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Michel Lafon [corriger]

Créée en 1980 par Michel Lafon, la maison d`édition Michel Lafon est un une maison qui se veut le porte parole d`une culture grand public et de qualité. Elle publie plus de 150 livres par an dans des domaines variés comme la littérature française, la littérature étrangère, les beaux livres ou encore les livres scolaires.

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Un coin de ciel brûlait

Des romans évoquant l’histoire d’enfant soldat il y’en a beaucoup mais l’histoire de Neal Mccoy est à la tragique et envoûtant. L’assassinat d’Emilie sa bien aimée était la goutte qui avait déborder le vase, il se lance des lors dans une véritable croisade sanglante; Après avoir finit ce magnifique livre, une seule question me venait en tête , et Si Neal n’était pas aller secourir son père le soir de l’attaque du colonel Cobra???
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Ce que disent les silences

Ce que disent les silences est une fresque familiale passionnante.



Adèle s’est construite sur des silences, des non-dits. On constate le poids de ce lourd passé sur sa vie actuelle et sa difficulté de s’attacher. Je l’ai trouvé touchante et j’ai aimé l’accompagner dans cette quête pour découvrir ses racines.



Les descriptions de l’île d’Ouessant sont juste magnifiques. L’autrice nous offre grâce à ce roman un voyage sur cette île bretonne et c’est fabuleux. Juste pour ça, cette lecture vaut le détour. Et puis en tant que bretonne, j’ai aimé y retrouver des choses qui m’ont rappelé mon enfance.



Cette histoire, c’est celle d’une famille brisée. Chacun de ses membres sont attachants, même s’ils se sont forgés une carapace et sont difficilement abordables de prime abord.



Il m’a manqué un petit quelque chose pour ressentir un coup de cœur. Mais c’est tout de même un très bon livre que j’ai dévoré ! J’ai aimé retrouver la plume de l’autrice avec laquelle je passe toujours un bon moment.



J’aime la structure de ses romans avec des chapitres très courts. L’alternance entre passé et présent est réussie, nous permettant d’assembler les pièces du puzzle au fur et à mesure. Il y a certaines révélations que je n’avais pas deviné.



Si comme moi, vous adorez les histoires familiales aux non-dits et secrets, alors foncez découvrir ce roman !
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Hurlements

Mesdames, messieurs, bonjour. Euh, pardon... Excusez-moi, puis-je avoir votre attention, s’il vous plaît ? EH OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOH !!! Je m’excuse d’avoir haussé le ton mais je vous trouve très indisciplinés aujourd’hui. C’est le pont du 8 mai qui vous met dans cet état ?!? Mais sautez, bon sang, et sans élastique !!! Bon, ça y est, maintenant que j’ai vociféré (de mauvaise humeur, moi ? oui, de jour férié pour moi cette semaine ! et en même temps, ça me permet de faire une intro fort à propos : hausser le ton, vociférer, hurler, quoi), je peux vous dire que le 2ème tome de la série mettant en scène le tandem Venturi-Montalvert, « Hurlements » donc, m’a laissée sans voix.



Contrairement au roman précédent, j’ai trouvé ici tout ce qui m’avait fait défaut lors de ma première rencontre avec le Cow-boy et Menthe-à-l’eau, à savoir : une entrée en matière sans préliminaires, un rythme constant du début jusqu’à la fin avec, notamment, une accélération au fur et à mesure que le dénouement approche, un ballottement des mes neurones de détective amatrice (je me suis pris une bonne tannée : je n’ai absolument rien vu venir, du moins en ce qui concerne le « tueur de céréales »), une intrigue qui fait froid dans le dos et m’a coupé le sifflet dès les premiers rebondissements. Et puis, comme si cela n’était pas suffisant, à la toute fin l’auteur se joue de nous. C’est qu’il veut nous faire (davantage) peur, le chenapan ! Même si on se doute bien que cela n’est pas possible, je me suis quand même fait une petite frayeur (enfin quand je dis « je », on se comprend, hein) car, vu ce qu’il nous a pondu dans ce livre, @alexis_laipsker est quand même sacrément frappé du ciboulot (et venant de moi, c'est un compliment).



Cinq femmes ont disparu. L’une d’elles est retrouvée complètement charcutée, voire même démembrée, énuclée et privée aussi de tous ses autres sens, incapable donc d’établir un quelconque contact avec qui que ce soit, si ce n’est d’émettre un hurlement guttural primitif, voire animal, qui pétrifie tout ceux qui l’entendent. Vous n’avez pas le temps d’émettre vos premières théories que déjà le récit vous plonge dans un brouhaha retentissant. Ici, pas le temps non plus de gazouiller quelques bribes d’hypothèses : les événements s’enchaînent dans un charivari faisant écho à l’enquête, le tout délicieusement rythmé par les joutes verbales entre notre enquêteur bourru et notre affable psychologue.



Bon, oui, il m’a peut-être manqué un peu de profondeur, mais cette doléance n’en est pas vraiment une puisque j’avoue que le récit ne s’y prête pas. La narration et, par là même, l’enquête se veulent rapides, sans tergiversations : il est impérieux de mettre fin aux agissements du tueur, de l’empêcher de commettre à nouveau de tels sévices.



Alors, prêt(e)s à hurler de peur ?
Lien : https://www.instagram.com/al..
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