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3,5

sur 218 notes
Ma toute (toute) Première fois avec cet auteur et ce héros récurrent, Fabian Risk, qui enquête sur la disparition du ministre de la justice suédois. de l'autre coté du détroit, au Danemark, la femme d'un célèbre présentateur tv est sauvagement assassiné. C'est au tour de l'enquêtrice Dunja Hoogard d'entrer en scène.
D'autres corps mutilés vont faire surface. le début d'une double enquête noire, très noire.

Comme vous l'avez compris, on a deux enquêtes qui présentent des similarités et vont finir par s'entrecroiser à un moment donné. Bonne idée, sauf que je me suis vraiment perdue entre les deux enquêtes, entre les personnages. La neuvième tombe est une pavasse construite sur des chapitres courts, et en audio, je mettais parfois du temps à réaliser si j'étais encore en Suède et vice versa. ça a vraiment été pesant jusqu'à ce que j'entre vraiment dans le roman (arrivée à la moitié je pense) et que je m'y fasse enfin.

J'ai failli lâcher l'affaire, mais je suis contente d'avoir persisté parce que: l'intrigue est bien pensée, bien foutue et rythmée par de nombreux rebondissements. J'ai beaucoup accroché avec les multiples personnages qui composent ce roman.

Par ailleurs, la thématique choisie est dure et passionnante, et la tension que Stefan Ahnhem a réussi à installer m'a tenue en haleine dans la deuxième partie du roman.

En bref, j'ai aimé cette lecture, mais mon avis est mitigé dû aux scènes un poil too much pour moi et une complexité à la compréhension dans la première partie du roman. Je retenterai l'expérience par curiosité.
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C'était très bien parti...

J'ai lu plusieurs critiques qui notais comme erreur, la quantité de personnages et de crimes, mais ils finissent par se relier, donc si on n'est pas un fan d'histoire "Marvel" simple simple ça devrait aller pour suivre.

Où ça devient un problème c'est la fin, après un sans faute, l'auteur semble avoir terminé son livre sur l'héroïne (celle qui ne s'injecte pas celle de l'histoire), des incohérences énormes, tant sur les idées des personnages que sur la vie en général. Une femme qui fait entrer une autre femme, enceinte et sous sédatifs dans un chantier d'ambassade sans aide n'y passe-droit (c'est même chez son ennemi), alors que deux policiers vont se faire descendre en fait la même chose... un autre flic trépané "le cerveau à l'air libre" qui porte la femme enceinte et conduit…

Alors si ça ne vous dérange pas de lire 700 pages avant de tomber dans du n'importe quoi... ce livres est pour vous.
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Avis : 4/5

Personnages : 4/5
Décors : 4/5
Trame : 4/5
Emotion : 4/5
Globale : 4/5

Ayant franchement été conquis par Hors cadre, il paraissait obligatoire de passer au tomes suivants. Mais là : horreur ! J'avais manqué la sortie du 2ème opus... du coup, obligé de rattraper mon retard en commençant par La neuvième tombe !

Les enquêtes se déroulant à deux endroits, nous avons évidemment deux équipes de police totalement antagonistes ; peut-être trop.
En Suède, Fabian Risk mène le bal. Il devra savoir faire la part des choses avec sa vie de famille qu'il délaisse. Avec lui, Malin, sa coéquipière enceinte jusqu'aux yeux de jumeaux qui voit souvent juste, va à l'essentiel et surtout, qui est motivant et drôle la fois. J'avoue avoir un faible pour ce personnage le plus complet à mon sens. Leur supérieur, Edelman, les soutient, du moins en partie. Deux autres membres de l'unité vont les rejoindre quand l'enquête deviendra proche de son dénouement. En arrière-plan, une ancienne collègue, Niva, aidera incommensurablement l'équipe non sans faire du rentre-dedans à Risk. Elle a les outils, l'intelligence et la motivation pour s'aider au mieux des technologies.
La photographie au Danemark est donc le contraire. Dunja Hougaard est bien esseulée, livrée à elle-même, abandonnée par ses collègues. Son chef, Sleizner, lui refile l'enquête uniquement parce qu'il la trouve attirante. D'ailleurs, la lourdeur du type se fait de plus en plus pressante avec son comportement déplacé. du fait que Dunja est à la tête de l'équipe, ses collègues le prennent très mal. Surtout Hesk, prêt à lui mettre des bâtons dans les roues et jouer avec le feu. 
Hormi Malin et Niva, les personnages sont assez classiques. La présence de Dunja, à mon avis, demeure sous-utilisée par rapport à celle de son homologue suédois.

