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Critiques de Thierry Smolderen (275)
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Une année sans Cthulhu

Cela faisait longtemps que je n'avais parlé BD. Joli cadeau reçu pour mon anniversaire (Encore merci !), j'ai pu découvrir ce sympathique thriller fantastico/SF avec beaucoup de plaisir.

"Une Année sans Cthulhu" est une belle BD, au traits singuliers et couleurs flashies. Un choix artistique en raccord avec cette histoire qui nous plonge dans les années 80.



Les personnages sont très humains, simples et caractéristiques de cette jeunesse rebelle. Le fantastique et les jeux de rôles se mêlent au réalisme, brouillent les pistes et nous fait voyager dans des contrées cauchemardesques.



Une lecture agréable pour l'aventure et pour les yeux. De quoi me donner envie de découvrir d'autres œuvres des auteurs.
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L'été Diabolik

Un excellent récit dans un style rétro pop aux couleurs vives. Histoire de famille sur fond d'espionnage
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Une année sans Cthulhu

J’ai découvert cet ouvrage avec Masse Critique et je suis tombée sous le charme.

Histoire sombre avec du mystère, le tout avec des dessins vraiment accrocheurs avec des couleurs vives voire flashy qui donnent du rythme au fil des pages.

J’ai bien accroché au style graphique moderne.

Une belle découverte !

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Une année sans Cthulhu

J'avais adoré l'été diabolique des mêmes auteurs, Smolderen et Clérisse, à la fois l'histoire située dans les années 60 que le graphisme, époustouflant! Quand j'ai eu la très chouette surprise de découvrir leur nouvel opus, je me suis réjouie et précipitée! Je suis malheureusement déçue. L'histoire est bien trop confuse et éparpillée; les univers trop nombreux sans liens les uns avec les autres; de nombreuses pistes sont ouvertes sans être exploitées; les personnages n'ont pas de motivations très claires....en gros le scénario m'a complètement perdue en cours de route et lorsque j'ai refermé la bd, j'avais bien plus de questions en tête qu'à l'arrivée! Après reste le plaisir de ces dessins et couleurs particulièrement sublimes et cette ambiance mystérieuse qu'on a envie de suivre jusqu'au bout.
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Une année sans Cthulhu

Difficile de ne pas faire un parallèle entre "une année sans Cthulhu" et Stranger Things. Les années 80, un groupe d'amis amateurs de jeux de rôles, des faits sanglants.

Pourtant, même si les influences sont les mêmes, le résultat final est très différent tant au niveau du scénario que de l'atmosphère.

Etant issu de cette génération 80's et ayant été adepte des jeux de rôles, dont le fameux "L'appel de Cthulhu", cet ouvrage avait tout pour me plaire et avoir un petit goût de madeleine de Proust.

Cette BD est vraiment un très bel objet. le graphisme que l'on pourrait qualifier de faussement simpliste est très séduisant.

Je me suis aussi laissé emporter dans ce récit qui soufre néanmoins de la trop grande richesse de ses influences et à un peu tendance à s'égarer au niveau de l'intrigue. Un peu comme si les auteurs avaient voulu y mettre tous leurs souvenirs sans vraiment se donner la peine de faire le tri.

Je ne suis pas un grand lecteur de BD, mais étant fan des Grands Anciens, je ne pouvait pas passer à côté de cet ouvrage et je ne le regrette pas. Une belle surprise.
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Une année sans Cthulhu

Après le très bon « L'été diabolik », c'est avec plaisir que je retrouve le tandem Smolderen/Clerisse pour une toute nouvelle bande dessinée. Si leur précédent ouvrage nous plongeait dans les années 60, l'histoire d' « Une année sans Cthulhu » s'inscrit dans les 80's avec l'émergence des jeux de rôle comme le fameux « L'appel de Cthulhu » dont il est question ici.





Encore une fois, je suis séduit par la beauté graphique du style de Clerisse.Les dessins ainsi que les couleurs nous immergent complètement dans cette époque pas si lointaine et collent parfaitement avec l'intrigue. Ils participent à la mise en place de cette ambiance mystérieuse et inquiétante au sein de laquelle la frontière entre le fantastique et la réalité s'avère plutôt mince et floue.





