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Citations de Vanessa Vale (151)


Il avait forcément une femme pour réchauffer son lit. Un talkie-walkie grésilla à sa ceinture, et il l’éteignit. Visiblement, mon cours d’éducation sexuelle lui importait plus que le risque d’incendie.
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Derrière Mme Tergiverseuse se tenait un pompier. Un mec très séduisant, grand, musclé et vêtu du tee-shirt et du pantalon bleu marine des pompiers de Bozeman. Un homme sexy en uniforme ? Oui, c’était cliché, mais c’était pourtant bien vrai. Bon sang, il était à couper le souffle. Mon cœur avait même raté un battement. J’avais des fourmillements et j’avais chaud partout.
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— Je ne sais pas lequel prendre. Je ne savais pas qu’il y avait autant de choix !
Cette femme n’était pas en quête d’une nouvelle voiture ou d’une brique de jus de fruits au supermarché. Non. Elle voulait un gode. Les clientes comme elles, je les appelais les Tergiverseuses. Des gens qui étudiaient chaque option avant d’envisager de faire un choix.
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Ils se relayèrent pour me baiser. Tout comme cette nuit mémorable dans le champ de Baker il y a toutes ces années, mes hommes se sont relayés pour me faire l'amour. L'un me baisait sans vergogne pendant que l'autre me tenait droite et murmurait des mots d'amour dans mon oreille. Rory me prit par derrière, comme j'étais pressée contre les carreaux, mes jambes enroulées autour de la taille de Cooper. J’ai joui trois fois avant que tout ne soit fini, et à ce moment-là ils durent m'aider à me sécher et m'emmener au lit car mes jambes refusaient de marcher. Mon cerveau était en bouillie et ce n'était pas grave. Je savais que mes hommes prendraient soin de moi.
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La sensation des lèvres de Cooper sur mon cou rendit mes genoux plus faibles et je m'appuyai contre lui. Après une journée aussi stressante, je me transformais en guimauve dans leurs bras. Je me laissai aller au fait que j'avais deux hommes attentionnés, sexy et gentils pour prendre soin de moi. Deux hommes qui ne voulaient rien de plus que de me rendre heureuse.
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La décision d'être avec ces hommes, vraiment être avec eux, me vint soudainement comme une évidence. Nous avions gaspillé assez de temps ces sept dernières années. La dernière chose que je voulais était d'en gaspiller encore plus. Peut-être que j'avais su l'inévitable quand ils étaient arrivés devant mon école, roulant des muscles et avec leurs regards pensifs, mais maintenant j'étais certaine de mon choix.
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Je l'aimais inconditionnellement, mais ... cette intensité que je ressentais pour Lily, eh bien, c'était pur. Elle effaçait les souvenirs douloureux et toutes les pensées et tous les et si. J'avais conduit Cooper au camp d'entraînement. Je l'avais conduit à la guerre et il avait payé un lourd tribut, un prix qui le hantait encore et le hanterait toute sa vie. Sa famille avait failli le perdre. Moi ? Je n'avais pas de famille comme lui, je n'avais rien à perdre. Jusqu'à maintenant.
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Ce sentiment d'impuissance était écœurant. Quelqu'un que j'aimais était blessé et je ne pouvais rien faire. Si quelque chose arrivait à Lily ... si elle ne survivait pas.
Je coupais court à ces pensées avant que cette angoisse ne se transforme en panique pure et simple. Penser au pire scénario possible ne ferait du bien à personne. Mais pourtant, la douleur dans mon ventre refusait de partir. La douleur dans mon cœur était atroce. Je ne pouvais pas revivre ça. Plus jamais.
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Pour apprécier les hommes qu’ils étaient devenus, chaque centimètre nu et dur. Il jeta son pantalon, mais s’attardait sur sa chemise boutonnée. Sa bravade antérieure semblait avoir disparu. J’allais l’aider et pendant une seconde il se figea quand mes mains écartèrent sa chemise sur ses larges épaules. Je vis quelque chose que je n’avais pas prévu. Inquiétude. Appréhension. « Juste un avertissement, chérie. Je ne suis plus l’homme que j’étais ».
