Paie ta chronique.
Commencé en même temps qu'un Thalys et finis en arrivant à quai, j'ai plié "Encabanée".
J'ai adoré. Féminisme, survivalisme, isolement, écologie, ancrage de valeurs, réflexions autour de la notion de sauvage (colons/autochtones), quête de soi...
Non franchement, même si c'est pas mal cliché et même si on voit le chapitre de "romance" arriver avec ses gros sabots, ça tombe parfaitement.
C'est très juste, c'est plein d'humour aussi et ponctué de chouettes petits dessins.
Le tout en 120 pages, j'applaudis.
J'aime autant lire ça que du Valérie Perrin ou du Melissa Da Costa
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Anouk quitte son appartement de Montréal pour acheter une forêt dans la région du kamouraska au Québec. Elle veut y vivre dans une cabane sans commodité. Elle apprend alors à aller chercher de l'eau dans la rivière, allumer un feu, vivre en communion avec la nature quitte à découvrir des animaux comme les Coyotes près de chez elle. Puis petit à petit vont venir vivre avec elle deux personnes le chat shalom et puis un écologiste activiste surnommé Riopelle qui est en fuite. Riopelle ne restera pas longtemps puisque c'est un activiste voué à une vie d'errance afin de faire passer son message.Gabrielle Filtrau-Shiba nous délivre à travers une poésie et un humour percutant et tendre un roman écolo féminisme. J'ai adoré sa plume et son message.
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