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Citations de Wolfgang Amadeus Mozart (197)


Maintenant, je vais vous donner une nouvelle, que vous savez peut-être déjà, c'est que l'impie, le maître fourbe Voltaire est crevé, pour ainsi dire, comme un chien, comme une brute... Voilà sa récompense !
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Je reviens du "Concert Spirituel". Le baron Grimm et moi donnons souvent un libre cours à notre indignation musicale contre la musique d'ici ; N.B. entre nous, car en public ce sont des "Bravo, bravissimo !" et des applaudissements au point que les doigts vous brûlent. "Ce qui me vexe le plus dans l'affaire, c'est que messieurs les Français n'ont amélioré leur goût que pour pouvoir maintenant écouter aussi ce qui est bon. Si, du moins ils reconnaissaient que leur musique est mauvaise !... ah ! ma foi !... et le chant !... oimè ! Encore si aucune Française ne chantait d'italien, je lui pardonnerais ses criailleries françaises ! mais gâter de la bonne musique... c'est insoutenable !"
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Wolfgang Amadeus Mozart
Lettre de Mozart à son père malade (avril 1787)

« J’apprends maintenant que vous êtes vraiment malade. Je n’ai pas besoin de vous dire avec quelle impatience j’attends une nouvelle rassurante de votre propre plume ; et je l’espère aussi fermement — bien que je me sois habitué à imaginer toujours le pire en toutes circonstances. Comme la mort (si l’on considère bien les choses) est l’ultime étape de notre vie, je me suis familiarisé depuis quelques années avec ce véritable et meilleur ami de l’homme, de sorte que son image non seulement n’a pour moi plus rien d’effrayant, mais est plutôt quelque chose de rassurant et de consolateur ! Et je remercie mon Dieu de m’avoir accordé le bonheur (vous me comprenez) de le découvrir comme clé de notre véritable félicité. Je ne vais pas jamais me coucher sans penser (quel que soit mon jeune âge) que je ne serai peut-être plus le lendemain — et personne parmi tous ceux qui me connaissent ne peut dire que je sois d’un naturel chagrin ou triste. Pour cette félicité, je remercie tous les jours mon Créateur et la souhaite de tout coeur à tous mes semblables. Dans ma lettre, je vous exposais ma manière de penser sur ce point (à l’occasion de la triste disparition de mon excellent ami le comte von Hatzfeld), il avait tout juste trente et un ans comme moi ; ce n’est pas lui que je plains, mais plutôt, et cordialement, moi et tous ceux qui le connaissaient aussi bien que moi. J’espère et souhaite que vous alliez mieux au moment où j’écris ces lignes ; si contre toute attente vous n’alliez pas mieux, je vous prie par... de ne pas me le cacher et de m’écrire, ou de me faire écrire, la vérité pure, afin que je puisse aller me blottir dans vos bras, aussi rapidement qu’il serait humainement possible ; je vous en prie par tout ce qui — nous est sacré. »
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Je ne peux écrire poétiquement, je ne suis pas poète. Je ne saurais manier les formules assez artistiquement pour qu'elles fassent jouer les ombres et les lumières, je ne suis pas peintre. Je ne peux non plus exprimer mes sentiments et mes pensées par des gestes et par de la pantomime, je ne suis pas danseur. Mais je le peux grâce aux sons, je suis Musikus.
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A sa cousine Maria Anna, dont il est follement amoureux : Je vous baise vos mains, votre visage, vos genoux et votre... enfin, tout ce que vous permettez de baiser.
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Si seulement cette maudite langue française n'était pas si misérable pour la musique ! C'est quelque chose de pitoyable ! la langue allemande est divine à côté !... Et puis, d'abord les chanteurs et les chanteuses !... on ne devrait pas du tout les nommer ainsi, car ils ne chantent pas, ils crient, ils hurlent à plein gosier, du nez et de la gorge.
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Ce qui me vexe le plus, c'est que ces stupides Français croient que je n'ai toujours que sept ans parce qu'ils m'ont vu à cet âge-là. C'est parfaitement vrai ; Mme d'Épinay me l'a dit très sérieusement. Dès lors on me traite ici comme un débutant, excepté les musiciens, qui pensent différemment... mais c'est la foule qui fait tout !
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Vienne, le 17 Juillet 1789

