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Critiques de Tim Seeley (162)
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Ant-Man & Wasp: Small World

Ce tome contient les 3 épisodes de la minisérie parue en 2011, et les épisodes 44 à 48 de "Tales to astonish" parus en 1963.



Small world (scénario et dessins de Tim Seeley, encrage de Victor Olazaba) - Au début de cette histoire, Hank Pym est en train d'enregistrer une vidéo expliquant pourquoi il ouvre plusieurs sites pour femmes victimes de brutalités conjugales et il appelle à la générosité des donateurs, sous les yeux approbateurs de Greer Nelson (Tigra). Il s'attache ensuite à résoudre les conséquences d'une anomalie temporelle avec l'aide de Reed Richards. De son coté, Eric O'Grady (Ant-Man depuis qu'il a volé son costume à Hank Pym dans The Irredeemable Ant-Man) reçoit la visite de Raul Chalmers (Black Fox) qui lui offre un tuyau sur des activités criminelles d'A.I.M. (Advanced Idea Mechanics) en souvenir de services rendus. Toujours soucieux d'améliorer son image de marque, Eric O'Grady s'empresse d'aller rapporter cette information confidentielle à Hank Pym qui n'a malheureusement pas le temps de l'écouter. Il ne lui reste plus à faire ce qu'il sait faire de mieux : compter fleurette à toute représentante du sexe féminin, à commencer par Tigra, puis Veil et Finesse (2 membres de Avengers Academy).



Régulièrement, Marvel Comics profite de l'engouement pour la série des Avengers pour publier des miniséries sur certains des personnages. Celle-ci a été confiée à Tim Seeley qui est le créateur et l'auteur de la série Hack/Slash (Hack/Slash Omnibus 1 ou My First Maniac). En se lançant dans une telle histoire, le lecteur s'attend à passer un bon moment dans un récit simple, rapide, et peut-être un peu drôle, sans répercussion majeure sur les séries mères. Dès le début Tim Seeley surprend en abordant de front le thème des femmes battues (suite à un coup donné par Hank Pym à Janet van Dyne dans l'épisode 213 des Avengers, novembre 1981). Ensuite, il n'hésite à confronter la vision d'un croyant non-pratiquant à celle d'un scientifique profondément athée. Et la méchante de service développe un argument bien construit en faveur de la domination des élites intellectuelles sur le peuple.



Ces dialogues surgissent harmonieusement au milieu d'une histoire placée sous le signe de l'aventure, avec des points d'humour (le caractère d'O'Grady s'y prête naturellement) et une empathie certaine pour les personnages. Seeley réhabilite habilement Hank Pym en le décrivant comme un scientifique de haut niveau, conscient de ses défauts et entièrement habité par la volonté de se racheter. En fait il capture exactement la personnalité de chaque héros : Veil et Finesse se jouent d'O'Grady de manière magistrale, le traumatisme subi par Tigra dans New Avengers 7 - The Trust est sous-jacent dans son attitude, O'Grady recommence à fantasmer sur la plastique de Carol Danvers, etc.



Les illustrations s'apparentent à des dessins lorgnant vers un réalisme simplifié avec un bon niveau de détails et de justesse dans les expressions des visages, Seeley réussit quelques visuels mémorables tels que la carapace formée des principales préoccupations d'Ant-Man, les pièges conçus par Monica Rappacini. Il n'y a que son hommage visuel à Betty Page qui ne soit pas convaincant.



Cette minisérie est une très bonne surprise de la part de Tim Seeley qui délivre nettement plus que le simple divertissement attendu.



Les 5 épisodes (13 pages chacun) de "Tales to astonish" sont écrits par Stan Lee, dialogués par Ernie Hart (sous le pseudonyme de H. E. Huntley) et dessiné par Don Heck (sauf le premier dessiné par Jack Kirby et encré par Don Heck). Le premier épisode montre comment Hank Pym a rencontré Janet van Dyn et comment elle a adopté l'identité secrète de The Wasp. Ensuite le duo se bat contre Egghead (Elihas Starr), puis contre un cyclope dans les îles grecques, contre Trago (un trompettiste hypnotiseur) et contre Porcupine (Alexander Gentry dont c'est la première apparition). Ces histoires font leur âge, déjà par des phylactères qui n'en finissent pas et qui racontent la moitié de l'histoire. Ensuite la logique est souvent mise à rude épreuve, que ce soit Ant-Man qui se propulse dans les cieux grâce à une catapulte (mais qui arrive quand même à changer de direction en pleine trajectoire) ou par le caractère arbitraire du choix d'Ant-Man qui préfère se battre à taille minuscule qu'à sa taille d'adulte. Le pompon revient bien sûr au rôle dévolu à Janet van Dyne qui ne s'intéresse qu'à sa toilette, et à draguer les beaux mâles, tout en étant servilement soumise aux injonctions d'Hank Pym.
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Batman & Robin Eternal, tome 1

