Yvan Pommaux

- intéressant et bon support pour les apprentissages

- un album pour présenter mai 68 aux enfants

- le narrateur est une enfant de 9 ans, Véro

- c’est décousu mais un décousu assumé et qui marche avec la vision qu’aurait un enfant des événements

- l’album fonctionne par assemblage de petits flashs de la vie quotidienne

- on a une vision avec plusieurs points de vue et sans tomber dans l’horreur et la surenchère de la violence

- un bon album pour aborder cet épisode de l’histoire mais pas pour une lecture autonome où le jeune n’aura pas forcément les codes pour comprendre les références culturelles

Ça y'est, c'est le grand soir ! Ce soir, Groucho le chaton sort seul pour la 1ère fois ! Lui est exalté et ses parents , eux, sont très inquiets...



Des accidents bêtes aux mauvaises rencontres qui peuvent survenir lors d'une belle soirée, tous les scénarios sont envisagés.

Une super histoire très rythmée et bien vue qui permet d'expliquer aux enfants que nous, leurs parents, on s'inquiète toujours pour eux et leurs aventures loin de nous qu'eux trouvent si grisantes !

Le périple d’un marin parti de chez lui pour dix ans de guerre et dix ans d’aventures sur le chemin du retour. Un formidable récit d’aventures mythologiques avec Sirènes, Magicienne, Cyclope, Lotophages et autres créatures magiques. Mais aussi un va-et-vient entre Antiquité et modernité, entre un père et ses enfants, entre album et bande dessinée, entre mythe et récit d’aventure. Une magnifique version d’un chef-d’œuvre universel, mis à la portée des plus jeunes sans être dénaturé, mais aussi une belle porte d’entrée vers la mythologie et l’histoire de l’Antiquité classique.

Au cours d'un opéra, Marion et son père sont témoins de l'enlèvement d'une grande cantatrice jouant le rôle de Pénélope. Et les voilà partis pour Ithaque. Un album distrayant.

Marion Duval est une petite fille très curieuse et débrouillarde. Elle va être embarquée malgré elle au cœur d'une aventure autour du vol d'un scarabée au Louvre. Cet album s'adresse aux enfants. Je trouve l'intrigue simple mais je pense qu'enfant ça m'aurait plu autant que Tintin. Une lecture distrayante.

Un album déjà ancien, mais qui reprend son actualité en cette période de célébration du demi-siècle des "événements" de Mai 68.



Mai 68 à travers les yeux d'une enfant, qui regarde, qui écoute, aussi bien ses parents que son frère, très engagé ; et aussi les conversations des voisins, de la famille. Et qui essaie de comprendre tout ce qu'on ne dit pas.



Même si je n'étais pas à Paris, je retrouve avec plaisir l'ambiance et les ressentis des diverses tendances

Je ne sais pas ce que les enfants y verront, mais je trouve intéressant de leur montrer l'ambiance et les raisons de cet épisode de notre histoire.

Même si c'est légèrement orienté, l’auteur nous fait un beau panorama de l'époque.

Avec un historique qui remonte à la 2nde guerre mondiale, et une histoire qu'il conclut aux premiers pas de l'homme sur la lune en juillet 1969



L'auteur avait 22 ans (moi à peine moins !!) et retranscrit bien cette époque. Pas seulement les soulèvements, mais la vie quotidienne, le monde tel qu'il était.

C'est fascinant de voir comme tout a changé en 50 ans, alors qu'au jour le jour, on ne voit pas forcément l'évolution.



Avec un petit côté plein d'humour. Notamment parce qu'à chaque nouveauté qu’elle découvre, Véro décide d'un nouveau métier pour quand elle sera grande.



Entre album et BD, un livre sorti en mai 2008, pour les 40 ans, et qu'on lit toujours avec grand plaisir.

Une jolie façon de partager cette époque avec les enfants de maintenant.



J'ai un exemplaire paru en 2008, mais il vient d'être réédité il y a quelques jours à un prix un peu inférieur (16.50 €)
Lien : https://livresjeunessejangel..

Parlons sport.



Ce n'est pas toujours courant dans les romans jeunesse et surtout concernant le Rugby.



Le Rugby, c'est une histoire de gaillards.



De copains surtout, diraient les Montmartiguais.



À Montmartigues, c'est une véritable institution.



On né Rugby, on mange Rugby, on parle Rugby, on respire Rugby.



Yvan Pommaux, auteur-illustrateur, posant en page de garde avec son équipe de cadets, insiste sur ces valeurs de convivialité et de fraternité sportives qui posent un contexte incroyable de noblesse de jeu.







Les tablettes de la loi du Rugby vont toutefois trébuché de leur socle.



Avec l'arrivée d'un jeune nouveau chez les cadets du RCM( le Rugby Club Montmartiguais).



Un petit nouveau qui a tout pour plaire et un premier de la classe en plus.







Martin, 13 ans, ne voit pas d'un bon oeil tous les regards féminins des classes de 3ème (dont celui de sa petite amie) tournés vers lui et tous ses copains sont exaspérés par les soupirs de plaisir qui les accompagnent.



