex-tortionnaires sur la planète Anachron. Sur cette planète, la civilisation est celle du moyen-âge sur la Terre.



Comme le dit Erik_, dans l'une de ses critiques, le mélange science-fiction et héroic-fantasy ne le dérange pas. Il en est de même pour moi. Il va falloir voir dans les prochains tomes comment la cohabitation pourra se faire entre les visiteurs terriens et leurs hôtes découvrant des techniques et des armes qu'ils ne connaissent.



Pour moi, c'est une découverte. J'ai apprécié le graphisme et les couleurs et comme souvent la variété de la mise en page. Le scénario me semble intéressant ou du moins m'a intéressé. Le seul bémol est la junte militaire néonazie. Qu'est-ce qu'elle apportera par la suite ? À voir.
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Anachron, tome 1 : Le retour de la bête

Le mélange science-fiction et héroic-fantasy ne me dérange pas. C'est quelque chose qui existe déjà avec Lanfeust Des Etoiles et plus récemment Les Naufragés d'Ythaq. L'originalité ne fait plus de surprise dans le cas présent.



Je suis par contre très ennuyé par certains détails: le fait d'introduire des descendants de nazis dans une junte militaire qui fuit l'Amérique du Sud pour une autre planète, le fait que la brute de service frappe à tout va une jeune écervelée (on ne tape pas sur les dames!), le fait que cette histoire ressemble réellement au Seigneur des Anneaux.



Finalement, le mélange est assez indigeste même si au départ, j'ai plutôt été séduit. Pourtant, je dois bien avouer que la lecture dans son ensemble reste plutôt agréable. C'est bizarre que cela fasse partie de la collection "Vent d'Ouest" car c'est un subtil mélange entre les séries à la mode chez Soleil et ceux du label B chez Delcourt.
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Anachron, tome 1 : Le retour de la bête

21ème siècle. Vaisseau spatial et technologie à la pointe permettent à une petite équipe d'humains d'atteindre une planète isolée où se sont réfugiés des néo-nazis recherchés pour crimes contre l'humanité. Hugo Varegua fait partie de l'expédition Anachron du nom de la planète en question. Ersatz de la Terre, cette dernière est grosso modo dessinée et décrite comme un moyen-âge terrien.

L'idée de départ est intéressante mais j'ai eu beaucoup beaucoup de mal avec les personnages. Wodan est un mercenaire dont la mission est de détruire une tribu d'orques pour obtenir la main de la fille du roi et prétendre ainsi au trône. Son chemin va croiser celui de l'expédition terrestre. Cet album est bourré d'humour mais c'est parfois un peu lourd surtout les scènes avec la belle promise au QI proche d'une huître.

Les quiproquos et la rencontre choc entre Varegua et Wodan, qui s'imposent d'emblée comme les principaux protagonistes de cette histoire, sont plaisants mais sans plus.

L'ouvrage ne souffre pourtant pas d'une publication ancienne ; le graphisme et les couleurs sont sympas.

Je lirai les prochains tomes car cette rencontre entre deux êtres que tout séparent est intéressante et très bien rendue par l'illustration de couverture.

Un trois étoiles seulement en raison de la pauvre psychologie des personnages féminins. Non mais !
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Anachron, tome 2 : Le Septième Capitaine

Tome 2 d'Anachron, le septième capitaine. Nous retrouvons les héros du tome 1 au XXIème siècle sur une planète où les personnes vivent comme au moyen-âge.



Celui que l'on ne nomme pas a été réveillé. Il va mettre en place une brigade de 13 lieutenants pour servir ses noirs desseins. Ce sont des mutants et l'un d'entre eux sera le capitaine des enfers. En fait ce sont Kriegadler et ses sbires (les membres de la junte militaire qui se sont enfuis de la Terre).



Nous avons toujours ce mélange entre milieu médiéval et science-fiction. Les hommes du futur vont-ils pouvoir aider les hommes du Moyen-Âge ? Les combats sont assez réalistes même avec le mélange des genres. Il y a l'enjeu d'épouser la belle princesse et de devenir le prince de la Cité. Un e question se pose : comment nos voyageurs pourront-ils repartir puisque la base support a été détruite ? Vont-ils devoir rester dans cette époque un peu rude ?



