Yann Dégruel

Quelque chose dans la couverture a tout de suite attirée mon oeil. Le dessin inspire à la rêverie et au voyage. En effet, le nom de Genz Gys Khan évoque le nom de Gengis Khan et la Mongolie. Les couleurs terres me font penser à ces grands paysages désertiques avec des yourtes. Et quand, j'ai tourné les premières pages, je n'ai pas été déçue par le magnifique univers graphique qui m'est proposé.



Le fond de page est marron clair. Ainsi les dessins surtout avec du bleu ressortent plus de la page. Le crayonné est vraiment étonnant et c'est un régal pour les yeux. En plus, l'histoire est toute mignonne. Trois amis,  Genz Gys et Khan veulent monter sur le dos d'un cheval sauvage. Mais ce dernier ne se laisse pas faire. Genz et Khan vont tombés. Gys va rester sur le cheval qui va partir au galop. Les deux perdants vont alors aller se plaindre à leur grand-mère en disant que Gys les a laissé tomber. C'est plutôt leur égo qui en a pris un coup. Normal pour des jeunes enfants.



Pendant ce temps, Gys tient le cheval qui va s'emballer. Il se calmera uniquement que quand des loups vont l'entourer. Par chance, le petit gamin à de la suite dans les idées et va trouver une solution. Ainsi l'homme et l'animal vont devenir amis. Et comme, c'est un chic gamin, il va le présenter à ces potes. C'est tout gentil et mignon tout plein. Même s'il faut rappeler aux enfants qu'il ne faut pas faire de feu dans un espace vert. Tout est assez adorable pour aiguiser ma curiosité. Comme le tome fini avec la queue d'un renard bleu qui a pris feu, je pense qu'on va retrouver dans le tome d'après. J'ai hâte de lire la suite alors. 
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Des illustrations magnifiques, très peu de texte. Le petit Gys, enfant mongol, se retrouve seul sur le dos d'un cheval sauvage, après qu'il ait réussi à faire tomber Genz et Khan. Après avoir galopé jusqu'au bout du jour, le cheval et son cavalier se retrouvent entourés d'animaux sauvages. Grâce à son touffou, chapeau hérité de son grand-père, le petit garçon va réussir à les protéger jusqu'à l'aube...

Un petit format, idéal pour commencer avec les BD, il y a de nombreuses illustrations et peu de texte. On suit 3 enfants nomades en Mongolie, l'un d'eux arrive à dresser un cheval. Une lecture idéale pour les petits aventuriers!

J'avais lu toute la série contant les aventures de Genz, Gys et Khan, il y a bien longtemps, à leur sortie.

Mes petites-filles devant rencontrer Yann Dégruel pour un atelier B.D. je leur ai ressorti quelques albums de lui, et j'ai profité pour les relire.

J'aime beaucoup ses dessins. Cette série est à la fois douce et vive, ces trois enfants mignons et remuants.

Le texte est poétique, proche du conte.

Cependant, il me semble que c'est un texte un peu difficile à suivre pour les plus jeunes, qui sont ceux attirés par ces albums.

Jolies BD, mais les enfants ne s'y précipitent pas vraiment dessus.

C’est toujours avec grand plaisir que je lis cette série avec des illustrations que je trouve vraiment magnifiques. Le fond de page en vert foncé fait contraste avec les dessins et couleurs de l’histoire. Le ciel est d’un bleu éclatant qui valorise ces montages où le vent souffle. J’aime prendre le temps de regarder les détails.



Les trois enfants passent leur temps à se chamailler, à savoir qui est le plus fort, le meilleur… bref, des broutilles d’enfants. Et quand la grand-mère Mammouth dit quelque chose, on l’écoute. Jusqu’à l’apparition de la petite flamme qui va introduire beaucoup d’action dans le récit, pour ne pas dire que c’est le cœur de l’action. C’est une bonne occasion d’introduire les couleurs orange, jaune et rouge qui donnent vraiment l’image du feu et du mouvement. Petite flamme se transforme en gros dragon sauvage et destructeur. Mais parfois derrière tellement de fureur se cache des petites choses pleines de tendresse. Donc un nouveau changement qui mérite un nouveau traitement de couleur plus douce. Les nuances de bleus deviennent très jolies.



L’image de fin donne des indices sur le tome 3 car en haut des montagnes on découvre des hommes sur des chevaux avec des drapeaux et des boucliers. Et l’auteur nous prévient, Gare aux Tatars. Il va falloir se plonger dans le tome 3 pour en savoir plus. Affaire à suivre donc.
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Genz, Gys, Khan et leur grand-mère sont attaqués par un dragon de feu. Genz va le combattre courageusement, grâce à l'arc de son grand-père Témuldjinn, et le conduire dans le fleuve Amour, où il va s'éteindre pour redevenir un loup.



J'ai moins accroché à cette histoire qu'à la première, les illustrations sont toujours aussi belles, mais le scénario trop fantastique à mon goût.

Plus d'humour que dans le précédent volume, qui met en scène comme héroïne cette fois la petite Khan, qui met en déroute les Tatars par la musique.

