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Critiques de Tristan Roulot (259)
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Le convoyeur, tome 2 : La cité des mille flèches

Je vais être franche, je n'avais pas chroniqué le premier tome parce qu'il m'avait laissé un peu dubitative ; une intrigue originale, des dessins nerveux mais un personnage ambigu. Bref je ne savais pas trop quoi dire...

Et bien tout a changé ; l'intrigue est originale - toujours - maitrisée et surtout nous offre une histoire dynamique et épatante. On en sait plus sur ce mystérieux personnage, quasi christique pour certain. Et c'est ...étonnant! Extrémement bien menée avec une histoire forte, des personnages singuliers.

Impossible d'en dire plus, à lire. Une BD d'anticipation forte.
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Le convoyeur, tome 2 : La cité des mille flèches

Une tome 2 qui en dit beaucoup plus bien sûr, nerveux et toujours aussi bien mené et dessiné. On l’attendait avec impatience.
Lien : https://www.ligneclaire.info..
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Rhum héritage, tome 2 : Les flammes de la révolte

Second volet de la saga historique Rhum Héritage, l’album « Les Flammes de la révolte » raconte comment la boisson est devenue un argument géopolitique non négligeable qui a définitivement marqué l’histoire de la Martinique. Une saga familiale qui s’étend sur plusieurs générations.
Lien : https://www.actuabd.com/Rhum..
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Le convoyeur, tome 1 : Nymphe

Une belle surprise.

Un univers post-apocalyptico-mystico-médiéval qui m'a tout de suite parlé.

Une présence d'éléments fantastiques qui aurait pu me freiner mais qui fonctionne très bien.

Une qualité de dessin, de couleur, de mise en planche indéniable.

Un scénario qui tient la route et qui se densifie tranquillement au fil des pages.

Une construction narrative dynamique et agréable. Presque un page-turner....

Un personnage principal très charismatique mais pas omniscient ou omniprésent.

Des personnages secondaires typés et travaillés.

Un nombre certains de questions qui restent, pour l'instant, sans réponse...



LA SUITE !!!
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Rhum héritage, tome 2 : Les flammes de la révolte

BD HISTOIRE / XVIIE SIÈCLE.

Finalement c'est de la BD régionaliste mais c'était vachement bien. Tristan Roulot est un bon scénariste, et s'est bien documenté pour mettre en scène de manière aussi belle que fidèle un épisode tumultueux des outremers français. En plus il apporte à son récit une formidable dimension humaine (et quelques jolis de poignards à macron et à la macronie). J'adore le travail de Mateo Guerrero qui est un excellent dessinateur, et je souhaite le voir illustrer plus de récits à la hauteur de son talent.
Lien : https://www.portesdumultiver..
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Hedge Fund, tome 1 : Des hommes d'argent

BD lue en ligne.



Tome 1 : Des hommes d'argent

Franck Carvale est un courtier en assurances fauché qui réside à Hong Kong. Sur le point de se faire renvoyer par son boss, il se rend chez son dernier client, le riche Bilkaer, à qui il essaie de vendre une assurance. Ce dernier n'en a rien à carrer et préfère l'entraîner dans le monde de la Bourse internationale, lui apprendre les ficelles du métier de trader, avec le vocabulaire et les techniques qui vont avec.



Ce premier tome est intéressant et permet à des novices dans le domaine du trading d'en apprendre un peu plus sur ce business et comment ça fonctionne.

Belle entrée en matière.
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Le convoyeur, tome 1 : Nymphe

Intriguant. Je suis passée par plusieurs phases en lisant cette BD. Perplexe au départ essayant de comprendre cette histoire de rouille, ensuite totalement emballée par l'univers et enfin désarçonnée par la fin et le cliché de la nymphe...mouarf. Ça reste une lecture plaisante de laquelle on a envie de tout savoir. Mais je reste avec une impression globale en demi-teinte. Je ne pense pas lire la suite, malheureusement.
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Le convoyeur, tome 1 : Nymphe

Dans un monde Post-apocalypse, un étrange virus nommé la Rouille a contaminé, transformé, voire évoluée les propriétés du fer. Présent partout dans les constructions humaines, dans le sol, et surtout dans le sang des êtres vivants. L'humanité a régressé au niveau technologique, elle est resté la même dans sa mentalité d'être : violent, avare, menteurs, manipulateurs. Et elle a évolué physiquement car ce virus de la Rouille leur a changé leurs aspects pour certains, et leur a donné des capacités intérieures tels des pouvoirs.