Tout commence par quelques mots sur du papier qui tombe d'un camion entre Israël et la Palestine. Nous aurons droit à plusieurs chapitre là-bas et le tout est bien dépeint.
L'essentiel du temps, nous le passons en Suède, en Scanie. Les faits se déroulent en automne et en hiver et nous ne sommes pas épargnés par le climat nordique. Au Danemark, l'auteur s'est moins attardé sur cet aspect. 
Etant donné la longueur du roman, Stefan Ahnhem a certainement voulu privilégié la trame aux décors, sans quoi il aura frappé 1'000 pages sans se forcer.

La trame, justement, parlons-en ! Comme précédemment précisé, La neuvième tombe est vraiment long. Pour autant, long ne signifie pas automatiquement lent ou ennuyeux. 
Un bon premier point : impossible de trouver un lien entre ce qui s'est déroulé en Israël et Palestine avec les événements de la Suède et du Danemark. J'ai longtemps cherché un point de concordance... en vain.
Second élément positif, la variation du lieu des chapitres. En passant d'un pays à un autre, le suspense nous prend, et le mode page-turner est activé.
Troisième point positif : le mobile du responsable des crimes (j'alambique volontairement pour ne pas spoiler). On peut être pour ou contre, toujours est-il qu'il suscite bien des interrogations sur la moralité. J'ai tardé à comprendre ces termes dans le synopsis : "... cette question qui tourne à l'obsession : jusqu'où peut-on aller par amour ?" Et à un moment, ce thème m'est apparu et il faut avouer que Stefan Ahnhem a su l'amener avec brio.
Côté négatif : la narration est parfois mal conduite et embrouille.
A noter certaines incohérences dans les enquêtes qui ternissent les investigations. Des indices tombent aussi du ciel, ou alors les protagonistes traversent des miracles.
Après l'épilogue, on a droit au Chapitre X qui, bien qu'ayant creusé en long et en large, me laisse encore pantois. Que vient-il faire ici ? Un lien avec le tome 3 ? 

La neuvième tombe amène son lot d'émotions : gaité et amusement de Malin, lassitude et désintérêt devant certaines longueurs exagérées, de bon moments de tension et de nervosité, un sens de la vengeance qui dérange, de la rage, de l'irritation devant certains actes, de la surprise au moment de l'assemblage des pièces du puzzle, de la confusion volontairement imposée par l'auteur.

