AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Veronica Rossi (113)


- Des ecchymoses... c'est voyant, et pas très difficile à...
- Tu ferais mieux d'arrêter de perdre ton temps. Vas-y! lança Perry d'un ton cassant.
Sable lui frappa violemment le bras, le biceps, plus exactement, juste au-dessus de sa Marque.
[...]
Perry secoua la tête. Sa gorge était sèche et son bras le lançait.
- Il y a une chose que tu dois savoir, articula-t-il.
- Ah oui? Laquelle? demanda Sable en plissant les yeux.
- Je ne marque pas facilement.
Commenter  J’apprécie          20
Il lui prit le visage dans les mains et l'attira à lui, de sorte que leurs fronts se touchèrent. Les cheveux d'Aria tombèrent autour d'eux, formant un rideau qui les isolait du reste du monde.
Commenter  J’apprécie          20
[...] Il ne lui restait plus grand chose à faire, hormis regarder le cœur de Roar saigner sous ses yeux.
Commenter  J’apprécie          20
-Rien ne t'échappe, hein?
Perry sourit encore.
-Si. Toi, tout le temps.
Commenter  J’apprécie          20
"Roar se mit à chanter d'une voix douce et pleine d'humour :
- Viens réchauffer mon coeur transi, mon tout petit chaton polaire.
Incapable de résister, Aria attaqua le couplet suivant :
- Jamais de la vie, mon gros yéti. Plutôt m'arracher une molaire !
- Je serais ton bonhomme de neige, tu vivrais dans mon igloo.
- Pas question de tomber dans ton piège. Plutôt m'enfermer chez les fous !"
Commenter  J’apprécie          20
Un peu plus loin, il distingua un mouvement furtif entre les arbres. Presque aussitôt, Aria lui apparut. Elle courait. Gracieuse. Attentive. Sans un bruit. Lorsqu'elle le vit, elle écarquilla les yeux de surprise, mais ne ralentit pas l’allure. Lui non plus. Au contraire, il se débarrassa de ses affaires, les jetant n’importe où, et accéléra encore. L’instant d’après, Aria se jetait dans ses bras.
Perry la serra fort contre lui.