Vous êtes sûrement fâché contre moi, puisque vous ne me donnez pas de réponse. Si je mets en regard mes requêtes, je reconnais que vous avez raison. Mais si je considère mes malheurs (dont je ne suis pas responsable) et votre amitié à mon égard, j’estime aussi mériter des excuses...
Comme je vous ai écrit dans ma dernière lettre, mon cher ami, tout ce que j’avais sur le coeur avec grande franchise, je ne pourrais que me répéter aujourd’hui...
Je vous implore, s’il vous est absolument impossible de me prêter une telle somme de me soutenir bien vite par tout ce que vous pourrez vous démunir.
Vous ne pouvez douter de ma loyauté, vous me connaissez trop bien. Vous ne pouvez douter de mes paroles, de ma conduite, car vous connaissez ma manière de vivre et mes agissements...
Si vous pouvez et voulez m’aider, je vous en remercierais comme mon sauveur même au-delà de la tombe, sinon, au nom de Dieu, je vous implore de m’accorder un recours immédiat selon votre bon vouloir, ou encore un conseil ou une consolation...
A jamais votre serviteur très obligé.

PS :
Ma femme était hier à nouveau dans un état misérable. Aujourd’hui, Dieu merci, elle va un peu mieux, après la pose de sangsues. Que je suis malheureux ! Sans cesse entre l’angoisse et l’espoir.

Note de Puchberg :

Le 17 juillet 1789, le même jour, répondu et envoyé 150 F.
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Lettres à Puchberg

A Johann Michael Puchberg, à Vienne, le 12 Juillet 1789

Très cher excellent ami et très honorable FR. !

Dieu, je suis dans une situation que je ne souhaite pas à mon pire ennemi et si vous, mon meilleur ami et Frère m’abandonnez, je suis perdu, hélas, et sans rien y pouvoir, ainsi que ma pauvre femme malade et mon enfant.
Déjà, lors de ma dernière visite, je voulais épancher mon coeur, mais je n’en ai pas eu le courage ! Et ne l’aurais toujours pas, ce n’est qu’en tremblant que j’ose le faire par écrit, car je sais que vous me connaissez, que vous êtes au courant de ma situation et tout à fait convaincu de mon innocence en ce qui concerne ma malheureuse et extrêmement triste situation.
Mon Dieu ! Au lieu de vous remercier, je viens à vous avec de nouvelles prières ! Au lieu de vous rembourser, avec une nouvelle requête !
Si vous connaissez à fond mon coeur, il est certain que vous ressentez ma douleur...
Et je n’ai pas besoin de vous rappeler comme cette malheureuse maladie m’a freiné dans tous mes bénéfices.
Mais je dois vous dire que malgré ma situation misérable, je me suis tout de même décidé à donner des académies par souscription mais cela non plus ne me réussit pas.
Le destin m’est malheureusement si néfaste, mais seulement à Vienne, que je ne peux rien gagner même si je le veux. J’ai fait circule une liste pendant 15 jours et il ne se trouve que le nom de van Swieten.
Il me semble maintenant (le 13) que ma petite femme se remet, je pourrais au moins travailler à nouveau si ce nouveau coup du sort ne venait s’y ajouter. Hier soir, elle m’a à nouveau affolé et désespéré, tant elle souffrait, et moi avec elle...
Dans quelques mois, mon sort doit être également fixé dans l’affaire que vous savez ; Vous ne risquez donc rien avec moi en me prêtant 500 FL.
Si vous voulez ou vous le pouvez, je vous propose de vous rembourser 10 Fl par mois, jusqu’à conclusion de mon affaire. Ensuite, de vous rendre l’intégralité de la somme avec les intérêts que vous voudrez et de me déclarer mon débiteur tout au long de ma vie. Jamais je ne serais en mesure de vous remercier suffisamment de votre amitié.
Dieu merci, c’est fait, vous savez tout, maintenant. Ne m’en veuillez pas pour ma confiance et songez que sans votre aide, l’honneur, la paix et peut-être la vie de votre Frère et ami sont anéantis.

*

A la maison, le 14 juillet 1789

Ah Dieu ! Je n’arrive pas à me décider à expédier cette lettre. Et pourtant, cela doit être !
Si je n’avais pas été atteint par ce mal, je n’aurais pas été si impudent avec mon meilleur ami ! Et pourtant, j’espère que vous me pardonnez, puisque vous connaissez le bon et le mauvais côté de ma situation...
Adieu ! Pardonnez-moi, pour l’amour de Dieu. Pardonnez-moi seulement... et — Adieu ! ....
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Wolfgang Amadeus Mozart
« Vous connaissez mon extrême désir d’écrire des opéras. Je suis jaloux de quiconque en
compose ; je voudrais pleurer de joie quand j’entends et que je vois chanter une aria.Le désir d'écrire des opéras est mon idée fixe.»