Le graphisme est plaisant, le cerné noir faisant se détacher les personnages dans les décors. Les couleurs sont lumineuses.



Lecture agréable, pour moi c'est une découverte de ce type de BD entre science-fiction et fantasy. Il ne me reste plus qu'à lire les tomes 3 et 4 pour connaître la fin de cette quête.







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Anachron, tome 2 : Le Septième Capitaine

Avec le réveil du non-nommé, l'histoire prend un coup d'accélérateur car les évènements se bousculent. Kriegadler et ses sbires se retrouvent transformés (littéralement) et deviennent les 13 capitaines du non-nommé. Ceux-ci ont pour mission de répandre le mal et de rallier les créatures maléfiques à la cause de leur maitre. D'un autre côté, Varegua et sa troupe se retrouvent bloqués sur Anachron et devront se de brouiller seuls désormais.

L'humour est toujours présent dans cet album, avec quelques planches assez drôles, comme le mariage d'ysoldine, interrompu par wodan, ou encore la découverte d'un casque de combat et l'analyse de celui-ci par les conseillers du baron.

On sent tout le potentiel de cette bande dessinée, et du mélange sf/fantasy. Une excellente série et un album qui tient ses promesses.
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Aquablue - Cycle 1 : Intégrale

Voila! je viens de refermer cette intégrale d'Aquablue qui réunissait les cinq premier tome de cette Saga de Science Fiction en BD.

le début commence dans l'Espace ou un vaisseau est en perdition suite a une collision avec des Météorites.

Seul survivant de la catastrophe un Bébé et sa nounou robotique, quitte le vaisseau a bord d'une capsule de survie qui amerrit sur Aquablue.

Cette planète, recouverte a 80 % par des océans, est la demeure d'un peuple qui possède des Branchies leur permettant de respirer sous l'eau aussi bien qu'a l'air libre.

Ce Peuple pacifique adopte Wilfrid qu'il rebaptise Nao.

le Film Avatar doit être un Clone de cette histoire, publiée pour la première fois en avril 1988, car on y retrouve les mêmes problèmes, des terriens sans scrupule qui veulent s'enrichir en détruisant l'écosystème d'Aquablue.

Comme dans Avatar les Autochtones non que des armes blanches a opposé aux armes sophistiquées des Terriens.

Mais Aquablue cache un secret! et se secret serait bien leur seule chance de vaincre les envahisseurs.

J'ai adoré!! mais cinq tomes ne sont pas suffisant pour un boulimique de Lecture comme moi.
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Aquablue - Cycle 1 : Intégrale

Les couleurs m'ont attirées, et puis ça faisait longtemps que je n'avais pas lu de BD de science fiction. L'historie est dépaysante, parfois un peu trop de texte, mais je reste charmé par ce genre de BD SF d'antan ; )
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Aquablue - Cycle 1 : Intégrale

J'ai mis du temps à m'y plonger, (trop jeune peut être au départ ?) mais ensuite j'ai vite succombé aux péripéties et à la beauté de l'ouvrage! Ca me donne envie de les relire!
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Aquablue - Cycle 1 : Intégrale

BD de SF , au scénario faussement complexe, une accumulation de poncifs de SF, servie par des personnages stéréotypés.

Le dessin rehausse parfois le niveau de plaisir...
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Aquablue - Cycle 1 : Intégrale

Le dépaysement est garanti avec cette bd tant par la beauté des graphismes que par l'aventure dans laquelle elle nous plonge. Et on se laisse aisément emporté par l'histoire, qui regorge de rebondissements tenant le lecteur en haleine de la première à la dernière page. Action, suspens, aventure, sf, et même parfois un peu de gore font de cette bd une valeur sûre pour qui veut bien s'y immerger.

Cette intégrale réunit les 5 premiers tomes de la série, et qui correspondent au premier cycle. Un bon point pour celles et ceux d'entre vous qui veulent se faire un idée assez juste de l'univers proposé, car l'histoire a une fin. Inutile donc d'attendre des mois voire des énnées pour découvrir la suite, qui appellerait elle même un nombre incalculable de suites. Si on aime, on peut poursuivre sans regret, et si on aime pas, on peut s'arrêter là sans avoir le regret d'abandonner une histoire non terminée.