– Tu m’as manqué, lui souffla-t-il à l’oreille, réprimant son envie de l’étreindre encore plus fort. Je n’aurais jamais dû te laisser partir. Tu m’as tellement manqué
Commenter  J’apprécie          20
Reviens avec moi, Aria. Sois avec moi.
Commenter  J’apprécie          20
Tu me manques.
Tu me manques. Tu me manques, tu me manques.
Sois prête, parce que quand je te reverrais, je ne te laisserais pas repartir encore une fois.
Commenter  J’apprécie          20
- Est-ce que tu ressens parfois le manque de quelque chose ?
Perry souria.
- Toi. Constamment.
Commenter  J’apprécie          20
Il lui avait confié que l'amour ressemblait aux vagues de la mer, tantôt douces et paisibles, tantôt tumultueuses et violentes. Mais que c'était un sentiment éternel, plus puissant que le ciel et la terre, et tout ce qui existait entre les deux.
Commenter  J’apprécie          20
Tu sais ce que je pense des mots.
- Les mots sont le meilleur moyen dont je dispose pour te connaître.
Commenter  J’apprécie          20
"Il l'embrassa tendrement. Ralentit le moindre de ses gestes, afin de pouvoir suivre son humaur et la dévorer des yeux. Lorsqu'ils ne furent plus qu'un, le parfum d'Aria exhalait le courage, la force et la certitude. Perry laissa ses sensations à elle l'envahir, respira son souffle, tout ce qu'elle éprouvait. Il n'avait jamais rien connu d'aussi juste."
Commenter  J’apprécie          20
Je dois te parler d'autre chose, Aria. De quelque chose que tu voulais savoir depuis si longtemps. Mon travail. (Lumina eut de nouveau un sourire fugace.) Tu dois être ravie d'entendre ça. Je dois commencer par les Domaines. Le CAC les a créés pour nous donner une illusion d'espace quand nous avons été forcés de rejoindre les Capsules, au moment de l'Unification. Comme tu le sais, les domaines étaient uniquement destinés à reproduire le monde que nous laissions derrière nous, mais les possibilités offertes se sont révélées bien trop séduisantes pour ne pas les exploiter. Si bien que nous nous sommes offert la faculté de voler. De voyager d'une montagne enneigée à une plage tropicale, uniquement par la pensée. Et pourquoi ressentir la douleur quand on peut s'en dispenser ? Pourquoi subir tout le poids d'une peur bien tangible, si on ne risque absolument pas de se faire mal ? Nous avons amplifié tout ce que nous jugions bon et retiré le mauvais. Ce sont les Domaines tels que tu les connais. Plus vrai que nature, selon l'expression consacrée.
Commenter  J’apprécie          20
Aria :
"Ils appelaient le monde qui se trouvait au-delà de l'enceinte de la Capsule l'«Usine de la Mort». On pouvait y mourir de mille et une façons. Aria n'aurait jamais cru s'en approcher un jour d'aussi près.
Elle se mordit les lèvres en contemplant la lourde porte métallique qui se dressait devant elle. Un écran numérique affichait en lettres rouge fluo : AGRICULTURE 6 -DÉFENSE D'ENTRER.
«AG 6 n'est qu'un dôme de maintenance, rien de plus», se dit Aria. Des dizaines d'autres dômes alimentaient Rêverie en nourriture, en eau, en oxygène... tout ce dont une cité sous cloche avait besoin. Une récente tempête avait endommagé AG 6 mais, apparemment, les dégâts n'étaient pas importants. Apparemment.
- On devrait peut-être faire demi-tour, dit Paisley. Debout près d'Aria dans le sas de décompression, elle tripotait nerveusement une mèche de ses longs cheveux roux.
Accroupis près de la porte, devant le panneau de contrôle, les trois garçons brouillaient le signal, afin de pouvoir sortir sans déclencher l'alarme. Ils n'arrêtaient pas de se chamailler.
- Calme-toi, Paisley, répondit Aria. Qu'est-ce qu'on risque de si terrible ?
Elle voulait avoir l'air détachée, mais sa voix était un peu trop haut perchée, aussi conclut-elle sa phrase par un petit rire.
- Qu'est-ce qu'on risque sous un dôme abîmé ? répliqua Paisley en comptant sur ses doigts. D'avoir la peau qui pourrit. De se retrouver enfermés à l'extérieur. D'être transformés en viande grillée par une tempête d'Ether. Et d'être mangés par les cannibales en guise de petit déjeuner.
- C'est juste un autre secteur de Rêverie, insista Aria.
- Un secteur interdit.
- Tu n'es pas obligée d'y aller. -Toi non plus, rétorqua Paisley.
Elle avait tort. Depuis cinq jours, Aria s'inquiétait beaucoup au sujet de sa mère. Pourquoi Lumina avait-elle rompu le contact ? Elle ne manquait jamais leur rencontre quotidienne d'habitude, même quand ses recherches médicales occupaient tout son temps. Si Aria voulait des informations, il lui fallait pénétrer sous ce dôme.
- Pour la centième... attends, la millième fois, je vous répète qu'AG 6 ne présente aucun danger, déclara Soren sans se détourner du panneau de contrôle. Vous croyez que j'ai envie de mourir ce soir ?
Il marquait un point. Soren s'aimait trop pour risquer sa vie. Le regard d'Aria s'attarda sur le dos musclé du garçon. Soren était le fils du Directeur de la Sécurité de Rêverie. Il avait une peau dont seuls pouvaient se vanter les privilégiés. Il était même bronzé, un avantage ridicule dans la mesure où aucun d'entre eux n'avait jamais vu le soleil. En outre, c'était un génie du décryptage.
À ses côtés, Bane et Echo le regardaient faire. Les deux frères le suivaient partout. Dans les Domaines, Soren avait des centaines d'admirateurs, mais ce soir, ils n'étaient que cinq à partager l'espace confiné du sas de décompression avec lui. Cinq à transgresser la loi.
Soren se redressa et afficha un petit sourire insolent."
Commenter  J’apprécie          10
" Une erreur. Tel était le mot de Reef avait employé. Avait-il raison ?
- Je devrais peut-être m'en aller.
- Non... reste.
Perry s'avança et lui prit la main.
- Oublie ce qu'il a dit. Il a un sacré caractère. Encore pire que le mien.
Aria leva les yeux vers lui.
- Pire ?
Il esquissa ce petit sourire en coin qui lui avait tant manqué.
- Presque, rectifia-t-il, soudain plus sérieux. Je ne suis pas venu pour te voir une seule nuit, ni pour te proposer mon aide. Je suis ici parce que j'ai envie d'être avec toi. Il s'écroulera peut-être des semaines avant le dégel du Passage du Nord. Nous attendrons, puis nous chercherons ensemble le Calme Bleu.
Il s'interrompit et la fixa avec intensité.
- Reviens avec moi, Aria. Reste avec moi.
Commenter  J’apprécie          10
Il n'en revenait pas qu'elle soit là. Aria ignorait à quel point que son seul parfum le ramenait à la vie.
Commenter  J’apprécie          10
-J'ai quel âge, d'après toi, la Sédentaire?
- Je ne suis pas très douée question fossiles. Je dirais.....entre cinquante et soixante mille ans.
-Dix-huit ans.
Commenter  J’apprécie          10
Les paroles d’une chanson maintes fois répétées lui revinrent en mémoire.
-« L’amour est un oiseau rebelle que nul ne peut apprivoiser…, » cita-t-elle. C’est tiré d’un opéra appelé Carmen.
Commenter  J’apprécie          10
- Tu peux pleurer, si tu veux, dit Roar à Aria après le départ de Perry.
Il croisa les bras. Dans la pénombre, elle discernait le reflet de la bouteille de Luisant qu'il tenait au creux du coude.
- J'irais même jusqu'à t'offrir mon épaule au besoin.
- Je n'ai pas envie de pleurer, se défendit-elle. J'ai envie de lui faire du mal.
- J'ai tout de suite su que tu me plairais, plaisanta Roar.
Commenter  J’apprécie          10
- Ferme-la, Cinder, lui ordonna Roar.
- Et comment je mange si j'ai la bouche fermée ?
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Veronica Rossi (1110)Voir plus

Quiz Voir plus

Never Sky, Tome 1

Comment se nomment les deux personnages principaux ?

Talon et Aria
Peregrine et Aria
Roar et Aria
Il n'y a qu'un seul personnage principale !

15 questions
39 lecteurs ont répondu
Thème : Never Sky de Veronica RossiCréer un quiz sur cet auteur

{* *}