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Citations de Tuesday Lobsang Rampa (85)


Je crois que les habitants de l'intérieur de la Terre sont un peuple très, très hautement développé, qu'ils ne sont autres que les survivants de la Lémurie, de Mu, de l'Atlantide et de beaucoup d'autres civilisations encore plus anciennes. La Terre a été ravagée par des Cataclysmes, des tempêtes, des météores et tout le reste, les habitants de la surface ont fréquemment été décimés. Mais, à l'intérieur, la vie se poursuit sereinement sans être perturbée par les événements du dehors et la Connaissance spirituelle et scientifique a par conséquent progressé.
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D'autres disent encore : « Et tous les explorateurs qui sont allés au pôle nord ou au pôle sud ? S'il y avait eu un trou dans l'écorce terrestre, ils l'auraient trouvé. »
Là encore, la réponse est non. Ce n'est pas vrai. Personne n'est allé au pôle nord, personne n'est allé au pôle sud. Nous disposons de rapports rédigés par des gens qui sont parvenus à proximité de l'un ou l'autre pôle et qui ont continué d'avancer pendant des kilomètres et des kilomètres. En d'autres termes, ils se sont plus ou moins perdus. L'histoire ancienne, et l'histoire moderne aussi, nous apprend que les marins repèrent souvent des débris flottants qui viennent des pôles (j'emploie le mot « pôle » pour me
conformer à l'usage et pour que la localisation soit précise). Parfois, ce sont même des animaux ou des oiseaux. Or, tout le monde sait qu'on ne trouve ni oiseaux ni insectes, pas plus au pôle nord qu'au pôle sud. Sans parler de feuilles vertes. Alors, d'où viennent ces épaves ? De l'intérieur de la Terre, évidemment.
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Bien que l'humanité fut revenue à un état sauvage, toute civilisation cependant ne disparut pas pendant ces Années noires. Sur certains points isolés à la surface du globe, de petits groupes d'hommes et de femmes, plongés dans les ténèbres infernales de la sauvagerie, luttaient désespérément pour ne pas laisser mourir la connaissance, pour ne pas laisser s'éteindre la faible flamme de l'intelligence humaine. Au cours des siècles suivants, les religions évoluèrent beaucoup et de nombreuses recherches furent entreprises pour essayer de découvrir la vérité sur ce qui s'était passé. Or, pendant tout ce temps, dans les cavernes profondes du Tibet, était caché le Savoir suprême, gravé sur des plaques d'or incorruptibles, immortelles, attendant ceux qui les découvriraient et qui pourraient les déchiffrer.
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Non, répondit en souriant Mme Hensbaum, je ne prête jamais mes livres, parce qu'un auteur doit vivre de la misérable somme qu'on appelle « droits d'auteur », sept pour cent je c rois . Si je PRÊTE des livres, je prive un écrivain de ce qui est son gagne-pain. » Elle réfléchit, puis : « Je vais vous dire une chose, je vais en ACHETER une série et vous l'offrir en cadeau ; alors vous pourrez lire par vous-même la Vérité. Est-ce assez chic ? »
Marthe secoua la tête d'un air dubitatif. « Eh bien, je ne sais pas, reprit-elle, je ne SAIS vraiment pas. Je n'aime pas l'idée que lorsque nous avons mis de côté un corps, que nous avons fait sa toilette et refermé la boîte, que nous l'avons déposé dans la terre, je n'aime pas l'idée qu'il risque de revenir comme un spectre et qu'il me fasse mourir de peur.
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Quand vous quittez votre corps, un ange est là pour vous accueillir et vous guider. Vous serez jugé par Dieu lui-même, et connaîtrez la punition qu'il décidera de vous infliger.
Algernon réfléchit à l'ensemble du problème : « Si Dieu était un Dieu bon,
pourquoi un homme devrait-il,sitôt mort, être puni ? Et s'il était mort, comment pourrait-il être affecté par une punition ? » Il était là, pensa-t-il, gisant paisiblement, sans souffrance et sans joie particulières.
