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Fabian Risk tome 2 sur 5
EAN : 9782226438775
672 pages
Albin Michel (04/09/2019)
3.49/5   214 notes
Résumé :
La nuit tombe sur Stockholm. En quittant le Parlement après une séance houleuse pour rejoindre la voiture qui l’attend, le ministre de la Justice disparaît. Cette même nuit, à Tibberup, un petit village au nord du Danemark, la femme d’un célèbre présentateur est violée et assassinée chez elle. Bientôt d’autres corps, mutilés, sont retrouvés de part et d’autre du détroit d’Öresund. Chargés de l’enquête, l’inspecteur suédois Fabian Risk et son homologue danoise Dunja ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (59) Voir plus Ajouter une critique
3,49

sur 214 notes
Avant tout...
Je remercie Babelio, pour l'opération de Masse Critique privilégiée, ainsi que les éditions Albin Michel, pour l'envoi du nouveau Stephan Ahnhem.
On dit de cet auteur qu'il est la nouvelle star du polar suédois (rien de moins...), avec déjà quatre romans à son actif. La neuvième tombe est son deuxième traduit en français, ainsi que celui avec lequel je le découvre.

« Imaginez un mélange de Silence des agneaux et Seven, et ajoutez-y une dose d'angoisse à la suédoise. »

Voilà qui est pourtant tentant et prometteur de prime abord...
...mais qu'en est-il en réalité ?

Je ne saurais y répondre en toute franchise car je n'ai pas réussi à finir ce petit pavé de plus de 600 pages, et j'invoque à ma décharge le 3ème droit du lecteur (voir Les dix droits du lecteur de Daniel Pennac) ; celui de ne pas finir un livre.

Je tente en revanche de m'en expliquer :
Malgré des chapitres relativement courts, ce qui participe généralement à une bonne dynamique de lecture, je dois avouer que j'ai eu beaucoup de difficultés à avancer sereinement dans cette histoire, divisée entre deux enquêtes, dont on se doute qu'elles finiront par se rejoindre, l'une en Suède l'autre au Danemark.
Beaucoup de personnages - aux noms complexes, tant à prononcer qu'à retenir... - se mêlent dans un imbroglio sanglant.
Ce qui m'a particulièrement perturbé, c'est qu'aucune note ne vient indiquer au lecteur à aucun moment où il se trouve (sommes-nous dans la première enquête ou dans la seconde ? À Stockholm ou à Copenhague ?) - évidement, les noms des protagonistes marquaient en effet les lieus comme des balises, mais comme je l'ai signalé, ceux-ci étaient malheureusement loin d'être simple à se souvenir... Cela m'a donc personnellement beaucoup gênée dans ma lecture.
Pourtant j'ai déjà lu plusieurs romans signés d'écrivains dit nordiques, mais c'est la première fois que j'ai eu autant de mal avec la dénomination des héros.
Nombre d'incohérences sont également venues saper mon plaisir, comme par exemple cette enquêtrice enceinte de jumeaux jusqu'aux dents qui se la joue super woman.
Mais, c'est un roman... libre donc à l'auteur de faire comme bon lui semble.
Et libre à moi de ne pas apprécier. Raison pour laquelle je ne peux le noter.

Une autre fois, peut-être...
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Abandon page 351/551 (et j'ai péniblement lutté pour en arriver là !)

J'avais envie de découvrir Stefan Ahnhem et quand j'ai vu ce titre chez mon libraire, j'ai foncé tête baissée. Il faut dire que le résumé était prometteur et le fait d'avoir une enquête sur deux pays entre la Suède et le Danemark m'a fait un peu penser à la série TV Bron.

Mais ici, trop de personnages, de la noirceur, des enquêtes à rallonge dont on ne voit pas le bout, l'alternance des personnages dans les différents chapitres fait qu'on perd le fil conducteur et qu'on se met à confondre tout le monde.

Je n'ai réussi à m'attacher a aucun des personnages et je dois dire que certains m'ont vraiment agacé : Fabien, par exemple, et son mariage qui bat de l'aile et qui a l'air totalement indifférent à cette situation ou encore Dunja, qui n'a même pas réalisé que sa relation avec son compagnon n'était pas tout à fait normale. Pourtant ces deux-là sont flic et sont sensés mener des enquêtes, déduire des choses….