On suit les péripéties d'un homme nommé Le Convoyeur, une sorte d'antihéro, comme Riddick qui tous deux portent des lunettes à verres opaques teintés en rouge, (c'est quand même la classe) et il ne manque pas d'assurance pour exécuter ses contrats, et en échange il donne un mystérieux oeuf au commanditaire. Mais plus on avance dans l'histoire, plus il est assez intrigant, car nous ne connaissons pas le passé de cet homme, dont porte le titre de cette bande dessinée.





L'histoire, le scénario est très bien construit. Au fur et à mesure, on en apprend davantage sur les conséquences de la Rouille, des communautés qui ont évolués différemment pour s'adapter, mais aussi à ces étranges ennemis communs nommés les Spores qui par simple contact peuvent transformer un humain en l'un des leurs.



Un excellent 1er tome, (si je pouvais mettre au-delà de 5/5 étoiles je le mettrais) scénarisé par Tristan Roulot et magnifiquement dessiné par Dimitri Armand.



Vivement la suite !
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Le convoyeur, tome 1 : Nymphe

Le « Convoyeur » et sa monture ont les honneurs de la couverture. On pourrait croire qu’il s’agit d’un western n’étaient quelques détails intrigants : pas de pistolet ni de carabine mais une sorte d’arme étrange, pas de Stetson non plus mais des lunettes de soudeur et un regard incandescent chez l’homme comme chez la bête. Derrière eux, une carcasse d’autocar, des champignons géants ainsi qu’une silhouette qui les surplombe du haut d’une pile de pont. On a d’emblée une impression de malaise à cause de ces yeux rouges et de la robe noire du cheval qui font penser à un cavalier de l’apocalypse. Ça tombe bien : c’est du post-apo ! Le surnom convoyeur » n’est pas loin non plus du terme « fossoyeur » et l’on comprend de suite que le héros n’est pas forcément un gentil.



C’est un format classique de 56p franco-belge. Le découpage est plutôt traditionnel avec des gouttières mais certaines pages innovent en s’affranchissant des cases, en utilisant de nombreuses cases verticales, d’autres de taille ou de format particulier (parallélépipèdes) ou des incrustations et en supprimant même l’espace inter-iconique. L’ensemble est ainsi rythmé et dynamique comme on peut s’y attendre pour un récit d’aventures.

C’est un tome introducteur donc la mise en place de l’histoire et des personnages est assez longue mais n’empêche pas la fluidité de la narration. L’histoire commence « in medias res » cependant l’on découvre vite le contexte grâce à la voix off du Convoyeur présente en récitatif ou au récit qu’il fait auprès de son commanditaire, Monsieur Cendre, des péripéties qui ont émaillé sa dernière mission. Quand il y a des sauts dans le temps (flash-back de la première rencontre d’Anne et du convoyeur ou histoire d’Anna et Nymphe), ils sont différenciés par un passage au noir et blanc et lorsqu’on change de narrateur (Anna à la place du convoyeur), les cadres changent de couleur. Donc c’est plutôt bien balisé.



J’ai trouvé très intéressant que l’histoire se passe en France : ça change des récits collapsologiques qui, au cinéma comme en bande dessinée, se passent souvent aux Etats-Unis. J’ai bien aimé aussi le choix du virus. « La Rouille » qui a d’abord détruit tout ce qui contenait du fer : les immeubles, ponts, voitures, grilles de supermarchés puis s’est attaqué ensuite au fer contenu dans le sang humain provoquant de lourdes mutations génétiques et une stérilité quasi complète. Mais le reste ne m’a guère passionnée : j’ai trouvé que cela brassait trop de genres différents pour être réellement maîtrisé et que certains ne s’harmonisaient pas vraiment. De plus, si je comprends que la violence soit une composante nécessaire pour décrire ces temps barbares, je trouve qu’il y a une surenchère et que ça manque souvent d’ellipse et de subtilité. Avait-on réellement besoin de Sponges par exemple hormis pour créer un effet gore ?