Antonin Beau est beau.







Ô râge, ô désespoir.



Mais qui nous l'envoie ce parisien?







Heureusement, les potes ont trouvé, comme ils disent, la faille, la poussière au tableau idyllique.



Antonin n'y entend rien de rien au Rugby. La truffe!, diraient les potes.



Une bénédiction pour les enfants du pays.







Seulement, le père d'Antonin, Pdg des célèbres Laboratoires pharmaceutiques Biopharmag qui sponsorisent le RCM, trouverait de bon ton que son fils fasse du Rugby comme tous les gosses de l'entreprise et du coin.







Le Rugby, c'est amical, certe, mais c'est une affaire sérieuse.



Nous sourions des manoeuvres du père de Martin pour dissuader son patron, plus pour des performances sportives à maintenir avec l'équipe des cadets que par les risques de se blesser, on le devine.







Martin est partagé, entre esprit d'équipe, jalousie et véritable estime pour cet Antonin qui n'a rien demandé à personne mais qui veut bien faire.



C'est qu'il semble aussi doué au Rugby, le nouveau.



Ô râge, ô désespoir.







Le roman mélange le genre du récit et du documentaire.



Au travers de la chronique familiale de Martin, nous apprenons tout ce qu'il y a à savoir sur ce sport, dans l'esprit et la technique.



Nous ne reconnaissons pas forcément quelle est la part de Rémi Chauraud mais en tout cas il est là et nous retrouvons l'esprit des albums didactiques et très illustrés de Pommaux comme celui d"Avant la Télé" et "Véro en mai".



Nous apprécions ces petits sketchs de situations pour bien nous situer les choses.



Le sport mis à part, les deux auteurs arrivent à nous offrir une affaire d'amitié crédible, qui étrangement parlera aux filles comme aux garçons sur ce trait suivi du complexe.



Nous sommes sur la compétition naturelle, nourrie par l'impression de perfection de cet élève malgré lui détestable car adoré de tous.



L'esprit d'amitié et celui du sport devraient y mettre bon ordre.

C'est par hasard que j'ai pris ce livre. Il faut dire que les dessins des années 2018 sont plus beaux que celui de 1991. Mais il fallait que je commence avec le premier livre de la série afin de savoir si j'aimerais ça. L'intrigue policière est très mince et trop facile à mon goût même pour les jeunes. J'aurais presque voulu de vrai indice pour une vraie chasse au trésor au lieu d'une vulgaire mèche de cheveux. Pas que les cheveux d'un amoureux n'a pas de prix mais cela donnerait plus de pertinence à une série que ce veut policière. Aussi, je crois que Yvan Pommaux c'est fortement inspiré du journaliste Tintin de Hergé. Même là, les dessins date il y a plus longtemps. sont mieux fait et ont marqué des générations de lecteurs.

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Comme pour Thésée, cette collection est parfaite pour faire découvrir les grands mythes aux enfants.

Très bien illustrée, l’histoire d’Orphée et d’Eurydice est racontée avec des mots simples et rythmés.



Une façon plaisante de faire lire et d’apprendre !

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L’histoire de Thésée, du Minotaure et du fil d’Ariane très bien racontée et illustrée.

Un très bon moyen de lire et d’apprendre !!



Mon fils de 12 ans devait li lire pour des matières croisées : français et histoire. Une manière intelligente de leur faire découvrir les mythes...

Mes enfants habituellement très réceptifs aux livres d'Yvan Pommaux n'ont pas du tout accroché avec cet album ; à peine terminé il s'est retrouvé tout au fond de la caisse à livres et mes tentatives pour l'en sortir ont toutes échoué.

Et c'est vrai qu'il offre un univers bien sombre, peu de couleurs et l'histoire d'un chat malheureux dans sa famille d'adoption, presque maltraité...

La fin heureuse, ode à l'amitié, n'a pas compensé la noirceur de l'ensemble.

Un album documentaire intéressant, sur un sujet relativement peu abordé en littérature jeunesse. Les illustrations d'Yvan Pommaux sont un vrai plus. Le récit est clair, simple, entrecoupé de petites vignettes de bande dessinées ey de portraits de personnages historiques. A la fin de l'ouvrage, on a une petite notice biographique sur chaque personnage historique mentionné.

Un bon ouvrage, pour la fin du primaire et le début du collège.

Ce livre m'a été mis dans les mains par une amie.

C'est un livre minuscule, tout blanc et très discret, qui, comme pour s'excuser d'être si petit, est interdit à la vente.

"Lire est le propre de l'homme" est un livre de témoignages et de réflexions de cinquante auteurs d'ouvrages pour l'enfance et la jeunesse.

Et, dès ses premières lignes, le lecteur comprend pourquoi l'opuscule ne peut être qu'offert.

Les choses importantes ne sont pas à vendre !

Car, ce petit livre, ouvert, devient un géant.

Ses mots enflent, enflent, enflent encore, jusqu'à devenir émotion et réflexion.

Susie Morgenstern y a dressé un début de liste des raisons qui incitent à lire.

