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Le Quartanier [corriger]


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Et puis, on aura vu la mer

Ce roman m’a captivée par son écriture limpide et son pouvoir d’évocation, qu’il s’agisse de parler d’une journée en maternelle ou des réflexions des différents personnages (une mère monoparentale, un jeune de banlieue vif et attentif, et bien d’autres).

Le cadre social est un personnage à part entière, une réalité qui motive (sans excuser) les prises de position. Se déroulant pendant les élections présidentielles françaises de 2022, le roman évoque des réalités telles que la pandémie de Covid ou la guerre en Ukraine.

Enfin, on sent la tendresse de l’auteur envers chaque personnage. Un bon divertissement ancré dans la réalité contemporaine.
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La version qui n'intéresse personne

J’ai découvert ce livre en lisant les livres proposés pour le concours de Paris.



J’avoue qu’il m’a donné un mal de tête. C’est l’histoire un peu classique de deux jeunes qui s’aiment sans se l’avouer et vivent leurs vies chacun de leur côté dans une ville du fin fond du Canada, loin de tout. Ils travaillent quelques mois par an et vivent le reste du temps entre amis, à survivre au grand froid. Le jour où l’un d’entre d’eux (elle) tombent amoureuse d’un autre, tout se détraque dans leurs relations et ils vivent, eux et leurs amis, une situation de huis clos, le tout dans un univers de boissons, de drogue et de sexe.



Ce roman est canadien, plus exactement canadien français. Alors plein de mots, tournures, expressions.. m’échappent. c’est plaisant un temps, mais finalement fatigue.



Alors, si vous voulez tester le parler canadien, testez-le. Sinon, vous pouvez passer votre chemin.

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Mathilde ne dit rien

Ben justement ce roman ne me dit rien. Je lisais tranquillement, curieux devant ce personnage de femme, une grande costaude, taiseuse et placide, qui s’en fiche un peu d’être malmenée, et puis je me suis rendu compte que je m’ennuyais ferme. Ce sont des conversations à rallonge et sans intérêt – pour moi – qui m’ont fait lâcher prise, alors que l’auteur ouvre des pistes qu’il sous-traite par la suite, comme les malversations d’une collègue de Mathilde. Et faire intervenir un passé épouvantable pour justifier ce détachement sans illusions de Mathilde, ça ne m’a pas non plus convaincu. Et parler de polar social parce que Mathilde est une travailleuse sociale, ça n’a guère de sens tellement son job n’apparaît qu’en filigrane.
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