Côté scénario, Smolderen réussit à nous tenir en haleine d'un bout à l'autre de cette BD. Suspens et rebondissements sont suffisamment bien dosés pour captiver le lecteur et le faire s'interroger sur la manière où tout cela le mène. Et on est pas déçu. Si « L'été diabolik » s'essoufflait dans sa seconde partie, ce n'est pas le cas ici.





« Une année sans Cthulhu » est une excellente bande dessinée que je ne saurais que vous conseiller. le fond et la forme étant d'une parfaite maitrise. J'en profite pour remercier Babelio et Dargaud de m'en avoir fait profiter suite à une opération masse critique.

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Retour à zéro

« Retour à Zéro » s'inscrit dans cette volonté des Editions Ankama de réssuciter l'oeuvre de Stefan Wul à travers le neuvième art. Chacun de ses romans fait ainsi l'objet d'une adaptation dessinée en série ou comme ici en one-shot par des auteurs différents. Dans le cas présent, Thierry Smolderen et Laurent Bourlaud s'attaque au premier roman de l'écrivain français.





N'ayant pas lu le livre d'origine, je ne peux pas comparer les deux versions, littéraire et dessinée. Toutefois, le scénario de la BD m'a séduit même si cette dernière aurait mérité d'être rallongée avec davantage de planches. On a effectivement l'impression que l'intrigue va trop vite et cette précipitation est assez désagréable. Toutefois, cette histoire lunaire est prenante et l'on ressent fortement l'influence de la Guerre froide, contexte d'écriture du livre, notamment dans cette peur des armes de destruction massive et cette rivalité entre deux puissances.





Mon coup de cœur est provoqué avant tout par les dessins de Laurent Bourlaud à la fois pour ce qui est du trait de crayon mais aussi du choix des couleurs et l'esthétique générale. Ce style visuel est imprégné de celle du début du Xxème siècle et notamment du constructivisme russe. A la fin de la BD, les auteurs expliquent d'ailleurs en détail leurs sources d'inspiration graphique et scénaristique.





« Retour à Zéro » est donc une bonne bande-dessinée qui nous en met plein la vue mais dont la longueur est un peu trop réduite pour immersion complète.
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Souvenirs de l'empire de l'atome

J’ai tout de suite été séduite par la bande dessinée par sa couverture qui tranche par ce qui est la plupart du temps publié. Des couleurs vives, une image intrigante, des volumes lorsqu’on passe le doigt dessus, elle appelle à la curiosité. C’est ainsi que j’ai décidé d’en tourner les pages. Et tout de suite, c’est encore un ravissement pour les yeux. Alexandre Clérisse a réalisé un magnifique travail graphique dans l’esprit des années 50. En plus, l’histoire n’est pas linéaire et des allers-retours entre les époques demandent plus de travail afin que le lecteur puisse se retrouver en coup d’œil. On va des années 20 aux fifties tout en faisant une ballade dans les années 58 dans l’Atomium et 121 000. Les voyages nous emmènent sentir les embruns du monde aussi bien à Washington, au Mexique, en Asie, en Grèce… Le dessinateur coloriste y insère également de nombreux clins d’œil à des artistes du moment comme Jean Tinguely, Mondrian, Frank Lloyd Wright… Il joue aussi le rendu lorsqu’il nous plonge dans les magazines de SF où notre s’identifie aux personnages. Le jeu entre les deux styles est très malin.



Mais que serait Alexandre Clérisse sans son binôme à la plume? Thierry Smolderen y met des mots toujours justes dans les bulles. L’histoire part dans tous les sens et demande à son lecteur de bien suivre. Cela se fait sans grand problème et les pages se tournent avec plaisir. Les références sont multiples aussi dans l’écriture et n’étant pas une grande lectrice de SF beaucoup me sont passées à côté. J’ai appris quand même que Zarth Arn est le nom d’un héros de série Z italienne qui ont été publiés en comics aux Etats-Unis. Ne trouve-t-on pas des numéros d’Amazing Stories sur une table de salon de Paul ? Les sources d’inspiration pour le scénariste sont nombreuses comme un article de 1955 consacré au cas psychiatrique de Kirk Allen, patient du docteur Lindner. Le médecin pour garder l’anonymat a enjolivé son récit en étant surement influencé par Edmond Hamilton. Un travail qui a du demandé beaucoup de recherche pour trouver un ton qui sonnerait juste pour rendre hommage à la SF. Le rendu est incroyablement agréable à lire que l’on soit ou non fan de SF.



