Tristan Pichard

Pas une critique, je serais mal placé. Quelques précisions, j'étais aux premières loges.

Très sympa cette petite collection de chez Milan... belles maquettes, petit prix. Très heureux qu'ils aient accepté mon texte de princesse qui ne se laisse pas faire. Et très heureux de proposer une histoire de princesse pas gnangnan, pas girly, pas en attente de son prince charmant... une fois n'est pas coutume.
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Pas une critique, je serais mal placé. Quelques précisions, j'étais aux premières loges.



Une des contrainte de la série que nous nous sommes imposés avec Christophe Boncens, l'illustrateur, était de glisser des références au policier en conservant un message clair pour les enfants qui ne connaissent pas les codes du genre. Il y a bien un double niveau de lecture, Ginette la femme fatale, le chien qui représente l'ordre mais n'est pas aussi malin que le détective privé, le méchant désigné en la personne du renard Goupil et ainsi de suite... Pour autant, aucun de ces clins d'oeil ne freine l'enfant dans sa découverte du récit et dans ses réflexions pour découvrir le fin mot de l'affaire.
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Pas une critique, je serais mal placé. Quelques précisions, j'étais aux premières loges.



L'idée d'une série de polars pour les 4-7 ans vient de Christophe Boncens. Il m'a demandé d'écrire les histoires. Je proposais un chat détective, John Doeuf, le nom lui plaisait mais le chat faisait déjà vu. le raton laveur, avec son pelage qui forme comme un masque de justicier, s'est rapidement imposé. John Doeuf était né !
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Pas une critique, je serais mal placé. Quelques précisions, j'étais aux premières loges.



Mon premier roman pour la jeunesse publié, et mon premier écrit. Au début, les aventures de la petite Fantig étaient destinées à ma fille. Puis, j'ai rencontré par hasard un éditeur... vous connaissez la suite.

Comme la première histoire, Plume-Rouge, était trop courte et qu'il fallait en doubler le volume, plutôt que de tirer à la ligne, une seconde histoire, Poilvert, s'est ajoutée naturellement qui intégrait de nouveaux personnages prometteurs. Tous les ingrédients étaient réunis, ou presque... il manquait un compagnon à notre héroïne, il s'appellera Petit Pol et apparaîtra dans la série au tome 3, le Prince de Grandississima.
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Avis d'un lecteur de 12 ans :

La Première Guerre Mondiale est une période de l'Histoire qui m'intéresse beaucoup donc j'étais content de pouvoir découvrir ce roman, surtout que j'avais beaucoup aimé Charles 1943 et La Tour de Jeanne, qui sont de la même collection.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Léon, qui me ressemble physiquement. Je me suis vraiment identifié à lui, je partageais souvent son état d'esprit.

J'ai trouvé son aventure incroyable, il s'est montré plein de sang-froid et très courageux ! Mais c'était dur pour lui de comprendre que la guerre est beaucoup plus cruelle que ce que son père en disait dans ses lettres..

La fin m'a plu, j'étais content pour Léon, même si certaines questions restent sans réponse..

J’ai beaucoup aimé ce roman accessible dès 9 ans, qui nous fait suivre les aventures de Léon, un jeune groom de 13 ans dans un grand hôtel de Vittel. Celui-ci va surprendre des comportements suspects de la part de clients.

Le thème de la première guerre mondiale est bien abordé. On nous parle de l’absurdité des batailles, leurs violences, les tranchées, les villages détruits, les tirailleurs. Le livre parle aussi de la vie à l’époque, pour ceux qui ne sont pas au front : la peur qu’on ne peut pas exprimer, les femmes à l’usine, les jardins modifiés en potager...

Le récit est très dynamique et Louise a apprécié ces personnages mystérieux que sont l’aviateur Russe et Mata Hari. Il est donc question d’espionnage et de contre-espionnage avec un code secret. Le roman est illustré et ça, c’est toujours un plus pour nous.