2 février 1778
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Wolfgang Amadeus Mozart
« Il suffit que j’entende parler d’un opéra, il suffit que je sois au théâtre afin d’y entendre
chanter pour que, alors, je sois déjà tout hors de moi !»
11 octobre 1777
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Vienne, 14 octobre 1791.

Très chère, meilleure femme!

Hier, jeudi 13, Hofer m'a emmené voir Karl. Nous en avons mangé, puis nous sommes entrés. A six heures, je ramassai Salieri et les Cavalieri en voiture et les conduisis dans la loge; puis j'allai vite chercher maman et Karl, qui étaient entre-temps partis avec Hofer. Vous ne pouvez pas croire à quel point ils étaient tous les deux, à quel point ils ont non seulement aimé ma musique, mais aussi le livre et tout ensemble. Ils ont tous deux dit que c'était un opéron digne d'être joué au plus grand festival devant le plus grand monarque, et ils le verraient certainement très souvent, alors ils n'ont jamais vu un spectacle plus beau et plus agréable. Il écoutait et regardait avec toute l'attention, et de la symphonie au dernier refrain, il n'y avait pas un morceau qui n'ait suscité de lui un Bravo ou un Bello; et ils pourraient difficilement être finis pour me remercier de cette faveur. Vous étiez toujours enclin à aller à l'opéra hier. Mais vous auriez dû y être à quatre heures; mais ensuite ils virent et entendirent calmement. Après le théâtre, je l'ai fait ramener à la maison et j'ai dîné avec Karln chez Hofer. Puis je suis allé avec luià la maison, où nous avons tous les deux dormi à merveille. J'ai donné à Karl pas un petit plaisir que je l'ai pris à l'opéra. Il a l'air charmant; Il ne pouvait pas avoir de meilleur endroit pour sa santé, mais le reste est malheureusement misérable! Puissent-ils élever un bon fermier dans le monde! mais - Assez, parce que les grandes études (que Dieu ait pitié!) ne commencent que le lundi, que Karl a prié jusqu'au dimanche après le dîner; J'ai dit que tu aimerais le voir. Demain, dimanche, je viendrai te voir avec lui, alors tu pourras le garder, ou je le ramènerai au dîner de Hecker dimanche. Pensez-y, ça ne peut pas être gâché pendant un mois, je pense. Pendant ce temps, l'histoire peut survenir à cause des piaristes, sur lesquels on travaille vraiment. Au fait, il n'est pas pire mais pas mieux qu'il ne l'a toujours été; il a la même colère, aime babiller comme d'habitude et aime presque encore moins apprendre, car il ne se promène dans le jardin que cinq heures le matin et cinq heures après le dîner, comme il me l'a dit lui-même; en un mot, les enfants ne font rien, rien du tout mais mangent, boivent, dorment et se promènent ...
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Très chère, meilleure femme!

