Tracy Rees

Ainsi, vous n'avez aucune éducation et vous êtes prête à tout. Oh, mais quel bon choix il a fait. Quel bon choix.

Ce n'est pas la beauté de Rowena qui m'a brièvement fait de l'ombre, c'est ma propre jalousie. Mais il existe bien des façons d'être belle, tout comme il existe bien des façons d'être bon, ou méchant, ou drôle.

Les gens, pensa-t-elle. Est-ce qu'ils méritent réellement ce monde magnifique, eux qui l'emplissent de méchanceté et d'idées stupides.

Son amitié me manque, mais l'amitié n'est pas de l'amour. L'amitié est une part importante de l'amour mais l'amour est plus grand.

Mais j'ai appris que Tommy n'était pas un jeune homme ordinaire. Or l'une des caractéristiques de l'homme, Walter, est qu'il peut admettre ses torts et rectifier le tir. J'espère que vous ne l'oublierez pas.

Les gens, pensa-t-elle. Est-ce qu’ils méritent réellement ce monde magnifique, eux qui l’emplissent de méchanceté et d’idées stupides ?

- [...] Je sais, cela paraît étrange quand on me voit maintenant adulte. Pourtant je vous assure, Otty, que ma vie m'apporte tout ce dont j'ai besoin. Je peux apprendre, aimer, aider les autres, ici-même, à Hampstead. Je crois que certains sont nés au bon endroit et que leur plus grand bonheur est de le savoir et d'y rester. C'est mon cas. Vous, en revanche, j'en doute.
- Et qu'arrive-t-il aux autres ?
- Eh bien ils doivent explorer le monde à la recherche de l'endroit qui leur correspond. Pour eux, la joie tient en partie à ces explorations.

Mon père était un homme impressionnant et j'aurais aimé le lui dire. S'il ne comprenait pas mon ambition, moi je comprenais sa fierté.

A ce propos, en ce moment même, dans tout Londres, des femmes et des filles, riches et pauvres, intelligentes ou non, souffrent de leur situation domestique, et l'appareil législatif, qui croit en la droiture et la supériorité des hommes, se satisfait pleinement de s'en laver les mains.

Il est extraordinaire de constater que l'esprit humain ne voit que ce à quoi il s'attend et reste aveugle à tout ce qu'il ne pouvait soupçonner.

la vie est faite de cette accumulation de petits détails et de brèves rencontres.

Et quelque part dans ce sac, serrés entre les chaussures et les robes râpées parce que trop portées, sont rangés mes rêves, défraîchis eux aussi, trop longtemps négligés.

Männer und Frauen verstehen einander niemals wirklich, denn wir sind verschiedene Wesen...Wenn du glauben solltest, einen Ehemann zu finden, der keine Fehler hat, und dass es nie zu Missverständnissen kommt... Nun, das gibt es nicht. Ich denke, entscheidend sind die Absichten und die Ausrichtung des Herzens. (448)

...Das macht das Verliebtsein aus, Amy - es ist ein ekstatischer Abschied von allem, was mit Vernunft und Vorsicht zu tun hat! Aber wenn aus dem Verliebtsein Liebe wird - in der Ehe -, sind Überlegung, Einfühlungsvermögen und Geduld gefragt. (449)

Wenn Gott gewollt hätte, dass wir alles wissen, hätte er die Welt nicht so rätselhaft gemacht... (82)

Wir können nichts festhalten. Die Zeit ist wie ein Fluss. Er trägt uns fort und meisten viel schneller, als uns lieb ist. (232)

Ich bin mit der Mode gegangen, bis sie sich geweigert hat, mit mir zu gehen. Ich kann diese grässlich züchtigen Kleider von heute nicht ausstehen, die dazu entworfen sind, uns völlig zu bedecken, als hätten wir nie einen lustvollen Gedanken und nie eine Brust oder eine Schulter oder einen Ellenbogen gehabt. Wir sind Frauen, keine Orangen! (246)

Personne n’avait envie d’épouser une femme condamnée à court terme et de devoir en chercher une autre ensuite.

Je suppose que mon désir véritable se trouvait non pas dans les contours de l’image, mais dans les sentiments sous-jacents. Mon désir à moi, c’était d’avoir la paix, le sentiment d’être à ma place, et aimée.

J’ai grandi, et mes ennuis ont commencé. À sept ans, j’atteignais un âge où l’on aurait dû me placer comme domestique. J’aurais été choisie pour une tâche particulière et on m’aurait formée à cette fin.

La reine m’apparaissait comme un être imaginaire, au même titre que la princesse qui embrassait une grenouille ou que la jeune femme qui laissait pendre ses cheveux du haut d’une tour dans un livre de contes.

Un lit est un lieu où se joue une grande partie de la vie, naissances et morts, passions et rêves, les moments les plus cruciaux de notre fragile existence humaine.

Ce serait folie de continuer ; une jeune femme seule est une proie facile pour les malfaiteurs. Et, bien que je n’aie pas le sentiment que ma vie vaille la peine d’être vécue, je ne souhaite cependant pas la gaspiller.