Soudain, il eut peur. Quelque chose se passa en lui. C'était comme s'il y avait une main à l'intérieur de son crâne. C'était seulement une impression, la sensation que quelqu'un pensait à lui : « Sois en paix, ne bouge pas et écoute. » Mais aucune voix ne lui parvenait.
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Je vais te montrer la Création, Lobsang, dit-il gaiement. (Il gratta l'allumette contre la paroi de la boîte et lorsqu'elle s'enflamma, il éleva le bâtonnet incandescent. Puis il souffla dessus et l'éteignit !) Création, dissolution, dit mon Guide. La tête enflammée de l'allumette a émis des milliers de particules et chacune a explosé en se séparant de ses compagnes. Chacune était un monde complet, le tout formait un Univers. Et l'Univers est mort lorsque la flamme a été éteinte. Peux-tu affirmer que ces mondes étaient dépourvus de vie ?
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Le monde tout entier est fait de vibrations, toute Vie, tout ce qui est inanimé, n'est que vibrations. Le puissant Himalaya lui-même, dit le Lama, n'est qu'une masse de particules suspendues dont aucune ne peut en toucher une autre. Le monde, l'Univers, est formé de minuscules particules de matière autour desquelles tournoient d'autres particules de matière. De même que des mondes tournent autour de notre Soleil, toujours à la même distance et sans jamais entrer en contact, de même tout ce qui existe est-il composé de mondes en rotation.
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Voici un ouvrage sur l'Occultisme et sur les pouvoirs de l'Homme. C'est un livre simple, en ce sens qu'on n'y trouve ni "mots étrangers", ni Sanskrit, ni aucune langue morte. L'homme moyen veut SAVOIR les choses, il ne veut pas être forcé de deviner le sens de termes que l'Auteur moyen ne comprend pas luimême ! Un Auteur qui connaît son métier peut écrire en anglais sans avoir à dissimuler son ignorance en recourant à une langue étrangère.
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Le suicide, pensai-je. Les gens auront recours au suicide afin d'échapper à leurs dettes, à leurs soucis, ou afin de rendre service à d'autres en leur procurant un corps.
— Non, non, mon Frère, dit le vieil Abbé. Tu es dans l'erreur. Nul ne peut échapper à sa dette par le suicide et nul ne peut quitter son corps pour un autre, à moins que certaines circonstances spéciales ne le permettent. Nous devons attendre l'épanouissement de cette Ère Nouvelle et personne ne pourra légitimement abandonner son corps avant que le laps de temps qui lui est alloué n'ait pris fin. Jusqu'à présent, cela ne peut intervenir qu'avec la permission des Forces Supérieures.
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Depuis de longs mois, les lamas les plus éprouvés, faisant office d'humbles messagers, avaient quitté Lhassa et parcouraient péniblement des centaines de kilomètres afin de déposer les anciens Secrets là où ils seraient à tout jamais protégés des vandales chinois et des traîtres communistes tibétains. C'est là aussi qu'après des efforts et des souffrances infinis, avaient été portées les Formes Dorées des Incarnations précédentes, afin d'être dressées et vénérées au coeur de la montagne. Des Objets Sacrés, des écrits infiniment anciens, les prêtres les plus respectables et les mieux instruits se trouvaient ici en sécurité. Depuis plusieurs années, sachant bien que l'invasion chinoise était imminente, des Abbés loyaux s'étaient périodiquement assemblés en conclaves solennels pour choisir et désigner ceux qui se rendraient dans la Nouvelle Demeure lointaine.
