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3,99

sur 1205 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Lire un roman de Jussi Adler-Olsen, c'est comme retrouver de vieux amis. Des amis lointains, qu'on a malheureusement l'occasion de ne voir qu'une fois par an, mais dont les retrouvailles sont toujours un moment fort en émotions. Sentir qu'on s'est profondément manqué les uns les autres, et se revoir comme si on s'était quittés la veille.

Le flegmatique Carl Mørck, l'énigmatique Assad, la dynamique (dynamite ?) Rose. Trois personnages inoubliables (mention spéciale à Assad, qui est sans doute mon personnage de fiction préféré. Au point que parfois je pense qu'il existe vraiment et que, durant ma lecture, je commence à parler comme lui, alors).

C'est le sixième roman de la série. L'auteur est tellement doué qu'un lecteur novice y trouvera clairement son compte s'il commence par celui-ci. Pour les autres, les retrouvailles s'annoncent particulièrement intenses. Attendez-vous à en apprendre de belles sur le passé de nos protagonistes. Enfin juste un peu, hein (et voir aussi s'ouvrir foultitudes de nouvelles interrogations…). Il est un peu sadique, ce danois facétieux.

Lire un roman de Jussi Adler-Olsen, c'est s'imprégner de la société danoise et partir dans un voyage plein de belles découvertes. Cette fois-ci c'est au tour de l'île de Bornholm, dans la mer Baltique, de nous accueillir. C'est particulier de vivre sur une île, croyez-moi.

Lire un roman de Jussi Adler-Olsen, c'est ressentir des sensations fortes, outre l'amour inconsidéré qu'on porte aux personnages. Se passionner, s'indigner, s'amuser… Chaque roman de l'écrivain danois est un florilège d'émotions, par la grâce de son écriture unique. Un mélange détonnant, entre une certaine froideur toute nordique et des envolées drolatiques irrésistibles. le tout, pour nous peindre sans concession des pans de notre société occidentale. Personne ne raconte les histoires comme lui. Mention spéciale, une fois de plus, à l'exceptionnel travail de traduction de Caroline Berg, qui fait partie intégrante de cette aventure.

Après un précédent roman (L'effet papillon) où la critique acerbe de la classe politique danoise était prégnante, le voici qu'il change de registre. L'histoire repose sur un fait divers qui semble totalement banal, et JAO arrive à nous pondre 650 pages sans que vienne poindre le début de l'embryon du commencement de la moindre longueur. Quand on sait que le rythme y est loin d'être effréné (sauf au final), c'est un véritable exploit du maître danois.

Il faut dire que l'intrigue est bien plus complexe qu'il n'y parait, que l'auteur s'en donne à coeur joie pour embrouiller les pistes, et en profite pour nous plonger dans l'univers des sectes et autres occupations ésotériques.

Fermer un roman de Jussi Adler-Olsen, c'est se sentir connecté avec l'auteur et ses personnages, avec un pincement au coeur à l'idée qu'il va falloir attendre une année pour retrouver des amis chers (même s'ils sont franchement un peu dérangés).

Venez donc vivre un étonnant moment avec Carl, Assad et Rose, alors (mais si le malheur veut que les deux derniers nommés vous proposent un thé de leur fabrication, je vous conseille fort de refuser poliment).
Lien : https://gruznamur.wordpress...
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Je n'ai hélas pas suivi chronologiquement les enquêtes de Mørck et de ses étonnants assistants que sont Assad et Rose. Je croyais pourtant mais à la lecture de celui-ci, je me suis dit qu'il m'en manquait un.
Car ce qui fait ma dépendance à ces "affaires classées" nordiques, ce sont tous les personnages qui gravitent autour de ce fainéant attachant de Mørck.
D'accord c'est lent, l'enquête piétine, mais si on se coltine ce genre de pavé, après les autres, ce n'est pas pour avoir un thriller de série TV.
C'est pour l'ambiance, pour les réparties incongrues d'Assad, le tempérament improbable de Rose (ou de sa soeur).
Ici, on plonge dans une secte solaire, l'académie de naturabsorption dirigée par un magnifique Atu Abanshamash Dumuzi et son âme soeur Pirjo.
Et on croise des époques, des enquêtes, en attendant le final qui reliera le tout... On en est sûr, on est malin, on a compris...
A lire (dans l'ordre de préférence, désolé...).
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Quand Carl Mørck, en pleine sieste, est réveillé par un coup de fil intempestif, il ne prend pas de gants pour se débarrasser au plus vite de l'importun. de toute façon, le département V croule sous les dossiers en attente et ne peut pas aider un obscur collègue qui le dérange depuis l'île de Bornholm.
Mais quand il apprend que l'homme s'est suicidé pendant son pot de départ, le commissaire n'a plus le choix. Il va devoir se pencher sur l'affaire dont voulait l'entretenir Christian Habersaat. L'équipe se rend donc sur l'île pour découvrir que le défunt avait consacré les dix-sept dernières années de sa vie à une enquête non résolue : la mort d'Alberte, une jeune fille dont il avait lui-même découvert le corps, dans un arbre, percuté par une voiture. Accident avec délit de fuite ou crime délibéré ? C'est la question à laquelle le département V va devoir répondre, pour que leur collègue ne soit pas mort pour rien, pour qu'Alberte puisse enfin reposer en paix.

