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1984 est l'une des dystopies littéraires parmi les plus connues ayant jamais été écrites, et pour cause. Outre la virtuosité du style et de la narration, ce monde où chacun est surveillé en permanence, le moindre geste épié, la plus petite mimique analysée, est absolument terrifiant. Le point de non retour est dépassé depuis longtemps dans ce livre. Préparez-vous. Ils vous voient, et ils voient tout.
J'ai aimé ce roman, globalement, même s'il ne fera pas partie de mes préférés de King. J'ai retrouvé avec plaisir les ingrédients du génie King, sa palette de personnages si bien pensés, travaillés et décrits qu'il est facile de se les imaginer. Au fil des pages (nombreuses) c'est comme si on faisait partie de ce Club des Ratés que ces enfants incarnent dans cette petite ville austère de Derry.
La violence est certes présente, mais concernant son aspect terrifiant je l'ai trouvé bien moindre comparé à d'autres livres comme Simetierre par exemple (cela dépend de l'âge qu'on a en le lisant). Comme toujours en lisant King, je me suis attachée à la vie de ses personnages. Ici, ce Club des Ratés représente une composante de l'enfance. Les nombreuses thématiques qu'on peut retrouver dans ses romans sont présentes, et principalement ici les peurs enfantines, subjectives, selon son histoire. La découverte du monde des adultes, pourrait être un sous-titre à ce roman, et de manière plus philosophique, d'où vient le mal ? On apprend qu'il a fallu quatre ans à Stephen King pour écrire ce roman. Cela donne une idée de ce qu'il a pu y mettre, même si je l'ai trouvé un peu trop long. S'il est un roman pour découvrir l'univers de King peut-être que Ça est celui qui le représente le mieux à mon sens, mais je suis loin d'avoir tout lu.
La violence est certes présente, mais concernant son aspect terrifiant je l'ai trouvé bien moindre comparé à d'autres livres comme Simetierre par exemple (cela dépend de l'âge qu'on a en le lisant). Comme toujours en lisant King, je me suis attachée à la vie de ses personnages. Ici, ce Club des Ratés représente une composante de l'enfance. Les nombreuses thématiques qu'on peut retrouver dans ses romans sont présentes, et principalement ici les peurs enfantines, subjectives, selon son histoire. La découverte du monde des adultes, pourrait être un sous-titre à ce roman, et de manière plus philosophique, d'où vient le mal ? On apprend qu'il a fallu quatre ans à Stephen King pour écrire ce roman. Cela donne une idée de ce qu'il a pu y mettre, même si je l'ai trouvé un peu trop long. S'il est un roman pour découvrir l'univers de King peut-être que Ça est celui qui le représente le mieux à mon sens, mais je suis loin d'avoir tout lu.
J’ai enfin lu Le Petit Prince, et suis-je le seul à ne pas avoir réussi à être entièrement dedans ? C’est très facile de le lire mais, je n’ai n’y trouvé mon âme d’enfant, ni apporté un intérêt à cet œuvre.. Faudra-t-il que je le lise une nouvelle fois pour mieux l’apprécier ? Peut-être bien.
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