Assurément Batman & Robin Eternal est une bonne surprise qui fera plaisir aux fans du détective et de ses compagnons, comme aux novices qui ne connaissent pas encore l'univers papier de Bruce Wayne.
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Batman Eternal, tome 1

"Batman Eternal" est un DC comics composé de 4 tomes. J'ai lu le premier tome et je dois vous avouez que je ne suis pas un spécialiste des Comics, même si j'en lis de plus en plus. Mon commentaire ici va être assez succinct et ne contiendra pas les connaissances des différents auteurs et illustrateurs présent dans d'autres commentaires. Tout ce que je peux vous dire c'est que ce Comics m'a paru comme étant une jolie réussite. J'ai aimé la présence de nombreux héros originels en plus de Batman et qui font parti de cet univers sombre. J'ai adoré les illustrations même si le fait d'avoir plusieurs de ces derniers et non pas un seul, empêchent une totale adhésion car certains d'entre eux m'ont plu alors que d'autres souffre d'une certaine faiblesse. Dans l'ensemble, à l'image de cette fantastique couverture qui nous plonge tout de suite dans l'univers de cette histoire qui dans "Batman Eternal" est somme toute assez classique. Gotham va mal, le commissaire Gordon est arrêté après avoir tiré sur un homme prétendument désarmé. Qu'a t'il bien pu se passer chez l'incorruptible commissaire Gordon. Résultat de ce tir, un gravissime accident dans le métro de Gotham faisant plusieurs dizaines de victimes. Gordon est arrêté. A sa place, on nomme un homme de paille du criminel qui souhaite dirigé Gotham, un certain Carmine Falcone. L'objectif ultime étant d'éradiquer de Gotham les héros justiciers et surtout le Batman. Un univers très sombre, du suspens, de belles illustrations avec un Batman qui ressemble à celui de Nolan. Aux manettes Scott Snyder et James Tynion IV entre autres scénaristes. Pour les 75 ans de DC Comics, Batman Eternal tome 1 fait bien son boulot. C'est efficace et l'histoire nous donne envie de suivre cette aventure avec un tome 2. Mon seul bémol se situe au niveau des illustrations qui ne sont pas toutes pleinement réussies. J'ai préféré certains illustrateurs à d'autres. Cela procure un petit manque de linéarité. Malgré tout, on passe un moment sympa, sans révolutionner l'univers connu de DC Comics. Je vous conseille cette lecture idéal pour pénétrer davantage dans l'univers du Batman.
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Batman Eternal, tome 1

Un premier ouvrage sombre, mélancolique, dans lequel Batman se retrouve piégé à perdre tout ce qu’il affectionne.
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Batman Eternal, tome 1

Batman Eternal, rien que le titre fait rêver ! Urban Comics publie en albums cartonnés une des trois séries hebdomadaires lancées par DC Comics en 2014. Il s’agit ici pour Scott Snyder et James Tynion IV de brosser un panorama de Gotham en période de crise aigüe, tout en sautant de personnage en personnage.