Pour ma part, je m'arrêterai là dans la découverte du monde d'Aquablue, non parce que je n'ai pas aimé, mais parce que cette bd, certes très bien réalisé, n'a pas répondu à mes attentes, et ne m'a en rien transcendé. Les tomes 3 et 4 sont très en dessous des tomes 1,2 et 5, et m'ont donné l'impression de se centrer uniquement sur des batailles, des manoeuvres millitaires dans l'espace, sans que l'histoire n'avance réellement. Je préfère rester sur un sentiment positif, mais mitigé, que d'être déçu par une suite moins en dessous, ce qui est souvent le cas avec les séries " à rallonge".

J'ai cependant relevé le travail d'Olivier Vatine et je lirai certainement d'autres oeuvres de cet illustrateur ( les adaptations en bd de l'univers de Stephan Wul par exemple).
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Aquablue - Intégrale, tome 1

Cette belle intégrale regroupe les cinq tomes initiaux du premier cycle d’aventures sur Aquablue, depuis le naufrage du vaisseau Étoilé Blanche et l’arrivée de Nao sur Aquablue jusqu’ à la libération de la planète.



Nous assistons donc dans le premier tome à la vie rêvée des indigènes sur la planète Aquablue. Nao a été adopté d’autant plus facilement qu’il a été adoube par une « divinité » des indigènes, une sorte de baleine des profondeurs.



Mais ce bonheur est interrompu par l’arrivée de colonisateurs techno industriels terriens, la Texxec, soutenus par une bande de mercenaires menés par la propre tante de Nao qui s’est emparée de l’héritage de ses parents. Vu d’aujourd’hui les méchants sont ultra caricaturaux dans leur volonté d’asservir la planète et ses habitants, vu des années 2000, c’était tout à fait crédible tant la rapacité était la norme pour les grandes entreprises.



On a donc une lutte somme toute encore actuelle entre des écologistes qui veulent préserver leur planète et des industriels qui sont prêts à tout pour le profit. Non sérieux, ça reste crédible et d’actualité.



Au fil des cinq tomes nos héros vont trouver des alliés inattendus et constituer une petite bande multiculturelle redoutablement efficace. Il y a beaucoup de scènes de guerre mais la narration garde un équilibre avec l’exploration des mystères de la planète (qui sont ces dieux sous marins), les actions d’éclat héroïques, les voyages spatiaux, et les moments bucoliques.

Très daté: le rôle de faire valoir de mi-nuée la femme de Nao, même si elle a quelques moments de bravoure, elle fait surtout de la figuration en string Topless.



Au final une belle réussite de mélange des genres malgré quelques outrances fort caricaturales.
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Aquablue - Intégrale, tome 1

Ouvrage - ou plutôt ouvrages devrais-je dire car ce dernier comporte les cinq bandes-dessinées du premier cycle d'Aquablue -, emprunté durant le confinement, c'est à peine maintenant que je me suis décidé à le débuter et à le terminer le jour d'après (j'avais espéré que celui-ci me durerait un peu plus longtemps mais même pas étant donné que j'ai été captivée à la fois par le scénario mais suis également tombée sous le charme du graphisme et des personnages auxquels je me suis beaucoup attachés.



