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Bon, alors, c'est trop long.
Ca fait l'effet Grey's anatomy. Ils auraient du arrêter à la saison 3.
Mais comme dans Grey, on continue. Toujours.
Bon mais c'est trop long quand même. 1200 pages quoi.
D'où le 3 étoiles.
Après, sur le fond, j'ai plutôt bien aimé. Déjà, honte sur moi, je n'ai jamais lu Dickens. J'en ai entendu parler, beaucoup par mon père d'ailleurs (et c'est peut être bien pour ça que je ne l'ai jamais lu), et un bout ça m'a donné envie de le lire. En tous, ça force l'intérêt pour le personnage. Il est bien campé. Alors je n'ai jamais lu Dickens, mais pire, je n'ai jamais entendu parler de Wilkie Collins ! Quelqu'un le connaissait-il avant de lire Drood? Mais quelle idée que ce roman ! quelle idée d'en avoir l'idée ! mais quelle idée de l'écrire !
Leur relation, à ces deux là. C'est très insidieux, à bas bruit. Collins souffre d'une jalousie maladive vis-à-vis de l'inimitable qu'il n'égalera jamais. Mais à qui il va sans cesse chercher à se mesurer, se confronter. Dans tous les domaines : artistique, amical, amoureux, hypnotique. C'est cette jalousie associée à une surconsommation d'opium qui va lui ronger le cerveau.
L'écriture est très belle et soutenue, et malgré la longue longueur, je suis contente de l'avoir lu. Dan Simmons est vraiment un auteur étonnant avec mille visages différents.
Ca fait l'effet Grey's anatomy. Ils auraient du arrêter à la saison 3.
Mais comme dans Grey, on continue. Toujours.
Bon mais c'est trop long quand même. 1200 pages quoi.
D'où le 3 étoiles.
Après, sur le fond, j'ai plutôt bien aimé. Déjà, honte sur moi, je n'ai jamais lu Dickens. J'en ai entendu parler, beaucoup par mon père d'ailleurs (et c'est peut être bien pour ça que je ne l'ai jamais lu), et un bout ça m'a donné envie de le lire. En tous, ça force l'intérêt pour le personnage. Il est bien campé. Alors je n'ai jamais lu Dickens, mais pire, je n'ai jamais entendu parler de Wilkie Collins ! Quelqu'un le connaissait-il avant de lire Drood? Mais quelle idée que ce roman ! quelle idée d'en avoir l'idée ! mais quelle idée de l'écrire !
Leur relation, à ces deux là. C'est très insidieux, à bas bruit. Collins souffre d'une jalousie maladive vis-à-vis de l'inimitable qu'il n'égalera jamais. Mais à qui il va sans cesse chercher à se mesurer, se confronter. Dans tous les domaines : artistique, amical, amoureux, hypnotique. C'est cette jalousie associée à une surconsommation d'opium qui va lui ronger le cerveau.
L'écriture est très belle et soutenue, et malgré la longue longueur, je suis contente de l'avoir lu. Dan Simmons est vraiment un auteur étonnant avec mille visages différents.
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