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OSTENDE
Liste créée par kielosa le 22/08/2017
21 livres. Thèmes et genres : Évasions , vacances d'été , mer , Plages

La ville balnéaire belge d'Ostende jouit auprès d'un nombre d'auteurs francophones d'un intérêt étonnant, vu sa taille et sa situation géographique à la mer du Nord.

Ne sont repris dans cette liste que les oeuvres en français portant dans leur titre le nom de cette ville.

Les ouvrages sont classés en ordre alphabétique d'auteurs.

N'hésitez pas à me signaler des livres qui manqueraient. Merci !



1. Le jeudi à Ostende
Colette Cambier
3.00★ (8)

Grands propriétaires terriens installés à Ostende depuis des siècles et liés à de riches brasseurs, les Van der Heyde ne sont plus aujourd’hui qu’un couple de frère et sœur, Marie-Jeanne et Victor. Un curieux couple qui se pétrifie lentement en tentant de maintenir l’héritage dans la fidélité aux valeurs ancestrales. Qu’est-il arrivé à cette dynastie ? Ambitieux, tourmentés et heureux, les pionniers du XVIIIe siècle ont créé des affaires prospères. Leurs descendants sont passés de l’esprit d’entreprise au conservatisme, de la grandeur au déclin. Peut-on parler de malédiction comme l’ont cru certains, ou de la simple logique qui veut qu’en se serrant frileusement les uns contre les autres, en restant agrippés aux valeurs inculquées, ils étaient tout simplement condamnés à disparaître ? Descendante des Van der Heyde, l’auteur nous emmène à la rencontre de sa famille. Avec une rare maîtrise, elle dévoile la part quotidienne et la trame secrète de leur histoire, sur fond de grands bouleversements sociopolitiques des années 1870 à 1960.
2. Retour à Ostende
Benoît Damon
4.25★ (8)

Les figures souvent grotesques créées par James Ensor s’animent. Elles évoquent la mer du Nord, Ostende la ville balnéaire et ses habitants évanouis, le retour du carnaval ou le célèbre Bal du Rat mort. Libérées des tableaux où leur apparition continue à nous surprendre, elles haussent parfois le ton entre les murs d’une baraque abandonnée, se répondent et s’affrontent. Elles aimeraient régler de vieux comptes. Elles interpellent un visiteur à la nature incertaine. Tout à la fois ancrées dans leur époque et hors du temps, les voix interrogent, avec une ironie d’outre-tombe, la disparition des corps qui un jour les habillèrent. Avoir connu semblable mascarade est-il possible ailleurs qu’en un rêve où l’on croisera les ombres de Proust, Rilke, Roth, Celan ou Perec bien vivant, installé à la terrasse d’un café ?
3. Ostende, au bout de l'Est
Cyrille Derouineau
4.20★ (10)

Voir ma critique du 22 août 2017.
4. Les mouettes d'Ostende
Patrick Devaux
3.00★ (4)

Le livre : Cette histoire très simple est celle de la rencontre, sans doute imaginaire, d’un peintre de digue et d’estran, Devaux adore ce terme et d’une sorte de nymphe très mythologique qui apparaît et disparaît comme font les nymphes et les sirènes. Le temps de quelques pages, l’ami Patrick abandonne ses petits poèmes ciselés comme des camées pour un court récit. Sébastien a tout laissé tomber pour venir s’installer à Ostende, face à la mer, et s’adonner à sa passion : la peinture. Il va croiser une jeune femme qui va nourrir ses (dés)illusions. Un texte en prose pétri par les mains d’un véritable poète. © Eric Dejaeger. – L’auteur : Patrick Devaux est né à Mouscron en 1953, élevé par des grands-parents maternels, artisans entrepreneurs en toiture, lesquels lui ont donné le goût de l’action et de la liberté. Marié, père de Sabine et de Sandra, papy de Jun, Tao et Jimmy. Les rencontres de la poétesse Kathleen Van Melle (1964-1988) et de son père Paul, écrivain et éditeur sont déterminantes dans son parcours littéraire. Une carrière quasi entière dans le secteur bancaire lui a donné le sens et le plaisir des contacts. Écrit, peint et voyage, surtout en Asie, le continent de Bouddha.
5. Sur la plage d'Ostende
Magali Duru
3.50★ (8)

Il est encore tôt, ce matin de 1er janvier. La plage d’Ostende est déserte. Rien de tel qu’un bon bol d’iode pour me remettre des excès du réveillon. Mais quel vent !… Une mauvaise bourrasque aura raison de ma pauvre parka, et me voilà à quatre pattes, ridicule, fouillant le sable pour retrouver les deux boutons envolés, songeant à ce que me dira Claire si je rentre bredouille. Et qui donc est cet homme ganté, chapeau et imper noir, qui observe, impassible et narquois, mes gesticulations ? Qu’il aille au diable…
6. Ostende
François Gravel
3.67★ (32)