Comme on a un univers composite (post-apo/féodal/western/aventure/super héros), Dimitri Armand peut s’en donner à cœur joie sur le plan graphique ! Les couleurs sont plutôt évocatrices et permettent de créer différentes atmosphères. J’aime bien le soin apporté aux détails des vestiges de l’ancien monde : on retrouve des enseignes (Leclerc, Boulanger, UGC), des barres d’immeubles en ruines et des carcasses de voitures et d’autocars. Paradoxalement, les châteaux médiévaux réinvestis sont rutilants et très bien dessinés. Les décors participent donc bien à la dramaturgie et soulignent aussi certains enjeux. J’ai apprécié aussi l’inventivité pour créer de nouveaux objets « sans fer » comme, par exemple, les véhicules des prêtres aux roues de bois tirés par les eunuques. Cependant l’ensemble de l’album ressemble à un « book » d’hommages et de pastiches sans réelle identité visuelle propre…



Quant aux personnages, du fait du format choisi, ils n’ont guère une psychologie fouillée et tombent dans l’achétype Le protagoniste avec sa dégaine de Clint Eastwood impassible me semble réussi. On a clairement un jeu sur le cliché ici. J’aime bien aussi celui du traque-gène qui n’a rien à envier à ceux de Loisel ou de George Lucas (comme certaines femmes mutantes d’ailleurs) ou celui de monsieur Cendre qui ressemble au méchant du « Legend » de Ridley Scott avec ses cornes. Mais là aussi, même si Dimitri Armand se régale en partant du côté des « X Men », il me semble qu’on fait dans la surenchère et que ça perd en efficacité. Le personnage de Nymphe est ainsi trop attendu : la métaphore de la mante religieuse n’a rien de nouveau et paraît même un tantinet rétrograde. Celui qui m’intéresse finalement le plus c’est celui de la chasseresse énigmatique qui est à la poursuite du convoyeur.

Cet album plaira sans doute à un grand nombre, mais quant à moi je n’ai guère envie de poursuivre la lecture des aventures à venir …

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Le convoyeur, tome 1 : Nymphe

Sous l’impulsion d’une collègue de la médiathèque, j’ai décidé de participer au Prix Imaginales de la BD des bibliothécaires. Histoire de découvrir d’autres choses car je n’aurais jamais lu les 5 titres proposés dans d’autres circonstances.



Après Peau d’homme que j’ai aimée, j’ai « attaqué » le tome 1 du Convoyeur. Bien que je lise un peu plus de science-fiction en vieillissant, les tags de la fiche du livre m’ont fait un peu peur. Alors qu’un virus a muté (c’est de la SF ça ? lol), les êtres vivants ont vu leur patrimoine génétique modifié, notamment quant au taux de fer dans le sang. Certains sont plus convoités que d’autres et peuvent faire l’objet d’enlèvement. Le Convoyeur est vu comme un sauveur car il accepte de relever toutes les missions, quel que soit le risque. Et après...



Et après, je pense que je n’ai pas bien compris la BD et comme je le craignais, je n’ai pas accroché et je ne pense pas que ça vienne de la lecture en numérique ; j’ai trouvé les dessins parlants mais le scénario alambiqué. Cette histoire de nymphe avec les flashbacks... Comme c’est un premier tome, j’imagine qu’il y aura des réponses qui viendront ultérieurement ; par exemple, pourquoi le Convoyeur fait-il manger une espèce d’œuf à tous ceux pour qui il a effectué une mission ? En tout cas, ce sera sans moi...