Hier, jeudi 13, Hofer m'a emmené voir Karl. Nous en avons mangé, puis nous sommes entrés. A six heures, je ramassai Salieri et les Cavalieri en voiture et les conduisis dans la loge; puis j'allai vite chercher maman et Karl, qui étaient entre-temps partis avec Hofer. Vous ne pouvez pas croire à quel point ils étaient tous les deux, à quel point ils ont non seulement aimé ma musique, mais aussi le livre et tout ensemble. Ils ont tous deux dit que c'était un opéron digne d'être joué au plus grand festival devant le plus grand monarque, et ils le verraient certainement très souvent, alors ils n'ont jamais vu un spectacle plus beau et plus agréable. Il écoutait et regardait avec toute l'attention, et de la symphonie au dernier refrain, il n'y avait pas un morceau qui n'ait suscité de lui un Bravo ou un Bello; et ils pourraient difficilement être finis pour me remercier de cette faveur. Vous étiez toujours enclin à aller à l'opéra hier. Mais vous auriez dû y être à quatre heures; mais ensuite ils virent et entendirent calmement. Après le théâtre, je l'ai fait ramener à la maison et j'ai dîné avec Karln chez Hofer. Puis je suis allé avec luià la maison, où nous avons tous les deux dormi à merveille. J'ai donné à Karl pas un petit plaisir que je l'ai pris à l'opéra. Il a l'air charmant; Il ne pouvait pas avoir de meilleur endroit pour sa santé, mais le reste est malheureusement misérable! Puissent-ils élever un bon fermier dans le monde! mais - Assez, parce que les grandes études (que Dieu ait pitié!) ne commencent que le lundi, que Karl a prié jusqu'au dimanche après le dîner; J'ai dit que tu aimerais le voir. Demain, dimanche, je viendrai te voir avec lui, alors tu pourras le garder, ou je le ramènerai au dîner de Hecker dimanche. Pensez-y, ça ne peut pas être gâché pendant un mois, je pense. Pendant ce temps, l'histoire peut survenir à cause des piaristes, sur lesquels on travaille vraiment. Au fait, il n'est pas pire mais pas mieux qu'il ne l'a toujours été; il a la même colère, aime babiller comme d'habitude et aime presque encore moins apprendre, car il ne se promène dans le jardin que cinq heures le matin et cinq heures après le dîner, comme il me l'a dit lui-même; en un mot, les enfants ne font rien, rien du tout mais mangent, boivent, dorment et se promènent ...
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[Vienne, 8 octobre 1791.]

Les samedis à dix heures et demie.

Très chère, meilleure femme!

De retour de l'Opéra, j'ai trouvé votre lettre avec le plus grand plaisir et la plus grande joie. L'opéra, bien que samedi soit toujours une mauvaise journée à cause du Post Day, a été mis en scène avec un théâtre complet avec les applaudissements et les répétitions habituels. Il sera toujours donné demain, mais lundi sera suspendu; par conséquent Sussmayr doit apporter le Stoll Tuesday, où il est remis pour la première fois; Je dis pour la première fois car il sera probablement donné plusieurs fois de suite. Maintenant j'ai un morceau de lapin précieuxpris au corps, ce que le Primus (qui est mon fidèle valet de chambre) m'a apporté, et comme mon appétit est un peu fort aujourd'hui, je l'ai renvoyé pour m'apporter quelque chose si c'était possible. En attendant, je continuerai à vous écrire. Ce matin, j'ai écrit avec tant de diligence que j'étais en retard jusqu'à une heure et demie, alors je me suis précipité au Hofer (pour ne pas manger seul), où j'ai rencontré maman aussi. Immédiatement après le dîner, je suis rentré chez moi et j'ai écrit jusqu'à la saison de l'opéra. Leitgeb m'a demandé de le ramener, et c'est ce que j'ai fait. Demain, j'accueillerai maman; Hofer lui avait donné le livre à lire au préalable. Avec maman, on dira qu'elle regarde l'opéra, mais non, elle écoute l'opéra.

... avait une boîte aujourd'hui, ils ont tout applaudi beaucoup, mais lui, l'ennemi de tous, a tellement montré aux Bavarois que je ne pouvais pas rester, ou j'aurais dû l'appeler un âne. Malheureusement, j'étais à l'intérieur lorsque le deuxième acte a commencé, d'où la scène solennelle. Il a ri de tout. Au début, j'étais patient pour vouloir attirer son attention sur quelques passages, mais il se moquait de tout; maintenant, attendez trop pour moi, je l'appellerai Papageno et m'en irai; mais je ne pense pas que le Dalk l'ait compris. Alors je suis allé dans une autre boîte où Flamm était avec sa femme; puis j'ai tout eu et j'y suis resté jusqu'à la fin. Maintenant, je suis allé au théâtre de l'Aria des Papageno avec le carillon parce qu'aujourd'hui j'ai eu envie de le jouer moi-même. je m'amusais partout où Schikaneder a une attitude, j'ai fait un arpège; il a eu peur, a regardé la scène et m'a vu; la deuxième fois, je ne l'ai pas fait; maintenant il s'est arrêté et ne voulait pas aller plus loin, j'ai deviné sonPensé et fait un autre accord, puis il a frappé le carillon et a dit "Tais-toi"; tout le monde a ri alors. Je pense que c'est grâce à ce plaisir que beaucoup ont découvert pour la première fois qu'il n'avait pas frappé l'instrument lui-même. Soit dit en passant, on ne peut pas croire à quel point la musique est charmante dans une boîte proche de l'orchestre, bien meilleure que dans la galerie. Dès votre retour, vous devez essayer ...