Fresque intimiste, quête du bonheur sortant des sentiers battus, aventures tragicomiques d'une jeunesse sans limites, Ostende est tout cela à la fois. C'est aussi le lieu où la plume incomparable de François Gravel, vive et racée, drôle et sérieuse, s'exerce de nouveau à démontrer son art. Un reflet saisissant de notre passé récent, une histoire qui fascinera les jeunes d'aujourd'hui et rendra nostalgiques tous ceux qui ont voulu changer le monde.
7. La plage d'Ostende
Jacqueline Harpman
4.01★ (782)

"Dès que je le vis, je sus que Léopold Wiesbek m’appartiendrait. J’avais onze ans, il en avait vingt-cinq…" Prise ainsi par une passion que rien n’éteindra, Émilienne devra attendre son heure. Talentueux, beau, aimé des femmes, Léopold fait un mariage d’argent pour pouvoir se consacrer à la peinture. La jeune fille va lentement tisser sa toile, ne reculant devant rien, sacrifiant au passage quelques existences. Des années plus tard, après la mort de son amant, Émilienne, désespérée mais sans remords, demeurera certaine que c’était le prix à payer pour vivre sa passion.
8. Du côté d'Ostende
Jacqueline Harpman
3.66★ (146)

Au crépuscule de sa vie, Henri Chaumont, qui a toujours dissimulé son appétit pour les personnes de son sexe, considère tristement qu’il n’a pas assez vécu : » J’étais un jeune homme plein d’avenir, je suis un homme sans passé ; on se gaspille. » Dans un Bruxelles intemporel, il est au moins une amitié, féminine, qui a résisté au temps, celle qui le liait à Émilienne Balthus. Au début du récit, Émilienne meurt. Elle laisse des carnets qu’Henri ne peut s’empêcher de lire et qui vont le replonger dans son propre passé. Ainsi se souvient-il du suicide d’un adolescent qui pensait l’aimer sans espoir de retour… Un conte cruel, elliptique, élégamment immoral.
9. Ostende
Christiane Levêque
Flâneuse et glaneuse, celle qui avait déjà croqué « Le Mokafé » si élégamment compose ici pour nous de petits tableaux cubistes qui viennent d'en-deçà du regard. Avec la même matière que nous avions sous les yeux, et que nous avons négligée. Comme nous négligeons les coquillages imparfaits dont d’autres font des bijoux. L’inconnu que nous avons croisé cet hiver sur la digue, accent marqué, bonnet de guingois, il est là. Je l’avais vu et oublié. L’enfant de l’été, attendrissant et insupportable, qui a reçu une plage entière de sable dans l’œil et réclamera consolation, il est là. Le petit couple tactile qui partage une tasse de café, il est là. Et l’ami disparu, de quelque saison qu’il fût, qui passe ses doigts de vent dans nos cheveux, il est là aussi. Tout ce que nous avons vu et déjà oublié est dans ces pages. Sans romantisme, sans nostalgie, sans interprétation. Entre deux laisses de mer, Christiane Levêque murmure une gymnopédie inspirée, qui semble s'épuiser au bout de l’estacade, mais qu’une malle en partance reprend, en attendant de rattraper un petit carton bleu signé Flore. Pascal Blondiau
10. Ostende 21
Arthur Loustalot
3.38★ (29)

Adèle et Joseph ont le pouvoir et la grâce de la jeunesse. Amoureux fous. Une virée en Belgique leur fait découvrir Ostende. Ils dorment dans les anciens thermes, un immense palais défraîchi est faite pour jouer. Adèle et Joseph ont rendez-vous avec la chance. Ils sont sûrs d'avoir trouvé la formule pour triompher aux tables de black-jack. Il n'y a qu'une condition pour prolonger le rêve : ne pas dépasser 21. Les amants envoûtés perdent et gagnent. Protégés du monde extérieur, dans les cris électriques des machines et cet instant suspendu où les cartes se révèlent, leur passion exulte. Ils reviendront, c'est une promesse. Alors le piège se referme. Arthur Loustalot signe un roman déchirant sur l'amour, la jeunesse et l'emprise - sur toutes nos folies.
11. La nuit d'Ostende
Paule Noyart
3.56★ (53)