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J'étais né avec des dons indéniables, mais après l'opération, mes pouvoirs de voyance devinrent presque anormaux. C'est ainsi qu'il me suffisait de regarder les gens pour les voir avec leurs auras, des couronnes de flammes aux couleurs changeantes. Ces auras me permettaient de deviner leurs pensées, et aussi leurs maux, leurs espoirs et leurs craintes. Depuis mon départ du Tibet, j'essaie d'intéresser des médecins occidentaux à une machine qui permettrait à n'importe quel docteur ou chirurgien de voir les auras humaines telles qu'elles sont, c'est-à-dire colorées. Je sais que s'ils en étaient capables, la cause exacte des maladies leur apparaîtrait clairement. Il suffirait au spécialiste d'observer les couleurs et le contour mouvant des bandes lumineuses d'une aura pour diagnostiquer exactement la maladie d'un patient.
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C'est au cours de mon séjour en Angleterre que j'ai écrit le Troisième Oeil, ouvrage qui a suscité d'âpres controverses bien qu'il fût véridique. Des lettres ont afflué de tous les coins du monde ; c'est pour y répondre que j'ai écrit ce nouveau livre.
Mes expériences, dont on lira le récit dans un troisième volume, ont dépassé de très loin celles du commun des mortels. D'ailleurs, l'Histoire n'offre que très peu d'exemples qui leur soient comparables. Mais tel n'est pas le sujet de ce livre dans lequel le lecteur voudra bien trouver la suite de mon autobiographie.
Je suis un lama tibétain venu en Occident pour se conformer à son destin, parce que ce voyage avait été prédit comme avaient été prédites toutes les épreuves que j'ai endurées. Malheureusement, les gens n'ont vu en moi qu'une curiosité exotique, un spécimen zoologique bon à être exhibé dans une cage comme un monstre venu de l'Inconnu.
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Lama Médecin - (1959) le récit se poursuit avec Lobsang quittant Lhassa et vivant à Tchoung-king, en Chine. Ici, il approfondit ses connaissances médicales, apprit à piloter un avion, pour finalement être capturé et torturé par les Japonais. Lobsang fut longtemps emprisonné dans des camps de concentration et dû même servir d'officier médical officiel jusqu'au jour où il put s'échapper. Lobsang fut l'une des rares personnes à survivre à la première bombe atomique larguée sur Hiroshima. Il nous apprend dans ce livre comment utiliser une boule de cristal et nous enseigne des exercices respiratoires pour améliorer notre santé.
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Au Tibet, une femme de la haute société se doit de posséder d'innombrables toilettes et de nombreux bijoux. Cette garde-robe, il faut l'exhiber, mais comme cela n'irais pas sans de fréquents changements de robes, des filles spécialement entraînées, les chung-girls, servent de mannequins.
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Au Tibet, la cuisine set faite par les hommes; les femmes ne valent rien pour ce qui est de préparer la tsampa ou de faire correctement les mélanges.
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La presse, bien sûr, s'est jetée avec avidité sur le scandale, et quand j'ai pu prouver qu'il y avait imposture, on ne m'a jamais rendu justice publiquement. Je suis totalement contre le suicide, totalement contre la drogue, et totalement, mais totalement, contre la presse. Je considère le journaliste moyen comme non qualifié pour juger les écrits sur la métaphysique ou l'occulte. Il lui manque, pour le faire, la connaissance et la spiritualité.

Un journaliste m'a dit un jour : « La vérité? Elle n'a jamais fait vendre. Qu'avons-nous à faire de la vérité? Nous vendons de la sensation. »
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Tu perds la tête, Fifi, dit le Lama. Qui voudra croire que tu es capable d'écrire un livre ?"
Il m'adressa un sourire, me gratta sous le menton, là, juste à l'endroit où ça me plaît bien, et s'en fut à ses occupations.
Je me mis à réfléchir : "Et pourquoi, je vous prie, n'écrirais-je pas un livre ? Il est vrai que je ne suis qu'une chatte, mais pas n'importe laquelle. Oh non ! Je suis une Siamoise qui a voyagé loin et vu beaucoup de choses. Vu ? Certes, je suis à présent tout à fait aveugle et je dois m'en remettre au Lama et à Lady Ku'ei, qui me prêtent leurs yeux, mais j'ai des souvenirs !"