Le livre comporte quelques pages documentaires à la fin pour ceux qui veulent approfondir le thème.

Léon,1916

Tristan Pichard

Poulpe Fictions

Date de parution : 02/05/2024.

Merci @netgalleyfrance et @poulpefictions pour le SP numérique

Note : 5 / 5 ❤



Résumé :



Plongez au cœur de la Première Guerre mondiale aux côtés de l’intrépide Léon!

Octobre 1916. Léon, 13 ans, est groom dans un hôtel à Vittel. Avec la guerre, sa vie dans la cité thermale a beaucoup changé : celle-ci est devenue un hôpital militaire, et son père est au front, stationné au fort de Douaumont. La ville tourne donc au ralenti... jusqu'à l'arrivée de Mata Hari, célèbre danseuse javanaise, qui fait sensation. Quand Léon trouve un message codé dans les affaires de la mystérieuse voyageuse, il ne peut s'empêcher de le déchiffrer... et découvre qu’elle est en réalité une espionne à la solde des Allemands : Douaumont est menacé ! Mais lorsqu'il alerte les officiers, personne ne veut le croire. Qu'à cela ne tienne : pour sauver son père, Léon compte bien gagner le front et prévenir les soldats qui tiennent le fortin du danger qui pèse sur eux !

Un roman historique réaliste et passionnant ! Dans la même collection Au cœur de l’histoire, découvrez La Tour de Jeanne, À nous la Bastille et Charles, 1943 !



Avis :



✒Coup de cœur pour ce roman fabuleux.

✒J’ai adoré ce livre, l’histoire, moitié roman historique, moitié roman d’espionnage, genre John le carré.

✒L’écriture est simple, accessible aux plus jeunes pour leur permettre de découvrir l’histoire de façon plus ludique et moins conventionnelle que via un manuel d’histoire.

✒La description des personnages, des scènes, des lieux nous plonge dans cet univers particulier de la 1ère guerre mondiale.

✒ Des superbes illustrations agrémentent justement le récit.

✒Ce roman est plein de belles valeurs, le courage, la détermination entre autres.

✒A la fin du roman, un dossier qui nous en apprend un peu plus sur cette période de l’histoire de France.

✒Je recommande vivement ce roman jeunesse à tout les enfants (les parents aussi) vous allez adorer.

Ce roman (à destination des 7-13 ans) raconte dans les grandes (et parfois petites) lignes la vie de Mozart. On en apprend plus sur qui il est, ce qu'il a fait de sa vie, ses hauts et ses bas. Ce roman nous permet également de comprendre certains points sur la musique classique en général (la différence entre une symphonie, un opéra, un quator, pourquoi les noms des musiques classiques sont tels qu'ils sont, comme par exemple "Symphonie n°25 en sol mineur").



En bref, un roman très agréable à lire, écrit comme si chaque chapitre était un épisode d'un podcast, fait par Esther et son frère, avec l'apparition régulière de sa mère, son beau-père, et évidemment de son chat Pizzicato ! A chaque début de chapitre est associée une musique de Mozart, ce qui permet aux curieux de (re)découvrir certaines de ses musiques !



Destiné à un public jeune, ce roman pourra tout de même plaire aux curieux, et permet de se renseigner sérieusement sur Mozart tout en ayant une part d'humour et de détente tout au long du livre.

Merci Babelio et les éditions Gründ pour ces légendes arthuriennes ! J'ai eu beaucoup de plaisir à me replonger dans les histoires de la Table Ronde, à travers 12 histoires qui nous font revoir Merlin, Lancelot, Arthur... Je me suis souvenue avec nostalgie des livres de contes des éditions Gründ que je lisais passionnément durant mon enfance. Les récits sont agréables, les illustrations vraiment belles, je pense que cela sera l'occasion de bons moments de lecture à deux voix avec ma petite nièce.

Et voici un tout nouveau héros, tout beau, tout courageux... et un peu trop riquiqui pour devenir chevalier. Peu importe ! S'il ne peut monter un cheval, il se rabat sur le gros Otto, un chat assez peu porté sur l'aventure, qui lui servira de monture.