Dans la Belgique des année 1920 à 1950, trois générations d'héroïnes inoubliables nous entraînent dans une saga captivante; Au fil des ans et d'un quotidien malmené par la petite et la grande histoire, trois femmes font battre le coeur de cette saga. Avec les êtres qui gravitent autour d'elles, elles conjuguent la vie avec la vie, la vie avec l'amour, la vie avec la mort. Plus que les liens du sang, et en dépit de leurs aspirations propres, leur volonté de vivre dans la liberté du corps et de l'esprit fait de ces femmes des âmes soeurs. Irène, la cosmopolite, veut traverser le siècle et l'Europe à cent à l'heure, goûter à tous les fruits défendus. Delphine, la sage, n'aspire qu'à l'ordre et à la sérénité : elle aime sans poser de questions, sans revendiquer, mais elle affronte avec bravoure. Entre les deux, Odile, enfant lumière, porte sur son univers un regard sans concession ; elle cherche sa vérité, n'hésitant pas à renier les croyances que lui impose le monde bourgeois dans lequel elle est née. Jusqu'à ce que leur destin bascule, le 10 mai 1940, quand Hitler envahit la Belgique.
12. Édouard Pignon Ostende (1946-1953)
Philippe Bouchet
5.00★ (2)

Catalogue officiel de l’exposition Édouard Pignon Ostende (1946-1953) au musée des Beaux-Arts de Lyon du 18 mai 2017 au 21 août 2017. Considéré dès le début des années 1940 comme un coloriste d’une grande sensibilité – influencé par le dessin et la conception de l’espace de Matisse –, regardé depuis l’étranger comme l’un des peintres les plus doués de sa génération, Édouard Pignon (1905-1993) prend son autonomie avec le groupe des « Jeunes peintres de tradition française » en faisant, dès l’après-guerre, le choix d’une figuration libre et indépendante. Décidé à prendre ses distances avec la scène artistique parisienne, animé d’un véritable désir de renouvellement de sa peinture, Édouard Pignon s’installe à Ostende au détour d’un voyage en Belgique. Immédiatement séduit par « l’atmosphère délicate » du port, le « bruissement des formes », le « balancement léger de la lumière et des voiles », il esquisse dans la solitude d’Ostende un nouveau mode de production sériel qui marque aussitôt un tournant décisif dans son œuvre, attestant dès lors un style personnel fondé sur une conviction du réel et un lyrisme de l’espace.
13. La rêveuse d'Ostende
Éric-Emmanuel Schmitt
3.78★ (4129)

Pour guérir d'une rupture sentimentale, un homme se réfugie à Ostende. Sa logeuse, une vieille dame solitaire et mystérieuse, Emma Van A., se confie peu à peu à lui et, un soir, finit par lui avouer son grand secret : une étrange et incroyable passion amoureuse. Fiction ou réalité? Cinq histoires - "La rêveuse d'Ostende", "Crime parfait", "La guérison", "Les mauvaises lectures", "La femme au bouquet" - où Eric-Emmanuel Schmitt montre le pouvoir de l'imagination dans nos existences.
15. Ostende 1936 - Un été avec Stefan Zweig
Volker Weidermann
3.48★ (52)

Voir ma critique du 21 avril 2017
16. Ostende
Claude Amoz
Nouvelles de Claude Amoz, Didier Daeninckx, Pascal Garnier, Hugues Pagan et Michel Quint.
17. Mémoire en images OSTENDE
Omer Vilain
5.00★ (2)

Ouvrage édité par Omer VILAIN (1924-2013), ancien bibliothécaire et membre du conseil municipal d'Ostende. ~~~ Suggestion d'Oran~~~~
18. Assassin
Bernard Wesphael
4.40★ (10)

Brisé de chagrin, dérouté par la mort soudaine de son épouse Véronique Pirotton dans la chambre qu’il occupait avec elle dans un hôtel d’Ostende, le député Bernard Wesphael est inculpé de meurtre avec préméditation. C’était le 31 octobre 2013 à 23h05.
19. Kamer in Oostende
Koen Peeters
Titre en Français : "Une chambre à Ostende". Un écrivain raconte l'histoire de sa longue amitié avec un artiste peintre. Ils se retrouvent, à chaque fois à Ostende, où ils ont trouvé également l'amour de leur vie. Ils rencontrent des pêcheurs, des Congolais, des architectes, Paul Snoek et Hugo Claus, Léon Spilliaert et James Ensor. Et des femmes ...
20. James Joyce in Ostend
Xavier Tricot
4.50★ (1)

James Joyce (1882-1941), un des plus grands écrivains du 20ème siècle, a passé une partie de l'été 1926 avec son épouse Nora et sa fille Lucia à Ostende. Le romancier y a fait de longues promenades et écrit une multitude de lettres. Lucia Joyce (1907-1982), une danseuse pŕofessionnelle, y a pris de nombreuses photos, dont plusieurs sont rendues publiques pour la première fois. Dans une lettre à un ami du 11 août 1926, James Joyce a noté : "Ceci est l'endroit de loin le meilleur où nous avons été pour les vacances d'été".
21. Oostende in de Belle Époque
Kurt Van Eeghem
Une évocation de la période la plus glorieuse de la ville balnéaire belge, dans les pas du grand artiste peintre James Ensor (1860-1949).
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