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Le convoyeur, tome 1 : Nymphe

Je n'ai pas trop accroché aux dessins, j'ai eu du mal à comprendre certaines planches que j'ai dû relire deux fois ! L'histoire est plutôt sympa et on ne s'ennuie pas, mais rien de super original non plus. Un peu de violence parfois. Une BD pas mal malgré tout, qui se lit rapidement.
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Le convoyeur, tome 1 : Nymphe

L'idée de départ est bonne, originale même. Le personnage du convoyeur est intéressant, charismatique et mystérieux. L'ambiance mi western, mi apocalypse est un mélange efficace. Mais malgré ces points positifs, l'histoire aurait gagnée à être légèrement plus longue !



Un peu peur que chaque tome s'apparente à un " freak of the week " sans trop de continuité dans l'histoire si ce n'est celle, personnelle, du convoyeur. A voir par la suite donc !
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Hedge Fund, tome 1 : Des hommes d'argent

Le genre d’environnement qui me donne de l’urticaire.



On offre à Franck Carvale une chance inespérée d’obtenir le boulot dont il rêvait, dans la finance.

Son objectif ? gagner un max de fric, en spéculant.



Tant mieux si c’est sur le dos de gars qu’il ne peut piffer. Tant pis si c’est au détriment d’amis…

… La preuve en image.



Dents qui rayent le parquet, bourses, casinos, jeux d’argent, le genre de sujets que j’essaie de fuir au maximum.

Je ne sais pourquoi, je m’attendais à ce qu’il y ait de l’intrigue, des enjeux ou thèmes un peu plus intéressants, or là c’est des sous, des sous et des coups bas.



Avec un héros inexpérimenté à qui curieusement on offre 1 milliard sur un plateau (on voit çà tous les jours…), et qui forcément va tenter des coups foireux.

On essaie de nous vendre un mec tiraillé, au bord du précipice avant d’être repéré, ou ayant un bon fond, mais c’est l’archétype du gars qui fatalement va devenir escroc, vu ses aspirations.

Et donc pour ma part, pas du tout le genre de personnage que l’on a envie d’incarner.



Passer son chemin, sauf si bien sûr on a des irrépressibles et incontrôlables envies de faire du mal à son prochain. Ici, çà peut servir d’exutoire…
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Le convoyeur, tome 1 : Nymphe

Seconde lecture au moment d'écrire quelques mots, après une première lecture déjà positive il y a un peu plus d'un mois. Bien m'en a pris, puisque j'ai d'autant plus apprécié ma relecture que j'ai même augmenté ma note - ce qui ne change pas grand-chose, j'en conviens, puisque les étoiles sont forcément très subjectives et ne me servent qu'à rappeler à ma mémoire de quarantenaire défaillant quels ouvrages m'ont marqué ou non.

Bref, encore mieux à la relecture. Un premier volume prometteur.

Un monde post-apocalyptique où la pandémie, à défaut de toucher l'humanité, est une vacherie qui change les propriétés du fer, le monde bascule et chacun se retrouve à espérer survivre dans un environnement où la loi du plus fort (ou du plus retors) semble être la seule qui vaille ...

Un convoyeur, personnage énigmatique, qui accomplit des missions de tous ordres, pourvu que le commanditaire accepte d'absorber un œuf mystérieux ...

Une femme, Ana, qui vient solliciter le convoyeur pour aider son village, à charge pour lui d'affronter de mystérieuses créatures et une bande de moines hallucinés et hallucinants cherchant par tous les moyens à préserver la pérennité et la pureté d'une race humaine devenue mutante ...

Et un personnage inconnu que je n'ai véritablement saisi qu'à la seconde lecture - je vous ai déjà dit que la quarantaine m'avait ramolli le cerveau ? - dont on ne comprend pour le moment pas véritablement le rôle ...

En bref, un scénario tordu à souhait, qui laisse bien des zones d'ombres - on attend du coup le second épisode avec impatience, et dévoile intelligemment ses ressorts au fur et à mesure des pages, un dessin à la hauteur. Vivement la suite !
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Le convoyeur, tome 1 : Nymphe

J'aime assez le postulat de départ : une bactérie "dévoreuse" de fer a envahi le monde... ET déjà, ça donne a réfléchir 5 minutes, parce que c'est vrai : il y a du fer partout.... même nos corps contiennent du fer.