Les trois enfants et leur grand-mère sont amenés à venir en aide à un aviateur dont l'avion s'est écrasé dans la steppe.



La confrontation entre deux mondes, l'entraide des plus petits envers l'étranger.

Très belle histoire, très beaux dessins

Tout est réussi dans cette BD, l'histoire, les illustrations, le message. Un vrai coup de coeur qui permet de découvrir les légendes amérindiennes. Encore mieux réussi que le tome 1.

Un amour contrarié, une fuite dans la forêt jusqu'au jour où Quissan décide de retourner au village pensant trouver le pardon et une place pour lui et sa femme. Il n' y trouvera qu'un enfermement loin de tout, loin d'elle qui désespérant de le revoir sera recueillie par un ours qui s'éprendra d'elle et lui donnera deux enfants ...





L'histoire d'un amour contrarié, contrariant mais qui reste en soi jusqu'à la mort ...

L'histoire d'une mère pour son fils jamais oublié parti vers ses racines, vers ce qu'il est ...

L'histoire de la haine infondée des hommes pour ces géants de la forêt que sont les ours ...

L'histoire de la transmission nécessaire des anciens pour apprendre, oser, comprendre et entreprendre ...

L'histoire d'apprentissage de la vie de deux enfants aventureux ...







Une belle histoire contée par une spécialiste des légendes amérindiennes, Contée par une enchanteuse qui a écrit un des plus bel album de jeunesse que j'ai lu : Coeur de pierre !



Les illustrations de Yann Degruel sont somptueuses. C'est d'ailleurs ce qui m'a attiré. Quand j'ai vu la couverture j'ai su le bonheur visuel que j'allais éprouvé en le découvrant ... C'est vif, fin, coloré, frais, chaud, ...

Haïda n'est pas une série comme les autres. Elle transporte et émerveille les yeux autant que l'esprit, combinant avec plaisir le talent du dessinateur au savoir-faire d'une scénariste.
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Dans la même collection que "La première lettre" et toujours d'après Rudyard Kipling.

C'est mignon aussi, mais j'ai moins aimé l'histoire, car je n'ai pas trop vu l'intérêt de cogner comme ça sur ce petit éléphant, juste parce qu'il pose trop de questions (même si certains se reconnaîtront dans cet enfant qui ne cesse ses questions !)

Amusant et sympathique tout de même.

Tirée du célèbre recueil Histoires comme ça de Rudyard Kipling, L’enfant d’éléphant constitue à l’évidence une parfaite entrée en matière pour les bambins qui découvrent la bande dessinée. Concernant le texte, l’adaptation de Yann Dégruel est parfaitement fidèle aux traductions que l’on trouve en livre de poche (notamment chez Gallimard dans la collection Folio Cadet). C’est au niveau graphique que le dessinateur impose sa patte. Loin du classique album de littérature de jeunesse, il propose une véritable BD avec bulles, cases et découpage contenant tous les types de plan possibles (du plan large au très gros plan). Il utilise une technique très particulière en faisant des crayonnés à la craie grasse qu’il scanne et retouche avec un logiciel pour un rendu assez unique. Son trait est à la fois plein de douceur (son petit éléphant est mignon à croquer) et de dynamisme...
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Je connaissais cette histoire qui ressemble à une légende, et qui apprend d'où l'éléphant tient sa longue trompe fascinante et si pratique.

En revanche j'ignorais qu'elle avait été imaginée par Rudyard Kipling !

Le texte subtil et les dessins somptueux en font un livre très réussi. J'ai juste regretté que ce petit éléphant si charmant se fasse sans cesse "cogner" pour sa "curiosité insatiable", même si c'est vraissemblablement dans le texte d'origine... autre époque, moeurs !

Trente-six illustrations différentes pour autant de fables diverses. Chaque planche, chaque style s'apparente parfaitement aux différents récits et offre un ton humoristique et philosophique. Cette bande-dessinée peut aider à mieux comprendre la pensée de Jean de La Fontaine notamment vis à vis d'élèves de collège pour qui les fables écrites en vers et dans un vocabulaire parfois savant peut parfois décourager. A mettre entre toutes les mains !

Un livre à très grand format.

Les dessins sont magnifiques!

Les fables sont dans un ordre intéressant, on ne va pas de la moins connue à la plus connue. Au contraire, les fables sont super.

C'est un livre à possèder :D

Relues et relues. Ces fables aux morales piquantes mais tellement vraies me plaisent toujours autant au fil des lectures .

Mon fils commence à les aborder et son regard d'enfant me ravi.

Une adaptation sous forme de bande-dessinée très réussie ; un défi d'autant plus difficile à relever que le texte d'origine est parfaitement respecté et s'adapte intelligemment aux dessins. Certaines réalisations sont très poétiques, d'autres plus humoristiques. La version que je possède est présentée sous la forme de 3 volumes, que j'ai achetés avec une collègue pour pouvoir les exploiter avec nos classes de français. Un outil pédagogique précieux.

La fontaine, mon enfance, des petites histoires sympathique, qui nous donne des petites leçons de morale. Toujours intéressant à lire.