Nous nous trouvons ici dans un temps futuriste indéterminé mais cela va de soi car les humains sont dorénavant capables d'effectuer des voyages à des années lumière de notre chère petite planète bleue. L'existence d'autres planètes habitables ainsi que d'autres galaxies et autres peuples est chose acquise et courante donc je ne reviendrai pas là-dessus. Suite au naufrage du paquebot "L'Etoile blanche" suite à son choc avec une astéroïde, tous sur Terre croient d'abord qu'il n'y a eu aucun survivant. Grossière erreur car un bébé en a réchappé grâce à son robot-nurse Cybot (je dis d'emblée qu'il s'agit de mon personnage préféré dans toute la série car ce dernier est très attendrissant et ressent des émotions humaines). Après avoir erré huit ans dans l'espace, ces deux derniers trouvent enfin une planète à même de les accueillir : Aquablue. Ses habitants, de couleur bleue et parlant dans un premier temps un langage impossible à décrypter pour le commun des lecteurs car totalement inventé spécialement pour cette série, reconnaissent très vite une particularité chez l'enfant et le reconnaissent comme étant l'élu ; celui-ci s'appellera dorénavant Nao. Nous suivons donc l'évolution de ce dernier au sein du village (il se retrouve dorénavant seul car Cybot n'a pas résisté avec sa rencontre avec l'eau...effectivement pour un robot, cela peut être fatal) et son alliance future avec la fille du chef, Mi-Nuee. Faute de trop en dire, je crois que je vais m'arrêter là mais sachez que c'est bien connu : la vie n'est jamais un long fleuve tranquille. J'aurais pu vous dire que Nao et Mi-Nuee vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants mais vous vous doutez bien que sans ce qui va se dérouler durant ces 238 pages, il n'y aurait pas d'histoire. L'avidité des hommes va se mêler à l'affaire et Nao devra savoir trouver ses alliés sur Terre pour se défendre face aux requins qui voudraient coloniser Aquablue et en utiliser toutes ses richesses.



Un cycle vraiment passionnant dans lequel je me suis tout de suite immergée et la preuve est qu'une fois ma lecture commencée, je n'ai plus pu m'arrêter (cette lecture m'ayant elle-même été recommandé par mon mari, je me dois de faire la même chose avec vous, chers lecteurs). Bonne découverte ou redécouverte !



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Aquablue - Intégrale, tome 1

Ah quelle joie de vous retrouver encore cette semaine-ci ,surtout que c’est pour vous parler d’un intégral au prix assez doux mais qui ne déméritera pas de par sa qualité. On va parler d’Aquablue, scénarisé par Cailleteau et dessiné par Vatine et Tota ; réédité chez Delcourt en format intégral reprenant un cycle complet (tome 1 à 5) et que j’avais découvert en son temps en feuilletant certains magazines, époque où seul Vatine était au crayon.



De quoi s’agit-il ?



Le vaisseau spatial « L’Etoile Blanche » et toute sa population est détruite. Tous ? Non, un bébé est sauvé in extrémis par Cybot, son robot nourrice. L’espace est grand et les années passent dans la capsule de survie où Cybot essaie tant bien que mal d’éduquer Noah qui est devenu entre-temps un jeune adolescent (trop) plein d’énergie.. Leurs errances auraient pu durer encore longtemps jusqu’au jour où ils détectent une planète viable : Aquablue.



Aquablue est une planète perdue au fin fond de la galaxie, un monde ou l’eau est quasi omniprésente et où les habitants vivent en harmonie avec leur environnement, leurs rites, coutumes et légendes, un monde en paix quoi ! Noah, va s’intégrer à la population locale et y vivre en harmonie au point même de tomber amoureux de la belle et voluptueuse Mi-Nuée … Un monde parfait jusqu’à l’arrivée abrupte d’un vaisseau de colonisation humaine venue afin de « pomper » les ressources énergétiques de la planète avec, ou sans, le consentement de la population.



Et si le jeune Noah avait un rôle à jouer dans cette pièce ? Et qui étaient vraiment ses parents ?





Des êtres bleus, une planète très nature, cela ne vous rappelle rien ? Non pas les Schtroumpfs, mais Avatar bien sûr. Le thème principal pour les deux œuvres est la même, l’arrivée inopinée d’humains cupides afin de s’approprier par la force des biens qui ne leur appartiennent pas; mais c’est là que s’arrête l’analogie car Aquablue est bien plus touffu (ou blue-touffe si vous préférez). Pour résumer, vous prenez l’univers de James Cameron (Abyss, Alien , Terminator) , vous rajoutez des êtres tout bleu, une bonne histoire , des dessinateurs de talents , de l’humour pour bien avoir les ingrédients pour cette saga, vous passez tous cela au mixeur et hop, vous avez Aquablue (Minty Gel)



Visuellement, c’est beau à en faire pleurer sa race, des couleurs superbement léchées, un univers et une faune grandiose, une histoire à retournement de situation, un humour bien distillé et des personnages attachants. Bref, une recette presque parfaite, mais c’est une question de goût, le changement de dessinateur au 5e volume (même sœur theresa fait figure d’une junkee à côté du talent de Vatine alors Tota^^) ; mais honnêtement le changement de style graphique est beaucoup trop drastique et dénote méchamment par rapport à Vatine.