Bref, je ne conseille absolument pas ce roman, il y a tellement de bons polars et thrillers scandinaves qu'il serait dommage de perdre son temps avec celui-ci. Je reste malgré tout surprise de toutes les bonnes critiques que je peux lire sur l'autre roman de l'auteur « Hors cadre » que j'avais très envie de découvrir mais après ma mésaventure avec ce roman, je ne suis pas certaine d'avoir toujours envie de tenter l'expérience.
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Je suis assez gourmand du roman policier nordique. C'est donc à l'aveugle (même pas lu la 4eme de couverture) et en confiance que j'ai emprunté ce livre de Stefan Ahnhem.

Mauvais choix. J'ai abonné à la page 300. (Il en reste encore 360). Pourquoi ?

L'histoire :
En Suède, le ministre de la justice est retrouvé assassiné. Au Danemark, la femme d'un animateur de la télé est atrocement mutilée. Hormis le fait que le suspect de l'intrigue danoise est résident en Suède, aucun point commun réunit ces deux affaires et pourtant on se doute qu'elles finiront par se rejoindre.

Mon ressenti :
Bien que le rythme soit dynamique grâce à des chapitres courts, l'imbrication des deux histoires a fini par me perdre.

Les personnages ne sont pas très attachants voire agaçants. Remplis de clichés.
Que ce soit Fabian le policier suédois complètement débordé par ses problèmes familiaux.
Malin, sa collègue, enceinte jusqu'au cou et qui est capable de courir après un bus et qui mène tout le monde par le bout du nez.
Dunja, la policière danoise, qui se laisse mener autant par son compagnon que par son chef et qui prend toujours des risques inconsidérés.
Enfin, malgré l'impression de rythme, les histoires n'avancent pas.

En plus, anthropophagie, sexe, mutilation, harcèlement…
A la fin, trop c'est trop !

Ce n'est pas le bon roman pour découvrir les polars nordiques.
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Deuxième intrusion dans l'univers du policier Fabian Risk. La première fois, j'avais bien ressenti la double volonté de s'inscrire dans la lignée des polars nordiques, très à la mode et donc très porteurs éditorialement tout en cherchant l'originalité. Être ou ne pas être (original), la question est là...
Car on retrouve un lieu connu, entre Suède et Danemark, une ville suédoise située sur la côte du détroit de l'Øresund, au niveau de son point le plus étroit proche de l'ancienne ville danoise d'Elseneur...
Cette terre inconnue dont les frontières
Se referment sur tous les voyageurs...
On nous propose une double enquête, des deux côtés du Raan, qui a failli me noyer au début car même si on comprend les ramifications, le fil est difficile à suivre, on rame un peu...
Il faut donc y consacrer un peu de concentration, ce qui n'est pas forcément le but quand on décide de lire un polar.
On a le droit à quelques incursions en territoire risqué : un Josef Mengele israélien très apprécié de ses semblables, un chef de la police ni footballeur ni espagnol mais agresseur sexuel...
Surtout, il y a un point où l'auteur se démarque enfin de ses modèles. Pour le meilleur et pour le pire...
Il réussit le tour de force de nous créer un anti-héros policier, et encore mieux, de nous le rendre antipathique ! Et plus mieux que mieux, est-ce possible ? Oui ! Et M. Ahnhem le fait ! Au fil des pages, c'est le tueur en série qui nous devient sympathique, une vraie héroïne genre « Dexter » dont on souhaite qu'elle échappe à l'espèce de larve qui sert de policier à l'auteur.
J'avoue m'être interrogé en refermant ce bouquin. Dans quelle mesure la personnalité navrante de médiocrité de M. Risk est-elle volontaire ? Pourquoi, alors que d'une certaine manière l'auteur se démarque des autres figures emblématiques du polar froid, éprouve-je un tel sentiment de rejet ? J'ai adoré la saison 1 de Dexter et Dexter lui-même m'inspirait de la sympathie ! Je ne parle même pas du « Tueur » de la BD de Matz... Alors quoi ? D'où me vient ce mépris (car finalement c'est le mot) pour M. Risk ? La réponse vient d'un autre bouquin rouvert pour l'occasion : « le Connard, enjeux et perspectives » d'Éric La Blanche.
Je le cite : « Connard (n. m.) : personne qui se comporte de façon déplaisante ou déplacée, par manque d'intelligence, de savoir-vivre ou de scrupules et qui est immunisée contre les plaintes des autres. »
Voilà, l'auteur a décidé de faire de son héros un connard.
D'où la difficulté, même si l'on doit reconnaître l'originalité de la proposition, d'apprécier celle-ci à sa juste mesure...
Il y a suffisamment de connards dans la vraie vie (c'est en partie pour cela que certains lisent autant) pour nous éviter d'en croiser des représentants bien gratinés dans nos univers fictionnels de détente...
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Je remercie Babelio pour l'organisation de cette Masse Critique ainsi que Albin Michel pour l'envoi du livre. Il s'agit d'une épreuve non corrigée, le livre sortira le 4 septembre en librairie.