Qu’il devient difficile d’apprécier l’impact de Scott Snyder (et de son acolyte James Tynion IV) sur Batman et son univers ! L’auteur se gargarise de ses propres histoires (L’An Zéro étant cité comme un fait majeur de Gotham, or pouvons-nous imaginer que ce titre soit resté dans la mémoire collective des habitants ?) ; l’usage de la traditionnelle Harper Row (vous sentez encore la copie d’un autre side-kick connu sous le nom de Roy Harper ?... eh bien, elle est toujours aussi présente sans faire grand-chose, pour l’instant) est tout autant agaçant et dénué d’un véritable intérêt. Ok, Scott Snyder se dit très fan du travail de Frank Miller, mais là l’histoire de la guerre des gangs dans Gotham issue de celle ayant fait rage à Hong Kong, c’est clairement du « foutage de g*eule » ! Attendez-vous donc à croiser, aux côtés ou plutôt face à Batman, un véritable Caïd et une pseudo-Elektra, ni plus ni moins ! Pour le reste, le scénario emprunte un peu à Batman R.I.P. et à Batman Incorporated, Grant Morrison en force donc, mais encore faut-il le savoir, car Scott Snyder fait encore plus que frôler le plagiat. Quand on s’intéresse, en plus, à l’aspect stylistique de l’écriture, l’utilisation à outrance des « plus tard », « tant d’heures plus tôt », « dans tel endroit » ou pire « cependant, quelque part au Brésil » énerve au plus haut point, car si le scénario est bien ficelé, le lecteur s’en rendra bien compte, pas besoin de mâcher tout le travail en le prenant pour un idiot ! Je crois qu’il va donc falloir stopper Scott Snyder sur la destinée de Batman car on tourne en rond et la moindre once d’espoir nous déçoit quand on retombe sur des ficelles énormes et une construction pataude. Alors que quand on passe à un scénario de quelqu'un d’autre, Tim Seeley par exemple, l’épisode concerné est déjà plus frais (sans être fabuleux), alors même que l’histoire est bien sûr toujours ficelée par Scott Snyder et son acolyte-disciple James Tynion IV.



Bien sûr, ne boudons pas notre plaisir de lire (encore) une histoire « chorale » dans l’univers de Gotham ; certes, c’est bien un panorama (incomplet pour ma part) de tout ce qui peut se passer à Gotham en peu de temps, mais Scott Snyder et James Tynion IV, dans leur histoire structurant tout le récit du début à la fin, ne laissent aucune place à la fantaisie. Notons, heureusement quand même, l’intervention récurrente de personnages féminins et d’un policier plus jeune, une fois le commissaire Gordon mis de côté. La première intrigue est efficace, mais elle est largement gommée par le reste des détails scénaristiques plus que douteux : le commissaire Gordon vit vraiment une aventure nouvelle, une expérience dont on se doute qu’il ne se relèvera pas d’un coup d’un seul.

Du point de vue graphique, il est très difficile de faire élaborer à un seul artiste un comics chaque semaine, donc les artistes se succèdent par pelletée dans ce volume. Nous enchaînons, qui plus est, des styles graphiques très différents : même si cela se justifie pleinement par la publication hebdomadaire de cette série et que certains s’appliquent vraiment beaucoup, la cohérence d’ensemble est encore à définir sur ce titre amené à durer un certain nombre de numéros.



[Davantage de contenus (éléments connexes, images, critique plus longue) sur https://bibliocosme.wordpress.com/2015/03/07/batman-eternal-tome-1/ ]

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Batman Eternal, tome 1

Un premier tome qui donne envie d’en savoir plus et de découvrir la suite de l’histoire dans les volumes suivants...
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Batman Eternal, tome 1

Pour célébrer le 75ème anniversaire du Dark Knight, DC Comics a eu l’idée de lancer un titre hebdomadaire intitulé Batman Eternal et chapeauté par Scott Snyder et James Tynion IV. Afin de tenir un tel rythme de publication, le duo est secondé par d’autres scénaristes (John Layman, Ray Fawkes et Tim Seeley) et par une flopée de dessinateurs (Jason Fabok, Dustin Nguyen, Andy Clarke, Trevor McCarthy, Emanuel Simeoni, Guillem March, Riccardo Burchielli, Ian Bertram, Mikel Janin et Guillermo Ortego) qui se relaient au fil des semaines.



Ce premier tome, qui rassemble les épisodes #1 à #13, s’ouvre sur un flash-forward qui n’annonce rien de bon pour Batman et sa ville, tout en faisant bien comprendre au lecteur qu’il s’attaque ici à quelque chose d’énorme. Et il faut bien avouer que l’intrigue commence de manière très prometteuse, avec un commissaire Gordon qui se retrouve emprisonné pour bavure, ouvrant ainsi grand la porte au retour de la corruption à Gotham, ainsi qu’au comeback de Carmine Falcone, alias le Romain !