A part cela, je me dois de mentionner le travail d’Isabelle Rabarot qui est aux commandes des couleurs et qui nous donne une profondeur et une sensibilité rare.



James Cameron s’est-il inspiré d’Aquablue pour son Avatar ? Les habitants d’Aquablue sont-ils les descendants des Schtroumpfs ? Carlo, Rabat et toute la clique vont-ils s’en sortir ? Vous le saurez en lisant cette série.



Une saga qui ravira tous les amateurs de SF. Pour ma part, je me morfonds déjà d’impatience du tome deux de cet intégral.





Allez, hop ! C’est chez Delcourt, c’est Aquablue et c’est par Cailleteau, Vatine et Tota …. Et qu’est-ce que c’est bon.


Lien : http://lacasebd.overblog.com..
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Aquablue - Intégrale, tome 1

Une belle histoire riche en rebondissement ! Un graphisme tout aussi riche et soigné ! Voilà de quoi se régaler de cette lecture.

Je mets un petit bémol à certains enchaînements dans l’histoire, en particulier lors des changements de page car j’ai trouvé que parfois on se perd un peu en passant sur d’un univers à un autre. Quelques dessins un peu confus n’aident pas à se retrouver facilement et cela m’a créé quelques petites ruptures dans la lecture.

Les thèmes de l’expansion de notre humanité, du besoin de nouvelles ressources et de la décision de déclarer comme « indigènes » des peuples qui vivent en parfaite harmonie et n’ont rien demandé à personne sont intelligemment abordés et rendent intéressante cette lecture.

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Aquablue - Intégrale, tome 2

Salut les babelionautes

Je continue de découvrir la Saga en BD d'Aquablue avec le tomes deux de l'intégrale qui réunit les tomes 6 et 7.

Nao a récupéré son héritage et il a et crée la fondation Aquablue, une fondation qui vient en aide aux peuples autochtones en bute a la tentative d'exploitation par des multinationales des ressources de leur planète.

Après avoir goûté aux joies de la paix retrouvée sur Aquablue, Nao doit rejoindre la Terre avec ses inséparables compagnons, Rabah, Carlo et Cybot. Mais une panne du Stromboli les dirige vers une tout autre destination : les geôles du sanguinaire commandant Syssim, pirate spatial et rançonneur de naufragés. Ainsi commence une nouvelle odyssée, qui mènera Nao vers une étrange épave où sont enfouis de terribles secrets. Et l'aventure ne sera pas moins bouleversante pour Cybot, dans ce monde où une nouvelle loi signe l'arrêt de mort de tous les robot

c'est plaisant mais toujours aussi frustrant par le peu nombre de pages.

je continuerai cette Saga BD pour ne pas laissé l'histoire inachevé.
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Aquablue - Intégrale, tome 3

salut les Babelionautes

Les Tomes 8 et 9 sont réunis dans cet Album et forme a eux deux un récit complet.

DOYLE-1800, une planète menacée par un cataclysme spatial abrite une faune comparable a la Préhistoire de la Terre.

Nao et ses compagnons c'est donné la tache de sauver le plus d'animaux possible avant sa désintégration.

Mais il n'avait pas envisagé que des milliardaires, en mal de trophée de chasse, organise un safari.

et nous assistons a un remake de "Jurrassic parc", que je vais d'ailleurs mettre dans ma PAL pour le lire.
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Aquablue - Intégrale, tome 4

Salut les Babelionautes

Je continue ma découverte de cette série de BD de Science Fiction avec les deux qui sont réunis dans cet Album.

La Fondation Aquablue finance des recherches Archéologiques sur la Planète Tetlaan ou Nao s'aperçoit, une fois de plus, qu'il a été berné par le professeur chargés des fouilles.