Il est vrai que je suis vieille, très vieille et plutôt infirme, mais ce n'est pas une raison pour ne pas coucher sur le papier les événements de ma longue vie, tandis que je le peux.
Voici donc le récit de ma Vie avec le Lama, et des jours ensoleillés qui terminent une existence toute pleine d'ombres.
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Si nous recherchons la connaissance, nous devons avoir la foi, car elle précède obligatoirement la preuve. Comment, en effet, nous mettrions-nous en quête de quelque chose que nous sommes résolus à ne pas trouver?

En matière de foi, notre démarche consiste à essayer de prouver qu'une chose est vraie, et non, comme c'est si souvent le cas de nos jours, qu'une chose est fausse.

La foi n'est pas la croyance oiseuse, absurde, aveugle. Elle grandit à mesure qu'on en explore les profondeurs.
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Débarrassons-nous tout d'abord de tout parti-pris et consédérons le vrai problème - prenons le communisme. Au début, des gens se sont pris à penser: « Pourquoi certaines personnes auraient-elles tout? Nous sommes les ouvriers et, nous aussi, nous voulons tout. » Ils se sont donc rassemblés et ont formulé une manière de politique. Leur théorie étaient que tous les hommes et toutes les femmes doivent être égaux et que chacun doit posséder la même quantité d'argent; ils oubliaient simplement que, dans ce domaine, ce qui est vrai aujourd'hui ne le serait pas nécessairement demain. Mais, n'appréciant pas le fait qua, pour les « capitalistes » les choses continuaient comme par le passé, les communistes élaborèrent une sorte de politique - si on peut employer ce terme - dans laquelle toutes les valeurs du capitalisme étaient complètement inversées; cette idéologie formulée, ils partirent alors évangéliser, à la recherche de gens à convertir, même s'il s'agissait pour cela d'amener ces émules à quitter leur travail et à connaître la famine et même si leur action signifiait la misère pour le monde.
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Un des maîtres était tout particulièrement intrigué par mon amour pour les chats et leur visible affection pour moi. Il savait parfaitement que les chats et moi conversions par télépathie. Un jour, les cours terminés, il me vit, étendu sur le sol, avec quatre ou cinq des chats du temple assis sur moi. Ce spectacle l'amusa et il me pria de l'accompagner jusqu'à sa chambre, ce que je fis avec une certaine appréhension, car à cette époque, être appelé dans les appartements d'un lama voulait généralement dire qu'on allait être réprimandé, ou recevoir une tâche supplémentaire. À distance respectueuse, je le suivis donc et, une fois arrivés dans ses appartements, il me pria de m'asseoir.

- Les chats, me dit-il, sont à présent de petites créatures qui ne peuvent parler avec les humains que par télépathie. Il y a de cela très, très longtemps, avant ce cycle particulier d'existence, les chats peuplaient la terre. Ils étaient beaucoup plus gros, presque aussi gros que nos poneys; ils parlaient entre eux et pouvaient faire des choses avec leurs pattes de devant, qu'on appelait alors des mains. Ils s'occupaient d'horticulture et étaient en majeure partie végétariens. Ils vivaient dans les arbres et leurs maisons étaient situées dans les très grands arbres. Les arbres étaient alors très différents de ceux que nous connaissons maintenant, ils avaient d'énormes anfractuosités dont les chats faisaient leurs demeures. Ils y étaient au chaud, protégés par l'entité vivante de l'arbre, et ils formaient une communauté sympathique. Mais on ne peut obtenir la perfection avec aucune espèce, car, à moins que n'existe la compétition, ou l'aiguillon d'un mécontentement, les créatures vivant dans une telle euphorie dégénèrent généralement.
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