Alors allez plonger dans l’univers complètement loufoque et futuriste des « Souvenirs de l’empire de l’atome ». Promis, vous allez faire un voyage qui va longtemps marqué votre inconscient.
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L'été Diabolik

Tout commence par un tournoi de tennis, Antoine gagne, son père est ravi, celui de son adversaire beaucoup moins. Une bagarre éclate, de façon assez incompréhensible. A partir de cet épisode, tout s’enchaine et Antoine va aller de découvertes en découvertes, perplexe face à la tournure prise par sa vie à partir de ce moment-là.

Sur fond de guerre froide, avec un décor très années soixante où se mêlent habilement Mondrian dans une robe Yves Saint Laurent et les couleurs psychédéliques des bandes dessinées de l’époque, l’auteur nous dévoile habilement les angoisses de l’adolescence, les craintes de l’envahisseur et de l’espion venu de l’Est, les questions sur les apparences, les non-dits et sur ces secrets de famille qui ont des répercussions sur toute une vie.

Une belle réussite graphique, et un vrai plaisir de lecture.
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L'été Diabolik

Gagnant du Prix BD Fnac 2017, cette BD était passée brièvement dans mon champ de vision mais je ne m'y étais pas attardée plus que ça. Et pendant les vacances du mois d'avril, je faisais un petit tour dans ma bibliothèque municipale et je suis tombée dessus. Après l'avoir feuilletée, les illustrations m'ont tapée à l’œil et hop elle fût empruntée.







Nous sommes dans les années soixante, Antoine, notre protagoniste, vit son adolescence tranquillement entre matchs de tennis et promenades en vélo sur les bords de mer. Mais à l'été 1967, tout va changer, son père disparaît mystérieusement. Une dispute quelques jours précédant sa disparition, d'improbables retrouvailles avec un agent des services secrets et un comportement étrange, froid et distant... Tout cela aurait-il jouer dans l'évaporation du père d'Antoine ?



Fuyait-il quelque chose ? Quelqu'un s'en serait-il pris à lui ? Toutes ses questions vont hanter le jeune homme bien des années plus tard. Il ne cessera de chercher des réponses mais à quel prix ?...



Je vais parler tout d'abord du dessin, que j'ai trouvé tout bonnement magnifique. Je me suis crue dans les années 60, réellement, on retrouve les codes graphiques de l'époque, toutes ces couleurs psychédéliques et ces formes géométriques. Alexandre Clérisse a su insuffler une âme sixties à ce roman graphique. De plus, il a su recréer une ambiance particulière par rapport à certains personnages. Par exemple, Joan, l'américaine qu'Antoine rencontre, qui est très libre d'esprit sur ses mœurs sexuelles ainsi que sur ses consommations illicites, va avoir des tons chauds, psychédéliques, des formes arrondies pour faire ressortir toute la sensualité qu'elle dégage.



J'ai beaucoup aimé aussi, la représentation de l'architecture et ses plans coupés qui nous montre de loin ce que fait chacun en une seule image.



Pour l'histoire en elle-même, j'ai parfois été perdue dans les informations que l'on m'a fourni. Mais étant donné que le héros ne comprend pas forcément ce qu'il voit puisqu'il reçoit en même temps nous les informations pèle mêle, son esprit est embrouillé et nous le sommes à notre tour aussi.



De plus cette ambiance "espion" à la James Bond, bien habillé, toujours classe, est typique du fantasme des années 60. L'espion qui fait tombé toutes les femmes, sûr de lui et qui boit un verre tranquillement avec son ennemi. Tout ceci est tellement bien fait.

Le mystère de la disparition reste entier jusqu'à la fin de l'histoire, avant de rentrer dans la partie "de nos jours" du roman. Car en effet il y a deux parties. En fait le héros beaucoup plus âgé mais toujours hanté par le mystère de cet été là, nous raconte les faits comme il les as perçu (ce qui explique les épisodes décousus et l'imagination parfois débordante de l'adolescent) et nous délivre ensuite le fin mot de l'histoire, auquel je n'avais pas pensé du tout.