Si le fil rouge de l’intrigue demeure l’incarcération de James Gordon, le retour de Carmine Falcone n’est que la partie émergée de l’iceberg. Pour fêter dignement l’anniversaire de Batman, les auteurs ont en effet décidé d’inviter un maximum de personnages issus de l’univers du Chevalier Noir et de les mélanger au sein d’une grande machination visant à faire la fête à Gotham et à son héros le plus célèbre. Le récit se densifie donc au fil des pages, mais à force de multiplier les personnages et les intrigues secondaires, le récit a un peu tendance à s’éparpiller, surtout que ces nombreuses menaces ne font pas toujours avancer l’intrigue principale. Certaines menaces sont de surcroît également laissées en suspend durant plusieurs épisodes, ce qui a tendance à diluer encore un peu plus l’ensemble. Si le récit nous emmène du Japon à l’Amérique du Sud, en passant par l’asile d’Arkham, et que ça part un peu dans tous les sens, c’est cependant loin d’être mauvais, bien au contraire. Tout en recyclant le folklore de Batman (et une grosse partie du run de Grant Morrison), les auteurs parviennent à livrer une histoire dynamique et très plaisante à lire. De plus, certains nouveaux personnages font leur apparition, de la surprenante Julia Pennyworth à l’incorruptible Jason Bard, qui comble le vide laissé par James Gordon de manière plus que convaincante.



Visuellement, c’est le grand festival des styles afin de pouvoir respecter la publication hebdomadaire de cette série, mais dans l’ensemble, la qualité est très bonne. Si j’ai particulièrement apprécié le dessin de Jason Fabok, j’ai trouvé que celui d’Ian Bertram tranchait un peu trop avec le reste.



Probablement pas un incontournable, mais indéniablement un excellent moment de lecture que vous pouvez retrouver dans mon Top comics de l’année !
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Batman Eternal, tome 3

Un volume prenant qui nous donne envie de vite lire la fin de cette immense saga qui se conclura dans le prochain volume.
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Batman Eternal, tome 3

Ce troisième et avant-dernier volet reprend les épisodes #27 à #39 de cette saga hebdomadaire lancée à l’occasion du 75ème anniversaire du Dark Knight et qui en compte 52 au total.



Ce troisième tome est un brin meilleur que le précédent car pas mal de sous-intrigues se referment ou se rejoignent. Afin de « remplir » ces 52 semaines, Scott Snyder et James Tynion IV ont en effet imaginé une histoire tentaculaire aux nombreuses ramifications, mais à force de multiplier les personnages et les intrigues secondaires, le récit avait un peu tendance à s’éparpiller, surtout que ces nombreuses menaces ne faisaient pas toujours avancer l’intrigue principale. Certains récits parallèles qui faisaient office de remplissage se referment donc et le fait de recentrer le récit sur Batman et ses déboires est une bonne chose. Le récit passe donc moins d’un groupe de personnages à l’autre, ce qui permet de faire progresser l’intrigue principale plus rapidement.



Les projecteurs sont donc de nouveau dirigés sur le Dark Knight, qui s’enfonce de plus en plus dans le piège machiavélique tendu par ce mystérieux ennemi. Le fait de voir un Batman acculé, dépourvu de ses ressources habituelles et illimitées, est à ce titre assez intéressant. Le point un peu moins positif est cette mauvaise habitude de dissimuler le véritable vilain derrière une flopée d’autres méchants. Carmine Falcone n’était donc que la partie émergée de l’iceberg, avec de nouveaux coupables qui apparaissent tels des poupées russes au fil des tomes. Le procédé n’est certes pas nouveau et comme il fallait tenir un an, les auteurs ont visiblement décidé d’inviter un maximum de personnages issus de l’univers du Chevalier Noir et de les mélanger au sein d’une grande machination visant à faire la fête à Gotham et à son héros le plus célèbre.



Un autre point positif est que, tout en recyclant le folklore de Batman, les auteurs parviennent à livrer quelques personnages très intéressants à suivre. Il y a notamment le commissaire Jason Bard, qui comble le vide laissé par James Gordon de manière plus que convaincante, et dont le rôle devient de plus en plus ambigu au fil du récit. Si j’aime moins le rôle de Catwoman à la tête de la pègre, je reste évidemment fan d’Alfred, que l’on retrouve même en action sur le terrain, et de sa fille Julia Pennyworth.



Visuellement, c’est à nouveau un grand défilé de dessinateurs afin de pouvoir respecter la publication hebdomadaire de cette série. Si cela se ressentait au niveau de l’uniformité graphique lors du tome précédent c’est moins le cas lors de celui-ci, malgré la présence de neuf artistes différents : Javier Garron, Meghan Hetrick, Simon Coleby, Fernando Pasarin, Alvaro Martinez, Fernando Blanco, Andrea Mutti, Felix Ruiz et l’excellent Jason Fabok.