Après avoir décrié le monde politique danois, Jussi Adler Olsen change de registre pour la sixième enquête du département V. Carl, Assad et Rose fouillent encore une fois le passé, mais cette fois, ils enquêtent du côté des sectes. de l'île danoise de Bornholm à la suédoise Öland, les trois compères suivent les traces d'Atu Abanshamash Dumuzi, l'ancien hippie, charismatique et séducteur, devenu gourou. Toujours auprès de lui, la fidèle Pirjo le protège de ses admiratrices, subit en silence ses liaisons et rêve de lui donner un fils. Ces deux-là sont-ils liés à la mort d'Alberte ? Les enquêteurs devront creuser le passé pour découvrir la vérité.
Comme d'habitude, on suit avec beaucoup de plaisir les péripéties de nos trois héros. Après une baisse de régime dans L'effet papillon, Adler Olsen revient en force avec une enquête pleine de rebondissements où l'on croit trouver le coupable pour mieux changer d'avis deux pages plus tard, grâce à un retournement de situation dont l'auteur a le secret. Toujours aussi attachant, le trio nous offre encore des dialogues drôlissimes, des engueulades (Rose) et des marques d'amitié et de fidélité (Assad). Entre deux pistes à suivre, on divague du côté de la vie privée de Mørck qui traverse quelques déboires familiaux, alors qu'Assad reste toujours aussi énigmatique quant à ses origines et son passé.
Un bon gros pavé, vif, surprenant et addictif. Vivement la suite !
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Suite au suicide d'un policier Christian Habersaat, l'équipe du département V se trouve embarquée dans une vieille affaire survenue 17 ans auparavant. Habersaat avait consacrée la majorité de son temps depuis toutes ces années à essayer de retrouver le responsable de l'assassinat d'une jeune fille, Alberte, fauchée par un véhicule lancé à vive allure sur l'île de Bornholm. Or la preuve du meurtre n'ayant jamais été apportée, l'affaire avait été considérée par la police comme un simple accident de la route et classée. Mais peu de temps suffit à nos trois enquêteurs hors normes pour comprendre que le défunt avait vu juste… Qui s'en était donc pris à cette charmante jeune fille ? Jalousie ? Sombre règlement de compte ?

L'enquête va rapidement les mener sur la piste d'un combi Volkswagen peace and love et son conducteur, un certain Frank, spécialiste de religions anciennes, culte du soleil et énergie de la nature…Nous suivons en parallèle la vie d'un gourou des temps modernes, Atu Abanshamash Dumuzi, désireux de fondre toutes les religions en une unique, la sienne, accompagné de son bras droit, Pirjo, une adepte redoutable, prête à tout pour le conquérir. Car le pouvoir de séduction d'Atu a fait de lui un bourreau des coeurs et des corps et pas que féminins… Et les âmes perdues sont nombreuses en quête de reconnaissance, conditionnées à tomber dans le premier piège venu…affaire juteuse pour celui qui sait en tirer parti.

Bref un retour dans un passé mal digéré par beaucoup, des scènes inoubliables dans les bureaux surchargés de l'équipe, en passant par une séance d'hypnose et quelques considérations sur les dromadaires, vont peu à peu amener Carl, Rose et Assad vers le point central où semble se clore l'affaire. Mais nos malheureux ne sont pas au bout de leurs peines et une louve n'est pas à un cadavre près pour rester maitresse de sa tanière. Jusqu'au bout le suspense demeure et les fils de cette ancienne affaire mêlés aux drames du présent nous offrent une enquête peu commune et envoûtante. Encore un bon cru que cette 6ème enquête du département V !
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On oublie les polars sanglants qui nous font cauchemarder et place à l'analyse psychologique fine et sensible de Jussi Adler Olsen.

Dans la 6ème enquête du trio improbable du Département V, une affaire irrésolue vieille de 20 ans va refaire surface. Nos enquêteurs seront touchés par cette affaire de meurtre qui met en scène des êtres cabossés, abîmés par des relations familiales et amoureuses compliquées.

Jussi Adler Olsen truffe sa narration de flash-backs qui donnent le tournis, mais il n'abandonne jamais le lecteur. Cette double narration est illustrée de pépites stylistiques de notre cher Assad, des états d'âme de Carl et de la perspicacité et l'efficacité de Rose.
L'écriture de Adler Olsen est drôle, même si tout en finesse elle dépeint beaucoup d'empathie pour ses personnages.