Dans ce premier opus, on découvre le duo de choc au prise avec un terrible dragon. Le monstre semble invincible, son corps est recouvert d'écailles, il crache du feu... et fait bien dix ou vingt fois la taille de notre héros !



Mais il a un point faible !



J'espère que vous aurez autant de plaisir à lire cette courte histoire (pour les jeunes lecteurs de CP et CE1) que j'en ai eu à l'écrire.



La suite est en cours. Ces deux là, Otto et Riquiqui, iront loin !
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CuiCui & PiouPiou sont des inconditionnels de la Lunii depuis qu'ils en ont une. Elle a d'ailleurs souvent été sujet de conflit, car dans l'idéal il aurait fallu en avoir deux. Ceux qui ont des jumeaux savent. En y réfléchissant, on s'est toujours demandé pourquoi il n'existait pas de support papier aux histoires de la petite boîte turquoise (ou verte, ou bleue, c'est selon chacun.). Voilà qui est réparé. C'est vrai que enfant, j'ai écumé les numéros des « J'aime lire » et autres magazines, avec le support audio qui accompagnait ma lecture papier. Je pense que cela peut familiariser l'enfant avec les lettres, les sons et plus généralement le préparer efficacement à la lecture.



Dans la famille Magicus, il y a la grand-mère mamie Médusa qui est la confidente des créatures magiques. Ainsi, c'est elle qui a chaque naissance dans la famille, en offre une. C'est ainsi qu'Agatha Magicus a reçu Carabistouille la grenouille à grande bouche. Félix Magicus quant à lui, a pour animal de compagnie Flam, la chat cracheur de feu. D'ailleurs, le petit sorcier a décidé, ce mercredi, de se rendre à la bibliothèque, à feuilleter les grimoires magiques. Mais, c'est sans compter sur la présence inopinée de Carabistouille, qui s'est glissée par hasard dans son sac à dos. Les choses ne vont pas tout à fait se passer aussi tranquillement que prévu.



L'histoire se découpe en 5 chapitres, à la lecture tout à fait adaptée au public visé. La police est tout à fait lisible. Des illustrations parsèment les pages à intervalles réguliers, ce qui permet à l'apprenti lecteur de s'accrocher et de faire des pauses. De temps en temps, certains mots ou interjections sont écrits en plus gros et en rouge. Cela permet de garder le petit lecteur intéressé. Enfin des étoiles en haut de la page indiquent à quel chapitre il se trouve.



L'histoire est tout à fait adapté aux jeunes lecteurs, qui pourront facilement se reconnaître en Félix, le personnage principal de ce récit. Les situations sont cocasses, et il est très probable que l'enfant en rit. C'est ce qui s'est passé avec CuiCui, qui est généralement bon public. Autre bonus, à la fin du livre, l'enfant doit répondre à quelques quizz amusants pour savoir s'il a bien compris ce qu'il vient de lire : « Comment s'appelle le grimoire préféré de Félix ? Que provoque cette formule magique ? quel genre de magicien es-tu ? etc.
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Charlène n'aime pas les nouveaux amis de ses parents, qu'elle surnomme la famille vampire. Alors passer un week-end dans une cabane au fond des bois avec les jumeaux sinistres, très peu pour elle. Elle aura eu raison de se méfier car leurs intentions ne sont pas très pacifistes. En un mot: bof. Je ne suis pas la cible mais je ne trouve pas le texte très terrifiant et en plus je n'aime pas du tout la fin. Cela marche peut-être avec les collégiens...

Après un séjour en Brocéliande, j'étais curieuse de découvrir les contes qui entourent ce lieu ! Cette lecture est idéale pour découvrir les légendes de la célèbre forêt quand on en est totalement novice, les récits sont courts et le livre se lit rapidement. Lecture sympathique donc, mais sans plus...