L'heure sonne. Au revoir Nous nous rencontrerons à nouveau!
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Vienne, 8 juillet 1791.

Très chère, meilleure femme!

J'ai bien reçu votre lettre du 7 avec le reçu pour le bon paiement; seulement j'aurais souhaité, pour votre bien, que vous ayez fait signer un témoin, alors si ... ne veut pas être honnête, il peut encore vous causer des inconvénients aujourd'hui ou demain en ce qui concerne l'authenticité et le poids. Puisqu'il n'y a qu'une gifle au visage , il peut de manière inattendue vous envoyer une réclamation légale pour une gifle grossière ou efficace voire aggio au visage , que voulez-vous faire alors? Le paiement doit alors être effectué immédiatement, si souvent on ne peut pas! Mon conseil serait de vous comparer à l'amiable avec votre adversaire et de lui donner quelques bruts, trois bons et un aggioDonner plusieurs gifles au visage, juste au cas où il ne serait pas satisfait; alors je dis que tout peut être fait avec de bonnes choses. Un comportement généreux et doux a souvent réconcilié les pires ennemis, et si vous ne pouviez pas prendre en charge l'intégralité du paiement, vous en êtes au courant; Je ne doute pas que si vous le demandez, A. prendra en charge le paiement en espèces, sinon en totalité, du moins en partie.

Très chère femme, j'espère que vous aurez bien reçu ma lettre d'hier; maintenant le temps, le temps heureux de nos retrouvailles, approche. AvoirLa patience; remontez-vous le plus possible. Vous m'avez complètement abattu avec votre lettre d'hier, de sorte que j'ai failli me résoudre à nouveau à sortir sans avoir fait mon truc; et que pourrions-nous en retirer? qu'il faudrait que je revienne tout de suite, ou qu'au lieu d'être heureux, je devrais vivre dans la peur! Dans quelques jours, l'histoire doit se terminer. B. m'a promis trop sérieusement et solennellement; alors je serai avec toi dans un instant, mais si tu veux, je t'enverrai l'argent dont tu as besoin, tu paies tout et entre. Cela me convient certainement; seulement je trouve que se baigner dans ces beaux moments peut encore être très agréable pour vous et utile pour votre santé, en termes de belles promenades. Vous devez ressentir cela le mieux; si vous trouvez que votre air et votre agitation fonctionnent bien, restez-y; Je viens alors Pour venir vous chercher ou rester plusieurs jours, si vous le souhaitez; ou, comme je l'ai dit, si vous voulez, vous pouvez venir demain; écrivez-moi sincèrement ...
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Vienne, 25 juin 1791.

Ma très chère épouse !

Votre lettre recevra ce moment qui m'a fait un plaisir extraordinaire. Maintenant j'en ai déjà envie une seconde, pour entendre comment la salle de bain vous a frappé; Je regrette aussi de ne pas avoir écouté ta belle musique d'hier, maispas à cause de la musique, mais parce qu'alors j'aurais été si heureux d'être avec toi. Aujourd'hui, je lui ai fait ... une surprise: je suis d'abord allé au Rehbergschen, puis la femme a envoyé une fille pour lui dire qu'une bonne vieille connaissance de Rome était là, qu'il était sorti de chez lui et qu'il ne l'avait pas peuvent trouver! Il a renvoyé, je voudrais juste attendre un peu que le pauvre fou était allongé comme un dimanche, la plus belle robe, et magnifiquement coiffée! Vous pouvez imaginer comment nous nous sommes moqués de lui alors. Je dois toujours avoir un imbécile: n'est-ce pas ... non, c'est comme ça ... Où j'ai dormi? à la maison, bien sûr. J'ai très bien dormi, seules les souris me tenaient compagnie, j'ai eu une bonne discussion avec elles. J'étais debout avant cinq heures. En parlant de cela, je ne vous conseille pas d'aller au bureau demain, les paysans sont trop grossiers pour moi; bien sûr, vous avez un partenaire difficile, mais les agriculteurs n'ont aucun respect pour lui,perdent respectum , car vous pouvez dire tout de suite qu'il est un album.

Sussmayr répondra verbalement, je suis désolé pour le papier.

Laissez le Krügel ou le Klügel vous dire que vous vous demandez un meilleur repas: si vous pouvez lui parler vous-même en passant, c'est encore mieux. Sinon, c'est une bonne personne et il a du respect pour moi. Demain j'irai avec la procession à Josephstadt avec une bougie à la main!

