Tsukasa Hojo

« Trop facile... Aucun homme ne peut résister aux larmes d'une femme !! »

[Ryo Saeba] Franchement… On n’a pas idée d’enlever quelqu’un et de l’enfermer au fin fond des bois ! Comme si je n’avais que cela à faire !

Les relations entre les êtres vivants sont plus intéressantes lorsqu’ils partagent un secret… ça les rapproche !!

- Vraiment… ? Vous partez exercer dans un village sans médecin ?
- De toute façon, je n’ai jamais été faite pour travailler dans un hôpital universitaire. Avec cette affaire, la moitié des médecins de la section 1 de chirurgie a été arrêtée… Mais ces gens ne sont pas les seuls à avoir oublié leur âme de médecin… Il y en a beaucoup d’autres qui ne voient les patients que comme des instruments pour leurs recherches et leur prestige. Je choisis de vivre en médecin dans un endroit où on aura vraiment besoin de mes soins.

Pour le bien, il n’est jamais trop de hâte !

Quand on veut tuer quelqu’un, on tire d’abord et on l’ouvre après !

Je ne me rendais pas compte de l’impact que je pouvais avoir sur les auteurs un peu plus jeunes. J’ai donc été flatté de recevoir des messages expliquant qu’ils voulaient devenir mangakas après avoir lu mes œuvres. (…) J’ai vraiment été surpris, cela m’a donné la chair de poule. En vérité, je n’ai jamais eu la sensation d’avoir réussi.

Ce drame a été provoqué par les humains... des êtres stupides et inconscients qui ont rasé les arbres retenant la montagne sans même réfléchir aux conséquences... Et pourtant, cette petite plante est prête à sacrifier son existence pour venir en aide à l'un d'eux... pour sauver Takehiko, qui a su lui ouvrir son cœur !

(le grand-père de Takehiko).

C'est ce qui fait ton charme, Yûki. Sans jamais le chercher, tu arrives toujours à rassembler des amis fidèles autour de toi !

(Pensées de la grand-mère à Yûki).

Tatsuya : Mais ça ne te fait rien que ton père en pince pour une autre femme que ta mère ?

Sarah : Bien sûr que non... Les gens sont libres de vivre leurs histoires d'amour ! Il a beau être mon père, je n'ai pas mon mot à dire !

Sarah : Tu comprends, maintenant, la peur qu'a pu avoir cet arbre quand tu as menacé de l'abattre ?!

Tatsuya : La peur ?! Mais c'est un végétal !! Il n'a pas d'émotions !!

Sarah : Bien sûr que si !! Les arbres sont des êtres vivants, donc ils ressentent des choses... Je sais de quoi je parle, je suis fleuriste !! Les plantes sont aussi sensibles que les humains !! Elles ont des pouvoir que tu ne soupçonnes même pas, comme celui de comprendre nos sentiments !!

Ça, c'est une question de sincérité, papa ! C'est le genre de choses dont tu es censé te souvenir sans qu'on ait besoin de te le rappeler, tu sais ?

(dixit A-Xiang à Ryo par rapport à son oubli de l'anniversaire de Fang-Yu).

… C'est un bijou de famille... un souvenir de mes grands-parents et de mes parents... cette montre qui a partagé leur vie est la preuve que deux générations de ma famille ont connu le véritable amour.

- Qu’est-ce que vous dites ?! Seguchi a été relaxé ? Mais et l’enquête…
- J’ai reçu des ordres d’en haut !
- D’en haut ? Qu’est-ce que ça veut dire ?! Encore le pouvoir de l’argent !!

C’est bien triste... que des gens qui ne se connaissent même pas se haïssent au point de s’entretuer ! Lors d’une guerre, on oublie trop souvent que l’autre, en face, est aussi un être fait de sang et de larmes… Tant que les hommes ne feront pas d’efforts pour essayer de mieux se comprendre, il y aura toujours des conflits !

Le 30 Juin 1944, le gouvernement japonais décréta l’évacuation générale des écoles primaires… Autrement dit, tous les enfants des grandes villes devaient partir vivre à la campagne en laissant leurs parents derrière eux… Devant l’intensification des bombardements américains sur les zones urbaines… les autorités entendaient ainsi préserver la jeunesse, assurer son éducation et permettre aux adultes de mieux se préparer à défendre leurs villes face à l’assaut final de l’ennemi. Rien que pour Tokyo, plus de 230000 enfants furent déplacés en province (…). Là-bas, ils étaient accueillis dans des temples ou des auberges où ils étaient pris en charge par leurs instituteurs et les femmes du village. Les médias de l’époque avaient beau parler de la vie de ces petits réfugiés citadins en des termes positifs, bien souvent la réalité était tout autre… Les petits souffraient de malnutrition, de maladies (pour certaines transmises par les poux et les puces), et subissaient souvent des brimades, des vols ou encore des châtiments corporels…

La police et la loi n’ont pas l’apanage de la justice.

- Bah oui, c’est ça la réalité. Les nettoyeurs ne sont pas aussi glamours que dans les romans !

On a tous des petits secrets qu’on préfère garder pour nous !

[Kaori] J’en étais sûre, t’as la trentaine !! Peut-être même la quarantaine !!
[Ryo] I… Idiote, ne me dis pas n’importe quoi !! Je me fiche de ce que disent les autres, j’ai vingt ans, un point c’est tout !!