L'auteur maîtrise parfaitement l'incursion dans les sciences occultes dans une narration agréable et cohérente avec une intrigue toujours aussi bien ficelée.


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C'est toujours un plaisir certain de retrouver les membres du Département V. J'avais ressenti une certaine lassitude lors du tome précédent, sentiment que j'avais attribué en partie au fait que j'avais lu deux tomes presque coup sur coup.
Cette fois, j'ai laissé passer un peu de temps et les retrouvailles avec Carl Assad et Rose (et Gordon) n'en ont été que meilleures.
D'autant que le temps a passé entre 'L'effet papillon' et 'Promesse'. Beaucoup de choses sont restées pareilles mais certains éléments ont évolué sans que ça ne change la dynamique du récit, c'est même à se demander si Adler-Olsen n'a pas choisi de faire ce bon dans le temps dans l'unique but de se séparer de quelques personnages secondaires.
Cette fois, nos compères reprennent l'enquête qui a obsédé un policier depuis plus de vingt ans, le conduisant même au suicide.
L'auteur se joue de nous, nous donnant l'impression que nous devançons la police danoise et arrive finalement à nous surprendre.
Un bon tome que j'ai lu avec intérêt même si, finalement, je pense qu'il serait temps de faire évoluer quelque peu les personnages principaux.
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Un bon opus que cette enquête du département V.
Il y a des crimes et des suicides, mais pas de gore ou de choses malsaines gratuites, et ça c'est appréciable. Je n'ai rien contre ces éléments, mais quand cela se justifie, ce qui n'a pas toujours été le cas avec Adler Olsen.
Le milieu d'une communauté sectaire est pas mal, j'aime bien toute cette ferveur, ce fanatisme autour d'une personnalité et d'une mythologie.
Carl, Rose et Assad sont toujours aussi sympathiques à suivre. Et le mystère Assad est de plus en plus intrigant !
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Je suis rassurée: ce 6ème tome des enquêtes du département V est très bon, et rattrape la mauvaise impression que m'avait laissé "l'effet papillon". Je sentais le style de l'auteur essoufflé, mais il nous revient ici plein de fraîcheur: de nouveaux thèmes comme l'ésotérisme, les sectes et les médecines alternatives nous changent des sempiternelles intrigues politiques. On retrouve Jussi Adler-Olsen meilleur que jamais, c'est à mon sens un de ses meilleurs livres. L'enquête reprend ses droits et revient au premier plan, fil conducteur tout au long du livre (pas comme dans "l'effet papillon" où la fuite de Marco l'avait complètement supplantée).

Il y a du rythme dans ce livre, dont le déroulement est harmonieux: émaillé juste comme il faut de percées dans l'enquête et de rebondissements, passant du point de vue d'un personnage à l'autre, sans longueurs. L'auteur nous en apprend encore un peu + (enfin, si peu...) sur Assad, comme s'il s'agissait d'un jeu pour lui de nous garder au bout de son hameçon. L'idée était bien trouvée pour nous tenir en haleine, mais au bout de 6 romans, on ne sait au final toujours pas grand chose et ça devient presque du sadisme que de nous distiller les infos au compte goutte comme ça! En tant que fidèles lecteurs, on mériterait quelque chose d'un peu + consistant après tout ce temps passés ensemble je trouve! :) Enfin, il paraît que la série doit comporter 10 volumes, il en reste donc 4 pour faire éclater la vérité...

L'auteur s'est certes documenté sur l'ésotérisme et les médecines alternatives, mais certains passages m'ont quand même un peu gêné: on sent l'amateurisme en la matière et on a souvent droit à de bons gros préjugés. Secte/ésotérisme: le roman traite des 2 sujets et l'amalgame peut aisément être fait. Ayurvéda et "activation de l'ADN quantique" sont ainsi placés dans le même panier... J'ai tout de même apprécié que J.Adler-Olsen sorte un peu de ses thèmes de prédilection.

Longtemps je me suis demandée pourquoi Habersaat avait si bien dissimulé les indices si il souhaitait que Morck et son équipe reprennent l'enquête, ça ne semblait pas logique. Mais tout s'éclaircit dans les derniers chapitres, que j'ai lu d'une traite tant ils étaient intenses, en action comme en émotions. Un vrai feu d'artifice, pas toujours très gai mais magistral. On croit avoir deviné le fin mot de l'histoire, et puis en fait non, et on nous re-balade encore... Très déroutant, très percutant. Il est tout de même à noter que le fait que Carl et/ou Assad se retrouvent en danger de mort à la fin du livre devient récurrent, pour ne pas dire systématique. Je n'en dirai cependant pas + sur ce sujet au risque de spoiler les autres livres de la série. Je reste tout de même sur une très bonne note, avec un final très douloureux mais efficace. J'espère que la suite sera du même niveau...
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Lire le dernier Adler-Olsen, c'est comme revoir des amis très chers chez soi, des amis que l'on ne verrait qu'une fois par an.

