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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
La légende de Rome commence lors d'une épique guerre. Celle de Troie. Rome est lié au destin d'un prince troyen, Enée, qui laissera sa ville aux flammes pour chercher les sept collines qui accueillera son peuple survivant.
Et derrière ce destin, les dieux s'amusent ou se vengent... Les mortels recherchent à tout prix leur bénédiction, mais c'est surtout leur malédiction qu'ils recoivent...

Ce premier tome de Roma débute donc par la guerre de Troie en 1250 av JC. Une histoire tragique et machiavélique comme les aime l'histoire de la rome antique!
Une histoire rythmée qui tient en haleine. Et qui se révèle cruelle.
Un bon début pour cette série qui risque de s'avérer sombre.

Le dessin a un trait fin et délicat auquel j'ai parfois du mal à adhérer pourtant.
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Roma est une série concept autour du mythe de la ville éternelle. On dit d'ailleurs que tous les chemins mènent à Rome. J'ai beaucoup aimé la série TV Rome qui décrivait la vie sous le grand Jules César. Ce faut passionnant à souhait. C'est un empire qui a duré 1000 ans pour sa partie orientale (l'Empire byzantin ayant poursuivi l'oeuvre de Rome). Tout ce qui attrait à cette période de l'Histoire retient incontestablement mon attention.

Bon, ceci dit, on ne peut pas dire qu'on soit en présence d'une grande série. Elle mêle beaucoup trop le fantastique à l'Histoire pour inspirer une réelle crédibilité. Ce n'est pas mal mais sans être véritablement merveilleux. Par ailleurs, en guise de Rome, on va retourner à l'histoire des grecs et du fameux siège de Troie.

J'ai eu un peu de mal à croire que la future Troie, c'est Rome. Et pourtant, selon une légende bien connue, Enée, le célèbre héros troyen, aurait quitté sa cité détruite pour fonder une nouvelle Troie. C'est plutôt ses descendants qui ont fondé cette ville à savoir Rémus et Romulus. Ils sont d'ailleurs été abandonnés et élevés par une louve.

L'orientation prise est beaucoup plus mythologique. J'ai trouvé que cela manquait un peu de dynamisme bien que cela se laisse lire agréablement. le dessin est réaliste et précis comme ce que j'apprécie. Les dialogues manquent également d'un peu de saveur.

Au final, on aura une genèse de Rome un peu spéciale sous l'angle d'une antique malédiction née d'une souillure commise par deux hommes en chaleur. Ouais si on veut…
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Un tome esseulé dans la BDthèque familiale… tiens tiens… celui-là, on l'a surement acheté par hasard, puis oublié… Voyons voir si on complètera la série ou pas...

Ce premier tome démarre l'histoire de Rome à ses origines les plus lointaines : la guerre de Troie et la fuite d'Enée lors de la chute de la ville. A l'histoire mythologique que l'on connait grâce à l'Iliade et à l'Enéide, vient s'ajouter une malédiction qui prend la forme d'une statuette, ajoutant un côté fantastique à une épopée qui l'est déjà quelque peu.

L'idée est excellente mais je ne suis pas tout à fait convaincue par ce premier tome et je ne sais pas trop dire pourquoi… J'ai comme un goût de trop peu, tout en ayant l'impression que c'est too much… J'apprécie pourtant le dessin réaliste et agréable à regarder.

Du coup, il va falloir que j'aille acheter le second tome pour vérifier si mon impression se confirme… mais c n'est pas urgent...
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Cette série réécrit l'Histoire en conférant un pouvoir infernal à une statue, le Palladium, qui permet à Troie dans un premier temps, puis à Rome de s'imposer dans le monde antique.
Ce premier tome débute au siège de Troie en 1250 avant J.-C., quand deux amis, le grand prêtre Aquillon et le général Léonidas, acceptent l'entrée dans la ville du Palladium et de deux de ses servantes, avec qui ils finissent par se marier. Dés lors leurs familles verront leur destinée liée à la magie d'essence divine que cet objet dégage.
Bon autant le dire tout de suite, le prétexte initial tient du délire fantastique et ne ravira que les plus grands fans d'ésotérisme. Par contre, l'interconnexion entre cet imaginaire et les événements de l'Illiade passe bien, car les personnages sont conformes à ce que nous en connaissons.
Le récit de la guerre de Troie reste donc cohérent et comme l'est le départ du prince Énée vers Rome.
Le dessin de Régis Penet n'est pas formidable, mais malgré tout la BD se laisse lire.
Pour une fois, je ne suis pas convaincu de l'utilité des notes finales, qui n'apportent pas grand-chose.
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Attirée par la recommandation du magazine Historia et par le nom de Gilles Chaillet, dont j'avais adoré le dessin dans "Vinci, l'ange brisé", que j'avais à l'occasion identifié être l'auteur de l'incroyable somme "Dans la Rome des Césars" de laquelle je ne suis toujours pas remise dix-sept ans après, je me suis saisie de ce premier tome de Roma les yeux fermés et... j'ai été quelque peu surprise. Si j'avais lu la quatrième de couverture, j'aurais pourtant été prévenue !

Pour ce qui est du cadre "historique" (forcément relatif quand l'intrigue se situe en 1250 avant JC), je m'y suis retrouvée sans problème. Je trouve que la cité de Troie est bien représentée, elle est vraiment rendue vivante, et les costumes, armures et compagnie collent avec les connaissances que l'on a de l'époque. Bel accomplissement du dessin et de la couleur ! Franchement, on y croit !

Pour ce qui est de l'intrigue, je suis plus mesurée, mais par goût personnel, parce que le scénario est globalement bien construit (j'ai bien aimé les dialogues !), les idées tout à fait en phase avec la mythologie, la religion etc. de l'Antiquité dans l'esprit. Les auteurs imaginent une malédiction, jouant donc avec des forces occultes, qui s'abat sur deux Troyens et sur leur descendance, qui va accompagner Énée dans sa quête de la Nouvelle Troie
.
On y retrouve Enée bien sûr, ainsi que Cassandre, on aperçoit Priam, Ajax, Ulysse, Agamemnon une fois ou deux chacun et ça s'arrête là pour les Classiques. Les auteurs ajoutent et donnent la place centrale à de nouveaux personnages et à une nouvelle intrigue par rapport à celle bien connue de Virgile et consorts, tout en retombant sur leurs pattes puisque les grandes étapes en sont malgré tout les mêmes. En fait, les deux histoires (la Classique et celle des auteurs) se suivent en parallèle et par moments s'entrecroisent.
Bon, je ne suis pas vraiment convaincue, je vais quand même lire le deuxième pour voir vu que je l'ai sous la main.
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Appréciant les bandes dessinées historique, j'étais ravi de tomber sur celle-ci à la bibliothèque. J'ai malheureusement été déçu par la place prise par la statue Palladium et la dimension fantastique qu'elle induit. Je ne suis pas certain de lire les tomes suivants.
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