Jujutsu Kaisen, tome 12 : Le drame de Shibuya, nécromancie

L'arc de Shibuya continue à battre son plein, nous en mettre plein les yeux, nous offre des combats gigantesques et notre dose de frisson.
Le nom de Satoru Gojo est connu de tous et même quand on ne le voit pas, on entend parler de lui.
On est loin d'un simple exercice, de quelque chose de standard, c'est quelque chose d'énorme dans quoi ils sont embarqués. La différence de niveaux va frapper immanquablement aux yeux. Et voir des classes 1 déployaient toutes leurs forces est quand même sacrément stylé, impressionnant, c'est vraiment quelque chose.
Les adversaires sont également redoutables. Les personnages sont séparés, ainsi tout se joue à différents niveaux. Yuji fait également de son mieux.
Gege Akutami continue à nous apporter des précisons entre ces chapitres sur son univers très riche, il est également doté d'un certain humour, même si dans ce tome on ne fera que le frôler, tellement la tension est présente.
Il sait également nous bouleverser, nous réserver des surprises, des rebondissements. Et attention, cela jusqu'au dernier instant. Vous savez ce qu'on dit : "Ne vendez pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué". le lecteur a de quoi se demander jusqu'où tout cela ira, dans quel état ils en ressortiront et qui y arrivera.
Encore une fois, il aura également de quoi vouloir très vite la suite, mais il lui faudra attendre.
Si vous voulez en savoir un plus et uniquement dans ce cas là. Yuji va très vite se retrouver seul. Cela arrive également plusieurs fois qu'un personnage prenne l'ennemi et l'autre tente de continuer, mais tout le monde ne l'entend pas de cette oreille.
Le tome nous laisse aucun moment de répit, vous verrez et reverrez certains personnages. Entre autres, il y a une jeune femme très stylée, très forte, accompagné de son frère, qui semble la soutenir sans faille. Un certain personnage qu'on dit ne pas aimer les heures supplémentaires va nous offrir de grands moments. Vous découvrirez la manipulation des hématies, mais encore tant d'autres choses.
Pour cette bataille énorme, il y a également un florilège de personnages. Allez reprenez votre souffle, jusqu'à la prochaine fois.

J'ai l'impression que le système de magie et les explications sont inutilement compliqué. Ça nous oublige à nous taper beaucoup d'explication pas intéressante pour être sûr de ne pas passer à côté de quelque chose alors que des fois ça paraît sorti de nul par. Par exemple le fait que ceux qui garde le rideau sont à l'extérieur du rideau est pas dedans pour qu'il soit plus solide c'est juste un prétexte pour justifier une scène de combat. Ça sert à rien de vouloir toujours tout expliquer.

Et puis je trouve Yuji vachement plat comme personne. Tous les casting principle est attachant et intéressant à suivre mais lui je le trouve toujours à la traîne par rapport aux autres

L'arc du drame de Shibuya bat son plein et les combats s'enchaînent sans temps mort, de quoi continuer à me divertir et m'intéresser. J'ai bien aimé ce tome et les différents combats qui s'y déroulent, cela va assez vite et je ne m'ennuie jamais. J'aime bien Nobara ainsi que Mei Mei, dont j'ai beaucoup apprécié le combat aux côtés de son frère Ui Ui.

Engloutir les ténèbres pour mieux les combattre !

Contre toute attente, Satoru Gojo, le plus puissant des exorcistes, a été scellé ! Son emprisonnement dans la lisière du supplice pourrait bien marquer l'avènement d'un nouvel âge d'or pour les fléaux, qui n'attendent plus que le retour de leur roi...

Pour les exorcistes présents à Shibuya, la priorité absolue est donc de libérer Satoru à n'importe quel prix ! Malheureusement, les adversaires qui se dressent sur leur chemin sont particulièrement redoutables et leur font perdre un temps précieux. Yuji part alors seul à la rescousse de son professeur...

Nous sommes toujours dans le sous-sol de la gare, où les affrontements s'enchaînent pour sauver Satoru qui a été mis hors d'état de nuire, mais le mangaka ne se concentre pas sur un combat, mais il alterne entre plusieurs ! Certains ont rapidement leur conclusion, mais d'autres non, et mettent en avant de nombreux exorcistes comme Mei Mei et Ui Ui. Nanami m'a beaucoup surpris, il ne rigole pas !