Celle-ci va s'allonger longtemps à travers des milliers de lecteurs, de livres et d'auteurs.

La parole est ici donnée à quelques uns.

Le ton n'est pas dogmatique, ni professoral.

Pour écrire chacun des textes, La plume a été trempée à l'intelligence.

Chacun des textes dégage d'ailleurs de la force et de la sensibilité.

Pourtant, j'ai particulièrement aimé le texte, "j'aime/j'aime pas" de Marie Desplechin qui se sent proche de "ceux qui se sont perdus dans la lecture comme dans une forêt hantée, qui ont emprunté des chemins qui ne menaient nulle part, et qui ont ouvert leur sentier tout seuls, avec un opinel, au risque de mauvaises rencontres, au risque de se faire peur ou de se faire mal, au risque même de tourner en rond" ...

Je me suis un peu reconnu dans sa collégienne qui lit tout ce qui lui tombe sous la main et qui fait le désespoir du conseil de classe !

"Lire est le propre de l'homme", comme pour s'excuser d'être si généreux, ne demande qu'à être offert.

Il m'a été mis dans les mains par une amie, une bonne amie ...

Un bel album au grand format de cet auteur illustrateur qui a vraiment un style reconnaissable. Il y a toujours ce petit côté "à l'ancienne" des illustrations mais avec des histoires bien actuelles.

L'histoire met en scène Norma qui joue au parc et qui part puisque sa maman est scotchée à son téléphone. Elle fait des rencontres et se balade dans un monde entre réel et fantastique.

Des illustrations vives et colorées. Un moment sympa de lecture.

Malgré les mots "Rugby",ce livre parle quand même d'une belle histoire d'amitié.Ce sont vraiment des mots utilisés par un ado.Il y a aussi de drôles d'expressions de grand-père.Les personnages sont deux ados :un qui va expliquer le Rugby à son copain qui lui ne connait rien du tout au Rugby puisqu'il est Parisien.Ils vont devenir copain grâce à une super intrigue policière.Ce roman est réaliste.



JE LE CONSEILLE A TOUS LES AMATEURS D'HISTOIRE

REALISTE !!!!!!!!!

Un roman graphique pour les ados fans de rugby car toute l’histoire tourne autour de ce sport. À Montmartigues, on fait du rugby de grand-père en petit-fils ! Le maire est à la fois principal employeur de la ville et propriétaire de l’équipe de rugby. Un nouveau directeur-adjoint, M. Beau s’installe avec son fils Antonin et sa femme. Ils cherchent immédiatement à s’intégrer et Antonin devient le meilleur copain du narrateur, Martin. Mais un nouvel entraîneur est recruté, ancien joueur de l’équipe à la mauvaise réputation et les deux garçons vont enquêter sur les raison de l’accident qui a rendu invalide un joueur des années 90...

Amitié, sport, enquête...un peu fourre-tout et peu réaliste. Réservé aux CM-6e pour une lecture détente.

Mes enfants adorant l'univers d'Yvan Pommeaux, et notamment sa série de John Chatterton, j'étais curieuse de redécouvrir son univers. Et je ne suis pas déçue :

L'histoire tout d'abord, accroche particulièrement les enfants, avec la jeune héroïne Norma qui fait preuve d'un caractère bien trempé et entraîne son ami Félix dans des aventures au goût fantastique.

Le graphisme ensuite, magnifique, varié et très délicat. La petite fille a un visage fascinant et ultra expressif, et chaque page nous fait voyager délicieusement, alternant grandes illustrations et formats BD.

Le message, enfin, auquel j'adhère complètement ; car si Norma décide de s'en aller, c'est qu'elle en a marre de parler dans le vide à sa mère qui lui préfère son smartphone... et cette tendance me semble cruellement d'actualité...

À partir de 4 ans

J'ai aimé retrouver le style propre à Yvan Pommaux dans cette aventure où il mélange à nouveau BD et narration plus classique. Les péripéties des 2 enfants étaient amusantes. L'auteur aime bien jouer sur les peurs enfantines. Le regard apporté par les 2 ragondins apportait la dose d'humour nécessaire mais c'était lourd à lire.
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Chouette album pour enfant qui oscille entre roman photo et BD et constitue une parfaite introduction à cet univers-là. Le côté policier est bien choisi et traité pour leur apprendre tous les poncifs du genre. L'enquête est rondement menée mais la fin est trop rapide. Les dessins eux sont vraiment chouettes, notamment les cadrages à hauteur de chat. Une jolie découverte.
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j'ai aimé ce livre car il parle d'aventures.

En effet, Oedipe combat un sphinx, un monstre hybride mi-femme, mi-lion, mi-oiseaux.

J'ai aimé l'histoire car on a envie d'en savoir plus sur l'histoire des personnages.

Oedipe bébé a été trouvé ligoté dans un chemin qui mène sur une montagne.

J'ai aimé les images car elles donnent plus de précisions. le sphinx est représentée sur un rocher.

J'ai aimé Oedipe car il intelligent.

Le sphinx pose une énigme.

Je n'ai pas aimé le sphinx car il tue des gens.

Tristan