Après, j'ai été un peu moins intéressée par le développement qui en a été fait... surtout que je n'ai pas tout compris des rivalités présentées.

C'est un tome d'introduction, c'est peut être normal que je ne comprenne pas tout... à suivre donc

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Le convoyeur, tome 1 : Nymphe

Un premier tome étonnant, qui donne clairement envie de lire la suite (dommage, elle n'est pas encore sortie !). Excellente entrée en matière, pleine d'action dès le début, tout en gardant de très larges zones d'ombre. L'univers est clairement posé dès le départ, avec cette "Rouille" qui a renvoyé l'humanité à l'âge de pierre - c'est simple et efficace.

Les personnages ne sont pas manichéens, et, si l'on a ici une intrigue qui se résous dans les grandes lignes, reste qu'on n'a aucune idée de qui est ce mystérieux convoyeur.

Je n'aime pas trop les dessins, mais ce sont juste mes gouts personnels, car ils sont de belle qualité !
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Le convoyeur, tome 1 : Nymphe

Le dessinateur de Sykes et de Texas Jack abandonne le western pour un genre plus post-apocalyptique. Cependant, ce convoyeur rappelle tout de même les bons westerns même si le décors change un peu avec tout ces mutants.



J'ai bien aimé cet univers assez original à la Mad Max qui arrive après non pas une épidémie mais une contagion par le métal. Cela a détruit toute la civilisation au point de retourner à un autre âge où règne la loi du plus fort.



Nous suivrons le récit d'un mystérieux convoyeur qui accepte les missions les plus difficiles pourvu que vous avaler son œuf. C'est un peu étrange comme concept mais c'est ainsi. Évidemment, pas d'explication. Je suppose que c'est bon pour l'organisme en ces temps difficiles.



Le déroulement du récit est fort efficace même si on ne comprends pas vraiment bien la scène finale qui vient un peut tout gâcher. Je suppose qu'il y aura une suite même si cela ne paraît pas aussi évident que cela.



A noter un dessin absolument magnifique qui fera dans la précision avec des décors splendides. C'est un régal pour la lecture.
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Goblin's, tome 1 : Bêtes et méchants

Je n'ai pas arraché le moindre sourire sur ces gags tournant autour du monde de l'héroïc fantasy que pourtant j'apprécie grandement.



Je ne pensais pas qu'une oeuvre magistrale comme le Seigneur des Anneaux pouvait créer ce genre de produit.



C'est froid et impersonnel dans le dessin. Cette colorisation à outrance a du mal à masquer les nombreuses imperfections comme l'absence de décors par exemple.



Je n'arriverais jamais à adhérer à ce genre de bd si les auteurs ne réalisent pas un minimum d'effort. Après tout, peut-être ne suis-je pas le bon public... Quoiqu'il en soit, j'oublierai vite Goblin's.
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Irons, tome 1 : Ingénieur-conseil

La sélection au hasard, sur une intuition, a parfois du bon.

J'ai bien aimé cette histoire avec un personnage un peu particulier, bloqué par accident sur une île et qui fini par se faire rattraper par son besoin de vérité.

Je ne suis pas fan du dessin, mais il y a un bon rythme sur le scénario. Je regrette juste que la médiathèque n'ait pas investi dans les tomes suivants
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Le Testament du Capitaine Crown, Tome 1 : C..

Ce diptyque est un récit sur la piraterie avec son éternelle chasse aux trésors ainsi que tous les poncifs du genre. L'originalité sera sans doute le destin de ces cinq enfants de putain à qui le capitaine Crown promet un héritage digne de ce nom. Un seul arrivera à tirer son épingle du jeu. Reste à savoir lequel.



Je m'attendais sans doute à quelque chose de mieux. Cela reste malgré tout divertissant. Bref, un pitch classique mais bien mené. Il est vrai que dans le même genre flibusterie, la série "John Long Silver" se situe deux cran au-dessus. En conclusion, une bd de plus sur la piraterie qui remplit son quota d'aventures.
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