N'oubliez pas mes avertissements sur l'air du matin et du soir, sur le bain trop long, etc. ...

PS . Ce serait bien si vous donniez un peu de rhubarbe à Karl.

Pourquoi ne m'avez-vous pas envoyé la grande lettre? Voici une lettre pour lui: demandez-moi une réponse. Attrapez, attrapez - bs - bs - bs - bs - des bus bruyants volent dans les airs pour vous; bs - il y a un autre idiot. Le moment, prenez votre deuxième. Ne faites pas confiance à la salle de bain! dormir plus aussi, pas si salissant! sinon j'ai peur, j'ai un peu peur. Adieu.
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[Munich, 2 novembre 1790.]

Très chère, meilleure petite salope!

Ce qui me fait mal de devoir attendre Linz pour avoir des nouvelles de vous, vous ne pouvez pas y croire. La patience! si vous ne savez pas combien de temps vous resterez au même endroit, vous pouvez aussine faites pas de meilleurs arrangements. Je ne voulais rester ici que pour un jour (peu importe combien de temps je voudrais rester avec mes vieux amis de Mannheim); mais maintenant je dois rester jusqu'au 5 ou 6, car l'électeur m'a demandé d'aller à l'académie à cause du roi de Naples. C'est vraiment une distinction. Un bel honneur pour la cour viennoise que le roi m'entende en pays étranger! Que je suis avec le Canabichschen, la bonneRamm, Marchand et Borchard sont bien amusés et on parle beaucoup de vous, ma chère, vous pouvez l'imaginer. J'ai hâte de vous, alors j'ai beaucoup à vous parler. J'ai l'intention de faire cette tournée avec vous à la fin de l'été futur, ma chère, pour que vous puissiez essayer un autre bain; Le divertissement, le mouvement et le changement d'air vous feront également du bien, car ils me frappent à merveille; J'ai vraiment hâte d'y être et tout le monde est content.

Pardonnez-moi si je ne vous écris pas autant que je voudrais; Mais vous ne pouvez pas imaginer ce que ça fait de moi. Maintenant, je dois aller à Cannabich, puis mon concert sera essayé. Adieu, chère femme! D'après mes calculs, je ne peux espérer de réponse à cette lettre. Au revoir mon amour Je t'embrasse un million de fois et je suis pour toujours ton Mozart qui t'aime jusqu'à la mort. Mozart.
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Francfort a. M., 30 septembre 1790.

Très chère femme!

Si seulement j'avais une lettre de vous, tout irait bien. J'espère. Vous aurez reçu ma lettre d'Efferding et celle de Francfort. Dans ma dernière, je vous ai écrit que vous devriez parler au ....; Pour être prudent, je serais très heureux si je payais deux mille Fl. pourrait obtenir; Mais vous devez avancer une autre cause, à savoir que j'avais une spéculation dans ma tête dont vous ne seriez pas au courant. Ma chère, je ferai certainement quelque chose ici; Mais ce ne sera certainement pas aussi grand que vous et divers amis l'imaginez. Je suis bien connu et respecté ici, c'est sûr. Eh bien, nous voulons voir. En tout cas, j'adore jouer en toute sécurité, c'est pourquoi j'aimerais çaFaire des affaires avec Hoffmeister parce que ça me donne de l'argent et que je n'ai pas le droit de payer quoi que ce soit, mais juste travailler, et je veux faire ça pour le bien de ma femme. Où pensez-vous que j'habite? chez Bohm's dans la même maison, Hofer aussi. Nous payons trente fl. le mois, et c'est encore très peu; nous allons aussi dîner avec eux, qui pensez-vous que j'ai rencontré ici? La fille qui jouait si souvent à cache-cache avec nous dans l'œil de Dieu: Buchner, je crois, était son nom; son nom est maintenant Madame Porsch et est marié pour la deuxième fois. Elle m'a demandé de vous écrire tout ce qui est gentil à son sujet.

Puisque je ne sais pas si vous êtes à Vienne ou à Baden, j'adresse à nouveau cette lettre au Hofer. J'ai hâte de vous revenir comme un enfant; si les gens pouvaient voir dans mon cœur, j'aurais presque honte; tout est froid pour moi, glacial Oui, si vous étiez avec moi, je pourrais trouver plus de plaisir dans le comportement poli des gens envers moi; donc c'est tellement vide. Au revoir mon amour! Je suis pour toujours votre Mozart, qui vous aime de toute son âme.

