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*Nous étions le sel de la mer* de Roxanne Bouchard est un roman qui est annoncé comme un polar. Cependant, il se distingue plutôt par son atmosphère maritime enveloppante et sa poésie qui émane des descriptions de la Gaspésie. L'intrigue, centrée sur la découverte du corps de Marie Garant, une femme au passé mystérieux et au charisme indéniable, sert de toile de fond à une exploration plus profonde des thèmes de l'amour, de la perte et de l'identité.
Le roman réussit à immerger le lecteur dans le rythme lent et les traditions de la vie en bord de mer. L'auteure réussit à capturer l'essence d'une communauté tissée serrée, où chaque personnage porte en lui une histoire qui mérite d'être racontée.
Cependant, les tics de langage des personnages peuvent parfois distraire. J’habite à la frontière de la Gaspésie; de la famille habite encore dans la Baie-des-Chaleurs. Ces expressions, qui ont pour but d’ajouter à l’authenticité et de la couleur, sont plutôt exagérées et peuvent entraver la fluidité de la lecture. De mon côté, j’ai commencé à les omettre lors de ma lecture, car elles étaient trop nombreuses et elles me distrayaient du propos.
À l’image de la mer, la lecture de ce roman a été parfois un refuge, parfois un défi. Tantôt, j’étais perdu dans un tourbillon de mots; tantôt, j’avais envie de me laisser dériver au rythme du texte. En somme, ce texte m’a tout de même laissé une belle impression après avoir tourné la dernière page.
Le roman réussit à immerger le lecteur dans le rythme lent et les traditions de la vie en bord de mer. L'auteure réussit à capturer l'essence d'une communauté tissée serrée, où chaque personnage porte en lui une histoire qui mérite d'être racontée.
Cependant, les tics de langage des personnages peuvent parfois distraire. J’habite à la frontière de la Gaspésie; de la famille habite encore dans la Baie-des-Chaleurs. Ces expressions, qui ont pour but d’ajouter à l’authenticité et de la couleur, sont plutôt exagérées et peuvent entraver la fluidité de la lecture. De mon côté, j’ai commencé à les omettre lors de ma lecture, car elles étaient trop nombreuses et elles me distrayaient du propos.
À l’image de la mer, la lecture de ce roman a été parfois un refuge, parfois un défi. Tantôt, j’étais perdu dans un tourbillon de mots; tantôt, j’avais envie de me laisser dériver au rythme du texte. En somme, ce texte m’a tout de même laissé une belle impression après avoir tourné la dernière page.
Saint ciboire de calice.
Roxanne Bouchard signe un magnifique dépaysement en Gaspésie en compagnie de Marie Garant, femme solaire fatiguée par le quotidien et en quête d’enchantement.
Le récit se déguste lentement, en soufflant sur un thé chaud pour soulager nos lèvres meurtries par le sel de la mer. Avec un joli casting au compteur, cette première aventure sur sergent Moralès (d’ailleurs fort en retrait) propose une délicieuse atmosphère réconfortante que j’ai bien eu du mal à lâcher.
Roxanne Bouchard signe un magnifique dépaysement en Gaspésie en compagnie de Marie Garant, femme solaire fatiguée par le quotidien et en quête d’enchantement.
Le récit se déguste lentement, en soufflant sur un thé chaud pour soulager nos lèvres meurtries par le sel de la mer. Avec un joli casting au compteur, cette première aventure sur sergent Moralès (d’ailleurs fort en retrait) propose une délicieuse atmosphère réconfortante que j’ai bien eu du mal à lâcher.
Aujourd'hui, je viens vous parler du livre Les roses de Somerset de Leila Meacham.
En 1916, à la mort de son père, Mary Toliver, hérite de la plantation familiale de coton. Un événement qui marquera à jamais la vie de la jeune femme qui va alors s'attirer les foudres de sa mère et de son frère.
Une saga familiale comme je les aime. On suit Mary et ses proches de 1916 à 1985 donc on a le temps de voir évoluer les personnages, de vivre avec eux leurs moments de joie mais aussi de peine ou de doutes.
Dans ce roman choral où nous suivons tour à tour les points de vue et histoires de Mary, Rachel et Percy, les destins des personnages se mêlent. J'ai éprouvé de l'empathie pour ces personnes (ainsi que les personnages secondaires) qui ont dû faire face à des drames et à des vies qui n'étaient pas forcément à la hauteur de leurs attentes juste à cause d'un héritage familial.
Entre secrets, trahisons, amour impossible, malédiction, j'ai été captivée par ce roman. J'ai été plongée dans l'ambiance du Texas au début du XXème siècle et n'ai pas vu défiler les pages de cette petite brique.
Je lirai avec plaisir les autres romans de l'auteure.
L'avez-vous lu ? Si non, vous tente t-il ?
En 1916, à la mort de son père, Mary Toliver, hérite de la plantation familiale de coton. Un événement qui marquera à jamais la vie de la jeune femme qui va alors s'attirer les foudres de sa mère et de son frère.
Une saga familiale comme je les aime. On suit Mary et ses proches de 1916 à 1985 donc on a le temps de voir évoluer les personnages, de vivre avec eux leurs moments de joie mais aussi de peine ou de doutes.
Dans ce roman choral où nous suivons tour à tour les points de vue et histoires de Mary, Rachel et Percy, les destins des personnages se mêlent. J'ai éprouvé de l'empathie pour ces personnes (ainsi que les personnages secondaires) qui ont dû faire face à des drames et à des vies qui n'étaient pas forcément à la hauteur de leurs attentes juste à cause d'un héritage familial.
Entre secrets, trahisons, amour impossible, malédiction, j'ai été captivée par ce roman. J'ai été plongée dans l'ambiance du Texas au début du XXème siècle et n'ai pas vu défiler les pages de cette petite brique.
Je lirai avec plaisir les autres romans de l'auteure.
L'avez-vous lu ? Si non, vous tente t-il ?
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