Sans révolutionner le genre, sans briller par excellence Stefan Ahnhem poursuit sur sa lancée. le style d'écriture est attrayant, les enquêtes rebondissent souvent et bien des thématiques sont touchées. Un très bon roman, à ne pas passer à côté.
Lien : https://bmds.ch/2020/12/17/l..
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J'ai connu l'auteur avec le troisième tome de la série Fabian RISK, "Moins 18", que j'avais trouvé très moyen, "Too Much" au niveau crédibilité.
Malgré tout, j'ai ensuite lu le premier "Hors cadre", auquel j'ai trouvé les mêmes défauts, sans que ce soit rédhibitoire.
J'ai donc emprunté ce deuxième tome au réseau de bibliothèques de l'agglo, et là j'avoue que j'ai eu beaucoup de mal à me convaincre d'aller jusqu'au bout, je l'ai fait pour savoir le fin mot de l'histoire, mais finalement je le regrette, car beaucoup de morceaux du puzzle ne se sont pas emboîtés dans mon esprit, et certains étaient mêmes incomplets ! Je n'ai peut-être pas été suffisamment attentif lors de ma lecture, qui a été plutôt pénible, entre les passages très gore, d'autres invraisemblables, et certains d'ordre sexuel qui tombaient un peu comme un cheveu dans la soupe et semblaient écrits pour aguicher une certaine catégorie de lecteurs. Je n'ai rien compris non plus au dernier chapitre, qui suit l'épilogue.
Les policiers ne m'ont pas paru aussi sympathiques que dans mes précédentes lectures ( ou alors je ne me souviens plus de l'impression qu'ils m'avaient laissée).
Je comprends les lecteurs qui ont abandonné en cours, car toute cette histoire, son fondement, son déroulement et sa fin, tout est du Grand Guignol à mon avis.
Je déconseillerai à mon entourage de lire cet auteur,
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Un polar nordique, saignant à souhait, qui revira les fans de littérature policière gore, ou approchante. Stefan Ahnhem est très efficace dans son écriture et la construction de ses récits, avec des personnages nombreux et des enquêtes complexes, met le lecteur à contribution. Comme dans "Moins 18°", nous voilà transportés de Danemark en Suède, des deux côtés du détroit d'Øresund. Deux enquêtes bien distinctes, s'ignorant mutuellement, poursuivant pourtant un même assassin, habile à brouiller les pistes au nez et la barbe des plus fins limiers, avec un dénouement final aussi inattendu que… bâclé ! Cet auteur suédois sait maintenir ses lecteurs en haleine mais ne délivre toujours aucun message, alors que le fond de l'histoire (que l'on ne révélera pas, bien entendu) est pourtant en prise directe avec la réalité politique la plus actuelle…
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Ahnhem signe ici un récit intense et glaçant !
L'auteur nous entraîne dans une intrigue qu'il mène avec brio, avec des meurtres sanglants et voyage entre le Danemark et la Suède donnant du rythme à l'histoire. Un véritable plaisir de le lire avec ces retournements de situations laissant place à un suspense qui nous tient en haleine ! À lire !
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Dans l'horreur, il est difficile de faire mieux ! L'auteur de ce thriller maîtrise parfaitement son domaine et ne manque pas d'imagination. Tout se tient et le suspense est quasi insoutenable. La traduction est claire, l'écriture simple et agréable. Un roman inédit à ne pas lire en période de déprime. MB
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Comme vous le savez, je suis assez friande du genre thriller, également de découvrir des plumes qui me sont inconnues. La neuvième tombe allie les deux, je ne pouvais donc qu'avoir envie de faire cette découverte ! Stefan Ahnhem n'est pas un petit nouveau dans l'univers du thriller, mais il l'est néanmoins pour moi car je découvre sa plume avec ce livre.
J'ai eu un gros bémol durant ma lecture, je me suis parfois perdue parmi les personnages, lorsque j'en croisais un, il fallait que je le resitue, et il faut bien dire que c'est gênant, surtout lorsque nous sommes dans un pavé de pas loin de 700 pages. Mais j'ai aussi eu beaucoup de mal avec certains de ces personnages, comme Fabian ou Dunja par exemple. Pour ces deux personnages qui sont donc policiers, je ne sais comment l'expliquer, mais je trouve que leur statut de policier aurait dû les rendre un peu plus logique, parfois, même si quelque chose est franchement bien visible, ils me donnaient l'impression d'avoir des oeillères. C'est vrai que l'on voit beaucoup mieux ce qu'il se passe chez les autres que chez soi, mais bon, un policier est quand même censé voir certaines choses justement de par son métier qui est de voir ce que d'autres personnes ne verraient pas au premier abord. Si ce n'est pas le cas, à quoi bon perdre plusieurs années d'études et d'entraînement si c'est pour au final ne pas faire mieux qu'un citoyen « normal ».
Bref, passons ce côté négatif et parlons du reste Il y a forcément du positif vu que j'ai malgré tout donné une note de 4 étoiles !
Ce thriller se déroule en deux endroits, le Danemark et la Suède, c'est bien, cela nous permet de voyager, bien que j'ai souvent trouvé les descriptions un peu longues, elles nous décrivent le paysage de manière tellement complète que l'imagination n'a plus grand chose à faire. A ce niveau, c'est vrai que cela change un peu, bien que j'aime faire fonctionner mon côté imaginaire, j'aime aussi qu'il puisse se reposer, surtout que nous sommes dans un thriller, alors mon esprit est plus en ébullition pour décrypter les indices et comprendre le fin mot de l'histoire.
N'ayez pas peur du sang ni du glauque, vous ne finiriez pas le livre, mais je ne pense pas avoir déjà lu un thriller au pays des Bisounours ou des Licornes… Nous sommes bel et bien dans les meurtres sanglants, je dirais même qui vous glacent le sang, qui le fige et qui vous oblige à retenir votre souffle. J'ai trouvé que la construction était néanmoins faite pour retenir le lecteur, pour garder l'intérêt intact, l'auteur a bien joué à ce niveau.
Si je n'avais pas eu de soucis avec le nombre de personnages, j'aurais donné les 5 étoiles sans hésiter. Il n'empêche que je suis curieuse de lire un des autres romans de cet auteur.
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Lorsque Babelio m'a proposé de découvrir le second livre de Stefan Ahnhem, je n'ai pas hésité une seconde tant le résumé m'intriguait, et particulièrement cette petite phrase "jusqu'où peut-on aller par amour ?" qui semblait totalement détonner à la fin de ce sanglant constat. Je remercie donc Babelio et les éditions Albin Michel pour ce polar suédois qui, bien qu'ayant l'aspect d'une brique, se dévore.

Globalement j'ai beaucoup aimé ma lecture, les chapitres très courts, qui s'enchainent, donnent un rythme trépidant au récit et ce, malgré la galerie de personnages impressionnante aux noms compliqués que nous découvrons. Pourtant, j'ai comme un goût d'inachevé en tournant la dernière page; l'impression que tout est allé trop vite sur la fin et que certains liens n'ont pas été faits.