Un bon tome !
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Batman Eternal, tome 3

On se régale avec cette aventure où le suspense se maintient jusqu'au bout, même s'il reste quelques faiblesses dans l'intrigue et que certains passages sont un peu longuets.
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Batman Eternal, tome 3

L’inéluctable descente aux enfers de Batman est plutôt saisissante.
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Batman Eternal, tome 4

Batman Eternal est une saga qui vaut le détour. Quatre volumes pour un récit qui est tout de même passionnant et divertissant à souhait !
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Batman Eternal, tome 4

Un dernier recueil plein d’adrénaline qui clôture cette saga mouvementée. Un collectif d’auteurs, qui pour la plupart, vous en mettent plein la vue !
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Batman Eternal, tome 4

Batman Eternal est une saga qui vaut le détour. Quatre volumes pour un récit qui est tout de même passionnant et divertissant à souhait ! Une saga à ne pas manquer !
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Batman Rebirth, tome 1 : Le retour de Batma..

Il y a bien longtemps que je n'avais pas relu ce rebirth de Batman, et franchement j'ai apprécié la lecture comme ci c'était ma première fois.



On a le droit à une véritable enquête aux côtés de notre chevalier noir préféré. Ça fait du bien de retrouver un Batman remplie d'idées avec un scénario rempli de rebondissements.

Il y a ce qu'il faut d'émotions et d'actions et également quelques scènes grandiloquentes et splendides !



Pour moi, c'est avec cette série qu'un jeune lecteur se doit de commencer la lecture de Batman.
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Batman Rebirth, tome 1 : Le retour de Batma..

Le retour de Batman après le New52. Dans ce kiosque, trois histoires différentes : batman, detective comics et Nightwing.

Autant le reboot de batman ne dévoile encore aucune originalité, si ce n'est la présence de nouveaux superhéros. Detective comics est un vrai plaisir, aussi bien pour le scénario que pour le dessin.



Au final, à voir dans les prochains tomes si le développement des personnages.
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Batman Rebirth, tome 1 : Le retour de Batma..

Du matériel de qualité, des bonnes histoires et de bonnes heures de détente en perspective !
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Batman Rebirth, tome 1 : Le retour de Batma..

Ce tome fait suite aux épisodes écrits par Scott Snyder, dans le cadre de la relance à zéro de l'univers partagé DC, appelée The New 52 et datant de 2011. Il comprend les épisodes Batman rebirth et 1 à 6, initialement parus en 2016, tous écrits par Tom King, Scott Snyder ayant coécrit l'épisode Batman rebirth. Cet épisode rebirth a été dessiné et encré par Mikel Janin et mis en couleurs par June Chung. David Finch a dessiné les épisodes 1 à 5, avec un encrage de Matt Banning (épisodes 1, 2, 4), Danny Miki (épisodes 2 & 3), Sandra Hope (épisodes 4 & 5), Scott Hanna (épisode 5), avec une mise en couleurs de Jordie Bellaire. L'épisode 6 a été dessiné par Ivan Reis, avec un encrage d'Oclair Albert, Scott Hanna, Joe Prado, et une mise en couleurs de Marcelo Maiolo.



Les choses commencent à aller mieux pour Batman. Alfred Pennyworth est présent au manoir des Wayne, en bonne santé. Duke Thomas a décidé d'accepter la position de soutien logistique au manoir des Wayne. Lucius Fox indique à Bruce Wayne qu'il a retrouvé la mainmise sur sa fortune. Batman est de retour à Gotham en pleine forme. Il doit commencer par s'occuper de Calendar Man qui continue de commettre des crimes en référence aux saisons, et qui a acquis des capacités de régénération peu commune, également liées au rythme des saisons.



Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Alors qu'il est en train de faire le point avec le préfet de police James Gordon, Batman voit un avion en perdition, moteurs en flamme, allant, selon toutes probabilités, s'écraser, dans les minutes qui suivent, dans les plus hautes tours de Gotham. Il dispose de peu de temps pour intervenir. Fort heureusement, il peut compter sur l'aide en temps réel d'Alfred Pennyworth, pour le guider et le conseiller. Malheureusement, même avec des ressources impressionnantes, il ne peut qu'éviter le pire (le crash contre un building), mais pas un atterrissage en catastrophe sur la rivière de Gotham, alors qu'il se trouve sur la carlingue. Il sait qu'il ne survivra pas à l'impact. C'est sans compter l'intervention de 2 nouveaux superhéros : Gotham (Hank Clover) & Gotham Girl (Claire Clover).