Acheté pour mon fils qui avait beaucoup aimé Je mène l'enquête au Louvre. Il a bien accroché à celui-ci aussi, l'a lu très rapidement mais a été satisfait de son cadeau. Il a apprécié particulièrement les jeux (labyrinthes, cherche et trouve, messages codés...).

Personnellement j'ai une préférence pour l'enquête au Louvre mais pour mon enfant les deux titres se valent. Maintenant il me réclame le reste de la collection...

Charlène déteste la famille Hécate. Ils sont bien trop bizarres, et leurs jumeaux la regardent toujours avec un drôle d'air. Alors ce week-end chez eux...la jeune fille ne le sent pas du tout !

Une cabane dans les bois, une brume étrange, l'auteur installe une excellente ambiance horrifique...et nous fait frissonner avec cette histoire qui se lit d'une traite !

J’avais déjà lu ce livre il y a quelques années, ramené de l’école à la maison par l’un de mes enfants, et il m’avait marqué, je me souvenais même du titre (ce qui est assez rare chez moi pour le signaler !).

Bref, je viens de le relire avec grand plaisir.

Je trouve ce livre pour les enfants parfait : original et très bien écrit, il se dévore.

Je le recommande pour les jeunes enfants qui lisent peu (et les autres aussi, bien sûr !), car il y a de bonnes chances pour qu’ils accrochent à l’histoire.

Les dessins sont également très drôles et réussis.

J’aime beaucoup les livres de la maison d’édition « Poulpe Fictions » et je dois dire que celui-ci n'échappe pas à la règle ! La forme est originale, le fond est plein d’humour et extrêmement ludique. Sans s’en rendre compte on apprend pleins de choses sur Mozart, sur sa vie a la fois personnelle et professionnelle. La narratrice est accompagnée par les membres de sa famille, ce qui ajoute un côté comique au récit. Les illustrations sont très bien faites, le tout se lit assez facilement. C'est un livre tout à fait adapté pour les jeunes enfants.



Je lirais les autres livres de cette série avec plaisir !
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C'est toujours dans l'optique de découvrir l'histoire avant de la lire à mes enfants que je me suis mis à lire "La maitresse est une sorcière", troisième et dernier ouvrage à ce jour de la collection Mini Poulpe des éditions Poulpe Fictions que je m'étais acheté à un salon du livre jeunesse. J'avais beaucoup aimé mes deux premières découvertes, je partais donc plutôt confiant sur celle-ci.



Et une nouvelle fois, je ne regrette pas mon achat. J'ai trouvé ce récit mignon comme tout. Ca se lit vite, c'est très accessible (mon fils n'est pas dans la tranche d'âge "7 ans et +" mais je suis sûr que ça va le faire marrer) et j'aime beaucoup l'ambiance générale.



Pour une ouverture à la lecture dès le plus jeune âge, je trouve que c'est une histoire sympathique qui a en plus le mérite d'être accompagné de belles illustrations, tout aussi simple mais qui parleront à un jeune public. C'est fluide, c'est aéré et c'est vraiment très agréable à lire. Parfait juste avant de mettre mes enfants aux lits.



A l'inverse des deux premiers titres que j'avais lu, je trouve que celui-ci possède une fin peut-être un peu plus prévisible. Ca vient peut être du fait que ce livre va directement à l'essentiel sans trop de subtilités mais ce n'est pas dérangeant pour autant. Encore une fois, on est dans un livre jeunesse où la peur ne doit être qu'effleurer. Pour les un peu plus grands, la collection "Chair de poule" possède plus de détails et ce n'est pas le but que l'on recherche ici.



Pour résumer, en trois titres choisi au hasard dans un salon jeunesse, la collection "Mini Poulpe" à conquis le père que je suis. "La maitresse est une sorcière" n'est pas le titre que je préfère mais je l'ai quand même beaucoup aimé au point de ne pas regretter mon investissement. Vu le prix d'achat, on est dans du livre jeunesse de qualité et le cahier des charges est rempli pour ma part donc je valide.
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J'ai retrouvé cette collection avec grand plaisir!