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Je me mordis la lèvre pour retenir un gémissement alors qu’un de ses doigts glissait sous la matière soyeuse de ma culotte et entre les plis de ma chatte. Il était presque impossible de ne pas gémir et d’attirer l’attention sur notre table. Quand ses doigts glissèrent à l’intérieur de moi, mes hanches reculèrent involontairement en essayant de se rapprocher.
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La main de Cooper glissa sous ma robe afin que les deux hommes aient une prise sur l’intérieur de mes cuisses, me forçant à écarter légèrement mes jambes pour les accueillir. Je jetai un coup d’œil pour voir si quelqu’un remarquait ce qui se passait sous notre table, mais personne ne nous prêtait attention.
Rory bougea d’abord, ses doigts se rapprochèrent jusqu’à ce qu’ils frôlent ma culotte, me faisant haleter. Puis Cooper suivit son avance jusqu’à ce qu’ils me caressent tous les deux à travers le tissu trempé.
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Ces mots ne venaient pas tant de mon cerveau que de ma chatte. Si c’était juste une nuit, peut-être que je n’avais rien à perdre. Ils se disaient que c’était tout ce qu’ils allaient avoir. Après ce soir, si je leur disais de partir, ils devraient partir. S’il y avait une chose dont je n’avais jamais douté, c’était que ces hommes avaient de l’intégrité. Ils ne mentiraient pas à ce sujet. Si je leur disais de prendre la route demain matin, je ne les reverrais plus jamais. Cette pensée me fit déglutir. C’était difficile.
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J’avais abandonné tous mes rêves de bonheur avec ces hommes le jour où je décidai de garder mon bébé et de l’élever toute seule. Elle. Lily. « Une nuit ne changera rien ». Moi-même, je pouvais entendre le regret dans ma voix. La nostalgie. Le besoin.
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Je n’avais pas été intimement touchée par un homme depuis si longtemps, et ça me faisait du bien. Mon corps semblait reconnaître leur caresse. « Juste une nuit, chérie, pour que tu te rappelles à quel point c’était bon entre nous trois. Et nous n’avons plus dix-huit ans, et nous ne sommes plus vierges ».
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Il porta ma main à ses lèvres comme s’il me récompensait pour mon honnêteté et je sentis ce simple baiser doux jusque dans mes orteils. Ma peau se mit à picoter et mes mamelons ont instantanément durci.
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« Tu as un mec ? », demanda Cooper quand je ne répondis pas immédiatement.
J’aurais dû dire oui. Cela aurait été la solution de facilité. Mais je n’ai jamais été une menteuse et je ratais l’opportunité. J’avais attendu trop longtemps et ils pouvaient voir la vérité sur mon visage. Ils avaient toujours été capables de me déchiffrer et maintenant c’était dangereux.
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Les papillons s’étaient calmés et je cessais de paniquer chaque fois qu’ils me posaient une question sur ma vie. Je me sentais également plus à l’aise au point de leur poser des questions sur leur vie au cours des sept dernières années. J’écoutai avec admiration leur passage dans l’armée. Rory parla la plupart du temps et il passa rapidement sous silence leur dernier séjour à l’étranger et leur démobilisation.
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Le vin m’aida à me calmer, ainsi que les gens autour de nous. Il était plus facile d’ignorer les regards des hommes et leur odeur capiteuse quand un serveur se tenait à côté de moi en train de remplir mon verre d’eau ou qu’un couple de personnes âgées à côté de nous commençait à parler un peu trop fort.
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La sensation de la main de Rory sur ma taille suffisait à faire palpiter ma chatte. Et si Cooper n’arrêtait pas de me regarder comme ça - comme s’il allait me jeter à terre et me baiser sur le perron, je pourrais perdre tout contrôle et commencer à le supplier.
J’avais fait une erreur. Une erreur monumentale. Je n’aurais jamais dû dire oui à ce rendez-vous... ou non rendez-vous ... ou quoi que ce fût. Je n’étais pas assez forte. Ma résistance vacillait. Mon cœur était trop fragile.
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Ils étaient tous les deux dans mon espace personnel, leur chaleur me protégeant de la douce brise et leur odeur ... oh Seigneur, cette odeur. L’air était rempli de cette odeur terreuse et virile qui me contractait le bas ventre et faisait picoter ma peau. C’était comme je m’en souvenais après toutes ces années.
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