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C'est l'histoire d'amour entre Elizabeth Bennet et Mr Fitzwilliam Darcy. Une histoire d'amour très connue dans la littérature anglaise.



Jane Austen a fait publié son livre en 1813 et depuis ce jour, ce livre est resté un classique.



Dans son livre, l'écrivaine ne montre pas seulement l'amour d'Elizabeth et de Darcy, mais également la valeur de l'amitié et démontre le jugement de première impression. Effectivement, à travers sa romance, elle montre que la personnalité est avant tout le plus important et non la première rencontre qui peut parfois démontré la vérité en se donnant un rôle.



Ce livre est très beau.

Dumas écrit avec une rare finesse qui plonge instantanément dans le Paris du XVIIe siècle. Les superbes dialogues qui animent les personnages donnent à chacun une personnalité unique et rendent la lecture trépidante.



Par exemple, Athos est inévitablement mon favori du trio, bien qu'il possède certainement une once misogyne, mais qui peut être comprise et pardonnée au vu de son obscur passé. Sa maturité, son ingéniosité, son éloquence et son calme en font non seulement un meneur, mais aussi un père pour le jeune D'Artagnan. Athos est l'un de ces protagonistes que j'affectionne tant, car ses qualités deviennent parfois ses pires défauts. A titre d'exemple, sa droiture l'a conduit à la condamnation d'une personne chère à son cœur.



Mais, la foi d'Aramis, souvent bafouée par son amour des femmes, m'a beaucoup plu et fait de lui un mousquetaire particulièrement unique. Il possède d'inoubliables dialogues comme :

"— Bon ! dit Athos, bon ! Oui, mon cher Aramis, nous savons que vos vœux tendent à la religion.

— Je ne suis mousquetaire que par intérim, dit humblement Aramis.

— Il paraît qu’il y a longtemps qu’il n’a reçu des nouvelles de sa maîtresse, dit tout bas Athos ; mais ne faites pas attention, nous connaissons cela."



Je dédie une petite ligne à Porthos, qui malheureusement, ne m'a pas autant charmé que ses deux confrères, bien qu'on le décrive comme toujours paré d'un unique chapeau, de beaux étriers ou d'un magnifique manteau.



Puis, D'Artagnan... Si j'ai trouvé son courage charmant, j'avoue avoir sourcillé quant à sa relation avec Constance. Lui qui n'a d'yeux que pour elle, enclin facilement à "rencontrer" de nouvelles femmes quand cette dernière se retrouve loin de Paris. Je pense que c'est une mœurs, peut-être du XVIIe siècle, certainement de l'époque de Dumas, mais j'ai été choquée par le manque de fidélité du jeune Gascon !



Enfin, je pourrais écrire des dizaines de lignes sur le personnage de Milady. Véritable démon, c'est une femme fascinante au venin mortel. Les charmes qu'elle use pour manipuler hommes et femmes sont fascinants et j'ai dévoré les chapitres dédiés à ses mésaventures. Bien qu'elle soit infâme, j'aurais aimé un livre qui lui soit entièrement dédié pour y découvrir ses intrigues passées et le commencement de sa mystérieuse alliance avec le cardinal.



Oui, "Les trois mousquetaires" est un chef-d'œuvre aux passionnants personnages, fictifs ou non. L'atmosphère de ce roman est inspirante, et ce n'est pas étonnant qu'il y ait eu autant d'adaptations, car il nourrit encore les passions du XXIe siècle !

Très agréable relecture que ce grand Meaulnes pioché au hasard d'une bouquinerie. Il demeure un chef-d’œuvre intemporel qui m'a de nouveau entraîné dans un monde de mystère et de nostalgie. C’est une expérience sensorielle par l’écriture d’Alain-Fournier, d’une beauté envoûtante.



L'histoire évoque l'amitié complexe entre François Seurel, le narrateur, et Augustin Meaulnes, jeune homme insaisissable, fascinant par sa quête d’absolu et son désir de vivre intensément. Et puis, bien sur, il y a Yvonne de Galais, la belle inatteignable, qui hante les rêves. On se perd dans les paysages bucoliques, on ressent la brume matinale, on entend les rires des enfants.



Les personnages sont des énigmes à déchiffrer, emportés dans un tourbillon d’aventures et de rencontres. Les fêtes mystérieuses, le domaine perdu, les amours impossibles… Tout est imprégné d’une magie qui nous enveloppe et nous transporte.



Alain-Fournier a créé un univers subtil et poétique, où le réel et l’imaginaire se mêlent, où l’amour et la perte se confondent. Récit doux et mélodieux, chaque mot semble choisi avec soin, chaque description évoque des images vibrantes où le narrateur cherche sa place.