Elle est toujours aussi géniale.



J'ai pris énormément de plaisir à lire ces 3 tomes.



Au travers de la vie d'un ou une ado, on apprend tout sur la vie de Mozart, Einstein ou des Romains.



On apprend mais sans assister à un cours rébarbatif.  



Ici le texte est vivant, drôle,  parfaitement adapté à nos enfants dès l'âge de 8 ans. 



Instructifs,drôles, très bien documentés,  ces romans d'environ 200 pages sont super agréables à lire et se lisent assez rapidement.



Les illustrations de Julie Staboszevski en noir et blanc jalonnent les pages et animent ainsi l histoire.  Elles sont magnifiques

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de La mythologie grecque vue par deux ados signé Tristan Pichard, illustré par Julie Staboszevski et paru aux éditions Poulpe Fiction que je remercie du fond du cœur pour ce superbe envoi. J'en profite pour également sincèrement remercier le duo de choc auquel on doit ce livre pour leur dédicace qui m'a tout bonnement agréablement surprise et fait chaud au coeur. Merci pour tout !



Je ne vais pas y aller par quatre chemins : dès les premières pages, je savais que ce roman/puits de connaissances concernant la mythologie grecque allait immensément me plaire.



Je vous vois tout de suite venir : cela parle de mythologie, forcément que notre Nanette ne pouvait qu'être conquise dès le départ ! Mais ce n'est pas là que l'unique point fort de cet ouvrage. En effet, non seulement La mythologie grecque vue par deux ados est un livre extrêmement enrichissant qui nous narre les plus belles et périlleuses histoires de la mythologie grecque avec beaucoup d'humour et de panache, mais en plus il nous fait rencontrer les deux meilleurs amis les plus formidables du monde, j'ai nommé l'incorrigible Théo et son acolyte d'exception, l'irremplaçable et mignon tout plein Anatole.



À mon sens, c'est cela qui a fait toute la différence : le fait que l'on prenne autant de plaisir à suivre l'évolution des personnages, le bon déroulé de leur propre histoire que le développement de leur chaîne YouTube 100% Bio.



Je ne dis pas que l'on ne s'attache pas instantanément aux autres héros hyper enthousiastes et passionnés des précédents tomes de la collection mais disons que c'est différent. J'ai effectivement remarqué que dans les titres qui nous étaient proposés par Cécile Alix, Natasha Quentin et même Tristan Pichard justement, on ne nous donnait à voir que des fragments de la vie de nos petits YouTubers en herbe qui n'étaient pas particulièrement creusés ou poussés plus avant comme cela est le cas ici. S'ajoute à cela que le tandem du tonnerre (promis, je n'ai pas fait exprès ! - Trop forte, la Nanette n'empêche...) s'est évertué, en particulier pour le final singulièrement émouvant de ce tome (mais je ne vous en dis pas plus, huhu), à dresser des parallèles entre nos deux gringalets de compét' et les mythes qu'ils nous présentent avec tant de dynamisme et de chaleur et j'ai trouvé cela hyper bien trouvé de leur part. Cela donne d'autant plus envie aux petits comme aux grands de s'immerger non pas à 100% mais plutôt à 200%, voire 1000% (tant qu'à faire !) dans ce fabuleux récit résolument épique.



Pour conclure, je ne peux que chaudement vous encourager à vous plonger dans la lecture de La mythologie grecque vue par deux ados, ou un ouvrage captivant qui a énormément de choses à nous apprendre à de nombreux niveaux (pour aller se coucher moins bête le soir), magnifiquement illustré par la remarquable Julie Staboszevski dont je suis absolument fan du coup de crayon et écrit par un auteur-conteur de grand talent, j'ai nommé Tristan Pichard ! Autrement dit, un tome assurément à la hauteur de Mozart vue par une ado (et par son chat) et même des trois autres tomes précédents que je suis pour ma part diantrement fière de posséder !
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