Prêt pour une virée entre le Danemark et la Suède ? Alors, n'ayez crainte et embarquez pour un vol de 660 pages et une affaire aussi glaçante que terrifiante. le récit s'ouvre sur un prologue très surprenant, mystérieux et assez sombre… Une lettre, c'est tout ce que l'auteur nous donne, une lettre qui voyage mais dont on ignore le contenu… Une ombre plane déjà, on ne soupçonne ni son importance ni sa réelle nature. C'est une bouteille jetée à la mer, qui sait sur quelle rive elle finira sa traversée ?

Des meurtres, encore et encore. Des meurtres à la pelle, à ne plus savoir qu'en faire. En Suède, au Danemark ? Un lien existe-t-il ? Qui est derrière tout cela ? Chaque pays enquête, à sa manière, selon ses propres méthodes. Membres découpés, disparitions, un certain chaos règne à l'approche des fêtes de Noël. Je n'ai pas ressenti l'agitation propre à cette période, c'est surtout la peur et l'angoisse qui dominaient, la crainte de découvrir une nouvelle victime atrocement mutilée. Dans les bureaux de police, les enquêteurs fulminent et explorent toutes les pistes, envisagent tous les motifs. L'auteur a fait le choix de changer régulièrement de points de vue ; on suit aussi bien les enquêteurs danois que suédois ainsi que quelques victimes. On tente, au même titre que les représentants de l'ordre, de coller les pièces du puzzle, de les rassembler dans un immense brainstorming.

Bien que le livre soit long (plutôt très long même), les chapitres sont courts et instaurent un certain rythme, une cadence plutôt soutenue qui permet de ne pas se lasser. le procédé est intelligent mais ici, les trop nombreux personnages sèment la confusion. Je mélangeais les noms et les prénoms, les enquêteurs suédois et les danois, le nom des victimes et des suspects. Je me perdais entre les meurtres, les enquêtes et les pistes, nageant en plein brouillard. Insérer des indications de lieux aurait pu être utile afin de se repérer plus facilement dans l'espace, j'aurais ainsi pu davantage visualiser et les enquêtes et les victimes. Ce n'est que vers les deux tiers du livre que je suis parvenu à identifier clairement le rôle de chacun, c'est dire !

Les enquêtes ont lieu parallèlement les unes aux autres, on attend, on guette le point de rencontre aussi bien que celui de rupture. Sans cesse d ans l'expectative, traquant les moindres indices. Et si les affaires ne convergeaient jamais ? Et si l'auteur se jouait de nous ? Tout est possible et j'ai envisagé chaque hypothèse. Je voyais des liens se créer et se défaire le chapitre d'après, j'entr'apercevais des similitudes qui volaient en éclats en quelques phrases. Je ne savais clairement pas sur quel pied danser, me donnant l'impression d'être une marionnette unijambiste tentant de progresser tant bien que mal. Un fil rouge semble tout relier mais de multiples intrigues se chevauchent, on voit aussi bien apparaître des problématiques personnelles que politiques. C'est un gigantesque ensemble dans lequel chaque élément est étroitement connecté aux autres.