En 2016, les responsables éditoriaux DC décident de redonner un coup de fouet à l'ensemble de leur gamme de comics, en redémarrant toutes les séries avec un nouveau numéro 1, et pour les plus importantes un numéro Rebirth, ou pour d'autres encore, un retour à l'ancienne numérotation (épisode 957 pour Action Comics, épisode 934 pour Detecive Comics). Les annonces éditoriales manquent un peu de lisibilité, car elles parlent à la fois de retour à des concepts datant d'avant New 52, mais aussi de conserver certaines versions de personnages New 52. Pas très sûr de ce qu'il va trouver, le lecteur comprend que Scott Snyder (scénariste à succès de la précédente série Batman, celle New 52, mais aussi bête noire de certains lecteurs de longue date) participe donc au numéro Rebirth, ce qui semble signifier qu'il donne la direction à suivre au scénariste en titre. Effectivement, le lecteur voit un Batman qui participe à la fois de l'über-Batman développé par David Finch (dans Batman La nouvelle aube, au tout début des New 52), et du Batman de Snyder avec la présence de Duke Thomas. Le mieux pour lui est de partir sans a priori et de prendre cette histoire pour ce qu'elle est plutôt que pour ce qu'il en attend.



Le premier constat est que ces épisodes se lisent tout seul, plus vite que des comics habituels, en un tiers de temps de moins. L'action prédomine dans chaque numéro, sans temps mort, sans atermoiement. Le spectacle n'arrête pas du début jusqu'à la fin, il s'agit d'une histoire à gros budget. Batman est de retour avec une forte musculature, et des gadgets incroyables. Il arbore une mine sérieuse, et un visage fermé. Son costume est d'un gris très sombre, et les oreilles de son masque sont très courtes. Tom King aligne les moments spectaculaires avec une régularité métronomique, et David Finch ne faiblit pas.



L'artiste représente un Batman massif et conquérant, brutal et efficace, viril et acrobate. Le lecteur voit évoluer un homme sûr de sa force et de ses capacités, intervenant avec le maximum de rapidité pour mettre un terme définitif aux criminels, avec le coup le plus dévastateur dès le premier porté. La Batmobile et la Batbike sont aussi des modèles massifs et robustes. L'encrage comprend de nombreux petits traits fins rendant compte des textures et des aspérités, avec des aplats de noir plus importants dès que Batman entre en scène, afin d'attester qu'il reste une créature de la nuit. Les personnages ont souvent des expressions du visage dures, et les dents serrées. Il s'agit d'un monde sérieux, où chacun est concentré sur l'objectif, complètement impliqué dans sa mission. La ville est sombre, les murs sont massifs et en béton. Les ouvrages d'art apparaissent énormes, pour mieux faire ressortir la violence des chocs quand ils se fissurent ou volent en éclats pendant un combat. Seule Gotham Girl apporte un rayon de soleil et un peu de douceur dans ce monde de brute. David Finch n'y a pas été avec le dos de la cuillère en concevant son apparence. Elle porte une courte jupette, elle a des longs cheveux blonds, et des bottes avec talons. Avant d'en savoir plus sur elle, le lecteur tique un peu devant une apparence aussi pure et datée. Les quelques séquences mettant en scène des civils montrent des individus tout aussi sérieux, tout aussi concentrés sur l'instant présent.



Par la force des choses, le lecteur établit une comparaison avec le premier épisode dessiné par Mikel Janin. Ce dernier joue également la carte de l'esbroufe, d'une manière plus minutieuse, avec un découpage de cases plus sophistiqué, et des personnages plus poseurs. Sa narration est tout aussi testostéronée avec des finitions un peu plus précieuses. Quant à Ivan Reis, il hérite d'un épisode dans lequel les émotions jouent un rôle plus important. Les cases sont moins systématiquement rectangulaires, et il y a plus de gros plans sur les visages pour rendre compte de l'état d'esprit de Gotham Girl, avec plus de nuances. Marcelo Maiolo joue avec des couleurs un peu plus acidulées qui introduisent une sorte de décalage entre la tragédie personnelle d'un personnage et la forme de dédramatisation induite par ces couleurs gaies. Jordie Bellaire utilise des couleurs un peu plus plates avec moins d'effets de dégradés, pour une ambiance souvent orangée dans Gotham, comme si la ville pouvait s'embraser d'un instant à l'autre.