En bref, même si l'histoire ne détonne pas vraiment, le gros point fort de cette BD ou roman graphique, ce sont les dessins. Magnifiques, remplis de couleurs c'est un régal de les regarder. J'ai même refait tourner les pages sans lire l'histoire juste pour admirer les illustrations.
Lien : http://le-coin-lecture-emili..
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L'été Diabolik

Belle intrigue sur deux périodes dignes de roman d'espionnage mais vu par un garçon un peu naif et torturé

Le tout est servi par un graphisme original très coloré qui rajoute encore au plaisir

Un Prix BD Fnac bien mérité
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Souvenirs de l'empire de l'atome

Aïe, aïe, aïe ... j'ai été larguée aucours d'une téléportation !!!



Les auteurs nous embarquent dans une science fiction vintage (adjectif non péjoratif) sur fond des années 50. Les décors, les couleurs et le graphisme sont au service de l'histoire et de son ambiance.



Outre la prouesse graphique, nous ne ressortons pas indemne de ce voyage temporel et galactique. Pour ma part, le récit m'a donné la nausée: tantôt projetée dans des espaces temps 1956 - 1950 - 1958 - 1953, et tantôt ballotée dans des lieux des plus mystérieux. Ainsi, la lecture fût confuse et chaotique, avec cette désagréable sensation de n'avoir pas tout compris, fichtre ! Je me suis sentie telle une OVNI dans cet univers fantastique et froid.



Toutefois, même si cette proposition ne m'a pas saisi, il est indéniable qu'elle sera plaire aux fans de science-fiction. J'avoue en revanche avoir été conquise lors du suivant album des mêmes auteurs, l'été diabolique.
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Ghost Money, tome 1 : La dame de Dubaï

Histoire trop sordide pour moi, même si elle retrace très certainement la vérité sur le traitement des détenus aux Etats-Unis.
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Ghost Money, tome 5 : Le Black Cloud

Suite et fin de cette BD très spéciale, mêlant espionnage, complot et anticipation. Le mic-mac de qui est qui et qui fait quoi atteint son paroxysme. Chemza a enfin accès aux explications quant à l'origine de la richesse qui lui a été léguée. Comme on pouvait s'en douter, vu l'attitude des barbouzes américains dans les tomes précédents, il ne s'agit pas de l'argent du banquier d'Al Quaïda. Tout cela concourt à un complot savamment orchestré.

Les auteurs, manifestement sous amphétamines, délirent sur des puces implantées, des robots manipulables à distance par la pensée, des communications inter cérébrales qu'on peut bloquer. Ghostmoney se fait plus que jamais une série de science-fiction plutôt que d'espionnage. D'autant que cette fin de série laisse plus ou moins en plan les relations entre Chemza, Lindsey et Umar.

Ce grand n'importe quoi scénaristique finit par agacer...
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L'été Diabolik

Un roman graphique d'espionnage sur fond de guerre froide et roman d'initiation, servi par un brillant scénario à deux temps et un graphisme psychédélique flamboyant.
Lien : http://culturebox.francetvin..
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Ghost Money, tome 4 : La prisonnière Tashkite

L'histoire étant des plus complexes, pour ne pas dire tordue, Smolderen est obligé depuis deux tomes d'en faire un résumé sur les deux premières pages des albums. Et bien, même en connaissant la série, même avec ce résumé, l'intrigue reste assez ardue à comprendre.

Pour faire simple, l'héroïne, Chemza, qui dispose d'un fabuleux train de vie, qui lui proviendrait en héritage du banquier d'Al Quaida, est désormais emprisonnée en Asie centrale, sur ordre de son père le dictateur local. Elle est espionnée, via une puce implantée dans ses pupilles, par des agents américains, tous plus ou moins détraqués. Elle ne peut compter que sur l'aide de son amie Lindsey, qui va être aidée par un jeune chinois handicapé, Hu, qui peut déplacer les objets à distance, grâce à une nouvelle technologie révolutionnaire. Hu est aussi parvenu à voir ce que voient les américains avec leur puce optique. Du coup, il a pris le parti de Chemza.