Toujours aussi agréable a feuilleter mais toujours aussi court, mais je continuerai cette Saga pour connaitre la fin si il y en a une.
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Aquablue, tome 1 : Nao

Les classiques sont parfois un peu décevants.

Ce n'est pas que ce soit mauvais, loin de là. C'est uniquement que c'est très très très classique. Même pour l'époque. Peut-être que le côté écolo ne l'était pas forcément*. Mais bon, cette histoire de petit garçon destiné à sauver une planète n'est pas de la première fraîcheur, d'autant plus que ce premier tome ne va guère plus loin que son idée de départ. Certes, il faut poser l'univers, la planète, ses habitants, ses coutumes et l'adversité, le tout en 46 pages. Il n'empêche qu'on en ressort avec un sentiment de trop peu. Trop peu de SF car centré sur une seule planète. Trop peu d'histoire car centrée sur Nao**. Trop peu de péripéties car elles sont trop classiques entre Moïse, le passage à l'âge adulte et les colons.

Le dessin est aussi moins exceptionnel à ce que à quoi je m'attendais. L'encrage est un peu trop épais et le visage de certains personnages laisse un peu à désirer sur certaines cases. Il a un côté comme pas totalement achevé, pas totalement maîtrisé auquel je n'étais pas préparé. Mais son Nao s'en tire plutôt bien et vu sa façon de s'habiller, c'est cool.

Déçu, certes, mais plus par mes attentes que par la BD.



*enfin, j'ai grandi aussi avec Wattoo Wattoo, et Ushuaïa le magazine de l’extrême venait d'être créé 1 an avant



**oui, son nom donne le nom du Tome mais c'est pas une raison !
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Aquablue, tome 1 : Nao

Avis portant sur la série :



Aquablue est une série à l'univers marin et au message écologique crée par Thierry Cailleteau et Olivier Vatine. Elle a connu un incontestable succès dans les années 90 car c'était le must de la création pour l'époque en matière de science-fiction.



Pour ma part, je trouve que l'univers décrit est un cran en dessous des séries de Léo (Aldébaran, Betelgeuse) qui possède le talent de décrire au mieux la faune et la flore et de les mettre en valeur. C'est un peu dommage de ne pas avoir exploité ce potentiel pour les créatures marines.



L'histoire demeure très intéressante jusqu’au tome 5 d'un point de vue scénaristique (cela forme le premier cycle). Les deux auteurs qui sont alors en mésentente vont se séparer ce qui aura un fort impact sur la suite.



Le second cycle sous la houlette de Cailleteau (album 6 et 7) passe encore car on revient sur les origines de Nao. Tota remplace Vatine au dessin et cela se sent tant les univers graphique de ces deux dessinateurs sont différents. Cela deviendra très "commercial" par la suite et pour tout dire sans grand intérêt pour le lecteur. Il n'en demeure pas moins qu'il s'agit d'une référence pour les amateurs du genre.



Je trouve personnellement que le dessin va en s'améliorant au gré de la succession des différents dessinateurs sur cette série ce qui lui confère un caractère très inégal par rapport à la baisse de la qualité scénaristique. Certes, beaucoup de lecteur regretteront le départ de Vatine qui conférait une véritable âme à chaque personnage grâce à un style particulier. On reprochera à Tota d'avoir transformé Nao en espèce de super héros bodybuildé aux antipodes de ce qu'il était à l'origine.



Ce n'est plus une série intime et mâture : c'est le moins qu'on puisse dire surtout au vu des derniers tomes où Nao est devenu une espèce de justicier écologique interplanétaire qui n'hésite pas à tromper sa pauvre femme. Aquablue a beaucoup perdu de son charme notamment au niveau de son scénario qui sombre dans le manichéisme le plus total. Il s'agirait véritablement d'arrêter le massacre à l'avenir. C'est un véritable gâchis!!!



J'ai décidé de revenir sur ma note et de mettre un 4 étoiles tout en précisant que cela concerne que les 7 premiers tomes où l'achat sera conseillé. La série Astérix a connu également les mêmes déboires. Néanmoins, cela reste un classique. Pareil pour Aquablue qui a quand même marqué le monde de la bande dessinée moderne. Si on fait la moyenne, cela reste confortable.