Sous réserve de ne pas être réfractaire à un Batman donnant dans le grand spectacle (tenant beaucoup de sa version New 52), le lecteur se plonge dans une histoire rapide et sèche, donnant l'impression que le scénariste s'est fixé pour objectif d'aller à l'essentiel, sans faire de fioritures. Le lecteur ne doit donc pas escompter que les personnages soient beaucoup développés. Batman est monolithique du début jusqu'à la fin, un professionnel niveau expert, prêt à prendre tous les risques, jusqu'à mettre sa vie en jeu. Bruce Wayne a droit à deux scènes dans lesquelles il est tout aussi efficace et professionnel, sans émotions. Tom King arrive à caser quelques réparties bien sarcastiques comme il se doit dans la bouche d'Alfred. James Gordon sert de figurant et de faire-valoir. Il en va autrement de Gotham (Hank Clover) & Gotham Girl (Claire Clover).



Pour sa première histoire sur le titre, Tom King commence par établir que Batman joue dans la cour des grands, en lui faisant forcer un atterrissage d'urgence pour un avion. Le lecteur se frotte les yeux en découvrant Batman chevauchant la carlingue d'un gros porteur, avec quelques petits soucis de proportions dans les dessins. David Finch veut absolument établir un parallèle visuel avec un cowboy essayant de maîtriser un étalon fougueux, il aurait mieux fait d'en faire moins… Ayant montré que Batman n'est pas un petit joueur, le scénariste passe au plat de résistance avec l'arrivée de 2 nouveaux superhéros, avec des vrais superpouvoirs, superforce et vol autonome, pas comme un gugusse qui se déguise en chauve-souris. De manière très inattendue, Tom King raconte cette histoire au premier degré, avec 2 superhéros qui sont là pour améliorer la situation et qui écoutent les conseils de Batman. Il arrive alors à rendre compte de leur volonté de bien faire sans qu'ils ne passent pour des naïfs ou de gentils utopistes. Plus fort encore, il parvient à mettre en lumière les spécificités du lien qui unit Batman et Gotham, ce qu'il a d'unique, sans que cette approche ne repose exclusivement sur la dureté de Batman ou sa perfection de combattant, son implication totale. Le lecteur voit alors émerger un pan de la personnalité de Batman assez intéressant, qui valide même à postériori le dialogue un peu gênant dans lequel Batman cherche l'approbation d'Alfred Pennyworth, alors qu'il croit sa dernière heure arrivée.



Dès les premières pages, le lecteur est mis dans le bain : il est face au Batman version über-Batman, plus grand que nature, arrêtant les avions à main nue ou peu s'en faut. Sous réserve de ne pas être allergique à cette interprétation du personnage, très éloignée du détective urbain face à des criminels de rue fous et déformés, il peut alors goûter à l'approche très virile des dessins de David Finch, et à une histoire plus noire qu'elle ne le laisse le supposer. Tom King prend à rebours les clichés habituels sur les superhéros arrivant pour s'établir à Gotham (souvent des traîtres venus pour saper le travail de Batman en sous-main). Ce faisant, il donne une personnalité et des motivations plausibles à des superhéros aux noms aussi dépourvus d'imagination que Gotham & Gotham Girl. Il insuffle du sens quant au choix de ces noms basiques. Il fait briller une facette de Batman déjà existante avant, mais rarement éclairée de cette manière, et avec cette intelligence. 4 étoiles pour un début un peu trop énorme, mais assez personnel.
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Batman Rebirth, tome 7 : Sur la route de l'..

Le mariage de Batman et Catwoman approche, et ce tome 7 de Batman Rebirth est en fait rempli de tie-in, où un membre de la bat-family va affronter un vilains de la galerie de Batman, certains sont correct mais l'ensemble ne casse pas trois pattes à un canard...

Cela reste des tie-in qui n'ont pas grand intérêt.



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Batman Rebirth, tome 7 : Sur la route de l'..

Tom King va encore nous surprendre par son récit. Il nous en fait voir de toutes les couleurs et nous emporte dans la folie, surtout celle du Joker [...] Ce récit est impressionnant, il faut aussi souligner l'incroyable travail de Mikel Janin, mis en couleurs par June Chung, qui donne beaucoup de lumière à ces pages.


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