Alors, on est partagé entre la hâte de les retrouver tout de suite ou l'envie de faire trainer les choses pour ne pas que le plaisir finisse si vite et devoir attendre 1 an avant de les retrouver…

Notre trio – quatuor en comptant Gordon – est toujours aussi frappadingue.

Entre le vice-commissaire Carl Mørk qui ne demande qu'à poser ses pieds sur le bureau pour une sieste; son adjoint Assad, le ténébreux et mystérieux syrien avide de citations sur les camélidés et Rose la… pétillante (veux pas risquer de perdre ma vie en écrivant qu'elle est plus barrée que les 2 autres), on peut dire que l'équipe est originale et sors des sentiers rabattus des équipes de flics.

Un cold case qui va les entrainer sur des pistes plus froides que la libido d'une nonne morte il y a 600 ans, des indices plus maigres qu'un moineau qui mange pas et cette horrible sensation qu'ils sont dans une impasse et qu'ils n'arriveront pas à faire la lumière sur cet accident qui eut lieu vers 1999.

Servi par une écriture qui fait mouche et un scénario tip-top composé de l'enquête et des moments de vie, notre équipe va remonter la piste cahin-caha, entrainant le lecteur avec lui pour arriver à un final inattendu et à cent lieues de ce que je pensais. L'auteur m'a encore bien berné.

Ce que j'aime, avec cette équipe, c'est qu'au fil de leurs enquêtes, on en apprend un petit peu plus sur eux et je dois dire qu'il y a des secrets assez chaud boulette dedans ! Mais je ne sais pas encore tout… Déjà que le cousin a lancé un pavé dans la mer suivit par un hypnotiseur… Ça promet pour la suite.

Mon seul bémol sera pour le manque d'émotions… Ici, nous sommes face à un excellent cold case, certes, mais qui n'explore pas une partie sombre du Danemark.

Le frère de Merete m'avait émue dans le premier, j'avais frémi de dégoût devant les frasque des étudiants dans le 2ème, les femmes de l'asile m'avaient fait mal au coeur dans le 4ème (pas lu le 3ème) et Marco du 5ème tome m'avait mis de l'eau dans les yeux.

Ici, nous avons une enquête, excellente et qui réserve son lot de surprise, mais je n'ai pas sorti les kleenex comme d'habitude.

Un trio hors norme, des personnages bien calibrés, une enquête palpitante, un pied dans deux époques, une piste froide mais qui se réchauffe au fil des pages, de l'humour, des dictons sur les chameaux ou les dromadaires, du cynisme, du suspense, un final survolté (mdr), des références à Holmes et l'envie de retrouver mes amis du Département V l'année prochaine.

Avec le côté sombre du Danemark et l'émotion, je l'espère, parce que l'auteur est doué pour me coller une crasse dans l'oeil.

Parce que, comme disait le dromadaire au chameau : l'humidité de l'oeil, c'est important.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Voici quelques mois que j'avais quitté Morck et ses acolytes après avoir beaucoup apprécié L'effet papillon. J'ai retrouvé avec plaisir le département V même si je dois dire que ce tome 6 n'est pas le plus réussi pour moi.
Carl, Assad et Rose enquêtent sur le décès d'Alberte survenu il y a une vingtaine d'années. La jeune femme a été retrouvée dans un arbre, probablement percutée à vive allure par une voiture. Peu emballé au départ, le suicide du policier ayant consacré sa vie à l'enquête contraint Carl à s'engager à résoudre ce crime impuni.
Toutes les pistes mènent vers Franck, un homme séduisant, qui a laissé sur son passage des femmes émues par le souvenir de ses prouesses sexuelles et qui est devenu gourou d'une secte adoratrice du soleil.
Le suspense est ménagé jusqu'au bout et c'est tout le talent de l'auteur qui continue de distiller quelques informations sur le passé d'Assad et sur la fusillade qui a causé la mort d'un des coéquipiers de Carl ainsi que la paralysie de Hardy. Il manque toutefois cette touche d'humour qui ponctuait joyeusement dans les précédents opus les aventures du trio - peu de dictons avec des chameaux pour protagonistes, quel dommage ! Jusqu'ici, Adler-Olson avait également l'art de rendre sympathique les victimes, au point qu'elles volaient parfois la vedette aux véritables héros du polar. Rien de tel dans Promesse.
Je reste un peu sur ma faim, ce qui ne m'empêchera pas de lire le tome 7 😊 !
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