Le récit débute par une mystérieuse lettre perdue, qui resurgit plusieurs années plus tard et sera, on nous l'annonce, à l'origine de tout de qui suit. Pourtant, il ne sera pas évident pour le lecteur de faire le lien, et l'essentiel ne nous sera révélé que bien plus loin dans le récit.

L'ambiance du roman est à l'image de la météo, glaciale; cette atmosphère est admirablement entretenue et les descriptions météorologiques se prêtent bien à la monstruosité des faits. Nous suivons tour à tour les enquêteurs, sur deux état : Danemark et Suède, certaines victimes, et également les tueurs. Tout est très bien orchestré, réfléchi et fait froid dans le dos. On espère, on y croit et Stefan Ahnhem nous surprend par un nouveau rebondissement. L'écriture est incisive, directe et Stefan crée une sorte d'attente à chaque fin de chapitre.

La neuvième tombe est vraiment très bien pensé et agencé de manière à entretenir le suspens tout du long, on ne pourra que louer la vivacité d'esprit des enquêteurs ! Au delà des enquêtes pures, nous côtoyons trois policiers dans leur intimité: Fabian Risk (le héro qui a déjà une enquête à son actif et pour lequel l'auteur est en train d'écrire un nouveau livre), sa co-équipière, Malin, et le contact danois de cette dernière : Dunja. le moins que l'on puisse dire, c'est qu'ils sont bien perturbés ! L'auteur ne les ménage pas dans leur quotidien et l'enquête qui les occupe ne va pas arranger les choses (on se demande même comment Fabian va s'en sortir à l'issue de cette traque); leurs failles et leurs doutes ressortent, ce qui les rends d'autant plus humains.

Si l'auteur sait exactement où il veut nous mener, j'ai eu un peu de mal à trouver rationnels certains actes des personnages [SPOILER] Comme cette victime qui a une peur quasi-phobique du noir et qui, lorsqu'elle découvre le sol de son entrée couvert de plastique, va aller voir ce qu'il se passe dans sa chambre à coucher plutôt que de s'enfuir; et qui, voyant son lit couvert du même plastique, va rentrer dans la chambre [/SPOILER]. J'ai également trouvé certains faits un peu gros, mais ne dit-on pas que plus c'est gros mieux ça passe ?

Je regretterai également de ne pas en avoir appris un peu plus sur Aicha, la jeune-femme à qui est adressée la lettre à l'origine du tout; et cette fin un peu floue qui ne nous apporte pas vraiment la réponse à nos questions.

J'ai dévoré les presque 700 pages de ce polar dont les ramifications et les origines dépassent l'entendement, à côtoyer des hommes courageux (ou inconscients) et d'autres complétement malades (ça fait froid dans le dos quand on y pense). L'auteur a pris des décisions radicales sur la résolution des crimes, qui font de la neuvième tombe un roman vraiment perturbant. Quant à la question de l'amour, je vous répondrai probablement que vous ne pourrez pas comprendre si vous n'avez pas aimé assez.
Lien : https://sawisa.wixsite.com/y..
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J'ai terminé depuis quelques jours parce que j'étais encore sous le choc de la fin. Sans mot. Après avoir décanté les événements, je me lance… D'abord, le roman a 662 pages et curieusement, il n'y a que peu de description sans saveur et l'intrigue est plutôt tricotée serré. La raison étant qu'il y a 2 enquêtes simultanées et c'est d'ailleurs un peu agaçant puisque l'auteur délaisse une enquête pour un moment pour aller à l'autre enquête et la mettre à niveau. le résultat est plutôt frustrant et casse le rythme. L'enquête au Danemark est plutôt accessoire finalement et semble plutôt une excuse pour dénoncer le harcèlement dans les forces de police.
A la question à l'endos du bouquin « jusqu'où peut-on aller par amour? Je répondrais qu'il n'y a pas d'amour dans cette intrigue mais beaucoup de psychose obsessionnelle qui va mener à un carnage ou plusieurs protagonistes vont y laisser des morceaux sinon la vie. Parlant de protagonistes, l'un des pre requis pour aimer une série est d'aimer les personnages, or si Fabian Risk est un personnage intéressant pendant la majeure partie du roman, ça se gâte royalement à la fin alors qu'il commet l'irréparable. Difficile d'aimer un tel couillon. Par contre j'ai adoré les deux enquêteurs féminins particulièrement Malin. A 3 étoiles, je suis indifférent à poursuivre ou non la série. Je note 3.5 parce que je suis « un peu » curieux de voir comment Fabian Risk va récupérer de tout ce bordel. Et que j'espère retrouver les enquêteurs féminins qui sont beaucoup plus intéressante. Finalement, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup d'invraisemblances dans les personnages et pas mal de détails en suspens ce qui est assez frustrant après les 660 pages..
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