Fort heureusement, le 12ème tome semble tirer les leçons des derniers échecs avec ce retour aux sources. Une nouvelle équipe d'auteurs a prit le relai. Le dessin ressemble à un montage photo informatique mais je dois bien avouer que le résultat est franchement réaliste. C'est moderne dans le concept et je doute que cela plaise aux puristes de la première heure. Il s'agira de voir si la suite tient ses promesses au niveau du scénario.



Cela ne sera pas vraiment le cas avec un 13ème tome qui joue à Star Wars et qui semble un peu plat au niveau de l'intrigue. Le 14ème tome développe le concept de la série Golden City. Il y aura un fait dramatique d'importance mais on a l'impression qu'il n'y a que cela. Le scénario semble manquer d'inventivité. Ce cycle compte déjà 4 tomes et n'est pas à la hauteur de ce qu'on pouvait attendre. Le rendu graphique devient très mauvais au fil des tomes. Certes, la faute à l'informatisation des images qui l'éloigne un peu plus de son passé glorieux. Le pire étant qu'il manque cruellement une intrigue digne de ce nom. Et pourtant, le nouveau cycle semble s'étirer artificiellement sans nous apporter l'essence. Aquablue n'est plus ce qu'il était. La série aurait dû s'arrêter. Voilà, c'est dit.
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Aquablue, tome 1 : Nao

Le paquebot spatial « L’Etoile Blanche » est percuté par des astéroïdes, prend feu puis explose. Sous l’injonction de deux parents acculés, Cybot, un robot-nurse, prend en charge leur bébé et s’envole avec la chaloupe de sauvetage. Les années passent et le jeune garçon n’a connu que son « père en fer blanc ». Il lui tarde de dénicher une planète hospitalière puis apparaît Aquablue essentiellement marine à l’exception d’archipels peuplés de « natifs humanoïdes ». Dès son amerrissage en catastrophe, le jeune Terrien Wilfrid Morgenstern est considéré par les aborigènes bleus tel un dieu car la baleine sacrée, Uruk Uru sort des profondeurs océaniques pour venir le saluer comme son « fils vivant hors de l’eau : Tumu-Nao ». Le robot tombe à l’eau, court-circuite et rouille ; Pour Nao, son père adoptif est mort mais les autochtones le prennent en charge. Nao a encore grandi et va maintenant passer l’épreuve lui donnant le statut d’homme et de pêcheur. Mi-Nuee est sa promise. Tout pourrait couler de source sur Aquablue mais un consortium terrestre a des visées d’exploitation sur la planète bleue. La cynique et cupide Ulla Morgenstern dirige l’équipe de mercenaires chargée de « nettoyer » le terrain avant que la société Texec (Texas Energy Consortium) ne s’installe et ne pille la planète au grand dam de l’ethnologue Maurice Dupré. Ce dernier va s’approcher de Nao, récupérer et réactiver Cybot, le robot-nurse doté de « mémoires indestructibles » et pencher pour la défense d’Aquablue. Les nervis surarmés et entraînés s’attaquent aux pêcheurs disposant de filets et de harpons. Les massacres commencent. La baleine vient opportunément en aide mais Nao sait qu’il doit suivre Dupré sur Terre afin d’en savoir plus pour faire échouer l’énorme complexe industriel organisé pour laminer Aquablue.

Premier volume d’une série aujourd’hui datée mais dont l’influence est nette depuis les années 1990 ; si le dessin d’Olivier Vatine peut sembler quelquefois un peu maladroit, il n’en est pas moins élégant, tout en rondeur, précision et dynamisme. Les couleurs de Christophe Araldi remplacent avantageusement celles d’origine réalisées par Vatine. Alors que l’histoire de Thierry Cailleteau est convenue avec de bien grosses ficelles scénaristiques (Ulma est la tante de Nao, par exemple), quelques invraisemblances et des clichés d’arrière-garde (le mercenaire est un Teuton retors du doux nom de Fritz), l’ensemble se lit d’une traite, très agréablement, les scènes s’enchaînant avec fluidité et le récit progressant sans temps mort. L’humour de Cybot est franchement amusant et ajoute un peu de légèreté à l’ensemble légèrement plombé.
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