L'intrigue était déjà complexe dans les épisodes précédents, là cela devient le sac de nœuds. Mais heureusement l'épisode se conclue par un « suite et fin dans le tome 5 », qui laisse augurer d'une masse d'explications finales.

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Ghost Money, tome 2 : Les yeux de Chamza

Le scénario concocté par Smolderen part vers le futurisme à toute vapeur, pardon en suborbital, dans ce tome 2.

Une puce permettant de voir ce que Chamza regarde a été implantée dans sa tête dans une clinique chinoise au profit de l'équipe de barbouzes US. Ceux-ci s'attendent à une opération d'envergure de l'émir des lumières, Umar. Après l'opération, Chamza est ramenée chez elle dans son T3 par son papa, pardon dans son palais par le dictateur de la république tashkite, qui est accessoirement son père. Toute ressemblance avec une république d'Asie centrale envahie de béton et où le culte de la personnalité règne doit être un hasard du scénario. Puis Chamza accompagnée de Lindsey file à Dubaï où se tient une réunion de chefs d'état, où elle va retrouver Umar. Là commencent les ennuis...

Bref, l'histoire se fait toujours plus tortueuse et complexe. Les événements deviennent difficiles à suivre. Le lecteur sent que quelque chose se prépare sans bien comprendre ce qui se passe, ni qui sont les bons et les méchants.

Pour autant, on ne désespère pas de connaître le fin mot de cette intrigue peu conventionnelle.

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Ghost Money, tome 1 : La dame de Dubaï

Premier tome d'une série atypique. Un peu de fantastique, puisqu'on est en 2020, et que les déplacements entre les continents se font à grande vitesse grâce à des navettes orbitales. Beaucoup de guerre secrète, avec des réminiscences de la guerre du Golfe et particulièrement des tortures exercées dans les prisons secrètes de la CIA. Une organisation islamique prise en chasse par des barbouzes liées à un gouvernement néoconservateur au pouvoir aux USA.

Et au milieu de tout cela l'attirance de la jeune Lindsey pour Chemza, qui s'attache Lindsey comme une sœur, voire plus, en allant dépenser des montagnes de fric dans des shopping planétaires.

Qui est Chemza, d'où lui vient sa richesse et l'intérêt que lui porte la CIA ?

Le coup de crayon de Bertail est dense, chargé, et passe très bien dans les scènes de guerre ou d'action. Le scénario de Smolderen lui est assez peu compréhensible, si on s'en tient à ce premier tome. D'autant qu'à côté de l'intrigue principale, Smolderen charge ses agents secrets de tares bien lourdes, qui se retrouvent illustrées cruement.

Le lecteur sort de ce premier tome surpris, prêt à continuer, mais en même temps doutant de l'intérêt final de ce cycle.
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Ghost Money, tome 5 : Le Black Cloud

Résumé : après les attentats du 11 septembre une énorme somme d’argent a disparu, « le trésor d’Al-Qaïda ». Ce butin, issu de spéculations boursières, serait à l’origine de l’enrichissement d’un groupe terroriste. Chamza, est une riche héritière amoureuse d’un sombre poète, soupçonnée de détenir ce fameux trésor.



Le mot de la fin : une série d’anticipation qui mêle manipulation chasse au trésor espionnage et avancées technologiques tout en dénonçant des pratiques politiques. Un thriller impeccable qui surprend dès le premier tome et ne s’estompe pas. Toutefois, on peut être quelque peu déçu de la fin qui arrive trop vite.
Lien : http://www.lesmiscellaneesde..
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Ghost Money, tome 4 : La prisonnière Tashkite

Résumé : après les attentats du 11 septembre une énorme somme d’argent a disparu, « le trésor d’Al-Qaïda ». Ce butin, issu de spéculations boursières, serait à l’origine de l’enrichissement d’un groupe terroriste. Chamza, est une riche héritière amoureuse d’un sombre poète, soupçonnée de détenir ce fameux trésor.



Le mot de la fin : une série d’anticipation qui mêle manipulation chasse au trésor espionnage et avancées technologiques tout en dénonçant des pratiques politiques. Un thriller impeccable qui surprend dès le premier tome et ne s’estompe pas. Toutefois, on peut être quelque peu déçu de la fin qui arrive trop vite.
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