Les meurtres sont d'une rare violence et laissent chaque fois les policiers plutôt perplexes. On assiste non pas à une traque ni même à une course contre la montre mais plutôt à une chasse à l'homme, une chasse aux sorcières qui s'intensifie au fil des pages. le rythme n'est pas spécialement soutenu mais vient un moment où tout s'accélère et prend une cadence endiablée avant que tout retombe comme un soufflé. Il y a des accélérations et des ralentissements, des sprints et des moments dont l'allure est calquée sur celle d'un marathon. Plusieurs phases sont notamment perceptibles, celles durant lesquelles la réflexion domine, on cherche à comprendre le pourquoi du comment, on regroupe tous les éléments et on analyse chaque information, puis il y a des phases d'actions avec des meurtres, des arrestations etc.

Bien que les personnages soient très nombreux, je dois admettre qu'ils sont plutôt bien construits. J'ai particulièrement aimé suivre certains d'entre eux, parmi lesquels : Malin, Fabian ainsi que Nova. Chacun possède ses propres forces et faiblesses, une vie familiale et professionnelle bien chargée. Nul n'est infaillible et c'est très appréciable. L'auteur ne tombe pas – à mes yeux – dans la caricature facile des membres de la police. On est ici dans une approche un peu plus personnalisée, un univers dans lequel chacun peut s'exprimer librement. Toutefois, il est assez regrettable que certains pans entiers de la vie des personnages occupent une place assez conséquente dans l'histoire pour être balayé d'un revers de main une fois la fin en vue… On nous bassine avec quelques couples, avec les soucis qu'ils rencontrent et leur famille pour finalement… finalement pas grand-chose. C'est un poil frustrant, surtout quand on sait que l'histoire prend le temps de se mettre en place, que l'on découvre progressivement les personnages et leur environnement… J'ai presque envie de dire : tout ça pour ça ?

Oui, tout ça pour ça… J'avoue à contre-coeur que la fin ne m'a malheureusement pas convaincue. L'univers est riche, complexe, soulève de très nombreuses problématiques et brouille plus d'une piste, pour nous laisser sur des scènes plutôt décevantes menant à la fin… Autant l'ensemble du récit m'a captivé et cela fait vraiment du bien d'être animée par une telle volonté de lire et de comprendre, autant j'y suis allée à reculons pour la lecture des derniers chapitres. Il y a des scènes que je n'ai vraiment pas comprise, je n'ai compris ni leur sens ni leur utilité… me laissant plus que sceptique. de nombreuses mystères demeurent une fois la dernière page tournée, d'une certaine manière cela nous laisse le plaisir d'imaginer ce qu'il en est vraiment, de mesurer la portée de certains actes, mais d'un autre côté je suis extrêmement frustrée. Qu'en est-il de tous ces personnages ? de tous ces indices que l'on n'exploite pas ? de tous ces non-dits… L'épilogue apporte son lot de réponses et sème encore plus le trouble…

Je me suis demandé, à plusieurs reprises, si le prologue allait trouver un écho dans l'histoire L'écho en question apparaît bel et bien mais assez tardivement, lorsque l'on commence à presque oublier la teneur du passage. Il s'agit pourtant d'un élément crucial qui a guidé ma lecture. Je guettais les passages s'y rapportant… Comme je cherchais à comprendre le pourquoi du titre. La réponse se fait attendre mais je l'ai, pour le coup, trouvé tout à fait convaincante. Je pense pouvoir dire que la traduction du livre est bonne, j'ai trouvé la plume très fluide et l'histoire se lit vite et bien, et ce malgré son épaisseur !