PS Lorsque j'écrivais la page précédente, beaucoup de larmes sont tombées sur mon papier; mais maintenant drôle! rattraper! étonnamment, de nombreux bus volent. Quel diable! Je vois aussi beaucoup. Ha! Ha! J'en ai attrapé trois, ils sont précieux! ...
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Francfort a. M., 28 septembre 1790.

Très chère, meilleure petite salope!

Nous arrivons à ce moment, il est une heure de l'après-midi, donc nous n'avons eu besoin que de six jours. Nous aurions pu rendre le voyage encore plus rapide si nous ne nous étions pas reposés un peu trois fois par nuit. Pendant ce temps, nous sommes restés dans une auberge dans la banlieue de Sachsenhausen, heureux à mort d'avoir une chambre. Maintenant, nous ne savons toujours pas notre destin, si nous resterons ensemble ou si nous serons séparés. Si je n'ai pas de chambre gratuite nulle part, et si je ne trouve pas les auberges trop chères, je resterai en sécurité. J'espère que vous avez bien reçu ma lettre d'Efferding; Je ne pouvais plus vous écrire en chemin car nous ne restions que rarement et très longtemps pour nous taire. Le voyage a été très agréable; nous avons eu du beau temps sauf un jour, et cette seule journée ne nous a pas causé de gêne car ma voiture (je veux lui donner un bisou) est magnifique. À Ratisbonne, nous avons dîné à merveille pour le déjeuner, avons eu de la musique de table divine, des animations anglaises et un merveilleux vin de Mosler. Nous avons pris le petit déjeuner à Würzburg, une ville laide! À Nuremberg, nous avons renforcé nos chers estomacs avec du café, une ville magnifique et splendide! La consommation était très pénible partout, à seulement deux postes et demi d'ici à Aschaffenburg, le propriétaire aimait nous salir misérablement. je À Nuremberg, nous avons renforcé nos chers estomacs avec du café, une ville magnifique et splendide! La consommation était très pénible partout, à seulement deux postes et demi d'ici à Aschaffenburg, le propriétaire aimait nous salir misérablement. je À Nuremberg, nous avons renforcé nos chers estomacs avec du café, une ville magnifique et splendide! La consommation était très pénible partout, à seulement deux postes et demi d'ici à Aschaffenburg, le propriétaire aimait nous salir misérablement. jeattendons avec impatience des nouvelles de vous, de votre santé, de notre situation, etc. Maintenant, je suis fermement déterminé à faire mes affaires ici du mieux possible, et ensuite j'ai hâte de vous revoir. Quelle vie merveilleuse nous voulons mener! Je veux travailler, travailler comme ça, pour que des coïncidences inattendues ne me mettent plus dans une situation aussi fatale. Je vous serais reconnaissant de laisser le Stadler ... vous parler de tout. Sa dernière proposition était que quelqu'un donne de l'argent sur le Hoffmeister son Giro seul, mille Fl. en espèces et le reste en tissu; ainsi tout pouvait encore être payé avec un surplus, et à mon retour je ne pouvais rien faire d'autre que travailler. À travers une carta biancade moi, tout pourrait être écarté par un ami. Adieu, je t'embrasse mille fois.

Pour toujours votre Mozart.
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[Vienne, mai 1790.]

Je suis si audacieux, Ew. De demander à Votre Altesse Royale en toute révérence d'intercéder très gracieusement auprès de Sa Majesté le Roi au sujet de ma très humble demande au Très-Haut. Le zèle pour la renommée, l'amour du travail et la conviction de mes connaissances signifient que j'ose (tout m'incite) à demander un deuxième poste en tant que Kapellmeister, d'autant plus que le très habile Kapellmeister Salieri ne s'est jamais consacré au style d'église, mais j'y suis depuis ma jeunesse. J'ai fait mon propre style. La petite renommée que le monde m'a donnée à cause de mon jeu au pianoforte m'encourage aussi à demander la grâce de me confier gracieusement la famille royale pour des cours de musique.

Complètement convaincu que je suis le plus digne et S'étant tourné vers un médiateur (patron) particulièrement gracieux pour moi, je vis dans la meilleure confiance et je m'efforcerai certainement (j'espère aussi tout, et je suis toujours prêt à démontrer par l'activité, le zèle, la loyauté et la droiture) ...
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