En définitive, La neuvième tombe fut une bonne lecture qui m' a permis de renouer avec les policiers. Je suis heureuse d'être venue plutôt rapidement à bout de ce pavé ! Ahnhem Stefan signe ici un récit intense et glaçant dans lequel de multiples intrigues s'enchevêtrent. Entre meurtres sanglants et voyage entre le Danemark et la Suède, nous suivons de nombreux points de vue qui rythment l'histoire. On se perd avec les noms des personnages pour mieux se retrouver dans les ramifications qu'emprunte l'enquête. du début à la presque fin, j'ai été absorbée par les retournements de situations et les réflexions menées. le final ne m'a pas totalement convaincue mais je garde tout de même un très bon souvenir de cette longue lecture.
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critiques presse (2)
LeDevoir
14 octobre 2019
Si ce livre n’était pas truffé de passages sanglants et apparemment gratuits, on le recommanderait sans hésiter à tous ceux qui souhaitent raconter une histoire tordue. Vivement la suite.
Lire la critique sur le site : LeDevoir
LaPresse
23 septembre 2019
L’atmosphère noire et froide, typiquement scandinave, le suspense et le rythme de l’intrigue en font un excellent thriller.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
Beaucoup seront horrifiés par ce que j’ai fait. Certains y verront une vengeance pour les injustices commises. D’autres croiront à un jeu insensé ayant pour but de ridiculiser le système et de prouver jusqu’où on peut aller. Mais la plupart s’accorderont de façon touchante à dire que seul un être profondément dérangé a pu commettre de tels actes.
Aucun d’eux n’aura raison...
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(...)
- Non, pitié, pas un cinglé ! Il est sorti d’HP ou quoi ?
- Depuis trois ans et quatre mois.
- Remis à neuf, je suppose, soupira Malin en secouant la tête. Comme si quelques médicaments et une thérapie pouvaient guérir quelqu’un qui est capable de faire une chose pareille.
- T’as raison, acquiesça Tomas. Dans les autres domaines de la médecine, on est obligé d’accepter qu’un tétraplégique le reste jusqu’à la fin de ses jours. Mais en matière de psychiatrie, ce n’est pas pareil. Ils sont tous capables de guérir avec un petit traitement, quelle que soit la paralysie du bulbe dont ils souffraient au départ.
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'Let's get right down to business,' said Furhage, looking them both in the eyes. 'Something, let's call it a situation, has come up which may actually turn out to be a non-situation - an insignificant little trifle.'
Fabian glanced at Edelman, who looked as perplexed as he felt.
'Melvin Stenberg here is responsible for personal security and can tell us more,' Furhage continued, before nodding towards the man with a blue tie.
'At 3:24 p.m. today, about an hour after question time in parliament concluded, Carl-Eric Grimås walked out the west door of the parliament building, where a car was waiting for him. According to our driver, Grimås never showed up and hasn't been seen since.'
'Wait a minute, do you mean that the Minister for Justice is missing?' said Edelman.
Stenberg adjusted his tie and nodded curtly.
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Dans les autres domaines de la médecine, on est obligé d’accepter qu’un tétraplégique le reste jusqu’à la fin de ses jours. Mais en matière de psychiatrie, ce n’est pas pareil. Ils sont tous capables de guérir avec un petit traitement, quelle que soit la paralysie du bulbe dont ils souffraient au départ.
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Dunja ne se servait jamais de la machine. Non pas pour se soustraire aux remarques de Sleizner mais parce qu'elle était loin de trouver ce café aussi bon que ce que ses collègues s'accordaient à le dire et surtout parce que, pour elle, le fait que la moitié du monde occidental accepte d'entrer dans une secte qui les obligeait à acheter leur café dans des boutiques situées exclusivement dans les quartiers chics de la ville tenait du lavage de cerveau et restait un mystère. Quant à l'incidence des capsules d'aluminium sur l'environnement, elle n'osait même pas y penser.
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Videos de Stefan Ahnhem (6) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Stefan Ahnhem
Suivez l'inspecteur Fabian Risk dans sa traque d'un tueur en série : chaque meurtre macabre est exécuté avec une précision sauvage, comme si l'on suivait les règles d'un jeu infernal. Stefan Ahnhem, étoile montante du thriller suédois, nous plonge dans une enquête implacable.
Lire un extrait : https://www.albin-michel.fr/36-facons-de-tuer-9782226471468#preview
En savoir plus sur l'auteur : https://www.albin-michel.fr/stefan-ahnhem
En savoir plus sur le roman : https://www.albin-michel.fr/36-facons-de-tuer-9782226471468
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